Vous êtes sur la page 1sur 11

République du Niger

Fraternité - Travail - Progrès

UNIVERSITE ABDOU MOUMOUNI DE NIAMEY

Faculté des Sciences Economiques et des Gestions

Master 1 : Gestion des entreprises

Exposé d’Econmie Informelle et Systèmes


Financiers Décentralisés
Enseignant : Pr TARNO MAMANE

THEME : ROLE SOCIAL ET PRODUCTIF DE


L’INFORMEL

Groupe No11

Mamane Souleymane Fayçal Mania Moussa Mamane Sani


Rahiou Abdoul Kader Ismaël Yacouba Adamou Zeinabou
Moussa Tchegouma Assia

Année académique : 2021-2022

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 1


Plan de l’exposé
INTRODUCTION
I. Caractéristiques de l’économie informelle
A. L’informel au cœur de la société
B. Réseaux de commerce informel au niveau régional
II. Conditions d’activité du secteur informel
A. Main d’œuvre et emplois dans le secteur informel
B. Capital, investissement et financement du secteur informel
Conclusion
Bibliographie

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 2


Introduction
Le secteur informel est officiellement défini comme « un ensemble d’unités
produisant des biens et des services en vue principalement de créer des emplois et
des revenus pour les personnes concernées. Ces unités, ayant un faible niveau
d’organisation, opèrent à petite échelle et de manière spécifique, avec peu ou pas
de division entre le travail et le capital en tant que facteurs de production. Les
relations de travail, lorsqu’elles existent, sont surtout fondées sur l’emploi
occasionnel, les relations de parenté ou les relations personnelles et sociales plutôt
que sur des accords contractuels comportant des garanties en bonne et due forme
». D'un côté, les petits producteurs appartiennent à des réseaux caractérisés par
des relations interpersonnelles de confiance et de coopération et liés aux unités
domestiques (non dissociation des budgets domestiques et productifs, utilisation
de la main-d'œuvre familiale, dilution du surplus au sein des familles). Mais, de
l'autre, ils sont insérés au marché et subissent la concurrence. L’économie
informelle traduit les capacités de résilience de sociétés à faible productivité face
aux chocs extérieurs. A bien des égards, son développement peut être considéré
comme la réponse apportée au défi de la croissance de la population, donc de la
demande d’emplois souvent au détriment de l’accumulation du capital. Le secteur
informel est devenu depuis 1980 le principal pourvoyeur d'emploi urbain, même si
les entreprises modernes assurent encore 80 % de la valeur ajoutée non-agricole,
et il devrait le rester à l'avenir. L’informel a été, de fait, le principal moteur de la
construction des villes et de l’animation de la vie urbaine. En dehors des quartiers
« modernes », la ville ouest-africaine d’aujourd’hui est le fruit du travail de
l’économie populaire qui bâtit les maisons, fabrique les meubles, crée et
transforme les produits agricoles, répare les automobiles, anime les marchés,
organise l’épargne, distrait (restaurants, buvettes, troupes théâtrales et musicales)
et même soigne (tradipraticiens).
I. Caractéristiques de l’économie informelle
Le secteur informel englobe diverses activités de production de biens et services
desquelles les individus tirent emploi et revenus. Ces activités sont entreprises en
vue principalement de créer des emplois et des revenus pour les personnes
concernées, plutôt que de maximiser le profil ou le retour sur investissement
comme cela est typiquement le cas dans le secteur formel. Les conditions dans

