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DÉRIVÉS AMINÉS ET NITRÉS

1-AMINE ALIPHATIQUE
A- usage et source d'exposition
 comme intermédiaire chimique pour la synthèse de produits pharmaceutiques, pigments, résines
échangeuses d'ions, émulsifiants, cosmétiques, détergents, insecticides
 dans l'industrie des matières plastiques (catalyseurs, durcisseurs), de textiles, du cuir (tannerie), du
caoutchouc, et de la photographie
 les éthanolamines, dans les huiles lubrifiantes (inhibiteurs de corrosion)
 comme agents anticorrosifs dans le système d'humidification
 comme solvants
 dans certains flux de bâton de soudage
 des traces sont décelées à l'intérieur de buildings où du ciment à base de caséine
 plusieurs de ces substances sont présentes dans certains aliments (notamment les poissons sont riches en
triméthylamine-N-oxyde)
B- métabolisme
 ces substances sont généralement absorbées par toutes les voies
 elles peuvent être en partie oxydées in vivo par les enzymes monoaminoxydase et diamine oxydase
 les amines tertiaires sont en partie oxydées en dérivés N-oxyde par des mono-oxygénases dépendant de la
flavine ou déalkylées en amines secondaire
 certaines amines sont surtout excrétées inchangées par voie urinaire, d'autres après biotransformation
partielle
 certaines amines s'accumulent notamment dans le foie, les reins, la rate et le cerveau
C- problèmes toxicologiques posés par de ces corps dans l'industrie
 ces substances ont une odeur ammoniacale
 émission une odeur désagréable (sueur, haleine, urine) susceptible d'être a l'origine des problèmes
relationnels
 les vapeurs et les solutions ont une action irritante sur :
 la peau (allant même jusqu'à la nécrose)
 les yeux : larmoiement, conjonctivite, œdème et vésicules au niveau de la cornée entraînant une
impression de brouillard gris-bleu auquel le nom de glaucopsie a été attribué (N-méthylmorpholine, la
diméthyléthylamine), lésions cornéennes après projection de liquide dans l'œil
 les voies respiratoires : la muqueuse nasale constitue la cible principale des amines aliphatiques; une
broncho constriction réversible a été observée chez des travailleurs exposés à la 3-(diméthylamino)
propylamine
 il y a une prévalence élevée des plaintes respiratoires (toux, expectoration, dyspnée «wheezing» et une
variation importante du débit de pointe au cours de la journée
 l'inflammation chronique peut entraîner un syndrome obstructif permanent
 certaines amines peuvent engendrer des phénomènes de sensibilisation
 un asthme peut être déclenché par certains amines aliphatiques (ex : diéthylènetriamine…)
 le tétraméthylènediamine peut être responsable de dermite allergique
 les amines aliphatiques ne sont pas cancérogènes

Substances TLV-TWA
ppm Mg/m³
Diéthylamine 5 15
diéthylènetriamine 1 4
diisopropylamine 5 20
Diméthylamine 5 9.2
Ethanolamine 3 8
Ethylamine 5 9.2
éthylènediamine 10 25
1,6-hexanediamine 0.5 2.3
Isopropylamine 5 12
Méthylamine 5 6.4
Triméthylamine 5 12
1
Triéthylamine 1 4.1
Diéthanolamine 0.46 2
triéthanolamine 0.5 3.1
2-COMPOSÉS ALIPHATIQUES NITRÉS
 ils sont utilisés comme solvants, décapants, stabilisants de solvants halogénés, additifs dans l'essence et
intermédiaire chimique pour la synthèse des insecticides et de colorants
 le tétranitrométhane est utilisé comme agent oxydant dans les propellants de fusées
 dans l'industrie, l'inhalation de vapeurs constitue la principale voie d'exposition
 l'absorption percutanée est peu importante
 les manifestations toxiques résultent essentiellement de leurs propriétés narcotiques légères et irritantes sur
les muqueuses (conjonctivite, irritation nasale, toux, dyspnée)
 les nitroalcènes peuvent engendrer un œdème aigue de poumon
