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(TechnoLAB-ISTA)
Centre Adekène
Mahamadou H KOUYATE
Economiste
E-mail: hacheck85@yahoo.fr
Tel:66061463 13/03/2023
Objectifs :
I. INTRODUCTION GÉNÉRALE
II. LE CIRCUIT ÉCONOMIQUE
III. LES CONCEPTS DE LA MACRO-ÉCONOMIE (LES AGREGATS ECONOMIQUE)
IV. LES PRINCIPAUX COURANTS DE PENSÉE EN MACRO-ÉCONOMIE
PLAN DU COURS
CHAPITRE II : ANALYSE DES APPROCHES CLASSIQUES ET KEYNÉSIENNES
DE LA MACRO-ÉCONOMIE : LES INSTRUMENTS D’ANALYSE
I. LA FONCTION DE CONSOMMATION
II. LA FONCTION D’INVESTISSEMENT
III. DÉTERMINATION DU PRODUIT AGRÉGÉ: LA FONCTION DE PRODUCTION,
INTRODUCTION DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE AGRÉGÉE (APPROCHE CLASSIQUE ET
KEYNÉSIENNE)
IV. L’OFFRE ET LA DEMANDE DE MONNAIE
PLAN DU COURS
CHAPITRE III :
L’ÉQUILIBRE MACRO-ÉCONOMIQUE : LE MODÈLE IS-LM EN ÉCONOMIE
FERMÉE
I. L’ÉQUILIBRE SUR LE MARCHÉ DES BIENS ET SERVICES ET
CONSTRUCTION DE LA COURBE IS
II. L’ÉQUILIBRE SUR LE MARCHÉ DE LA MONNAIE ET CONSTRUCTION DE
LA COURBE LM
III. EQUILIBRE RÉEL ET ÉQUILIBRE MONÉTAIRE SIMULTANÉS (IS-LM)
BIBLIOGRAPHIE
1-Azam, J.P, Théorie Macroéconomique et Monétaire, Nathan
2-Abraham – Frois, G, économie politique, Economica
3-Guitonn, H, Economie politique, Dalloz
4-Hellier J, Macroéconomie ouverte, PUF
5-Jalladeau, J, introduction à la macroéconomie, De BOEK
6-Kebabdjian, G, les modèles théoriques de la macroéconomie, Dundee
7-Lecaillan, J, Analyse macroéconomie, Cujas
8-B Bernier, Yves Simon, initiation à la macroéconomie, Dunod
BIBLIOGRAPHIE
13. Northon & Company, 1997. Trad. fr. Mayer, F. : Principes d’Economie Moderne,
traduction de la 2ième édition américaine.;(3)
14. Taouil, R. (2001) Leçons de Macroéconomie, Grenoble : Presses Universitaire de
Grenoble, 2004 pour la deuxième édition.
MODULE 1
INTRODUCTION A LA
MACROECONOMIE
I. Introduction Générale
La macro-économie est la partie de la science économique
(théorie économique) qui cherche à expliquer le fonctionnement
d’une économie de marché en se plaçant du point de vue de
l’ensemble de la collectivité nationale et l’étude des relations
qu’elle entretient avec les économie étrangères .
I. Introduction Générale
Elle s’oppose à la microéconomie qui privilégie plutôt le comportement
individuel des agents économiques « homo-économicus » .
Les deux disciplines ont cependant évolué l'une vers l'autre au point que la
distinction traditionnelle n'est plus pertinente (fondement microéconomique de
la macroéconomie).
I. Introduction Générale
La théorie générale (1936) est l’ouvrage de référence par lequel Keynes
impose à l’ensemble des économistes une vision différente de l’économie
(raisonnement macroéconomique).
Cette vision permettra de prendre en compte les phénomènes de tonalité
sociale au 1er plan des préoccupations (chômage, emploi…).
Cette méthode a permis de développer la comptabilité nationale à travers la
représentation quantifiée de l’activité économique nationale.