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 3


lesquelles ces activités apparaissent, et les contraintes sous lesquelles elles sont
exercées, leur confèrent certaines caractéristiques.
Elles sont informelles en ce sens que pour la plupart elles ne sont ni consignées ni
enregistrées dans les statistiques officielles, elles s’opèrent sur une très petite
échelle et avec un faible niveau d’organisation. La majorité d’entre elles impliquent
un très faible niveau de capital, de productivité et de revenu.
Elles tendent à avoir peu ou pas d’accès aux marches organises, institutions de
crédit, a la technologie moderne, a l’éducation formelle et aux outils de formation,
et a nombre de services et aménagements publics.
Un grand nombre d’entre elles sont exercées sans emplacement fixe ou un en des
endroits qui ne sont pas visibles par les autorités, tels que petites boutiques,
ateliers, stands ou à domicile. Elles ne sont pas reconnues, soutenues ou
règlementées par le gouvernement, et souvent placées du fait des circonstances,
en dehors du cadre légal. L’existante d’activités du secteur informel en marge de
ka loi a parfois conduit les autorités publiques à les confondre avec des activités
illégales, et donc à les harceler et à les réprimer. Même quand elles sont déclarées
et respectent certaines dispositions légales, elles sont presque invariablement
hors-la-loi en ce qui concerne la protection sociale, la législation du travail et les
autres mesures de protection sur le lieu de travail.
Au-delà de ces généralisations, le secteur informel se manifeste différemment
selon le pays, les régions, les localités au sein d’un même pays.
En Afrique, les activités informelles se caractérisent essentiellement par
l’hétérogénéité, la vulnérabilité, une population principalement jeune, féminine,
en chômage, et une solide stratification sociale.
A. L’informel au cœur de la société
Une ressource au niveau national.
Le secteur informel n’est certes pas une spécificité des économies africaines. Il
représente entre un quart et un tiers du PIB dans les pays d’Asie ou d’Amérique
latine (cf. tableau 1). Cette proportion atteint 16 % du PIB pour les pays de l’OCDE9.
Néanmoins, les caractéristiques et l’importance économique et sociale de ce
secteur en Afrique lui confèrent un caractère singulier.

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 4


Tableau 1. Place du secteur informel dans le monde
Part du secteur informel Part du secteur informel
dans le PIB (hors agriculture) dans le
PIB
Afrique subsaharienne 54,7% 23,7%
Afrique du nord 37,7% 26,3%
Asie 23,9% 21,5%
Amérique latine 30,6% 23,4%
Caraïbes 22,2% 19,7%
Economies en transition 21,7% 11,8%
Source : Charmes, J. (2000)
En dépit des efforts croissants déployés en vue d’analyser l’économie informelle,
les activités correspondantes demeurent insuffisamment mesurées voire non
enregistrées dans les comptes nationaux. Au niveau national, on estime que
l’économie informelle représente aujourd’hui entre 40 % et 75 % du PIB. Hors
agriculture, cette proportion varie de 20 à 37 % selon les pays (cf. tableau 2). Ce
secteur emploie par ailleurs entre 50 % et 80 % de la main-d’œuvre disponible.
Tableau 2. Poids de l’économie informelle dans quelques pays d’Afrique de
l’Ouest
Année la plus récente Part du secteur informel Part du secteur informel
total dans le PIB (hors agriculture) dans le
PIB (1999/2000)
Benin 71,6% 33,6%
Burkina Faso 55,8% 21,7%
Cote d’Ivoire 43,4% 24%
Guinée-Bissau 58,8% 17,5
Mali 61,6% 24,2%
Niger 76,6% 37%
Sénégal 51,5% 35,1%
Togo 72,5% 32,2%
Source : Charmes J. (2000)
Une ressource au niveau urbain.
Également qualifiée d’économie populaire, l’économie informelle constitue un
mode de vie, voire de survie, de la population urbaine, pour laquelle elle permet la

