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A- Définition
Étymologie : du latin cultura, culture, agriculture, dérivé du verbe colere, habiter, cultiver.
La culture est l'ensemble des connaissances, des savoir-faire, des traditions, des coutumes,
propres à un groupe humain, à une civilisation.
● Dans un sens plus large, le mot culture peut s'appliquer aux animaux sociaux et
correspond aux savoir et pratiques qui se transmettent et qui se partagent.
● Au niveau individuel, la culture est l'ensemble des connaissances acquises par un être
humain, son instruction, son savoir.
● En sociologie, la culture est définie de façon étroite comme ce qui est commun à un
groupe d'individus et comme " ce qui le soude" c'est-à-dire ce qui est appris, transmis,
produit et crée. Ainsi, pour une institution internationale comme L'UNESCO : ''Dans sons
sens le plus large, la culture peut aujourd'hui être considérée comme l'ensemble des traits
distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels, et affectifs qui caractérisent une société ou un
groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les
lois, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. Ce '' réservoir commun''
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évolue dans le temps et dans les formes des échanges. Il se constitue en de 2multiples
manières distinctes d'êtres , de penser, d'agir et de communiquer en société.
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Préparer par :Frantz Ikercher Fabien
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C- a) Culture occidentale
● Les éléments de la culture occidentale : la culture occidentale puise son identité de deux
sources principales : Le monde Gréco romain et les traditions Judéo-chrétienne.
b) Culture orientale
● Les cultures moyen-orientales sont constituées d'un ensemble de codes qu'il est utile de
connaître dans le code de voyages d'affaires ou encore d'échange avec des clients basé au
moyen. Ces différences culturelles peuvent bien souvent mener à des malentendus, ce qui
peut être néfastes pour les affaires.
c) Culture haïtienne
● La culture haïtienne sous toutes ses formes, est foisonnante et en grande partie marquée
par l'imagination de la religion vodou.
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● La musique culturelles haïtienne
La musique constitue une partie importante de la vie des haïtiens. Les formes de cadences
musicales sont variées ; le kompa, la musique messagère, le twoubadou, le zouk et les rythmes
racine forment le quatuor de bases de la culture propre à l'île.
N.B: les éléments culturelles de base sont : la langue, le patrimoine culturel, les coutumes,
les arts et la famille ou ''acteurs culturels''. Les aspects saillants d'une communauté sont
identifiés et représentés par ces cinq éléments distinctifs.
L'origine de la culture : De nombreux facteurs ont été avancés pour expliquer l'émergence des
cultures et des capacités symbolique des humains ; le langage, la technique, l'intelligence
social, l'imitation et l'apprentissage.
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Préparer par : Frantz Ikercher Fabien
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Module II:L'art dans la colonie de St Domingue
La vie coloniale offre un bilan qui est d'être pauvre. La peinture, la musique, le chant, la diction, la
danse, le théâtre se partageaient les faveurs. Tous ces agréments ont connu à St Domingue une
vogue généralisée à toutes les classes et à laquelle furent largement associés parmi les esclaves
les nombreux bataillons des négres domestiques… la musique d'ailleurs emplit St Domingue. Il
aurait bien mal, celui qui tenterait de grouper… une liste complète des maîtres de musique ou des
marchands et accordeur d'instruments établie à St Domingue et qui nous paraissent y avoir
prospéré. La mode était au violon. Mais la guitare, la mandoline, le cor, le cithare, la flûte, la
vieille, le quinton, la basse, le violoncelle, comptent de fidèles admirateurs. Les esclaves on s e
flatte de l'avoir montré bénéficièrent largement de l'éducation musicale allant jusqu'à compter des
artistes admis dans l'orchestre de la comédie du cap et sur les principales scènes. Une infinité de
maîtres de musique ou de marchands en prolifèrent formant dans l'activité des grandes villes une
branche spéciale ou chacun gagnait bien sa vie.
Il est peut de ventes publiques ou ne figurent des toiles de prix. Les annonces… fourmillent
d'offres de tableaux, portraits, paysages. D'ailleurs, n'est-ce pas pour répondre au goût du public,
pour la peinture et l'introduction de cet art d'agrément…que l'on voit s'établir au cap, à port au
Prince, st Marc et dans d'autres villes de la colonie, des peintures, portraitiste, paysagiste ou
professeurs de dessin et de peinture travaillant en privé ou attachés aux principales maisons
d'enseignement, chez Alquié ou Dorfeuil par exemple. Le bon goût et cette recherche des joies
artistiques se manifestent encore dans la peinture par la décoration des théâtres et des églises.
Cinq artistes arrivèrent de France à la fin du mois d'août 1766 pour travailler à la sculpture de
l'église du cap tant aux figures qu'aux ornements.
Caractéristiques de l'art colonial ; véritable arme politique, les colons utilisaient cet art plastique
pour asseoir la doctrine de la supériorité de la race blanche. De supposés portraits de Toussaint
ou de Soulouque s'inscrivent dans la doctrine racialiste qui plaçait le négre au plus proche du
singe, sur la base de la théorie de l'angle facial qui mobilise des critères esthétiques, plutôt
néoclassiques.
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Préparer par: Frantz Ikercher Fabien
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Module III: La danse