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Une entreprise « commerciale » ce que influence c’est l’achat , le commerce commence avec un achat (c’est le
premier métier) il achète pour vendre.
ape activité
la notion de FLUX
L’unité commerciale effectue avec ses partenaires des opérations qui se traduisent en transferts de biens ou de
monnaie entre eux . Le terme « flux » est utilisé pour évoquer cette expression de mouvement , d’échange.
La comptabilité a pour Object d’enregistrer les flux quantitatifs de l’unité commerciale et a pour convention de porter
à droite la ressource (appelée « crédit » et à gauche l’emploi ( appelé « débit »
C. L’EQUILIBRE EMPLOIS/RESSOURCES
Le total ressources doit toujours être égal au total emplois (principe de la partie double)
Si les flux entrainent dans la comptabilité de chacun des partenaires un enregistrement comptable de valeur
équivalente , ils s’effectuent en sens inverse.
II LES DIFFÉRENTS TYPES DE FLUX DANS L’UNITÉ COMMERCIALE
Ces flux portent sur des biens et services (ventes, achats,) des prestations financiers(services financiers) ou des
prestations publiques ( impôts et taxes.)
Moins fréquents que les flux externes , ils sont constitués des transferts de matières premières et de produits semi-
finis entre ateliers , des transferts de fonds du magasin au siège social.
Ils serviront de base au calcul du cout d’achat ou de production, au calcul des prix de revient des produits.
Certains flux occasionnent une perte pour l’unité commerciale qui détruit de la valeur : la consommation physique de
matières, de fournitures… ; la production ; les pertes matérielles suite à des vols ou à des invendus( démarques,
rebuts) la dégradation de la valeur des biens(dépréciation , obsolescence, cession avec moins-value) ; l’utilisation de
facteurs de production sans contrepartie positive( consommation pour son usage ou production immobilisée)
MOTS CLÉS
Externes et internes
D’exploitation et d’investissement
Le grossiste Hubert Claude & fils distribue des F et L à des entreprises (ses clients) qui le règlent à 45 jours. Or, il paie
ses fournisseurs à 30 jours. S’il connaît une progression régulière de son CA, il s’inquiète des difficultés ponctuelles de
sa trésorerie en fin de mois.
Dans le domaine commerciale il Y a cette pratique qu’on perçoive la merchandise, l’achat d’une marchandise qui va
être vendu , une entreprise achète il paie après avoir reçu la marchandise, dans ce cas il y a un décalage de 15 jours
parce que le paiement devait être entre 30 jours, la gestion de ce décalage va être quelque chose de très important,
A . LE CYCLE D’EXPLOITATION
L’activité de l’unité commerciale repose sur un cycle d’exploitation . on l’appelle « cycle » la répétition régulière
d’Operations pendant une période donnée . la période de référence est l’année comptable , qui peut être différente de
l’année civile
Exemple
Une unité commerciale peut clôturer ses comptes au 31 mars ; l’exercice comptable portera sur la période du 1er avril
au 31 mars
Pour une telle opération (fabrication) , l’unité commerciale acheté des matières premières et des fournitures diverses
qu’elle transforme . le cout de production des produits fabriqués une fois distribués déterminera le cout de revient
des produits vendus. Elle fait aussi appel à des fournisseurs externes et internes et veille également aux contraintes de
stock
Avant de pouvoir commencer à vendre une unité commerciale a besoin de constituer des stocks : de matières
premières ou de produits finis si elle fabrique , de marchandises si elle a une vocation exclusivement
commerciale. Il lui faut avancer l’argent correspondant mais sans avoir de rentrés financières . si, par la suite, elle
peut vendre pendant cette période, elle doit entre-temps reconstituer son stock . En fait, elle ne récupèrera
jamais les fonds qu’elle a avancés au départ ; ceux-ci resteront en permanence immobilisés . c’est le premier
élément du besoin en fonds de roulement d’exploitation
Exemple
Le détaillant fressin, qui commercialise des produits ménagers, réalise 1 million d’euros M euro) de chiffre et tient
en stock l’équivalent de trois mois de chiffre d’affaires. Pour financier ce stock, il lui faut immobiliser en
permanence 1X 3/12 = 0,25M euro
2. Le besoin de financement des créances clients
Une fois que l’unité commerciale a constitué son stock et a commencé à vendre , ses clients ne regèlent ????pas
pour autant leurs facteurs immédiatement si elle leur consent un délai de paiement. Il lui faut pourtant payer les
salaires, les achats, les charges consommés. Certes, si les créances clients (factures dues par les clients) ont été
réglées , elles ont été aussitôt remplacées par de nouvelles créances . L’argent qu’il faut avancer pour financier
ces créances est donc lui aussi immobilisée permanence
3. DETTE FOURNISSEURS
Comment alléger les besoins liés au stock et au crédit accordé aux clients ?
L’unité commerciale pourrait envisager de retarder le paiement des charges d’exploitation (salaires, achats) . Mais
il est impossible de payer les salaires à 4 mois . en revanche , elle peut réussir à payer les fournisseurs après que
les clients ont eux contribution la trésorerie de l’unité . on se sert de l’argent versé par le client final.