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 5


satisfaction de besoins fondamentaux : se nourrir, se loger, se vêtir, se former, se
soigner, se déplacer. Elle concerne différentes activités alimentaires (distribution,
préparation, restauration), de services personnels, de réparation, récupération et
recyclage. Le commerce et la distribution représentent la majeure partie de ces
activités. Au niveau des principales villes de l’UEMOA (Cotonou, Ouagadougou,
Abidjan, Bamako, Niamey, Dakar et Lomé), trois quarts des unités informelles
comptent un seul employé et seules 7 % emploient plus de trois personnes, la taille
moyenne d’une unité informelle étant de 1,5 personne. L’informel participe au
processus d'urbanisation, en offrant des emplois et de modestes rémunérations à
un flux de nouveaux urbains, au prix d'une productivité faible et quasi stagnante. Il
est le principal pourvoyeur d’emplois, regroupant entre 65 % et 80 % de l’emploi
urbain (cf. tableau 2.10). Au niveau des villes côtières, les unités du secteur informel
contribuent à 37 % du Produit Local Brut (PLB).
Ce secteur contribue en revanche peu aux dépenses publiques locales liées à
l’urbanisation (eau, électricité, voierie...). De nombreuses activités de l’informel ne
sont pas ou sont peu assujetties aux impôts et taxes ; la valorisation foncière est
très peu taxée, tandis que les impôts locaux ne sont pas payés régulièrement. Il en
résulte que les collectivités locales disposent de budgets qui ne reflètent en aucun
cas le dynamisme économique des villes. Pourtant, « des expériences menées dans
la sous-région montrent que la marge de manœuvre des responsables locaux est
importante en matière de mobilisation de ressources locales. Il est ainsi possible de
tripler au moins les ressources locales sans changer pour autant le niveau de la
fiscalité locale ».
B. Réseaux de commerce informel au niveau régional
Officiellement, seuls 12,5 % des échanges de la CEDEAO s’effectuent sur une base
intrarégionale en 2005. Le commerce régional représente en réalité plus du double.
Le poids dans les échanges de la région des exportations de pétrole et la nature
informelle d’une bonne partie des échanges entre pays conduisent à sous-estimer
l’importance de ce commerce qui est pourtant un véritable moteur de l’intégration
économique. Les commerçants exploitent les opportunités liées à la production
agricole et industrielle régionale. La libre circulation des marchandises au niveau
de la CEDEAO doit faciliter ces échanges et la construction d’un marché régional.
Dans la pratique, ils demeurent contraints par un certain nombre d’obstacles liés

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 6


aux contrôles sur les routes ou au niveau des frontières. A cela s’ajoute la difficulté
qu’éprouvent les acteurs à opérer des transactions financières entre les pays, soit
pour des raisons techniques ou pour des motifs réglementaires (inconvertibilité des
monnaies entre la zone francophone et la zone anglophone). Les échanges
informels s’appuient aussi sur des réseaux marchands qui ont une activité
transnationale et couvrent toute la sous-région. Les plateformes commerciales
entre Lagos et Abidjan – les plus grandes de la région – écoulent des biens
manufacturés en provenance de l’Europe, de l’Asie et du Moyen-Orient. La
réexportation de produits manufacturés touche une large gamme de produits tels
que les tissus et fripes, cosmétiques, cigarettes, véhicules d’occasion etc. Ces
échanges sont devenus « un facteur de régulation et d’une meilleure distribution
des richesses dans la zone ».
Les réseaux de commerce transnationaux se sont appuyés sur des appartenances
familiales et sociales et sur le développement des nouvelles technologies : « c’est
particulièrement vrai pour les réseaux de grands commerçants Peuls qui avaient
émigré sous Sékou Touré et dont les relations s’étendent aux pays voisins et même,
pour certains, jusqu’en Europe, ou en Asie où ils vont s’approvisionner. Ils
s’assurent, par leurs relations politiques, la sécurité de leurs transports et
transactions ; ils utilisent à la fois les moyens traditionnels de relations de service
entre clients et alliés et les outils modernes comme le téléphone, le fax et le
courrier électronique quand il existe 13 ». A contrario, ce commerce parallèle a eu
des effets néfastes sur le développement des secteurs agricoles et industriels
locaux, en raison de la concurrence déloyale qu’il leur imposait. En outre, il a pu
être (et reste) un facteur d’échec dans la mise en œuvre de politiques économiques
nationales et régionales au travers du rôle des États-entrepôts qui vivent de ce
commerce.
II. Conditions d’activité dans le secteur informel
Le secteur informel présente une gamme variée d’activités ce qui fait qu’il est
difficile de bien en définir les contours. On peut distinguer : - L’informel de
production (agriculture périurbaine, menuiserie bois et métal, BTP, etc.) ; -
L’informel d’art (bijouterie, sculpture, tissage, couture, broderie, maroquinerie,
cordonnerie, peinture, etc.) ; - L’informel de services (restauration populaire,
transports urbains, coiffure, couture, réparation mécanique ou électrique, etc.) ; -

