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2 Malgré une baisse continue de la consommation de viande depuis 50 ans, la viande reste
un aliment central... et explose à l’échelle mondiale.
En 2007, 86 % des repas des Français incluaient de la viande, sans compter les petits-
déjeuners.
L’assiette des Français évolue. Elle contient moins de viande, mais aussi moins de fruits,
de légumes, de pain et de céréales. Plats préparés et produits sucrés ont en revanche le
vent en poupe, signe du succès de l’alimentation industrielle.
Surtout adeptes de porc, les Chinois consomment aujourd’hui de plus en plus de volaille.
Longtemps troisième sur le podium, cette dernière dépasse le bœuf au milieu des
années 1990 et contribue à l’accroissement de la consommation de viande dans le
monde. Peu chère à produire, la volaille permet de combler la demande croissante de
protéines animales des pays en développement.
CONSUMO CÁRNICO
CONSUMO EN FRANCIA
Fecha: 1960-2019
Carne: alto consumo, pero tendencia a la baja -> Acentuada entre 2007-2016
o Estudio Crédoc: Consumo y estilos de vida de 2018
-12% consumo
135g/día/persona
10 comidas cárnicas/semana
Diferentes formas de consumo -> Precocinados
- Sándwich
- Hamburguesa
- Comida preparada
Evolución en la comida
o 2007: 86% comidas con carne
o 2019: menos carne, pero también menos
Fruta
Verdura
Pan
Cereales
o 2019: tendencia al alza
Preparados
Dulces industriales
Gasto alimentario
o Ministerio de Agricultura
2019: Carne = Principal gasto alimentario
Mayor consumo cárnico entre trabajadores que ejecutivos
Frutas y verduras: signo de riqueza
- Top 15% más ricos: 12kg/año más que los pobres
Fecha: 2009-2019
Tendencia en aumento
o +15% (Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y
OCDE)
LA LOI EGALIM 2 VA-T-ELLE SAUVER LA
VIANDE BOVINE FRANÇAISE ?
La saignée est amplifiée par les départs à la retraite, sans relève, faute de revenu. Les
conséquences sont néfastes pour l’environnement. « Selon l’Inrae (Institut national de
recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement), un bovin de perdu, ce
sont 90 mètres de haies qui disparaissent », déplore Pierre-Marie Caillaud, président de
la section bovine de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles
(FDSEA) du Maine-et-Loire. Pour l’emploi : « Les outils d’abattage ne sont plus saturés,
les coûts de production industriels augmentent, des plans sociaux sont à craindre
», alerte Clément Traineau, secrétaire général des Jeunes agriculteurs 49 et éleveur de
blondes d’Aquitaine. Et pour la souveraineté alimentaire : « Au-dessous d’un certain
nombre de vaches allaitantes, la France ne sera plus autosuffisante en viande bovine
», prophétise Emmanuel Bernard, vice-président de la Fédération nationale bovine
(FNB).
LE CONTRAT MODE D’EMPLOI
La loi Egalim 2 rend obligatoire, à partir du 1er janvier 2022, et pour une durée de trois
ans renouvelable, la contractualisation entre l’éleveur et le premier acheteur (négociant
ou industriel) sur la base de l’indicateur interprofessionnel des coûts de production.
Jean-Baptiste Moreau, éleveur bovin dans la Creuse, député LREM et rapporteur de la
7 loi Egalim 1, en attend « une revalorisation automatique » de la rémunération du
producteur.
Les industriels vont acheter plus cher les animaux. Ils devront répercuter cette hausse à
leurs clients de la grande distribution ou de la restauration hors domicile. « Il faut que
tous les maillons de la filière jouent le jeu. Sinon, les transformateurs ne vont pas tenir
», prévient Marc Réveillère, président d’Elivia, numéro deux français de la viande bovine
(groupe Terrena). Alban Grazélie, président des magasins U dans l’Ouest, annonce « une
augmentation du prix de la viande en 2022. Mon magasin va passer de 4,85 € à 5,15 €/kg
rendu abattoir au 1er janvier 2022. Il faudra passer des hausses aux consommateurs. Il
est nécessaire que toutes les enseignes jouent le jeu et sortent de la guerre des prix. »
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LA VIANDE VEGETALE : UN MARCHE DE 100
MILLIARDS DANS 15 ANS
9 Il suffit de se rendre dans les rayons des supermarchés pour se rendre compte que les
substituts végétaux de viande prennent de plus en plus de place sous l’impulsion de
marques comme Herta ou Sojasun.