La somme qu’il faut immobiliser en permanence pour financer l’exploitation s’appelle le BESOIN EN FONDS DE
ROULEMENT D’EXPLOITATION ( BFRE)
RÉCAPITULATIF CHIFFRÉ :
1 M€ x 3/12 = 0, 25 M€
Créances client (ce que lui doivent ses clients) à 30 jours (1 mois) :
1 M€ x 1/12 = 0,08 M€
Dettes Fressin (ici les fournisseurs, ce que Fressin doit au plus tôt à ses fournisseurs) à 30 jours (1 mois) :
Aux créances clients, il faut ajouter éventuellement les autres créances (état, )
Aux dettes fournisseurs , il faut ajouter les autres dettes à moins d’un an , c’est-à-dire les dettes à court terme
constituées généralement par les dettes fiscales et sociales (DFS à l’égard de l’état , l’Urssaf)
La trésorerie peut se définir comme ce qui est disponible pour assurer les paiements. Il est fréquent d’être à l’aise
le 10 du mois et de se trouver gêné le 30 pour payer toutes les échéances. Les recettes peuvent être ainsi étalées
au jour le jour et les dépenses rassemblées à certaines dates
Les augmentations du disponible proviennent de tous les encaissements reçus par l’unité commerciale ,
les diminutions proviennent de tous les décaissements effectués
1. LA TRÉSORERIE JOURNALIÈRE
- Tous les paiements en espèces reçus, par cheque ou par carte bancaire
- La valeur des effets de commerce (traites) conservés en portefeuille jusqu’à leur date d’échéance et
présentés à la banque pour encaissement
- La valeur des effets de commerce payés par la banque avant l’échéance (effets remis à l’escompte)
- Tous les virements inter- ou intrabancaires dont l’unité est créditée.
Pendant cette même journée d’activité, les sorties de trésorerie sont
Le solde de trésorerie du début de chaque journée d’activité est la reprise du solde de trésorerie de la fin de la journée
précédente. En fin de journées, le nouveau solde est égal à :
2. LA TRÉSORERIE MENSUELLE
Il est donc essentiel de suivre la trésorerie et les échéances avec attention. C’est pourquoi l’ensemble des
factures est rassemblé dans un échéancier (calendario) où son regroupées les créances et les factures à régler aux
fournisseurs par dates d’échéance
LA GESTION DE LA TRÉSORERIE
L’incidence du besoin en fonds de roulement sur la trésorerie et les décalages entre les rentrées et les sorties
monétaires exigent de mettre en place une gestion de la trésorerie afin d’éviter la rupture d’encaisse ou les
excédents importants
Les besoins de trésorerie peuvent être financés par des crédits de trésorerie ou par la mobilisation de créances
commerciales
Il se négocie normalement avec le banquier. L’ensemble des crédits accordés pour le financement des besoins de
trésorerie est repris dans la comptabilité sous la rubrique « concours bancaires courants » . on y trouve la facilité
de caisse, le découvert et le crédit de campagne
On peut négocier ou faire face a la tresorerie, faciliter une facilité de caisse
Le crédit campagne : idée de la facilité de caisse , bénéficier de quantités , elle acheté des quantités importantes
La rénovation, la remise à neuf ou l’agrandissement du point de vente oblige à constituer un stock plus important
qui risquera de tourner moins vite au début. si aucun apport financier n’a été fait , il va se créer d’affaires ne
s’élèvera que progressivement
Le banquier permettra d’attendre, grâce à une autorisation de découvert, que le développement des ventes
permette de reconstituer un besoin en fonds de roulement normal
LE CREDIT DE CAMPAGNE
Lorsque le décaissement auquel il faut faire face doit être effectué massivement en raison d’une activité saisonnière,
et bien avant que les ventes étalées sur la saison n’en permettent le remboursement , la banque peut accorder un
découvert appelé « crédit de campagne »
Ces crédits, qui vont généralement , selon les cas de quelques jours à plusieurs mois, sont souples d’utilisation mais
chers
Le crédit le taux d’intérêt c’est le prix d’argent formule , obligation d’une entreprise d’avoir une trésorerie
pour gérer et pour pas avoir des difficultés , taux d’intérêt va grever son résultat va diminuer sa performance , plus
la d plus le taux d’intérêt est haut
Mobilise de créance : reconnaissance d’une dette , l’idée est de l’argent potentiel , vous renversez une somme
d’argent (le client) il donne la propriété de créance et puis il verse l’argent et la banque ne va créditer
l’entreprise , parce que elle va prélever une certaine somme de la créance il gardera la différence , cela
correspond à la rémunération
L’ESCOMPTE COMMERCIALE
Il s’agit en fait de l’escompte des effets de commerce qui permet de mobiliser le crédit « interentreprises »
Largement prédominante dans le système de mobilisation, cette technique consiste pour une banque à remettre
immédiatement le montant de l’effet de commerce à son bénéficiaire sans attendre l’échéance , en prélevant une
rémunération
Au lieu d’émettre plusieurs lettres de change sur plusieurs tirés différents, l’unité commerciale établit un seul «
billet de mobilisation » qui recouvre la valeur de toute une série de factures dont les échéances sont voisines. La
banque n’a alors qu’un seul débiteur : le tireur
La loi Dailly du 2 janvier 1981, complétée par la loi bancaire du 24 janvier 1984, simplifie les règles de la cession des
créances et permet, au moyen de la remise d’un bordereau à un établissement de crédit , d’obtenir un crédit en
cédant une créance , ou un ensemble de créances , non matérialisée par un effet de commerce
4, LA LETTRE DE CHANGE-RELEVÉ
Pour éviter le cout de traitement de la lettre de change papier, la lettre de change-relevé est la forme actuelle de la
traite qui est convertie en un enregistrement informatique des son entrée en banque
Si les banques ont mis en place des outils financiers pour faciliter le financement du cycle d’exploitation des unités
commerciales, elles s’efforcent aussi de proposer des outils pour faciliter leur gestion quotidienne
Sur la plupart des relevés de compte apparaissent deux dates : une date d’opération et une date de valeur.