 leur action méthémoglobinisante est plus faible que celle des dérivés aromatiques nitrés
 ils peuvent aussi produire une atteinte hépatique et rénale
 l'IARC a classé le 2-nitropropane dans le groupe 2B
 TLV (ACGIH, 1996)
Substances TLV-TWA
ppm Mg/m³
Nitrométhane 20 50
1-nitopropane 25 91
2-nitropropane 10 36
tétranitrométhane 0.005 0.04
3-NITRATES ALIPHATIQUES
 on l'utilise comme explosifs, agents thérapeutiques (vasodilatateurs)
 comme carburant
Leur action toxique d'installation rapide consiste en :
 vasodilatation : céphalée, flash, palpitation, transpiration, nausée, vomissement, hypotension, vertige,
collapsus
 leur action myorelaxante pourrait résulter de la stimulation de l'enzyme guanylate cyclase dans les cellules
musculaires lisses
 l'action vasodilatatrice pourrait être due à la libération d'oxyde nitrique (NO) qui est actuellement reconnu
comme le endothelium-drived relaxing factor (EDRF)
 méthémoglobinémie avec formation de corps de Heinz qui résultent de la libération de nitrite dans
l'organisme
 l'exposition prolongée engendre un état de tolérance (tachyphylaxie)
 les manifestations toxiques surviennent lors de la reprise de travail après un arrêt de quelques jours
 la tension artérielle systolique resterait basse pendant toute la période d'exposition par contre la pression
diastolique s'élèverait ce qui entraînerait une réduction de la différentielle (risque d'accident angineux
parfois observé lors de l'arrêt de travail)
 augmentation de la mortalité par affection cardio-vasculaire (infarctus, accident vasculaire cérébral)
 l'exposition chronique favoriserait le développement d'hypertension
a- principaux corps
 éthylèneglycoldinitrate (nitroglycol)
 liquide volatil rapidement résorbé par la peau, les voies respiratoires et le tube digestif
 lors des premiers contacts, il produit de l'hypotension accompagnée de céphalée, nausée, vomissement et
tachycardie
 il peut engendrer un phénomène de Raynaud
 on peut observer lors de l'arrêt de travail après une exposition prolongée, d'une douleur thoracique
ressemblant à celle de l'angine de poitrine apparaissant dans les 24 à 72 heures après l'arrêt de l'exposition
 l'administration de nitroglycérine fait disparaître la douleur

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 l'accès de douleur peut avoir une issue fatale probablement due à un spasme prolongé des artères
coronaires
 les sujets atteints de cette affection peuvent présenter un ECG normal
 la symptomatologie disparaît si le sujet cesse définitivement tout contact avec le nitroglycol
 il pourrait que l'éthylèneglycoldinitrate sensibilise le cœur à l'épinephrine non pas par une action directe
sur l'organe mais par une action sur le SNC
 la concentration tolérable de nitroglycol dans le sang est de 0.2 µg/100ml
 TLV (ACGIH, 1996) est de 0.05 ppm (0.31 mg/m³)
 nitroglycérine
 utilisé comme explosif et pour le traitement des crises angineuses
 facilement résorbé par la peau
 il produit les mêmes symptômes que le corps précédent
 la symptomatologie s'aggrave par la prise d'alcool
 une tolérance aux céphalées se développe, qui disparaît lors de l'arrêt de l'exposition pendant quelques
jours
 des crises de douleurs thoraciques dont l'issue est parfois fatale peuvent survenir lors de l'arrêt de
l'exposition
 le dosage de la nitroglycérine dans le plasma permet d'apprécier la quantité récemment absorbée par voie
pulmonaire et cutanée
 TLV est de 0.05 ppm (0.46 mg/m³)
 propylèneglycoldinitrate
 il est utilisé comme fuel notamment pour les missiles
 les expositions répétées engendrent un état de tolérance vis-à-vis des céphalées, mais non de troubles EEG
 TLV (ACGIH, 1996) est de 0.05 ppm (0.34mg/m³)
 isopropylnitrate ou 2-propanolnitrate
 il est principalement utilisé comme fuel pour fusée