Les ventes de produits vegan et végétariens devraient bondir de près de 60% en France
d’ici à 2021 selon l’institut d’études privé Xerfi. Plusieurs facteurs expliquent ce boom
et notamment l’engouement certain des consommateurs pour une alimentation avec
moins de viande, voire végétarienne ou vegan. Dans les rayons ou sur les cartes des
restaurants, l’irruption dans nos assiettes des produits vegan et végétariens soulève
quelques questions. [...]
La très forte croissance des autres catégories de produits végétaux donne un aperçu de
la réceptivité des clients aux produits à base de plantes. Le lait d’origine végétale a
commencé à gagner en popularité au début des années 2000 grâce à un mélange
d’innovation produit et de changement stratégique dans le merchandising. En effet, le
facteur le plus important dans la montée en puissance du lait d’origine végétale a
probablement été de le vendre dans un emballage traditionnel aux côtés du lait de vache
dans le rayon des produits laitiers réfrigérés plutôt que dans des briques aseptisées dans
un rayon séparé. En 2019, les ventes au détail de lait d'origine végétale ont atteint 2
milliards de dollars, ce qui équivaut à 14 % du marché total du lait au détail aux États-
Unis. La pénétration dans les ménages est actuellement de 41 %, ce qui signifie que plus
de quatre ménages américains sur dix achètent du lait d'origine végétale. [...]
LA FOLIE DU STEAK VEGETAL BOUSCULE NOTRE ALIMENTATION
Néanmoins, le taux de pénétration est considérablement plus faible aux États-Unis (4%)
que sur certains marchés européens, tels que le Royaume-Uni (12%), les Pays-Bas (11%)
ou la Belgique (11%).
CONCLUSION
Toutefois, la viande végétale est un produit extrêment transformé et qui peine à prouver
ses qualités nutritionnelles face à la viande traditionnelle.
Ces nouveaux produits ne prétendent pas remplacer la viande mais facilitent plutôt la
transition vers une alimentation plus végétale en créant des produits gourmands,
semblables à de la viande et qui permettent de réduire progressivement la
consommation globale de la viande.
SÍNTESIS: ARTÍCULO 3
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LA VIANDE «VÉGÉTALE», DÉJÀ UNE RÉALITÉ
Quelles alternatives à l’élevage ? Si la viande cellulaire intrigue, elle n’est pas la seule
piste défrichée. Cantonnée pendant plusieurs décennies à de la recherche en
12 laboratoire, la viande dite « végétale » est apparue dans les rayons au début des années
2010. Du fait d’acteurs traditionnels, comme l’européen Herta, et de start-up. Dans ce
dernier segment, les américaines Beyond Meat ou Impossible Foods font figure de poids
lourd, le français Happyvore de première des jeunes pousses hexagonales.
« Des accords avec les chaînes de restauration rapide devraient permettre d’accroître sa
diffusion, et donc d’obtenir des économies d’échelle, estime Céline Laisney, du cabinet
Alimavenir. On peut s’attendre à ce que l’écart de prix avec la viande d’élevage continue
de diminuer. » Ce type de viande, qui suscite une défiance moindre que sa cousine
cellulaire, rencontre plus de succès en Europe du Nord qu’en France ou dans les pays
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méditerranéens.
Plusieurs d’entre eux ont pourtant été habitués à des substituts de viande. Dès 1985, au
Royaume-Uni, étaient commercialisées des mycoprotéines de la marque Quorn : le fruit
de recherches sur le mycélium de champignon qui, après avoir fermenté dans un
bioréacteur, peut être mis sous la forme de cubes, de filets, ou d’ailes de poulets dans sa
« version française », à partir du début des années 2000.
Les produits Quorn sont distribués dans une vingtaine de pays. Riche en acides aminés
et fibres, le mycélium de champignon cultivé permet d’envisager une plus grande variété
de produits : steaks, poissons… Longtemps après le pionnier Quorn, d’autres entreprises
se sont mises sur les rangs
Pour tous ces produits, l’utilisation commerciale du mot « viande » fait débat. Les leaders
d’Happyvore y tiennent, confortés par le règlement européen qui les y autorise. Mais les
défenseurs de l’élevage pourraient initier d’autres voies juridiques pour les en empêcher.