Les dates de valeur correspondent aux dates à partir desquelles les opérations effectuées sur un compte bancaire
sont prises en compte, que ce soit au débit ou au crédit d’un compte.
La date de valeur d’une écriture sur le compte est la date à laquelle la somme est prise en considération pour le
calcul des intérêts sur un compte
Cette date ne coïncide pas forcement avec la date à laquelle a été enregistrée en comptabilité l’opération de retrait,
de paiement ou de dépôt. Cette deuxième date s’appelle la date d’opération peut dépendre du jour et de l’heure du
dépôt, voire, éventuellement, du canal utilisé (poste, agence, etc). Seule la banque peut donner des précisions sur la
règle qu’elle s’est fixée . Pour les banques, la justification des jours de valeur réside dans les délais de traitement des
opérations qui empêchent les banques de disposer réellement des fonds dès le moment où elles les comptabilisent
Ainsi toute opération au crédit est inscrite en compte à une date de valeur postérieure à la date de valeur antérieure
à la date de l’opération (en négligeant les samedis, dimanches er jours fériés)
Par exemple, un cheque remis en compte le 15 sera crédité en valeur le 17 et un cheque présenté en compte le 15
sera débité en valeur le 13
Date de valeur : quand on voit l’argent , quand la banque prélève cet valeur , condition générale de vente que utilise
la banque,
On a une créance , au moment qu’il achete, il faut la paier , on peut avoir un décalage, j’ai un besoin d’argent
pour financier le décalage , j’ai un excèdent de financement , la mesure – c’est le volume de ma trésorerie , si j’ai
un besoin je dois le financier , augmenter le financement de stock, le naisse compte, si le client accepte de payer il
a un réduction , négocier un crédit campagne
L’entreprise peut fonctionner s’elle n’est pas attente a la trésorerie elle a de difficultés a fonctionner, il a la prise
de risque
MOTS CLEFS
ACOMPTE : versement partiel à déduire du prix convenu, les deux parties sont tenues d’exécuter le contrat
ARRHES: versement d’une partie du prix par l’acheteur au vendeur , le contrat n’étant pas définitif , chaque
partie peut se dégager
BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT (BFR) besoin de financement généré par l’insuffisance des ressources à
court terme
CONCOURS BANCAIRES COURANTS : dettes contractées auprès des banques pour subvenir à un besoin de
disponibilités résultant de l’exploitation ; ils concernent généralement le découvert bancaire
DÉCOUVERT (CONCOURS BANCAIRES COURANTS) : forme de crédit souple et couteuse accordés par le
banquier pour subvenir à un besoin de disponibilités résultant de l’exploitation
CHAPITRE 3 : LES OPÉRATIONS DE RÈGLEMENT, LES MARGES ARRIÈRES ET LES INDICES DE SENSIBILITÉ
Dans le commerce de détail , le ticket de caisse fait office de facture pour le client
La TVA est un impôt sur la consommation finale à des taux variables suivant la nature des produits ou des services
. c’est une taxe unique à paiement fractionné puisque chaque intermédiaire de l’amont à l’aval reverse à l’etat
une fraction de la TVA supportée en définitive par le consommateur
Le taux réduit de 5,5 % s’applique aux produits alimentaires ; le taux normal de 20 % s’applique aux produits
manufacturés
Il existe d’autres taux de TVA utilisés dans des cas très particuliers (par exemple les médicaments)
Elles peuvent être inscrites sur la facture ou consenties hors facture (par exemple , pour un avoir )
Les réductions se calculent en cascade , les unes après les autres. Elle ne s’ajoutent pas
On accorde un avoir pour modifier la somme due par le client (erreur de facturation, omission de réductions
négociés ) ou pour réduire la créance client suite à des reductions accordés après la facturation. La facture d’avoir
est donc postérieure à la facture d’origine
Ce sont des prestations ou fournitures supplémentaires ajoutées au prix des marchandises et payées par
l’acheteur. Elles concernent essentiellement les frais de transport et les emballages
Une marge arrière (légalement : « autre avantage financier ») est une ristourne de fin d'année exprimée en % du
prix de vente initial qui est obtenue auprès d'un fournisseur sur un produit et qui n’est pas répercuté sur le PV au
consommateur. La pratique des marges arrières se fait surtout dans l'univers de la grande distribution entre les
grandes enseignes et leurs fournisseurs. Les conditions et modes de calcul des marges arrières sont normalement
précisées dans le cadre des négociations commerciales annuelles.
Les marges arrières les plus courantes ont généralement pour contrepartie :
Il est généralement estimé que les marges arrières peuvent représenter de 30 à 40 % du prix facturé initialement
D L’ETABLISSEMENT DE LA FACTURE
Le montant à régler se determine en diminuant tout ce qui réduit le montant brut pour obtenir le montant « net
commercial » , en ajoutant les majorations , on ajoutera la TVA pour obtenir le montant « net à payer TTC »
Lorsque les trois éléments sont proches , la vente est dite « au comptant »
A LE REGLEMENT AU COMPATNT
Au comptant , l’acheteur paie à la réception ou dans un délais bref , en espèces ou par cheque. On entend par
espèces (ou liquide) , le règlement par pièces ou billets. La seule trace est la pièce de caisse (attestation de
paiement pour le client ou tickets de caisse , justificatif d’encaissement pour l’administration fiscale )
B LE REGLEMENT À TERME
Il s’effectue soit par un paiement différé ou crédit à plus de huit jours après la livraison des marchandises ou de la
facturation (par exemple, 60 jours fin de mois) soit par l’émission d’un effet de commerce , la lettre de change ou
le billet à ordre
LA LETTRE DE CHANGE
Une lettre de change (traite) est un ordre donné par l’émetteur , le créancier ( le tireur) à son débiteur (le tiré) de
le payer à une date convenue à l’avance. La signature vaut acceptation en tant que reconnaissance de dette.
