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INTRODUCTION GENERALE

Les antalgiques sont les médicaments les plus utilisés dans le traitement de la douleur.
Ils agissent directement au niveau du système nerveux, pour interrompre le circuit de la
douleur.

Ainsi, les signaux de douleur diminuent ou disparaissent. Les antalgiques n’agissent

pas sur la cause de la douleur.

Les antalgiques sont classés en trois paliers, des moins puissants aux plus puissants.
Cela permet de choisir le médicament en fonction de l’intensité de la douleur.

Un antidouleur, antalgique, analgésique ou anesthésique, est un médicament utilisé en

médecine dans le traitement de la douleur (antalgie ou analgésie) d'un patient.

En théorie, on différencie les antalgiques, qui ont pour rôle de diminuer la douleur, et
les analgésiques, qui suppriment la sensibilité à la douleur. Ainsi, le terme antalgique serait à
réserver au paracétamol et à l’aspirine, alors que le terme analgésique évoque plutôt les
morphiniques. Toutefois, en pratique, les deux termes sont employés comme synonymes.

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PREMIERE PARTIE

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PRESENTATION GENERALE DU CENTRE DE FORMATION

POLYTECHNIQUE APPLIQUEE

I -HISTORIQUE
Le Centre de Formation POLYTECHNIQUE APPLIQUEE est un établissement
privé d’enseignement professionnel. Il a été créé dans le souci de repenser à la formation
professionnelle en choisissant plusieurs Filières de formation. Le Centre a vu le jour sur
l’initiative de Monsieur Youssouf MAROYA. Il est reconnu par l’Etat sous l’autorisation
N°...00355/MENESTFPCJS. La Direction du Centrale répond au numéro de téléphone :
066.97.57.47 ou 065.98.55.58, Email groupe-essig.org/cfpa.
II- SITUATION GEOGRAPHIQUE
Le Centre de Formation Polytechnique Appliquée est situé à OZANGUE plus précisément
avant la GABOPRIX. Sur le plan administratif il est situé dans le 5 eme Arrondissement de la
commune de Libreville.

III- FONCTIONNEMENT, ORGANISATION

1- Fonctionnement
Le Centre de Formation Polytechnique Appliquée pour atteindre ces objectifs a mis en place
un ensemble de moyen humain, matériels et infrastructure.

 Moyens humains
Le C.F.P.A jouit d’un personnel administratif hautement qualifiée et expérimenté mais aussi
un personnel enseignant rompu à la tâche. Son administration est composée de six (6)
personnes. Le corps enseignant est composé en majorité de formateurs professionnels.

 Moyens matériels et infrastructures

Le Centre est constitué d’un ensemble de compartiments qui fait office de salle de cours et de
salles de pratique. Il dispose alors de

 Cinq (5) salles de classe

 Une Direction
 Une grande salle de pratique
 Deux (2) vestiaires homme/femme

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2-Organisation
Le C.F.P.A a une organisation administrative simplifiée et composée de :

 D’un Administrateur Directeur Général

 D’un Directeur Central des Ressources Humaines
 D’un Directeur des Etudes
 D’un Directeur des Etudes Adjoint
 D’un Surveillant
 D’une Technicienne de surface
Dans son organisation, la pédagogie occupe une place de premier choix. C’est ainsi
que sur le plan pédagogique, le C.F.P.A forme les stagiaires sur une période de 18
mois.

Aux sorties de leur formation, les stagiaires ont le privilège et la possibilité de passer
deux examens : Examen Ecole : le « A.A.P » tenant lieu de Diplôme et le « C.F.P » examen
d’Etat délivré par le Ministre en charge de la Formation Professionnelle.

Dans nos activités pédagogiques. Nos formations sont initiales, pratiques et en lignes.