Des méandres que devrait connaître également la viande cellulaire, puisque « le muscle,
constitué de fibres musculaires bien organisées, est un concept différent de la viande,
rappelle Marie-Pierre Ellies-Oury, agronome de Bordeaux Sciences Agro. Celle-ci se
définit comme la chair d’un animal consommée en tant qu’aliment. Du muscle à la
viande, il y a toute une étape de maturation pour obtenir les propriétés de tendreté et
de goût. »
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LES NOUVEAUX FERMIERS PROMETTENT DE
LA VIANDE VEGETALE MADE IN FRANCE
15 Alors que l'Américain Beyond Food est sur le point d'inaugurer son usine européenne
de "viande végétale" aux Pays-Bas, la start-up française "Les Nouveaux Fermiers"
annonce, quant à elle, l'ouverture d'une ligne de production pour sa viande à base de
soja, de blé et de pois-chiche en France.
Les outils de production dédiés exclusivement à la fabrication des steaks, des nuggets et
des aiguillettes - les trois produits commercialisés par l'entreprise francilienne basée à
Montreuil (Seine-Saint-Denis) - sont installés chez un partenaire industriel dont
l'identité et la localisation n'ont pas été communiquées. "Nous attendons que nos devis
soient déposés pour pouvoir communiquer d'avantage sur le sujet", précise Guillaume
Dubois, l'un des fondateurs des Nouveaux Fermiers.
Grâce à cette usine française, l'ensemble de la production des steaks végétaux des
Nouveaux Fermiers sera "Made in France". "Du packaging à la chaine logistique, nous
travaillons désormais en France", ajoute le responsable.
Cette nouvelle ligne de production de plus de 100 mètres carrés a été financée en partie
par une levée de fonds de trois millions d'euros réalisée auprès de Bpifrance. Elle doit
permettre à l'entreprise, qui jusqu'alors travaillait avec sept usines à l'étranger, de
multiplier par trois sa production à 10 tonnes par jour. "Notre ambition est de
démocratiser les produits sans viande notamment pour protéger l'environnement. Nous
ciblons les flexitariens qui souhaitent réduire leur consommation de viande sans modifier
leur usage", précise Guillaume Dubois.
Pour remplacer les protéines animales, les Nouveaux Fermiers utilisent de la protéine
de blé pour ses steaks, de soja pour ses aiguillettes et de pois pour ses nuggets. "Cela
dépend de la texture de chaque aliment", précise le fondateur. Et pour l'aspect saignant,
la start-up utilise de la betterave cuite et de l'huile de tournesol. Un aspect qui a déjà
convaincu plus de 150 restaurants dont le Dassaï de Joël Robuchon de travailler avec la
start-up française.
Les matières premières utilisées sont achetées à des producteurs français ou européens.
"Jusqu'à il y a deux ans, nous avions des difficultés à trouver des fournisseurs en Europe.
Depuis, la filière s'est adaptée et nous sommes désormais en mesure de sécuriser nos
16 approvisionnements en volume à moyen / long terme", détaille Guillaume Dubois.
Grâce à sa nouvelle ligne de production, Les Nouveaux Fermiers espère faire chuter ce
prix. "Notre ambition est de passer sous le tarif de la protéine animale grâce à un effet
volume", explique Guillaume Dubois. Pour atteindre cet objectif, la jeune entreprise se
laisse trois ans.
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LA EVOLUCIÓN ECONÓMICA DE LA
INDUSTRIA CÁRNICA
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BIBLIOGRAFÍA AL DETALLE
Este artículo fue publicado por el periódico Le Monde el 12 de agosto de 2019, consta
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de 549 palabras y su autora es Juliette Desmonceaux.
Este artículo fue publicado por el periódico La Croix el 9 de enero de 2022, consta de
479 palabras y su autor es Romain Subtil.
La globalización, por una parte y la conciencia cada vez mayor del calentamiento global
y la evolución en las técnicas de producción (biotecnología) han abierto nuevas
posibilidades de mercado para los productos alimentarios.
Tampoco hay un incremento notable en la población que consuma sólo vegetales (2%
de la población francesa en 2018). Básicamente se come peor.
La reciente Ley Egalim 2, en vigor desde Enero de este año, propone un sistema de
contratación a precio cerrado, entre el productor y el intermediario o tratante, que
tendrá vigencia durante un periodo de 3 años y en base al indicador interprofesional
de costes de producción, para garantizar que el margen evite que se extinga la
producción francesa de ganado bovino.
Esta ley sale del esfuerzo de la cámara regional de agricultura del Pays de la Loire,
primera region en carne de vacuno, de la FNB (Federación Nacional Bovina), la
asociación de jóvenes agricultores,de los sindicatos agrícolas, de los cada vez más
desesperados ganaderos que piensan que de no cambiar esta dinámica, dejará de
producirse carne en Francia, donde en los últimos 10 años ha sufrido una redución del
25% en cabezas de ganado.
