 Compatibilité des déplacements :

L1 × θ1=L2 ×θ2 Avec θ1 et θ 2 de signes contraires selon convention

( Y c12−Y c1 )
Ou encore ( Y c 12−Y c 1 ) × θ1=( Y c12−Y c1 ) ×θ2 →θ 2= × θ1 →θ2 =p × θ1
( Y c12−Y c1 )

 Expression du travail des forces dans la rotation des blocs :

 Travail dans la rotation θ1/C1 : (est concerné le bloc 1 uniquement)

Soit G1 le centre de gravité du bloc 1. Le travail du bloc 1 vaut alors :

W 1=θ1 . k⃗ .(⃗
C 1 G1 ⋀ ( F1 . ⃗j ) )

Soit sous forme algébrique : W 1=θ1 × ( X G 1− X c 1 ) ×(−F 1)

 Travail dans la rotation θ2 /C2 : (sont concernés le bloc 2, et les forces H et V)

Dans le même principe les formes algébriques du travail des forces sont :
W 2 =θ2 × ( X G 2 −X c 2 ) ×(−F 2)
W V =θ2 × ( X c23− X c 2 ) ×(−V )
W H =0

Rappel : W 1 +W 2+W V ≥0 ↔ structure instable (eq)

A priori V n’est pas connu. Trouver Vmin se résume à un problème de minimisation c’est-à-dire
résoudre l’équation = 0 soit par conséquent calculer : W Vmin =−( W 1+W 2 ) . Pour s’affranchir des
rotations θ1 et θ 2 dans l’expression, il suffit de remplacer θ2 par p ×θ1 (p étant connu).

 Associativité du travail

On peut aussi remarquer que W V est une fonction associative c’est-à-dire que W λV =λ ×W V . De ce
¿ ¿

fait, on peut réécrire autrement la précédente expression et on trouve :

−( W 1+W 2 )
λ min=
WV ¿

Après simplification, on trouve :

∆ X c 1 g 1 ×( F 1)+ p ×∆ X c2 g 2 ×(F 2)
λ min=
p ×V ¿ ×( X c2 )
¿ ' +¿ ¿
V peut être choisi dans l intervalle R
¿
Et finalement V min =λ min ×V .