I. Introduction Générale
Ainsi, les principaux objectifs de la macro-économie sont:
- l’étude des variables permettant d’expliquer le comportement des
groupes d’agents;
- l’étude des relations entre les variables afin de déterminer les rapports
stables, voire des lois, entre ces variables (relations entre
consommation et revenu , entre PIB et chômage, etc.);
I. Introduction Générale
- l’analyse des principaux déséquilibres qui peuvent subvenir entre ces
agrégats : inflation, chômage, ...
- l’étude des variables permettant d’atteindre certains objectifs fixés par
les gouvernements : emploi, stabilité des prix, croissance, etc.
II. Le circuit économique :
1. L'équilibre en économie fermée:
a) Le circuit économique à 2 pôles: Les ménages et les entreprises
Nous sommes en présence d’une économie réduite à deux secteurs :
- d’une part, des entreprises produisant des biens et des services
- d’autre part, les ménages percevant des revenus de la part des entreprises(salaires,
intérêts, profits …) en contrepartie des facteurs de production qu’ils mettent à la
disposition de celles-ci.
En admettant que l’activité économique ne concerne que des biens de consommation (biens
finals), une première image du circuit peut alors être établie.
II. Le circuit économique :
II. Le circuit économique :
Les ménages fournissent aux entreprises des services de facteurs de production et
les entreprises fournissent aux ménages des biens de consommation. En
contrepartie des services de facteurs qu’ils leurs fournissent, les ménages
reçoivent des entreprises des revenus de facteurs qui leurs permettent de régler
leurs dépenses de consommation.
La nouvelle condition d’équilibre (1) et (2) sur le marché des biens et services
dans une économie fermée avec secteur public s’écrit alors :
C + I + G = C + S + T* et on en déduit,
I + G = S + T* (3) avec I + G = injections et
S + T* = fuites ou épargne nationale.
On peut conclure que I = S ou l’équilibre comptable est réalisé
Cette égalité (3) peut être réécrite ainsi qu’il suit, l’expression T* - G
représentant le budget de l’état qui peut être excédentaire (T*>G) ou
déficitaire (T*<G)
S–I=G-T
Besoin(ou capacité) Besoin(ou capacité)
de financement de financement du
du secteur privé secteur public
Le circuit économique simplifié avec introduction des fuites et
des injections
II.Le circuit économique
2. Le niveau de revenu dans un modèle à 3 pôles:
*Le circuit économique simplifié avec introduction des fuites et des injections:
Les ménages perçoivent la totalité des revenus et les utilisent pour payer des
impôts à l’état, pour consommer des biens et services et pour épargner via les
marchés financiers.
Les entreprises perçoivent des recettes issues de la vente de biens et services et
les utilisent pour payer les facteurs de production (les entreprises versent
l’intégralité des revenus aux facteurs de productions).
Tant les ménages que les entreprises empruntent sur le marché financier pour
acheter des biens d’investissement tels que les logements, usines et équipements.
L’Etat perçoit les recettes fiscales et les utilisent à son tour pour payer les
dépenses publiques, et, s’il dépense plus qu’il ne gagne, il emprunte lui aussi sur
le marché financier pour combler son déficit.
II.Le circuit économique :
3. Le niveau de revenu en économie ouverte:
L’économie entretient des échanges commerciaux avec le reste du monde (Rdm).
Cette ouverture au commerce international se matérialise par les importations (M)
et par les exportations (X) de l’économie qui comprend donc les ménages , les
entreprises, l’état et le reste du monde.
Les importations donnent lieu à des payements en monnaie (surtout en devises) de
la part de l’économie nationale, constituent aussi une fuite du circuit économique
nationale.
Par contre, les exportations (demande extérieure) se concrétisent par les versements
du Rdm et représentent donc une injection de monnaie dans le circuit économique
nationale.
II.Le circuit économique :
3. Le niveau de revenu en économie ouverte:
L’égalité entre l’offre globale et la demande globale s’écrit alors :
Y+M=C+I+G+X (1)
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Le produit intérieur brut
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Le produit intérieur brut
4.1. Le produit intérieur brut
Produit Intérieur Brut (PIB)
le calcul ?