 il semble que l'on puisse apprécié l'intensité d'exposition on le dosant directement dans l'urine
b- méthodes de prévention lors de la manipulation des nitrates aliphatiques
1-prévention technique
 ventilation locale et générale
 automatisation des procédés de fabrication
 contrôle de la température et de l'humidité (diminution de l'absorption cutanée)
 protection individuelle : gants, tabliers, masques
 divers crèmes barrière pourraient prévenir l'absorption cutanée de nitroglycérine
2-prévention médicale
 à l'embauche, il faut écarter les sujets souffrant d'une atteinte cardio-vasculaire en particulier les
coronariens
 visite périodique
 interroger sur l'apparition éventuelle de douleur thoracique
 mesurer la pression différentielle et pratiquer un ECG
 éduction du personnel
4-NITRITE ALIPHATIQUE
utilisé comme agent thérapeutique (vasodilatateurs : nitrite d'amyle) et produit intermédiaire de synthèse
(nitrite de méthyle)
deux cas de méthémoglobinémie ont été rapportés
ils exercent la même action que la nitrate aliphatique et nitrite organique :
vasodilatation avec chute de tension, tachycardie, céphalée, nausée, vomissement pouvant, dans les cas
graves entraîner un état de choc
méthémoglobinémie
certains seraient doués des propriétés mutagènes (isobutylnitrite)
en présence des dérivés aminés, les nitrites peuvent donner naissance à des nitrosamines, produit
cancérogène

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5-COMPOSÉS AROMATIQUES NITRÉS ET AMINÉS
a- principaux usages et sources d'exposition
pour la synthèse de matières colorantes
lors de l'utilisation de colorants organiques (industrie textile)
dans l'industrie pharmaceutique : synthèse d'antipyrétique, d'analgésique
comme accélérateurs et antioxydants dans l'industrie du caoutchouc
comme pesticides (le dinito-o-crésol)
dans l'industrie des matières plastiques
pour la fabrication d'explosifs et de munition (dinitrobenzène, trinitrotoluène)
dans la parfumerie (nitrobenzène : essence de Mirbane)
dégagement lors de la combustion incomplète du brai de houille (salle des cuves Soderberg dans l'industrie
de l'aluminium)
présence dans les gaz de fours a coke (notamment le 2-naphtylamine) et dans l'air ambiant de fonderies
certains colorants organiques aminés (orthotolidine, orthodianisidine) ont été largement utilisés comme
chromogène dans divers analyses biologiques (glucose, recherche du sang occulte dans les selles)
certaines amines aromatiques cancérogènes (4-aminodiphényle, 2-naphtylamine) sont présentes dans la
fumée de cigarette
b- métabolisme
les composés aromatiques aminés et nitrés peuvent pénétrer dans l'organisme par toutes les voies
l'absorption cutanée (vêtement souillé) et l'inhalation des vapeurs représentent certes les principales voies
d'exposition dans l'industrie
c- actions toxiques
 formation de méthémoglobine
in vivo, plusieurs dérivés aromatiques aminés et nitrés peuvent oxyder le fer ferreux (Fe²+) de
l'hémoglobine en fer ferrique (Fe³+)
la méthémoglobine ne peut transporter l'oxygène vers les tissus
la plupart des dérivés aromatiques aminés et nitrés ne sont pas directement méthémoglobinisants mais sont
transformés dans l'organisme en métabolite actif
il est intéressant de remarquer que la méthémoglobinémie engendrée par les dérivés aromatiques aminés et
nitrés est souvent associée à une élévation de sulfhémoglobinémie
 le tableau symptomatologique de l'intoxication aigue

Méthémoglobinémie symptômes
15% Cyanose décelable (ongle, lèvres, oreilles)
40% Cyanose plus intense : teinte ardoisé de la peau ;
parfois aucune plainte subjective
40-60% Vertige, ataxie, dyspnée à l'effort, tachycardie,
éventuellement crise angineuse
> 60% Somnolence évoluant vers le coma