L’usage d’une lettre de change n’est possible que pour un échange entre professionnels .
2 LE BILLET À ORDRE
C’est un effet de commerce par lequel le souscripteur s’engage à payer la somme indiquée à l’ordre du
bénéficiaire , à la date d’échéance. contrairement à la traite où c’est le créancier qui crée l’effet , le billet à ordre
est établi par le débiteur
Dans tous les cas , toute émission d’un effet génère des frais bancaires ou agios (commission bancaire plus les
intérêts des fonds avancés)
L’escompte est un moyen d’accélérer l’encaissement chez le fournisseur soucieux d’assurer un équilibre de sa
trésorerie
Deux notions d’escompte sont à considérer : l’escompte pour paiement immédiat et l’escompte d’une traite
Seul un effet que l’on détient sur une vente peut être escompté. Il s’agit donc d’escompter un effet à recevoir . on
parle d’effet à recevoir. On parle d’effet à recevoir remis à l’escompte
Remettre à l’escompte un effet, c’est demander à la banque de le payer avant l’échéance , autrement dit
d’anticiper le règlement du client. Bien entendu, la banque prendra des agios(intérêts financiers d’avance de
fonds) et une commission bancaire (rémunération pour service rendu) . elle versera finalement le montant net ,
frais bancaires déduits, et se fera régler le montant brut de la traite par le débiteur à l’échéance
Le terminal point de vente offre des solutions très performantes et evolutives. Il permet la réalisation de systèmes
de gestion adaptés aux besoins de chaque type de commerce : impression de tickets de caisse, de factures, de
cheques, paiement par carte bancaire , suivi de stock, inventaire, lecture des codes-barres, interface avec la
comptabilité informatisée, impression des états de gestion
Le TPV permet la gestion des fichiers clients par articles et l’Edition de factures, la gestion des remises.
La ventilation est possible par modes de règlement ou autres critères , permettant l’établissement de statistiques,
des analyses mensuelles et une meilleure connaissance de la clientèle
b. La gestion de stock
Le TPV facilite la tenue à jour des stocks en quantité et en valeur . les fiches articles peuvent contenir les
statistiques de ventes en temps réel , accessibles par simple consultation.
Les approvisionnements peuvent etre, optionnellement , gérés par simple saisie des quantités entrantes. La
fonction inventaire est intégrée , avec possibilité de vendre en cours d’inventaire et de prendre en charge
différents modes de gestion sur les articles.
Ainsi, il peut intégrer la gestion des marchandises et la valorisation peut se faire selon différents prix
Depuis le 1 er janvier 2018, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale, les professionnels doivent utiliser
uniquement des systèmes de caisse certifiés, dont les données ne pourront pas être altérées.
B LA MONNAIE VIRTUELLE
Le porte-monnaie électronique est une carte prépayée (à microprocesseur integré ou à bande magnétique) sur la
quelle est stockée une valeur monétaire permettant le règlement de petites sommes par l’intermédiaire d’un
lecteur de carte adapté.
Son format est identique à celui des cartes bancaires à puce . le principe consiste à charger (créditer) un certain
montant d’argent dans la puce électronique via un distributeur ou la machine d’un commerçant , puis de régler
(débiter) les petits achats (pain, journal, parking ) à l’aide de cette carte . elle peut etre protégée ou non par un
code secret
Le porte- monnaie électronique sur une carte à puce est soit jetable, soit rechargeable
L’implantation des produits dans un rayon : soit l’implantation suivante d’une famille composée de 6 articles
répartis sur un linéaire à 3 niveaux, dont la longueur au sol est de un mètre :
1. Calculez les Indices de Sensibilité (IS) au CA et à la MB des références présentées. Commentez vos résultats
2. Faites une nouvelle proposition d’allocation de la place de ces références dans le linéaire en fonction de l’IS à la
MB (faites une représentation graphique du nouveau linéaire).
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PLAN DE MASSE
Logique d’impalntation
• Les colas sont maintenus en entrée de rayon : attirer le consommateur par le segment leader (40% du linéaire
attribué aux colas ).
• En 2014, les thés pèsent plus en chiffre que les BAFP sur le global softs (11% contre 9%). C 'est un marché très
dynamique qui se désaisonnalise. Le segment des thés est un repère dans les softs , avec une marque forte
(Lipton Ice Tea ) et une marque distributeur représentant plus de 30% des volumes.
• Passage des BAFP en fin de rayon afin de favoriser une proximité avec le segment petits conditionnements –
enfants lorsque celui-ci est placé en continuité.
• A partir de 9 éléments, implantation de tous les segments par pavé de marque afin d 'améliorer la lisibilité du
rayon tout en gardant les correspondances de parfum et de format.
• Développer les quantités achetées par visite grâce à un choix facilité et à une meilleure lisibilité du rayon :
clarification des segments par un repère marque
• Maintenir une bonne lisibilité du rayon. Pour cela, essayez de respecter un nombre maximum de références
préconisées selon le linéaire disponible :
• Réduire les ruptures en linéaire par un assortiment adapté à la taille du rayon ( cf. préconisations d
'assortiment)
MOTS CLÉS
ÉCHÉANCE(terme) : date à la quelle une créance ou une dette doit être réglée
EFFET DE COMMERCE (lettre de change ou traite) : document représentatif d’une créance payable à court
terme
ESCOMPTE : se faire regeler un effet de commerce avant la date d’échéance ou accorder une réduction de prix si
le règlement est immédiat
l’entreprise (commerciale).
