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TD :
1
(3) Z = A ∩ B ∩ (A ∩ B),
(4) U = [A ∩ (B ∪ C)] ∩ [(B ∩ C) ∪ C],
(5) V = (A ∩ B) ∪ (A ∩ C) ∪ [(A ∪ B) ∩ (A ∪ C)].
Exercice 7. Soit E = {a, b, c, d, e, f, g} ; dans chacun des cas suivants, dire si la famille
de parties est une partition de E.
1. A1 = {a, b, e}, A2 = {c, g} et A3 = {d}.
2. B1 = {c, e, g}, B2 = {a, d, f } et B3 = {b, e}.
3. C1 = {a; b; e; g}, C2 = {c; d; f }.
Exercice 8.
1. Soit A = {1, 2, 3} et B = {a, b, c, d}. Déterminer A × B.
2. On considère l’ ensemble E = {1}. Déterminer P(P(E)).
Exercice 9. Parmi les assertions suivantes, lesquelles sont vraies, lesquelles sont fausses
et pourquoi ?
1. (2 < 3) et (2 | 4).
2. (2 < 3) et (2 | 5).
3. (2 < 3) ou (2 | 5).
4. (2 < 3) et (non(2 | 5)).
5. (non(2 < 3)) ou (2 | 5).
6. ((2 < 3) et (2 | 4)) ou (3 | 6).
Exercice 10. 1. ∃x ∈ R, ∀y ∈ R, x + y > 0,
2. ∀x ∈ R, ∃y ∈ R, x + y > 0,
3. ∃x ∈ R, ∀y ∈ R, y 2 > x,
4. ∀ε ∈ R∗+ , ∃α ∈ R∗+ , |x| < α ⇒ |x2 | < ε.
Les assertions 1, 2, 3 et 4 sont elles vraies ou fausses ? Donner leurs négations.
Exercice 11. Soient f , g deux fonctions de R dans R. Traduire en termes de quantifica-
teurs les expressions suivantes :
1. f est majorée ;
2. f est bornée ;
3. f est paire ;
4. f est impaire ;
5. f ne s’annule jamais ;
6. f est périodique ;
7. f est croissante ;
8. f est strictement décroissante ;
9. f n’est pas la fonction nulle ;
10. f n’a jamais les mêmes valeurs en deux points distincts ;
2
11. f atteint toutes les valeurs de N ;
12. f est inférieure à g ;
13. f n’est pas inférieure à g.
Exercice 12.
1. Donner la négation des cinq assertions suivantes :
P ∧ Q; P ∨ (Q ∧ R); P ⇔ Q; P ⇒ Q; P ⇒ (Q ⇒ R).
((P ⇔ Q) ⇔ R) ⇔ (P ⇔ (Q ⇔ R)).
Exercice 13.
1. En utilisant un raisonnement par l’absurde, démontrer qu’un rectangle qui a pour
aire 170m2 , a une longueur qui est supérieure à 13 m.
2. Ecrire la contraposée de l’implication x 6= y ⇒ x3 + x 6= y 3 + y et la démontrer.
3. Démontrer, en raisonnant par récurrence, que 10(6n+2) + 10(3n+1) + 1 est divisible
par 111 quel que soit n ∈ N.
4. Montrer en utilisant un raisonnement par disjonction de cas que quel que soit n ∈
N, n3 + 5n est un entier multiple de 6.
Exercice 14. Dans N∗ on considère la relation notee ´|ˇ qui est la relation « divise », qui
se lit « a divise b » ou encore « b est un multiple de a » ; la définition mathématique de
cette relation étant
1. Démontrer que c’est une relation d’ordre sur N∗ . Cet ordre est-il total ? Donner des
éléments comparables et des éléments non comparables.
2. Démontrer que c’est une relation d’ordre sur toute partie A de N∗ .
3. On considère la relation divise dans E = {2; 4; 6; 8; 10; 12}.
(a) Construire le diagramme sagittal de cette relation.
(b) Donner la représentation matricielle de cette relation.
(c) E admet-il un élément minimum ?
(d) E admet-il un élément maximum ?
(e) E admet-il des éléments minimaux ?
(f) E admet-il des éléments maximaux ?
(g) Soit V = {2; 4}. Donner trois majorants de V dans E.
(h) Soit T = {8; 10}. T admet-il des majorants dans E ? Donner deux majorants
de T dans N∗ .
(i) Donner des minorants de T dans E.
(j) Donner tous les minorants de T dans N∗ .
3
(k) U = {4; 6; 8} admet-il une borne superieure dans E ?
(l) U = {4; 6; 8} admet-il une borne superieure dans N∗ ?
(m) U = {4; 6; 8} admet-il une borne inferieure dans E ?
(n) U = {4; 6; 8} admet-il une borne inferieure dans N∗ ?
Exercice 15. Soit E = {1; 2; 3; 4; 5} et R la relation binaire sur E dont le graphe est
{(1; 1); (1; 2); (1; 4); (2; 1); (2; 2); (2; 4); (3; 3); (3; 5); (4; 1); (4; 2); (4; 4); (5; 3); (5; 5)}
1. Vérifier que la relation R est une relation d’équivalence.
2. Faire la liste des classes d’équivalences distinctes et donner l’ensemble quotient
Exercice 16.
Parmi ces applications préciser celles qui sont injectives, surjectives, bijectives ? Pour
celle qui sont bijectives determiner la bijection réciproque.
f :R → R g : R → [1; +∞[ h:R → R
x 7→ 2x − 5 x 7→ 2x2 + 1 x 7→ −x2 + 4x
Exercice 17. 1. Soit f l’application de l’ensemble {1, 2, 3, 4} dans lui-même définie
par :
f (1) = 4, f (2) = 1 , f (3) = 2, f (4) = 2.
−1
Déterminer f (A) lorsque A = {2}, A = {1, 2}, A = {3}.
2. Soit g l’application de R dans R définie par g(x) = x2 .
(a) Déterminer g(B) lorsque B = [−2; −1], B = [1, 2], B = [−3, 2]
(b) Déterminer g −1 (C) lorsque C = {1}, C = [1, 2].
(c) Déterminer g −1 (g(D)) pour D = [0, 1].
(d) Déterminer g(g −1 (E)) pour E = [−1, 0].
Exercice 18.
√
1. Soit f et g de R vers R définies par f (x) = x − 3 et g(x) = x2 − 1. Définir f ◦ g
et g ◦ f .
1
2. Soit f et g de R vers R définies par f (x) = x2 + x et g(x) = . Définir f ◦ g
x−2
et g ◦ f .
Exercice 19. Dans l’ensemble des nombres réels, on définit la loi de composition interne
” ? ” par ∀a, b ∈ R, a ? b = a
1. ” ? ” est elle associative ?
2. ” ? ” admet elle un élément neutre ?
3. ” ? ” est elle commutative ?
Exercice 20.
On définit sur R les lois ∗ et > par
x ∗ y = ax + by − 1 (a ∈ R, b ∈ R), x>y = x + y − x × y
avec + et × les opérations usuelles sur R
4
1. (a) Déterminer des conditions sur a et b pour que ∗ soit commutative dans R.
(b) Déterminer des conditions sur a et b pour que ∗ soit associative dans R.
2. On pose a = b = 1.
(a) Montrer que (R, ∗) est un groupe commutatif.
(b) Montrer que la loi > est distributive par rappport à la loi ∗.
(c) (R, ∗, >) est il un corps commutatif ?