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 7


L’informel d’échanges (distribution, commerce, change, etc.). A côté de l’artisanat
traditionnel, se développe l’informel de production qui vend des produits
comparables aux biens et services modernes mais pour des pouvoirs d'achat plus
faibles et avec des moyens plus limités. Les stratégies développées par l’informel
de production nécessitent l’adaptation des acteurs, la recherche et mise en œuvre
d’innovations technologiques, l’articulation avec le secteur moderne, etc. Trois
types d’activités, l’agriculture urbaine et périurbaine, les activités de tissage et la
menuiserie de bois, illustrent ci-après à leur manière ces dynamiques dans des
contextes bien différents.
A. Main d’œuvre et emplois dans le secteur informel
Les Unités de Production informelle (UPI) exerçant dans des activités marchandes
non agricoles dans la zone UEMOA génèrent plus de 2,3 millions d’emplois,
confirmant que le secteur informel est de loin le premier pourvoyeur d'emplois
dans cette zone, même s’il s’agit massivement de micro-unités (1,53 personnes par
UPI), 74% des UPI étant réduites à une seule personne. La main-d’œuvre des UPI
(patrons, indépendants et associés exclus) est composée de 31% de salariés, de
29% d'aides familiaux et de 40% d'apprentis dont le tiers sont rémunérés. Les
salariés mensualisés y sont minoritaires (41%), la majorité (56%) étant rémunérée
à la tâche. La précarité et l'absence de protection sociale sont les caractéristiques
principales des emplois du secteur informel. Seuls 5% bénéficient d’un contrat écrit
avec l’employeur. Si près de 60% de la main-d’œuvre touchent une rémunération
(salaire, commissions, avantages en nature), la participation aux bénéfices ne
concerne que 1,4% de la main d’œuvre, les congés payés 1,3% et les primes de fin
d'année 9,3%. En contrepartie, l'importance des relations personnelles entre le
chef d'établissement et ses employés constitue un réel facteur d'amortissement
face aux "forces brutes du marché". 51% des emplois dans le secteur informel sont
occupés par des femmes, mais il s’agit à plus de 60% d’emplois précaires,
travailleurs pour compte propre ou aides familiaux. Les jeunes (moins de 26 ans)
représentent un peu plus du tiers des actifs informels, et occupent surtout des
emplois dépendants (apprentis payés ou non, aides familiaux). Il s’agit en majorité
de jeunes, qui n’ont pas réussi leurs études, à la recherche d’une insertion
professionnelle. Les normes légales régissant la durée du travail n'ont pas cours
dans le secteur informel. Ainsi, si un quart des actifs (27%) travaillent moins de 24
heures, ils sont près de la moitié à effectuer plus de 48 heures de travail par