Raison sociale : Super Pet ; localisation : Vendes (15) ; effectif : 900 salariés
Raison sociale : Super Pet ; localisation : Vendes (15) ; effectif : 900 salariés
A le stock
Le stock est l’ensemble des marchandises disponibles à la vente , soit en magasin, soit en réserve.
Par stock, on entend généralement les produits finis, les pièces de rechange, l’outillage ou encore les matières
premières pour une unité de production et les marchandises pour une unité commerciale
Le stock a un rôle tampon entre la production ou l’achat localisées géographiquement en grande serie et la
consommation en petite serie diluée en temps et en lieu
LE STOCK DE SÉCURITÉ
Un magasin qui respecte un stock minimum peut toutefois se trouver en rupture de stock
Le stock de sécurité est le niveau de stock que doit conserver en permanence l’unité commerciale pour pouvoir
faire face à des circonstances imprévues (augmentation de la demande, retard de livraison , défection d’un
fournisseur , retour de marchandise non conforme à la commande )
D LE STOCK MOYEN
Le stock moyen est la moyenne du stock au début de l’exercice (stock initial et à la fin de l’exercice (stock final)
II la gestion des stocks
Gérer son stock, c’est mettre en œuvre des moyens et méthodes qui concourent à stocker , conserver en magasin
industriel ou commercial , manutentionner et définir les besoins en marchandises et cela d’une façon rationnelle
La gestion des stocks commence par la définition des besoins en marchandises et se définit en fonction :
- D’une politique commerciale (choix d’une politique de marché et de clientèle) et d’un choix de l’assortiment :
cette information constante sur les besoins de la clientèle peut s’obtenir par le fichier clients , l’étude de
marché qualitative , mais aussi par des informations externes telles que salons , foires , revues
- De l’assortiment qui répondra aux attentes de la clientèle : ce choix constitue la politique du produit et crée
le stock. Cette phase préliminaire dont va dépendre la bonne rotation du stock est essentielle ;
- Du choix des fournisseurs : il faut acheter la marchandise choisie en sélectionnant les fournisseurs.
- Le stock constitué doit être géré physiquement, il faut le connaitre à tout moment , le maintenir en
équilibre. Les manquants ou les mauvaises rotations témoignent de son déséquilibre
- Le problème de la quantité de marchandises à maintenir en stock est la résultante de deux aspirations
contradictoires : celle du commercial qui espère posséder le maximum de choix, et celle du financier qui tend
à réduire le stock au strict minimum compte tenu des couts financiers
A LE COUT DU STOCK
Tout d’abord il représente un certain capital investi, donc de l’argent immobilisé (manque à gagner , intérêts
bancaires éventuels de découvert ).il entraine des frais de manutention et se déprécie (perte, vol, casse,
vieillissement ) . il occupe de la place et les locaux utilisés pour le stockage entrainent un cout de location, de
chauffage , d’éclairage et d’entretien. Le stock doit être assuré et coute en frais d’inventaire.
On considère généralement qu’un stock coute 20 % de sa valeur en un an , auquel il conviendrait encore d’ajouter
éventuellement le manque à gagner (car la surface utilisée en réserve pourrait fort bien être transformée en
surface de vente et être productrice de chiffre d’affaires)
Quand le stock est financé par un crédit fournisseur et qu’il est vendu avant d’avoir été payé , il dégage du chiffre
d’affaires avant que l’on ne règle les achats. Le crédit fournisseur peut alors être employé pour d’autres besoins
que le stock . le besoin de financement décroît donc en fonction de l’augmentation de la vitesse de rotation
Toute bonne gestion nécessite d’effectuer des contrôles réguliers en quantité et en valeur . elle sera l’objet
d’autant plus d’attention qu’elle est difficile à mettre en place
Les achats sont évalués au cout d’achat. Il faut en revanche évaluer les sorties de stock et le stock restant.
Diverses méthodes de valorisation des stocks sont autorisées. Celles le plus souvent utilisées sont la méthode du
cout moyen unitaire pondéré et la méthode du premier entré, premier sorti
2 LA GESTION PAR EXCEPTION
A la méthode 20-80
On estime que 20% des références font 80% des achats- elles feront l’objet d’un inventaire périodique et seront
très surveillés en termes de cout, de délais d’approvisionnement – et que 80% des références font 20 % des
achats – leur gestion sera plus sommaire
B LA METHODE ABC
Le contrôle physique du stock permet de déterminer le niveau du stock à partir duquel il est nécessaire de déclencher
une commande afin d’éviter les ruptures. De même , un contrôle régulier évitera le surstockage
A L’INVENTAIRE PHYSIQUE
L’inventaire du stock qui est une obligation fiscale, s’effectue généralement à la coluture de chaque exercice.
Cependant , certaines activités commerciales peuvent être aussi amenées à exercer des controles saisonniers .
l’inventaire présente l’avantage , par ailleurs , de visualiser périodiquement l’ensemble des marchandises présentées à
la vente et permet de mettre en évidence les articles qui ne tournent pas , d’exercer des actions sur les ventes
(promotions , réimplantation)
B LE CONTRÔLE PERMANENT
Le contrôle permanent permet de suivre le stock article par article , au jour le jour. Généralement , ce système
s’applique aux articles de valeur importante, à rotation assez faible , dont le réapprovisionnement est régulier et qu’il
est nécessaire de posséder pour ne pas nuire à l’activité commerciale
C LE CONTRÔLE DE LA DÉMARQUE
La démarque est une diminution du chiffre d’affaires due à des achats non vendus ou à une baisse volontaire ou
involontaire de la marge commerciale.