La propia FNB distribuye los modelos de contrato donde se establecen una serie de
parámetros para los criadores: el número de animales previstos, su peso, su
aprovechamiento cárnico, los plazos de entrega, el precio o la fórmula de precios.
Dicho indicador de precios se actualiza cada seis meses, con una cláusula de protección
en caso de una fuerte fluctuación, al alza o a la baja, en el coste de producción.
Esta ley ha sido recibida con reservas por parte de los vendedores últimos ya que al
final dicha repercusión va a aplicarse en el precio final de venta al público, lo cual va a
repercutir en el consumo. Por ello consideran necesario que no se haga guerra de
precios entre los diferentes vendedores o el sistema no va a funcionar. La repercusión
girará en torno a un 15% de incremento en el precio por Kg de la carne de bovino
francesa en 2022.
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Frente a las dificultades y el encarecimiento de la producción ganadera, surgen otras
alternativas, tanto a nivel nutricional como de protección medio ambiental y, sobre
todo, alternativas más económicas que criar animales y que permiten un mayor
beneficio industrial.
Con todavía muchos detractores, por el propio sistema de producción ( con un alto
consumo energético y producción de CO2) no está claro que a día de hoy justifique su
consumo desde el punto de vista medioambiental aunque sí ético (no procede de
animales vivos).
Este crecimiento está sólidamente apoyado por campañas de marketing tanto eco-
medioambientales, como éticas y sobre nutrición, aunque no cabe duda que lo que
hay detrás es un producto de gran valor añadido y jugosos márgenes comerciales.
De ahí que estén apareciendo numerosas empresas nuevas “startups” que ven en esta
nueva tendencia alimentaria un gran negocio, las cadenas de comida rápida spon un
objetivo para ellas, pero tienen que conseguir llegar al gran público, cosa que parece ir
más lenta de lo que se preveía, sobre todo en francia y en los países del Mediterráneo,
con una cocina propia más elaborada.
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Todos estos pros y contras no impiden que las expectativas de crecimiento sean
enormes. Según el instituto de investigación privado Xerfi, las ventas de productos
veganos y vegetarianos aumentarían en casi un 60% en Francia en 202.
A nivel global, los productos vegetales de carne produjeron 20.7 mil millones de
dólares en 2020, algo menos del 1% de las ventas totales de carne (Euromonitor),
Según JPMorgan, podría alcanzar fácilmente los 100.000 millones de dólares en 15
años. Barclays prevé que podría valer $ 140 mil millones en 10 años (si incluyen las
células cárnicas) .
América del Norte es el líder con un valor de 4,3 mil millones de dólares en 2020 (8,3
mil millones previstos en 2025) por delante de Europa y Asia . Sin embargo, la tasa de
penetración es considerablemente menor en los Estados Unidos (4%) que en algunos
mercados europeos, como el Reino Unido (12%), los Países Bajos (11%) o Bélgica
(11%).
Ante estas cifras de mercado y las expectativas de crecimiento, las start-ups se ponen
en marcha para conquistar los mercados más reticentes, entre ellos el francés.
Ejemplo de ello es la start-up francesa “Les Nouveaux Fermiers” que abre una línea de
producción de su carne a base de soja, trigo y garbanzos en Francia, con 3 productos:
pinchos, hamburguesas y nuggets “made in France”. Con una inversión inicial de 3
millones de euros, tiene objetivo triplicar su producción actual hasta 10 TM diarias.
Su lema: “Democratizar los productos sin carne, en particular para proteger el medio
ambiente. Nos dirigimos a los flexitarianos que desean reducir su consumo de carne
sin cambiar su uso”.
Los flexitarianos, porque no son ese 2%, sino la gran mayoría de la población, aquellos
que han reducido el consumo de carne por una sensibilización ética y
medioambientalista y que suponían ya en 2018 un 34% de la población francesa, 23
millones de personas.
Han convencido ya a más de 150 restaurantes entre ellos Dassaï de Joël Robuchon
para trabajar con la start-up francesa. Las materias primas utilizadas se compran a
productores franceses o europeos, ya han entrado en cadenas como monoprix o
Carrefour, actualmente comercializándose al mismo precio que la carne de bovino,
aunque su ambición es poder competir en precio, para ello se da un margen de 3 años.
A modo de conclusión, el espacio que se abre ante los nuevos alimentos y los nuevos
hábitos alimentarios, tiene que reisarse desde un punto de vista ético y
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medioambiental, pero tambien vigilando muy de cerca las auténticas razones que hay
detrás del fomento de este mercado.