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 8


semaine. Cette forme de sous-emploi est particulièrement répandue dans les
transports et la réparation où les horaires moyens de travail sont les plus élevés.
Dans toutes les villes, on note que le revenu moyen du secteur informel est
supérieur au salaire minimum. Mais il existe de fortes disparités dans ces
rémunérations, la moitié des actifs du secteur informel gagnant moins du tiers du
revenu moyen ; il s’agit surtout des apprentis et des aides familiaux. Le revenu
moyen des patrons et associés est de 2,5 fois (Abidjan et Dakar) à 5 fois
(Ouagadougou et Niamey) supérieur au revenu moyen de l’ensemble des
travailleurs.
B. Capital, investissement et financement du secteur informel
Le secteur informel est caractérisé par la faiblesse ou l’absence de capital dans le
processus de production. La proportion d’UPI sans capital varie d’un pays à l’autre,
très faible à Abidjan et à Cotonou (0,5% et 1,4% respectivement) et plus élevée à
Bamako (28,8%). Elle concerne surtout la branche commerce. Le capital du secteur
informel est constitué prioritairement de terrains et locaux et de machines et
véhicules. Pour la quasi-totalité des villes étudiées, c’est dans le secteur des
services que les machines et véhicules constituent la part la plus importante du
capital. Dans l’ensemble, les équipements sont acquis à l’état neuf (la moitié à
Ouagadougou, Bamako, Niamey ; près des deux tiers à Cotonou, Abidjan et Lomé).
L’utilisation de machines louées est la plus répandue à Cotonou et à Lomé. La valeur
totale des machines louées représente 23% de la valeur totale des machines
utilisées dans le secteur informel dans ces deux villes. L’épargne, le don ou
l’héritage sont, de très loin, les principales sources de financement du capital dans
le secteur informel, représentant entre 65% à Dakar et 95% à Ouagadougou du
financement total. Les autres modes de financement, micro-crédits ou crédits
bancaires, restent rares pour des entreprises individuelles non enregistrées ne
disposant pas de garanties suffisantes, à l’exception de Cotonou et de
Ouagadougou où respectivement 43 et 50% des valeurs totales proviennent des
structures formelles. Conséquence des points ci-dessus, le secteur informel connaît
un faible niveau d’investissement induisant la faiblesse de la croissance de la
production et des revenus. La répartition des investissements est assez homogène
entre secteurs dans presque toutes les villes. Abidjan constitue un cas particulier :
les investissements y sont relativement plus importants dans les services (près de
80% de la valeur totale des investissements). Les UPI du commerce investissent

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 9


plus que celles des deux autres secteurs à Ouagadougou, Niamey, Dakar et Lomé
tandis qu’à Cotonou ce sont les UPI industrielles et à Bamako, les UPI du secteur
des services. Bien que le financement des activités du secteur informel se fasse
essentiellement sur fonds propres des UPI, certaines ont recours aux emprunts
comme complément. Dans l’ensemble des villes, la proportion des UPI qui
empruntent est faible (moins de 10% à Ouagadougou, Abidjan, Bamako, Lomé et
un peu plus de 10% à Niamey, Dakar, Cotonou). Ces emprunts servent en majorité
au financement des activités commerciales à Cotonou, Bamako et Lomé, avec plus
de deux tiers des montants totaux. A Abidjan, les activités de services sont
bénéficiaires des deux tiers des emprunts des UPI. Ceux-ci financent à la fois les
activités industrielles et commerciales a Ouagadougou, Niamey et Dakar.
Conclusion
Très longtemps ignoré des littératures, le secteur informel revêt et joue un rôle
important dans le social et le productif. Bien qu’il reste beaucoup de défis à relever
le secteur informel présente un dynamisme, une capacite d’adoption et une grande
importance dans le processus de développement. Il est certainement appelé à
rester encore longtemps un moteur de l’économie régionale. Cela suppose qu’un
certain nombre de défis soient relevés et que l’économie informelle participe
mieux au processus de développement.

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 10


Bibliographie
Internet
Le secteur informel dans les principales agglomérations de sept Etats membres de
l’UEMOA : Performances, Insertion, Perspectives
Economie informelle : Rapport Afrique de l’ouest 2007-2008
L’Economie informelle : Figures et Discours de Philippe Adair

Exposé de : Rôle social et productif de l’informel M1. Gestion des Organisations 11

Vous aimerez peut-être aussi