La différence à l’inventaire entre le stock théorique et le stock réel permet de quantifier et d’identifier la demarque ,
en valeur et en quantité
MOTS CLES
COUT MOYEN UNITAIRE PONDÉRÉ (CMUP) : cout de l’unité detenue en stock determiné en faisant la moyenne
pondérée des couts d’entrée
PREMIER ENTRÉ, PREMIER SORTI (PEPS) : methode d’evaluation des stocks selon l’ordre d’entrée .
STOCK : ensemble des produits et marchandises immobilisés dans l’attente d’etre vendus
STOCK D’ALERTE : niveau de stock à partir duquel il faut passer une commande
STOCK DE SÉCURITÉ : niveau de stock permettant de faire face aux aléas de la demande ou de la livraison
- Tous les produits et toutes les charges d’une unité commerciale pour une période déterminée que l’on
appelle « exercice comptable » (un an )
- Ses résultats en rapprochant les recettes des dépenses
Les éléments du compte de résultat sont plus ou moins développés selon l’importance de l’activité. En réalité , trois
modèles (systèmes) de bilan sont proposées :
- La présentation sous forme de liste (ou verticale) fait apparaitre un classement des produits et charges et met
en avant les résultats par nature . cette présentation est retenue par l’administration fiscale
- La présentation sous forme de compte (ou horizontale ) comporte deux colonnes : la partie de gauche
regroupe l’ensemble des charges , celle de droite l’ensemble des produits
III LES PRODUITS
-des titres de participation : dividendes des titres d’une autre entreprise détenus pour une longue durée (au
moins 20% de son capital)
- des valeurs mobilières de placement : dividendes des titres (moins de 10% de son capital)
- des escomptes obtenus
Il s’agit des produits sur des opérations n’ayant pas un caractère répétitif ou concernant les exercices antérieurs
Les charges , c’est – à dire les dépenses , comme tous les éléments figurant au compte de résultat, sont
comptabilisées hors taxes et sont classés dans trois grandes rubriques
Le compte de résultat détermine le résultat net de l’exercice. Cependant , une analyse par les soldes intermédiaires de
gestion permet une étude détaillés des résultat partiels
A LA VALEUR AJOUTÉE
C’est la somme dégagée par la chiffre d’affaires après déduction de toutes les charges payées aux tiers. Elle sert à
rémunérer le personnel , l’état , les capitaux .
- S’il s’agit d’une unité strictement commerciale , calculer uniquement la marge commerciale
- S’il s’agit d’une unité produisant des services , calculer uniquement la production de l’exercice (une
prestation de service est considérée comme de la production)
- Si l’unité a une activité de service ET une activité commerciale, calculer la marge commerciale ET la
production de l’exercice .
La consommation de l’exercice est l’ensemble des charges payées aux tiers . quand il s’agit aussi d’une unité de
service , il faut y ajouter le montant des achats de matières premières ( +- le montant de la variation des stocks)
C LE RESULTAT D’EXPLOITATION
En ajoutant à l’EBE ( ou IBE) les autres produits et en déduisant les amortissements et les provisions ainsi que les
autres charges, on détermine le résultat d’exploitation .
Le résultat d’exploitation est la différence entre les produits d’exploitation et les charges d’exploitation
D LE RESULTAT FINANCIER
Le résultat financier (les produits financiers moins les charges financières) est fonction du poids de la dette et de
la gestion de la trésorerie . si l’unité commerciale est fortement endettée , son résultat financier sera négatif
Un résultat financier négatif montre souvent que l’unité commerciale a eu besoin de s’endetter pour croitre . il
s’agit alors d’une judicieuse politique de développement . parfois, aussi, une dégradation du résultat financier est
due à une augmentation des taux d’intérêt qui vient augmenter le cout de la dette
En ajoutant le résultat financier à l’EBE , on obtient le résultat courant avant impôts (il s’agit de l’impots sur les
bénéfices (BIC) ou de l’impôt sur les sociétés (IS))
Le résultat courant après impôts représente clairement la rentabilité (économique) de l’unité commerciale . c’est
l’un des chiffres auquel les analystes financiers accordent le plus d’attention
F LE RESULTAT EXCEPTIONNEL
Les produits exceptionnels moins les charges exceptionnelles donnent le resultat exceptionnel .
Autant les analystes financiers apprécient le résultat courant, autant ils se méfient du resultat exceptionnel. Pour
la simple et bonne raison … qu’il est exceptionnel .