l'évolution peut se faire en dent de scie (réduction transitoire du taux de méthémoglobine avec amélioration
clinique) suit a la mobilisation secondaire du toxique stocké dans la peau et les tissus graisseux
pour un même niveau d'exposition, les acétyleurs lents forment plus de méthémoglobine que les acétyleurs
rapides
 traitement de la méthémoglobinémie :
nettoyage complet des téguments; irrigation nasale s'il s'agit d'une exposition aux poussières
administration d'oxygène éventuellement hyperbare et vitamine C intraveineuse (1 à 2 g)
si la méthémoglobinémie dépasse 40 % ou si deux examens à 30 min d'intervalle montre une augmentation
de la méthémoglobine : bleu de méthylène 10 a 50 cm³ d'une solution à 1% par voie IV (le bleu de
méthylène pénètre dans les GR où il est réduit en leucobleu sous l'action d'une NADPH déshydrogénase; le
leucobleu réagit directement avec la méthémoglobine pour régénérer l'Hb et le bleu de méthylène)
on a proposé l'exsanguino-transfusion dans les cas graves

 complications

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une anémie hémolytique avec ictère peut compliquer la méthémoglobinémie
l'accès d'hémolyse est favorisé si les globules rouges sont déficients en G6PD
 allergies
 certains corps sont de puissants allergisants cutanés et parfois pulmonaires (asthme); par exemple le
dinitrochlorobenzène qui cause une dermite de contact
 toxicité hépatique
par exemple nitrobenzène, dinitobenzène
 toxicité rénale
la diphénylamine est un toxique tubulaire
l'intoxication aigue par la p-phénylènediamine peut être accompagnée d'une nécrose tubulaire
le p-aminophénol est aussi néphrotoxique, son action toxique aigue se manifeste d'abord au niveau de la
pars recta du tube contourné proximal
cette substance est activée par conjugaison avec le glutathion
les dérivés halogénés de l'aniline sont néphrotoxiques
 stimulation du métabolisme (découplement des phosphorylations oxydatives) et cataracte
par exemple dinitophénol, dinitro-o-crésol
 anémie aplastique
le trinitrotoluène peut exercer une action aplasiante sur la moelle osseuse
on a suggéré que certains colorants pour cheveux à base d'aniline aromatique qui se sont révélés mutagènes
par le test de Ames pourrait engendrer une anémie aplastique
 coloration de la peau
tétryl
 action cancérogène
des amines aromatiques ont engendrés un cancer vésical chez l'homme et qui sont : β-naphtylamine,
auramine, magenta, 4-chloro-o-toluidine
la période de latence entre le début de l'exposition et l'apparition de la tumeur vésicale est de l'ordre 15 à 20
ans
autres types de cancers qui ont été suggérés : cancer du foie, cancer des voies biliaires, cancer de l'intestin
et peut être les poumons et du système hématopoïétique
une enquête épidémiologique a suggérée que l'o-toluidine (2-aminotoluène) et l'orthotolidine sont
également cancérogènes pour l'homme
les N-acétyleurs lents sont soumis à un risque de cancérogenèse en particulier vésicale plus important que
les acétyleurs rapides lorsqu'ils sont exposés aux amines aromatiques
 action mutagène
Qui sont : m-phénylènediamine; 2,4 diaminoanisole; 2-méthyl-1,4- phénylènediamine; m-toluène diamine;
4-nitro-o-phénylènediamine; 2-nitro-p-phnylènediamine; 2,6 ou 2,4 ou 2,5 diaminotoluène; 4-chloroaniline
 action tératogène
 action sur les organes de reproduction
 une oligospermie aurait été décelée
 il a été rapporté que l'exposition professionnelle au trinitrotoluène à des concentrations moyennes
supérieures à la TLV pouvait entraîner une perturbation de la fonction sexuelle et une altération du sperme
 le 4-nitrotoluène et l'acide amsonique de structure similaire à celle de l'oestradiol et du diéthylstilbestrol,
sont doués d'activité oestrogénique et cette propriété pourrait expliquée les réactions d'impotence rapportées