Page 33
le calcul du produit intérieur brut
Page 34
le calcul du produit intérieur brut
PIB = sommes des valeurs ajoutées + TVA + droits et taxes sur les importations - subventions sur les produits.
Page 38
COMPTABILITÉ NATIONALE CHAPITRE 4 : LES AGREGATS
4.2. le calcul du produit intérieur brut
Le PIB réel est constitué par la valeur des biens i demandés
au cours de la période t mesurés à prix constants (année de
base t0), soit :
PIBréel,t = (𝑷𝒊,𝒕 𝟎
∗ Qi,t )
𝒊
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III LES CONCEPTS DE LA MACRO-ECONOMIE
2. Le déflateur du PIB :
Le déflateur du PIB ou l’indice implicite des prix du PIB, est le rapport du PIB
nominal au PIB réel.
Le déflateur du PIB mesure le prix de l’unité caractéristique de production par
rapport à son prix au cours de l’année de base.
Déflateur du PIB = PIB nominal / PIB réel
PIB nominal = PIB réel * Déflateur du PIB
Cette équation peut, également, s’écrire de la manière suivante :
PIB réel = PIB nominal / Déflateur du PIB.
Sous cette forme, on voit mieux d’où le déflateur tire son nom : on utilise pour
extraire l’inflation du PIB nominal afin d’obtenir le PIB réel.
III LES CONCEPTS DE LA MACRO-ECONOMIE
3.La relation entre inflation et chômage: la courbe de Philips
Deux des objectifs essentiels des politiques économiques sont un faible niveau
d’inflation et un chômage réduit.
Nous étudions ci-dessous la relation entre inflation et chômage qui porte le nom
de courbe de Philips.
Celle – ci n’est qu’une nouvelle manière d’exprimer l’offre agrégée.
La courbe d’offre agrégée de court terme traduit une relation positive entre
niveau des prix et production, une relation négative entre inflation et chômage
est sous – jacente à la courbe d’offre agrégée.
C’est cette relation négative qu’exprime la courbe de Philips.
III LES CONCEPTS DE LA MACRO-ECONOMIE
Pour établir la forme de cette fonction, Keynes s’appuie sur la loi « psychologique fondamentale » selon
laquelle la propension marginale à consommer (Pmc=c) serait décroissante et la propension moyenne à
consommer (PMC) décroissante lorsque le revenu Y croit.
La fonction la plus couramment proposée, compatible avec ces hypothèses, a été la fonction affine :
C = c Yd + Co avec 0 < c < 1 et Co > 0.
∆C
En effet, c = Pmc = est égale au coefficient directeur de la droite (dérivée de la
∆Y
fonction de consommation ) et donc constante.
Par ailleurs, C /Yd = PMC = c + ( Co/Yd) est décroissante avec Yd et supérieure à c pour toute valeur de Y
Quant à Co, elle représente la « consommation incompressible ou autonome ».
I. LA FONCTION DE CONSOMMATION
1. LA FONCTION DE CONSOMMATION KEYNESIENNE (suite):
Ainsi, la fonction de consommation correspondant à la fonction affine peut être représentée
graphiquement comme suit :
C C = cY + Co
Co
Y
La fonction de consommation peut être transposée pour obtenir la fonction d’épargne.
Le revenu ayant deux emplois possibles, la consommation et l’épargne, alors on pourrait écrire :
Yd = C + S d’où S = Yd – C , où Yd = Y - T
Seuil d’épargne
P’ Y
-Co désépargne
I. LA FONCTION DE CONSOMMATION
En outre, il peut à la fois épargner et emprunter sur le marché financier au taux
d’intérêt courant du marché.
Le consommateur va alors arbitrer entre les deux consommation, présente et
future, en opérant des transferts de revenu, du présent vers l’avenir (épargne qui
lui rapportera un revenu financier au taux r) ou de l’avenir vers le présent
(emprunt qu’il va rembourser à la période 2 au taux r).