Celui-ci n’est en effet pas lié à l’activité normale : il est difficile de l’anticiper et il est fréquemment lié à des
cessions ou à des dotations aux provisions exceptionnelles
Le résultat courant avant impôts plus au moins le résultat exceptionnel moins les impôts et la participation
(entreprise de plus de 50 salariés ) déterminent le résultat de l’exercice
Le résultat de l’exercice doit correspondre au résultat net du compte de résultat qui a servi à la détermination des
SIG
V LA CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT
La CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT (CAF) est l’aptitude de l’unité commerciale grâce à son activité à secréter
des ressources qui vont lui permettre de financer le renouvellement des immobilisations et la rémunération des
capitaux investis
La capacité d’autofinancement comprend le résultat de l’exercice plus les charges calculées (dotations aux
amortissements et provisions d’exploitation) moins les reprises sur amortissements . il faut retrancher les plus ou
moins -values réalisées lors des cessions d’immobilisations
En complément des soldes intermédiaires de gestion, l’analyste financier peut approfondir son etude par le calcul
de « clignotants » qu’il pourra rapprocher les « normes » de la profession
S’il est vrai que des clignotants sont utiles , ils ne doivent pas être trop nombreux et mal choisis. En aucun cas, on
ne doit les considérer comme une fine en soi ; ce sont des moyens de contrôle au service de la gestion
Les ratios de gestion , quant à eux , mesurent la capacité intrinsèque de l’unité commerciale à dégager du profit
1. Le chiffre d’affaires
C’est généralement une mauvaise nouvelle (sauf dans le cas de la cession d’une activite peu profitable )
2 les charges
- Une hausse du prix des matières premières : la plupart du temps, l’unité commerciale décide de baisser ses
marges pour ne pas répercuter la hausse des prix. Cela ne peut que diminuer le résultat net
- Une hausse des charges salariales pénalise la rentabilité . en revanche , une meilleure organisation permet de
diminuer les charges de personnel
- En période de restructuration ou d’investissement , certaines charges dites « exceptionnelles » peuvent
apparaitre. Si elles sont réellement exceptionnelles , c’est souvent le gage d’une rentabilité future améliorée
Une baisse des charges , sauf si elle est accompagnée d’une baisse du chiffre d’affaires, est toujours une bonne
nouvelle
3 LA MARGE COMMERCIALE
4 LE RÉSULTAT NET
Un RATIO est un rapport entre deux éléments chiffrés relatifs à des données économiques de l’unité
commerciale
Les ratios doivent être simples , pertinents , significatifs . ils doivent aussi être peu nombreux et honnêtes
AUTOFINANCEMENT : ressource dégagée par l’entreprise et qui pourrait être utilisée pour financer un
investissement
CHIFFRE D’AFFAIRES : recettes tirées de la commercialisation des produits et/ ou des services
DOTATIONS : montants annuels consacrés aux amortissements et aux provisions
CONTEXTUALISATION : la SSII IRICI SA doit passer un important contrat avec la SA INFORMATICS dont la mission
est le développement, l’administration de systèmes et réseaux mais également l’accompagnement des travaux
effectués en amont (conseil, audit, validation de matériel …) comme en aval (maintenance, formation, mise à jour
…). Le chef d’agence de la SSII IRICI SA souhaite des garanties sur la situation financière de la société
INFORMATICS avant de s’engager avec cette entreprise récemment implantée
Le mot « bilan » tire son origine du mot latin signifiant « balance ». ils comporte deux colonnes égales : l’actif et le
passif . c’est une image instantanée , à la différence du compte de résultat , qui enregistre les activités de
l’exercice comptable. Il rassemble les comptes de patrimoine , qui sont le reflet de la situaion financiere de l’unité
commerciale au moment de l’élaboration du document.
Le passif(colonne de droite) indique l’origine des fonds dont dispose l’unité commerciale et concerne les capitaux
propres, ceux avancés par les banquiers , les fournisseurs , l’etat , les apporteurs de capitaux , etc
Les elemnets figurant au bilan sont plus ou moins developpés selon l’importance de l’entreprise(système de base,
système abrégé, système developpè) tout comme pour le compte de resulatat
A LE PASSIF
Le passif représente l’ensemble des moyens financiers dont dispose l’unité commerciale pour se financer
L’actif représente l’ensemble des biens possédés par l’unité commerciale. Les postes qui le composent sont
regroupés en deux grandes catégories : l’actif immobilisé et l’actif circulant
LES AMORTISSEMENTS
Il existe des usages permettant de déterminer le montant des amortissements. Ainsi , les immeubles s’amortissent
entre 20 et 50 ans , les agencements entre 10 et 20 ans, le mobilier sur 10 ans , le matériel entre 5 et 10 ans et un
véhicule sur 4 ou 5 ans .
Les frais d’établissement sont amortissables sur 1 à 3 ans. Dans les sociétés , ils doivent être totalement amortis avant
toute distribution de bénéfices aux actionnaires. L’unité commerciale peut opter pour deux types d’amortissements :
-l’amortissement dégressif, où elle amortit plus rapidement au début de l’acquisition et moins dans les dernières
années.
Il faut distinguer les dotations aux amortissements , qui sont les amortissements pratiqués au cours de l’exercice
(compte de resulatat) , et l’amortissement inscrit au bilan, qui est le cumul des amortissements pratiqués depuis la
date d’acquisition de l’immobilisation . même si l’immobilisation est totalement amortie , elle reste inscrite au bilan
jusqu’à sa cession ou sa destruction.
L'amortissement est la constatation comptable et annuelle de la perte de valeur des actifs d'une entreprise subie du
fait de l'usure, du temps ou de l'obsolescence.
L'amortissement permet d'étaler le coût d'une immobilisation sur sa durée d'utilisation. Les actifs d'une société sont
inscrits au bilan pour leur valeur nette comptable, soit leur valeur d'achat lors de leur entrée au bilan. Néanmoins,
cette valeur ne correspond plus à la réalité les années suivantes, puisque les actifs perdent de leur valeur au fil du
temps.
L'amortissement permet ainsi de constater, tous les ans, dans la comptabilité, la perte de valeur de la valeur
comptable.
