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Dr KOFFI
CONTENU INDICATIF DU MODULE
INTRODUCTION GÉNÉRALE
CHAPITRE 1 : DEFINITION ET CLASSIFICATION DES ENTREPRISES
CHAPITRE 2 : QUELQUES STRATEGIES D’ADAPTATION DE
L’ENTREPRISE A SON ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 3: L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
CHAPITRE 4: CONCEPTS DE BASE DE LA SCIENCE ECONOMIQUE
CHAPITRE 5 : LES ACTEURS DE LA VIE ECONOMIQUE ET LEURS
OPERATIONS
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
I. Séance 1
-Introduction générale
DES ENTREPRISES
I. Introduction Générale
L’entreprise joue un rôle socioéconomique
prépondérant dans la société. Elle est un agent
économique qui réalise des opérations afin de survivre
dans le milieu où s’exerce ses activités ; aussi a-t-elle
besoin constamment d’améliorer ses activités.
1-Définition de l’entreprise
L’entreprise est une unité économique autonome qui
rassemble et combine des moyens humains, matériels et
financiers en vue de produire des biens et services
marchands afin de réaliser un profit.
2.1.4-La filière
La filière décrit l’enchaînement d’activités nécessaires à la
mise à disposition d’un produit. Ensemble des entreprises
ayant des activités complémentaires nécessaires aux
différentes étapes de la production d’un bien ou service
(des matières premières au produit final).
Chapitre 1: DEFINITION ET CLASSIFICATION DES
ENTREPRISES
Exemple : la filière textile (du coton au pagne), la filière cacao (du cacao
au chocolat), la filière automobile
Chapitre 1: DEFINITION ET CLASSIFICATION DES
ENTREPRISES
- la gestion de l’entreprise,
La croissance interne
C’est un processus d’élargissement de la taille de
l'entreprise par ses ressources propres résultant
d'investissements productifs et commerciaux
complémentaires.
Exemples : augmentation des effectifs par embauche ;
implantation de nouveaux sites (SGCI, LONACI,..)
Chapitre 2: QUELQUES STRATEGIES D’ADAPTATION
DE L’ENTREPRISE A SON ENVIRONNEMENT
La croissance externe
Scission : opération juridique par laquelle une entreprise A
disparaît (par transmission de son patrimoine) pour donner
naissance à d’autres entreprises (sociétés nouvelles ou
préexistantes) B et C par exemple ; A B+C
Apport partiel d’actifs : A A+B’.
3.2.2-L’Entente
Accord implicite ou explicite, limité ou global entre deux
ou plusieurs entreprises ou groupes d’entreprises qui
harmonisent leur politique sans perdre leur personnalité
juridique.
3.2.3 – La sous-traitance
3.2.4 – L’innovation
3.2.6-La spécialisation
3.2.7-Les stratégies de relations publiques : sponsoring et
mécénat
Le sponsoring (parrainage) : opération de communication
où une entreprise (parrain) apporte son soutien financier
ou matériel à un sportif, une équipe ou une manifestation
sportive, culturelle en espérant améliorer son image et ses
ventes avec une contrepartie directe du bénéficiaire (mise
en avant de la marque);
I-LA MERCATIQUE
Objectif : caractériser l’esprit mercatique dans l’entreprise
1 La notion de mercatique ou marketing
La mercatique ou marketing a été forgé au début du XXème siècle
par des professeurs d’économie agricole américains. L’expression
marketing peut être subdivisée en deux parties : « Market »
signifiant « marché » et « ing » qui renvoie à « action ».
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
En français, le terme marketing a été traduit par deux mots
inspirés également de « marché » : mercatique (à partir du mot
latin mercatus) et marchéage (à partir du mot français marché).
Ces deux termes sont complémentaires et désignent chacun une
partie de la démarche marketing d’une entreprise.
2– Fondements du marketing
Au XIXème siècle et pendant la première moitié du XXème siècle,
la gestion de l’entreprise part de la production pour aboutir au
marché. Mais depuis les années 1960, la logique s’inverse : la
concurrence entre entreprises s’est accrue, l’offre est devenue
supérieure à la demande,… Dorénavant, la gestion de
l’entreprise part du marché vers la production et revenir au
marché ; l’entreprise, pour se développer, doit avoir le client
au centre de ses préoccupations. D’où la nécessité pour
l’entreprise de la connaissance de son marché et des moyens
de le satisfaire et de l’influencer.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
3– Objectifs du marketing
La mercatique ne se résume pas à la vente. Ces objectifs sont :
la détection des besoins des clients ;
la satisfaction de ces clients.