S’il dispose d’un revenu présent Y1 et qu’il anticipe un revenu futur Y2,
en 1 : C1 + S = Y1 où S est positif en cas d’épargne et négatif en cas d’emprunt
I. LA FONCTION DE CONSOMMATION
2. LE REJET DE LA FONCTION DE CONSOMMATION KEYNESIENNE:
a) Le choix inter temporel du consommateur (suite)
en 2 : C2 = Y2 + (1+r)S Sa contrainte budgétaire inter temporel peut s’écrire
alors : C1 + C2/1+ r = Y1 + Y2/1+r = W où W est la richesse totale
actualisée du ménage
C2
(1+ r)Y1+Y2 B
C2* E
Y2 A
épargne
C
C1 * Y1 Y1+Y2 C1
1+ r
I. LA FONCTION DE CONSOMMATION
2. LE REJET DE LA FONCTION DE CONSOMMATION:
a) Le choix inter temporel du consommateur (suite):
Au point A, il n’y a pas de transfert de ressource, (C1=Y1 et C2=Y2).
Pour tous les points situés entre A et B, il consomme moins que son revenu.
A l’équilibre, il y a égalisation du taux marginal pour le présent (r) et (1+ r) est le taux
marginal de substitution en E et du taux d’intérêt(situation d’épargne: cas du
graphique).
Pour tous les points situés entre A et C, il emprunte.
Nous allons étudier le modèle de Fisher pour voir l’impact du taux d’intérêt réel sur le
choix du consommateur.
I. LA FONCTION DE CONSOMMATION
Le TRI(r) est le taux qui égalise la somme des recettes nettes futures actualisées et la dépense initiale
d’investissement.
- si r>i B> 0, l’investissement est rentable
- si r<i B< 0, l’investissement n’ est pas rentable
II LA FONCTION D’INVESTISSEMENT
2 Investissement et rentabilité : Le rôle du taux d’intérêt
b. Evaluation de la rentabilité des investissements:
b2. Le taux de rendement interne(TRI) ou efficacité
marginal du capital(EMC): suite
Exercice d’application:
Soit 100000F la dépense d’investissement dans un équipement dont la
durée de vie est de 3ans.L’utilisation de cet équipement permettra
d’obtenir les recettes nettes futures suivantes :
- 50000F pendant la 1ere année
- 40000F pendant la 2e année
- 35000F pendant la 3e année
1) Calculer la VAN pour un taux de rendement de 10%
2) Calculer approximativement (à l’aide d’un graphique) le TRI du projet
d’investissement. Si le taux d’intérêt est de 14%, le projet est-il
rentable ?
II LA FONCTION D’INVESTISSEMENT
2. Investissement et rentabilité : Le rôle du taux d’intérêt
b. Evaluation de la rentabilité des investissements:
b2. Le taux de rendement interne(TRI) ou efficacité marginal du
capital(EMC): suite
Exercice d’application: Solution
1) B = R1/(1+i) + ……+R3/(1+i)3 = 50000/1,1 + 40000/(1,1)2 + 35000/(1,1)3
– 100 000= +4808,41. Puisque B est positif, l’investissement est rentable
et peut être entrepris.
2) Calculons la VAN pour différents taux d’actualisation, par exemple 12% et
14%
- Pour 12%
B = 50000/1,12 + 40000/(1,12)2 + 35000/(1,12)3 – 100000 = +1442,92
- Pour 14%
B = 50000/1,14 + 40000/(1,14)2 + 35000/(1,14)3 – 100000 = -1737,65
II LA FONCTION D’INVESTISSEMENT
2. Investissement et rentabilité : Le rôle du taux d’intérêt
b. Evaluation de la rentabilité des investissements:
b2. Le taux de rendement interne(TRI) ou efficacité marginal du capital(EMC):
Exercice d’application (suite)
B
4808,41
1442, 92 r=13%
10 12 13 14 i%
-1737,67
Si le taux en vigueur est égal à 11%, le projet d’investissement est rentable, car le TRI est égal à 13% et il est supérieur au
taux d’intérêt.