 une diminution de taux de testostérone a été mise en évidence
 induction de lupus
certaines amines aromatiques utilisées essentiellement comme médicaments (procainamide, sulfadiazine,
aminoglutéthimide) peuvent engendrer un lupus
6-PRÉVENTION
a- mesures techniques
remplacer les produits cancérogènes
travail en vase clos sans manipulation directe de ces corps
la ventilation
la propreté générale de lieu de travail
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des mesures de protection personnelle : vêtements protecteurs (gant imperméable, couvre-chef, tabliers)
changé journellement, armoires séparées pour les habits de ville et les vêtements de travail, bain ou douche
obligatoire après chaque journée de travail, masque
b- mesure médicale
 éducation des travailleurs
 elle a pour objet de souligner l'importance d'enlever immédiatement tout vêtement souillé et de laver
abondamment la peau en cas de contamination
 examen de pré emploi
 il permet de prévenir l'exposition des personnes souffrant des troubles sanguins, des cardiaques et des
insuffisants respiratoires, hépatiques et rénaux
 examen périodique
évaluation de l'intensité de l'exposition
-méthémoglobinémie
 chez les sujets non exposés, moins de 2% de l'hémoglobine se trouvent sous forme de méthémoglobine
 l'ACGIH a proposé une norme biologique de 1.5 %
-sulfhémoglobinémie
 l'intérêt potentiel de ce test n'a pas été évalué
-corps de Heinz dans les érythrocytes
 n'est pas un indicateur valable de l'intensité de l'exposition
-substances diazo-positives dans l'urine
 une augmentation de la concentration urinaire de métabolites diazo-positifs a été trouvée chez des
travailleurs exposés aux corps aromatiques aminés et nitrés
-recherches des substances ou de leurs métabolites dans les urines
 l'analyse de l'urine recueillie à la fin d'une journée de travail peut confirmer l'absorption des amines
aromatiques
 la détermination de certains métabolites urinaires a savoir les aminophénol (aniline), le p-
nitrophénol(nitrobenzène), l'acide 2,6 ou 2,4 dinitrobenzoïque, l'acide 2-amino-4-nitrobenzoïque, le
glucuronoconjugué du 2,4- ou 2,6-dinitobenzylalcool (dinitrotoluène) et le 2,4 ou 2,6-dinitroaminotoluène
(trinitrotoluène) constitue une méthode de surveillance biologique
-adduits des amines aromatiques avec des macromolécules
 la mesure des adduits de l'aniline, de la 4-aminobiphényle, de la 4,4'-méythylènebis (2-chloroaniline) et de
l'o-toluidine et de la benzidine avec l'hémoglobine a été proposée pour apprécier la dose interne de ces
amines aromatiques
-test de dépistage d'exposition aux substances mutagènes et cancérogènes
 recherche des effets toxiques
 elle consiste en : la recherche de la cyanose, une hématurie microscopique, recherche des cellules
néoplasiques dans les sédiments urinaires suivis dans les cas douteux par un examen urologique
(cystoscopie)
 signalons que le marqueur tumorale TPA (antigène polypeptidique tissulaire) a été décelé plus
fréquemment a un taux plus élevé dans le sérum des travailleurs exposés a des amines aromatiques
cancérogènes que chez des sujets témoins
 la réactivité des lymphocytes vis-à-vis des cellules vésicale serait plus élevée chez les travailleurs exposés
aux amines aromatiques cancérogènes
 la cystométrie en flux continu permettant l'analyse quantitative de l'ADN contenu dans des cellules
individuelles ne peut être réalisée que sur des liquides d'irrigation vésicale ; cette technique n'est donc pas
utilisable pour les examens périodiques
 il serait utile de poursuivre la surveillance médicale des travailleurs après l'arrêt de leurs activités
professionnelles
7-RÉPARATION
Tableau numéro 13, numéro 15, numéro 48, numéro 84

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