Pour ce faire, l’entreprise doit donc avoir une idée exacte de
l’ensemble des différentes catégories de clients qu’elle a ou
peut avoir ; c’est –à-dire ses différents marchés.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
Informations quantitatives Les informations quantitatives sont chiffrées. Elles permettent de mesurer un
phénomène à un moment donné. Elles sont en principe objectives.
Informations qualitatives Les informations qualitatives permettent d’expliquer un phénomène. Elles ont
souvent un caractère subjectif
Informations primaires Les informations primaires n’existent pas encore. Elles sont à créer
Informations secondaires Les informations secondaires existent déjà, soit à l’intérieur ou à l’intérieur de
l’entreprise
Informations ponctuelles Les informations ponctuelles existent à une donnée. Passée cette date, elles
sont obsolètes
Informations permanentes Les informations permanentes sont mises à jour régulièrement dans le cadre
d’enquêtes récurrentes : les panels
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
Les techniques d’études de marché sont diverses ; on relève :
Les études documentaires
Les études quantitatives
Les sondages
Les panels
3– La segmentation et le positionnement
3.1-La segmentation
Découpage du marché de l’entreprise en sous-ensembles
homogène de consommateurs appelés segments (groupes
d’acheteurs ayant des besoins et des comportements similaires)
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
La segmentation peut être réalisée à travers diverses stratégies :
La stratégie de marketing indifférenciée (ou non différenciée) :
offrir les mêmes produits standards à l’ensemble des segments ;
c’est l’anti-segmentation, la stratégie de marketing global ;
3.3-Le positionnement
Doter son offre, son image d’une situation favorable, dans l’esprit du
consommateur, par rapport à la concurrence.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
III- LES POLITIQUES COMMERCIALES DE L’ENTREPRISE : LE
MARKETING-MIX
1– Notion de marketing-mix
On appelle marketing-mix ou plan de marchéage ou Plan d’Action
Commerciale (PAC), l’ensemble cohérent de décisions relatives aux
politiques de produit, de prix, de distribution et de communication
d’un produit ou d’une marque (Source : Mercator)
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
En effet, pour Mac Carthy, le marketing-mix porte sur quatre
types de variables ou 4P (en Anglais) : Produit, Prix, Distribution
et Communication.
2.2.1-Notion de prix
Le prix psychologique : correspond au niveau d’acceptabilité pour
lequel le consommateur juge le prix du bien ou du service « normal »
relativement à l’unité qu’il peut en tirer.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
La stratégie d’écrémage : consiste à fixer un prix de vente relativement élevé pour toucher
qu’une clientèle limitée (peu sensible aux prix) et dégager des profits maximums.
Elle est surtout appliquée en situation de monopole ou quasi-monopole ou pour les marchés
haut de gamme (produits de luxe).
La stratégie de pénétration : pratiquer les prix les plus bas possibles pour atteindre le plus
grand nombre de consommateurs (sensibles aux prix).
Elle est aussi appliquée essentiellement dans deux cas : un produit nouveau menacé très
rapidement par une forte concurrence ou un marché très concurrentiel basé sur la guerre des prix.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
2.3.2-Fonctions de la distribution
Ce sont essentiellement deux fonctions : fonction de gros et
fonction de détail
Fonction de gros : achat de marchandises en quantités importantes
et revente, en plus petites quantités, à des entreprises, des
négociants, des collectivités, à l’exclusion des consommateurs
finaux.
Fonction de détail : achat de marchandises pour les revendre au
consommateur ou utilisateur final en général par petites quantités
et dans l’état.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
2.3.3-Différents circuits de distribution
Choix d’un nombre limité de Le canal de distribution est intégré à l’image de marque du
Distribution
distributeurs spécialisés produit
sélective
Écrémage
Selon l’échéance :
La vente au comptant
La vente à crédit
La vente à terme
Organisation de la vente
2.1-La force de vente
2.1.1-Notion
Ensemble du personnel commercial chargé de rencontrer les
prospects ou clients dans le but (direct ou indirect) de leur vendre
des produits ou services.
CHAPITRE 3- L’ACTIVITÉ COMMERCIALE
2–2.1.2-Gestion, Misions et Composantes de la force de vente
Gérer une force de vente est une activité complexe qui qui repose
sur certains éléments : la fixation d’objectifs, l’organisation, le
recrutement, la formation, l’animation et le contrôle.
Pour ce faire, les missions de la force de vente doivent être claires
de même que sa composition.