II LA FONCTION D’INVESTISSEMENT
3. La fonction d’investissement:
On a vu précédemment que l’investissement devrait être décidé si r>i.
Il convient maintenant d’étendre l’analyse au plan macro-économique, c’est à dire que toute
augmentation du taux d’intérêt provoquera, toutes choses égales par ailleurs, la non
réalisation de projets d’investissement ; toute diminution de son niveau entraînera, en
revanche, la mise en œuvre de projets additionnels.
i
i1
io
I’
I1 I2 I
II LA FONCTION D’INVESTISSEMENT
3. La fonction d’investissement(suite):
Y = F(L)
L
III Détermination du produit agrégé :
La fonction de production, introduction de l’offre et de
la demande agrégée (approche classique et
keynésienne)
2. L’offre agrégée:
a. L’offre de biens et services : la demande de travail
Pour produire, la rationalité des producteurs de biens et services
(maximisation du profit) et l’hypothèse de concurrence parfaite conduisent les
entreprises à produire jusqu’à ce que la productivité marginale (en volume du
travail) soit égal au salaire réel (wp) soit : f’L = wp
La demande de travail Ld des entreprises (offre d’emploi) est une fonction
décroissante du salaire réel w/p
Ld = L(w/p) = f ‘L est décroissante, où Ld = demande de travail
III Détermination du produit agrégé :
La fonction de production, introduction de l’offre
et de la demande agrégée (approche classique et
keynésienne)
2. L’offre agrégée:
a. L’offre de biens et services : la demande de travail
W/p
Ld
Quantité de travail L
w/p Lo
(w/p)*
Ld
L* Ld
III Détermination du produit agrégé :
La fonction de production, introduction de l’offre et de la demande
agrégée (approche classique et keynésienne)
4. La demande agrégée:
La demande agrégée ( DA ) est le lien entre la quantité de
production demandée et le niveau agrégé des prix.
P
Yd =C+I+G
DA
Y
IV L’offre et la demande de monnaie
1. L’offre de monnaie:
Y = c(1-t)Y – cTo + Co + Io + Go – gi
Y –c(1-t)Y = – cTo + Co + Io + Go – gi
Y(1-c + ct) = – cTo + Co + Io + Go – gi
Y = (-cTo + Co + Io + Go)/[(1-c)+ct] - gi/[(1-c)+ct]
Y
L’équilibre macro économique le
modèle IS-LM en économie fermée
2. L’équilibre sur le marché de la monnaie et
construction de la courbe LM:
Il s’agit de dégager une équation d’équilibre sur le marché de la
monnaie afin de déterminer la quantité de monnaie disponible dans
l’économie en fonction des valeurs de Y et de i.
Cette équation doit en effet traduire la relation quantitative qui
s’établit entre Y et i, lorsque la demande de monnaie ,L, est égale à
l’offre de monnaie, M.
MD = Mo, soit : αY + Lo –β i = Mo et nous pouvons écrire LM par :
LM : Y = (Mo – Lo + β i)/ α
L’équilibre macro économique le modèle IS-
LM en économie fermée
2. L’équilibre sur le marché de la monnaie et
construction de la courbe LM (suite):
i LM
IM
Im
Y
L’équilibre macro économique le modèle IS-
LM en économie fermée
3. L’ équilibre réel et équilibre monétaire simultanés
(IS-LM):
Lorsque l’on associe les deux marchés dans une
représentation unique, on peut observer que l’équilibre
simultané est réalisé pour un couple unique (Y, i)
correspondant à l’équilibre général de l’économie qui est
caractérisé par l’égalité : IS = LM.
IS : Y = (-cTo + Co + Io + Go)/[(1-c)+ct] - gi/[(1-c)+ct]
LM : Y = (Mo – Lo + β i)/ α
Donc à l’équilibre:
[(-cTo + Co + Io + Go) – gi /[(1-c)+ct] = (Mo – Lo + β i)/ α
L’équilibre macro économique le modèle IS-LM
en économie fermée
3. L’ équilibre réel et équilibre monétaire
simultanés (IS-LM): suite