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Thème: Les techniques de
recherche de l’information
Plan du chapitre
Introduction
1- les moteurs de recherche
2- les modalités de la recherche
3- la sélection d’informations
4- applications
La qualité de l’étudiant universitaire
exige (en plus de l’appropriation des
méthodes pour étudier), de justifier
d’un certain nombre d’habilités en
matière de la recherche d’informations
nécessaires au complétement de ses
cours et à la réalisation des devoirs en
la matière (affectations faites par
l’enseignant)
Pour ce faire, l’étudiant :
a. Recourt aux différentes sources
d’informations disponibles
(bibliothèques offrant des livres de
référence, des thèses, des mémoires,
des revues, des articles scientifiques,
de la documentation des
administrations….)
Notons que l’information peut être
tirée des sources exigeant un
déplacement physique du chercheur
ou être disponibles via un moteur de
recherche en ligne
a. La recherche simple
a. Le tri:
== Grâce à cette démarche, l’étudiant
pourra rédiger un résumé du texte lu
(effort de contraction et de
reformulation)
c.2 La méthode diagonale consistant à
survoler les pages d’un livre sans lire tous
les mots, et repérer les passages ou les
pages qui mériteront d’être approfondis.
C’est utile de « scanner » un texte pour
gagner du temps et ne pas parcourir
lentement une page après l’autre pour
trouver les informations s dont le lecteur a
besoin
De ce fait, les passages jugés
« importants » seront lus de
façon linéaire pour en dégager
l’essentiel.
A l’issue de sa lecture, le
chercheur élabore une une fiche
de lecture
Exemple de fiche de lecture
== Auteur : ……
== Intitulé de l’œuvre : …….
== Date de publication : …….
== Idée Générale : …….
== Titre secondaire 1 : ……
idée essentielle (titre 1)
== Titre secondaire 2 : ……
Idée essentielle : ……. et ainsi de suite
d. La prise de notes :
opérée essentiellement lorsque les supports de la
recherche sont de nature orale.
Il s’agit de la transcription écrite du discours oral
Et comme le rythme de l’oral est plus rapide que
celui de l’écrit, le chercheur se verra se constituer
ses propres conventions de la transcription :
Les plus courantes sont :
Les signes ; permettant de remplacer des mots
longs
L’abréviation et les sigles ; utilisés en cas
d’absence de signes
La suppression de mots ; ceux qui ne faussent pas
la compréhension (auxiliaires, articles, prépositions)
Les organisateurs textuels : cas des connecteurs
logiques
La nominalisation : transformation des phrases
nominales en phrase verbale ;
L’emploi du mot générique : un mot permettant de
recouvrir les sens de plusieurs mots.
Pour dégager l’essentiel d’un document sonore, le
chercheur peut combiner entre plusieurs
conventions.
(Voir cours présentiel)
e. une autre méthode de travail : la carte mentale
méthode consistant à mettre au centre d’une feuille de
travail ; le terme clé que le chercheur désire identifier.
Par la suite, ce chercheur creuse dans sa mémoire en
vue de dégager les différents équivalents possibles
d’un tel terme : une sorte de brainstorming
Le but de cette méthode est d’amener le
chercheur à confectionner sa propre définition du
dit terme et à spécifier son champ d’application
en vue d’établir un plan de sa recherche.
Le produit élaboré à cet égard est nommé
associogramme
Exemple : carte mentale du terme
« Communiquer » (Voir cours)
NB : le chercheur peut mettre des photos
à la place des mots associés au terme
central de la recherche. Dans ce cas, il se
retrouvera avec un pictogramme (schéma
contenant des mots clefs et des images ou
icônes dits pictos.
Exemple :
un individu établit la liste des choses qu’il lui convient de faire demain :
= des appels ;
= des formalités et démarches administratives ;
= des lectures ;
= des achats
= des e mails
= des préparatifs
= des divers …
TAF : Établir le pictogramme des activités ainsi listées