1-Notion d’économie
1-Notion d’économie
Biens collectifs
CHAPITRE 4: CONCEPTS DE BASE DE LA SCIENCE ECONOMIQUE
La Macroéconomie
Si nous nous intéressons spécifiquement à La macroéconomie , nous pouvons
dire que La macroéconomie poursuit des buts spécifiques en matière de
politiques économiques:
1-Notions préliminaires
Agent économique (nouvelle appellation : unité
institutionnelle) : acteur indépendant de la vie économique,
composé d’une ou plusieurs personnes morales ou physiques,
constituant un centre de décision économique autonome.
I- La notion de structure
1- L’organigramme
L’organigramme est une représentation graphique et schématisée
de la structure, il donne une vue d’ensemble de l’entreprise,
puisqu’il présente les différents services, en précise les fonctions
et montre comment ils sont reliés entre eux.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
2- La définition de la structure
La structure est : La segmentation de tâche en rôles tels que les
rôles de production, finance, marketing, etc. La recombinaison
des rôles en départements ou divisions en termes de fonctions,
de produits, de régions ou de marchés. La distribution du
pouvoir à l’intérieur de cette structure.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
3- Les caractéristiques d’une structure
3-1 La spécialisation
Elle répond à la question : comment effectuer la division du travail
dans l’entreprise ?
Par fonction (production, ventes, achats, marketing, finance…) Par
activités (jeux vidéo, ventes, musique, télécoms télévision
payante ...)
Par marques (Knor, Lipton, Signal…)
Par types de clients (B to C, B to B, grands comptes…)
Par circuits de distribution (grandes distribution, spécialistes,
ventes en ligne…)
Par zones géographiques ( des filiales autonomes en Europe,
Amérique, Asie..)
Par projets.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
3-2 La formalisation
Elle Indique le degré d’explication dans la définition des règles de
fonctionnement de l’entreprise. La formalisation permet de clarifier
et de rationnaliser le fonctionnement de la structure, mais une
formalisation excessive peut être source de rigidité et de tentations
de contournement.
Exemple : Société de conseil= spécialisation élevée + coordination
souple + formalisation réduite.
Entreprise publique = spécialisation moyenne + coordination étroite
+ formalisation réduite.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
3-3 La coordination des tâches
Les mécanismes de coordination
Le plus simple et le plus répondu est celui proposait par Fayol : la
coordination hiérarchique basée sur l’unité de commandement.
La typologie de Mintzberg : elle distingue plusieurs méthodes
d’ajustement :
-L’ajustement mutuel
-La supervision directe
-La standardisation
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
II- Les déterminants de la structure
Les déterminants de la structure sont : La taille de l’entreprise, la
technologie, l’environnement.
2-1 La taille de l’entreprise
La petite entreprise a toujours une structure assez simple. Quand le
nombre de salariés augmente, la coordination n’est plus
spontanée et la nécessité de formalisation apparaît. Donc la taille
est le déterminant principal de la structure de l’entreprise. Quand
l’entreprise grandit, il devient nécessaire d’accroître sa
spécialisation, d’accentuer la coordination et de formaliser ce qui
pouvait rester jusque-là implicite et non écrit. Les lourdeurs de la
bureaucratisation (poids des règles, impersonnalité, conformisme)
sont difficiles à éviter.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
La technologie
La technologie est l’ensemble du processus de transformation
réalisé par l’entreprise. Elle fait peser des contraintes fortes sur la
définition d’une structure. La production unitaire, la production en
grande série et la production en continu déterminent des choix de
structures spécifiques. Suivant son type de production,
l’entreprise adoptera une mécaniste, centralisée et rigide, ou à
l’inverse une structure organique, décentralisée et flexible. Donc si
les tâches liées à la production sont répétitives, la centralisation
pourra se développer. A l’inverse, si ces tâches sont peu
répétitives, une décentralisation pourra se mettre en place.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
L’environnement
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
Les entreprises sont des systèmes ouverts, en équilibre
dynamique avec leur environnement.
La structure joue, vis-à-vis de l’environnement, une fonction
d’interface. Elle doit faciliter la recherche d’informations pour une
meilleure prise de décisions. Plus l’environnement est dynamique,
plus l’entreprise peut s’adapter aux autres déterminants. Plus
l’environnement est complexe, plus l’entreprise doit se spécialiser
et se coordonner. Plus l’environnement est incertain et plus
l’entreprise doit être souple et réactive.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
L’entreprise doit évaluer les caractéristiques de son environnement
pour mieux réagir à son impact. Le dynamisme, la complexité et
l’incertitude de l’environnement vont modifier la structure de
l’entreprise. La structure, en tant qu’interface avec l’environnement,
doit faciliter la veille, c’est-à-dire l’observation permanente des
évolutions de certains sous-environnements :
Veille commerciale : clients et fournisseurs.