L'amortissement peut être linéaire ou selon le choix opéré par l'entreprise. L'amortissement linéaire permet de
déduire une annuité constante chaque année. L'amortissement dégressif permet de déduire un amortissement plus
élevé au cours des premières années
LES PROVISIONS
Certaines valeurs d’actif ne s’amortissement pas. Ce sont : les terrains , les fonds commercial , les stocks , les
immobilisations financières et les créances. Elles peuvent être provisionnées si leur valeur brute est en baisse .
Définition du mot Provision : les provisions correspondent à des charges probables qu’une entreprise aura à supporter
dans un avenir plus ou moins proche et pour un montant estimable mais non connu définitivement. Elles constituent
un poste du bilan comptable (un passif, pour être plus précis), situé en dessous des capitaux propres.
II LE BILAN FONCTIONNEL
A la définition du bilan fonctionnel
Le bilan fonctionnel est un bilan condensé qui donne une vision de l’entreprise en termes d’emplois et de ressources.
Il permet de déterminer quelles ont été les politiques d’investissements et de financement des années passées.
Le bilan fonctionnel repose sur la distinction entre cyces courts et cycles longs.
L’investissement qui engage aussi l’entreprise sur plusieurs exercices est un emploi durable (actif stable).
Les actifs stables doivent être financés par des capitaux stables
L’analyse fonctionnelle permet de déterminer certains indicateurs fondamentaux pour établir si ‘unité commerciale
dispose de moyens financiers à long terme ou stables, capables d’assurer le financement du cycle d’exploitation et
d’affronter d’éventuelles difficultés de trésorerie
C’est l’excédent des capitaux stables par rapport aux besoins stables
2 LE BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT BLOBAL (BFRG)
Le besoin en fonds de roulement global est la différence entre l’actif à court terme et les dettes à court terme, hors
trésorerie
3 LA TRESORERIE NETTE
ACTIF CIRCULANT : actif detenu pour une durée inferieure à l’exercice comptable
ACTIF IMMOBILISÉ : actif detenu pour une durée supérieure à l’exercice comptable
AMORTISSEMENT(pour depreciation) : cumul des dotations aux amortissements pratiquées sur une immobilisation,
il est inscrit à l’actif et le passif
BILAN : document comptable de synthese refeltant l’image du patrimoine de l’entreprise à un moment donné. Il
regroupe l’actif et le passif
CAPITAUX PROPRES : ensemble des ressources (ou dettes) de l’entreprise dues aux propriétaires de l’entreprise
(entrepreneur individuel, associés , actionnaires )
DISPONIBILITÉS : actifs circulants constitués par les soldes debiteurs (positifs) en banque ou en caisse
FONDS DE ROULEMENT : ressources financières à long terme disponibles dans l’entreprise et qui financement le
cycle d’exploitation
IMMOBILISATION : emploi à long terme , elle peut être d’origine financière , matérielle ou immatérielle
PASSIF STABLE : ensemble des ressources dont l’entreprise peut disposer pour une durée supérieure à l’exercice
comptable ; moyens de financement utilisés par l’entreprise de façon permanente et durable (plus d’une année)
THÈME 2 : ANALYSER LA RENTABILITÉ DE L’ENTREPRISE (COMMERCIALE). CHAPITRE 7 COMPLÉMENT :
L’ANALYSE DU BILAN DE L’ENTREPRISE (COMMERCIALE).
Définition du mot Amortissement : L'amortissement est la constatation comptable et annuelle de la perte de valeur
des actifs d'une entreprise subie du fait de l'usure, du temps ou de l'obsolescence. L'amortissement permet d'étaler le
coût d'une immobilisation sur sa durée d'utilisation. Les actifs d'une société sont inscrits au bilan pour leur valeur
nette comptable, soit leur valeur d'achat lors de leur entrée au bilan. Néanmoins, cette valeur ne correspond plus à la
réalité les années suivantes, puisque les actifs perdent de leur valeur au fil du temps. L'amortissement permet ainsi de
constater, tous les ans, dans la comptabilité, la perte de valeur de la valeur comptable. L'amortissement enregistré
chaque année vient en déduction du bénéfice imposable. L'amortissement peut être linéaire ou selon le choix opéré
par l'entreprise. L'amortissement linéaire permet de déduire une annuité constante chaque année. L'amortissement
dégressif permet de déduire un amortissement plus élevé au cours des premières années.
Définition du mot Provision : les provisions correspondent à des charges probables qu’une entreprise aura à supporter
dans un avenir plus ou moins proche et pour un montant estimable mais non connu définitivement. Elles constituent
un poste du bilan comptable (un passif, pour être plus précis), situé en dessous des capitaux propres.
CHAPITRE 7 : OUTILS DE GESTION DE LA RELATION CLIENT ET DIGITALISATION
Pour établir une relation avec les consommateurs , l’entreprise a besoin d’utiliser divers canaux qui lui permettront de
promouvoir et vendre ses produits et services , mais aussi d’entretenir une relation avec les clients et répondre à leurs
questions ou réclamations
Le canal s’entend de toutes les interfaces (physiques ou virtuelles) permettant au client de rencontrer la marque :
boutique physique , boutique web ou via application mobile, site marchand , place de marché web (amazon, rue-
ducommerce, priceminister, ebay) vente à distance par téléphone (numéro accessible depuis le site internet , tele-
shopping) vente à distance par catalogue (la redoute, 3 suisses) porte a porte , vente privée, en réseau
Les consommateurs , devenus « omni-consommateurs » sont de plus en plus nombreux à utiliser différents canaux ,
parfois simultanément , pour acheter ou contracter les entreprises (à partir d’un téléphone fixe ou mobile, d’une
tablette , d’un ordinateur fixe ou portable connecté à un site web). Les entreprises doivent s’adapter à ces nouveaux
comportements