Veille concurrentielle : concurrents directs et indirects
Veille environnementale : consommateurs, associations, pouvoirs
publics
Veille technologique : applications dans les produits, les procédés,
l’organisation, la gestion
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
La structure hiérarchique
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
- Les avantages et les inconvénients de la structure
hiérarchique
L’organisation fonctionnelle
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
3-3 La structure « staff and line»
Le principe de ce type de structure est celui de la double ligne, une
ligne dispose d’une autorité générale (pouvoir de commandement),
une autre d’une autorité dans la spécialité (pouvoir de conseil).
Les avantages et les inconvénients de la structure staff and line.
Les avantages Les inconvénients
Une meilleure connaissance Le risque de conflits entre
des problèmes complexes fonctionnels et
Le développement de opérationnels : Les uns
relations fructueuses entre étant chargés d’effectuer
la direction et les staffs à des études et des analyses
travers un travail d’équipe. sans véritable pouvoir dans
l’application, les autres
appliquent des idées qui ne
viennent pas d’eux.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
La structure divisionnelle
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
3-5- La structure matricielle
C’est une structure complexe dont le principe consiste à maintenir des
départements par fonctions et d’y proposer des groupes opérationnels.
Les membres de l’organisation sont donc rattachés à la fois à un
département, en fonction de la spécialité et à une cellule opérationnelle
en fonction du produit, de la région ou du projet sur lequel ils travaillent.
Les avantages et les inconvénients de la structure matricielle
Les avantages Les inconvénients
Mieux s’adapter à L’absence d’unité de
l’environnement Mettre commandement et
au service de l’ensemble de l’ambiguïté des rôles Une
l’organisation les structure coûteuse en
compétences spécifiques personnel Un problème
des spécialistes. La de l’équilibre de pouvoir
formation et le entre les responsables.
développement de
l’expertise dans le cadre de
travail en équipe.
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
La structure matricielle
CHAPITRE 6: L’ORGANISATION DANS L’ENTREPRISE
La structure en réseau
CHAPITRE 7: LA GESTION ET LE GESTIONNAIRE
Les Objectifs
Donner une description de la nature de la gestion
Expliquer le processus de gestion
Décrire les rôles du gestionnaire
Définir les compétences nécessaires d’un gestionnaire
I- Définition de la gestion
D’une manière générale, la gestion peut être définie comme la
manière d’organiser et de conduire une activité, un groupe ou une
entité quelconque. Une seconde définition plus rationnelle et
applicable à l’entreprise, considère la gestion comme étant un
processus spécifique qui consiste en activités de planification,
d’organisation, de direction et de contrôle dans le but d’atteindre
des objectifs déjà définis, et ceci grâce à l’emploi d’êtres humains
et à la mise en œuvre d’autres ressources.
CHAPITRE 7: LA GESTION ET LE GESTIONNAIRE
II- Nature de la gestion : science ou art ?
1-La gestion en tant que science
La gestion est une science dans la mesure où elle présente et
utilise des concepts biens définis et des théories développées à
partir d’hypothèses, d’expériences et d’analyses.
2- La gestion en tant qu’art
Pour réussir dans son métier, un gestionnaire doit utiliser son
expérience, ses connaissances, ses observations personnelles et
ses intuitions, donc il est considéré comme un artiste lorsqu’il
utilise efficacement ses aptitudes personnelles et ses qualités
humaines dans la gestion des ressources de l’entreprise. En
résumé on peut dire que la gestion présente l’aspect art et
l’aspect science au même temps, puisque les deux se complètent.
CHAPITRE 7: LA GESTION ET LE GESTIONNAIRE
Objectifs
- Mettre en évidence les facteurs d’évolution de la logique
productive (environnement technologique, économique,
géographique…)
- Décrire les conséquences de ces évolutions en termes de
qualité, de flexibilité, de productivité
- Constater les évolutions sur l’emploi et dans l’organisation du
travail au regard des changements économiques,
technologiques, sociaux
CHAPITRE 8 : L’ÉVOLUTION DE la LOGIQUE PRODUCTIVE
Mais la fabrication par lots entraîne une certaine rigidité, des stocks
élevés et des délais longs de production. La solution peut résider
dans :
La flexibilité interne
La flexibilité externe