Les formations proposées sont :

Gestion
Infirmières
Maintenance Educatrice
Comptabilité
Accoucheuse
Informatique & Préscolaire
Infographie

Vendeuse en Hôtellerie et
pharmacie Restauration

C.F.P.A
Infirmière
Assistante Secrétariat
Comptabilité

Secrétariat
Médical Transit
Douane

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Le défi du C.F.P.A est d’offrir des jeunes conscients qualifiés et disposés au marché de
l’emploi et de l’entreprise. Il met ainsi à la disposition des stagiaires un cadre idéal pour leur
formation et des enseignants hautement qualifiés des formateurs et des encadreurs strictement
compétents et professionnels.

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DEUXIEME PARTIE :
LES ANTALGIQUES

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CHAPITRE I : LES ANTALGIQUES

L'action antalgique se définit par tout procédé ayant pour principe d'activité la
diminution de la douleur. Il peut s'agir non seulement d'un médicament, mais aussi de toutes
autres méthodes visant à obtenir l'analgésie, c'est-à-dire l'abolition de la sensation de douleur.

I/ Définition des antalgiques

Les antalgiques, aussi appelés analgésiques, sont des substances qui visent à lutter
contre la douleur.

1. Formes et voies d’administration

Voie Détail Forme galénique

Orale Par la bouche Comprimés et solutions
Transdermique Au travers de la peau Patches
Rectale Par l’anus Suppositoires
Sous-cutanée Cathéter placé sous la peau Perfusion ou pompe ou
injection
Péridurale Dans la moelle épinière Perfusion ou pompe
Intraveineuse Dans la veine Perfusion ou pompe ou
injection

2. Prescription d’un antalgique

2.1- Evaluation de la douleur

L’évaluation de la douleur ressentie est le pré-requis indispensable à la prise en charge

d’un patient. Un examen, une prise de sang ne permettent pas d’objectiver la douleur. Pour
cela, il faut évaluer son intensité. Cette évaluation sert de référence pour vérifier ensuite
l’efficacité des traitements.

Seul le patient pourra décrire ce qu’il ressent : préciser où il a mal, avec quelle
intensité et lui seul pourra dire si il est soulagé.

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2.2- Critères d’évaluation

Les critères d’évaluation de la douleur sont donc les suivants :

 La cause et les moyens d’apaisement de la douleur

 Le type de la douleur soit une piqûre, une brulure, une décharge, une tension ou
encore une compression, etc.…
 La localisation de la douleur
 La sévérité
 La durée.

II/ Traitements antalgiques

1- Classification pharmacologique

On les répartit en deux grands groupes :

 Les antalgiques non opiacés

 Le Néfopam, antalgique pur, est dépourvu d’activité anti- inflammatoire et

antipyrétique, il a cependant une faible activité anticholinergie. Il est contre indiqué
chez l’enfant. Après une administration en intraveineuse, son délai d’action est de 15-
30 minutes. L’effet maximum est de 60 minutes.
 L’aspirine et les AINS se distinguent par leur durée d’action. Antalgiques,
antipyrétiques et anti-inflammatoires, ils ont un effet antiagrégant plaquettaire plus ou
moins prononcé ; un effet sur la muqueuse gastrique mais également de nombreux
effets indésirables. Leur délai d’action varie de 10-15minutes avec effet maximum 30
minutes après une administration intraveineuse de Ketoprofène.
 Le paracétamol a une action centrale grâce à sa métabolisation par le foie en
paminophénol et agit par son intermédiaire.

 Les antalgiques opiacés

Ils ont les effets suivants :

- Antalgique recherché
- Psychomoteur caractérisé par un état de bien être, une euphorie, des
hallucinations, un cauchemar, une excitation ;

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- Respiratoire avec une dépression, une action antitussive « codéine »

- Sur la musculature lisse avec une diminution du transit intestinal
- Cardiovasculaire avec une hypotension qui peut être orthostatique
- Sur le système immunitaire par diminution de l’activité des lymphocytes et
déprime ainsi le système immunitaire.

2- Classification selon l’OMS : « Organisation Mondiale de la Santé »

Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), les antalgiques sont classés en 3

paliers :

 Palier 1 : antalgiques périphériques (douleurs légères à moyennes)

 Palier 2 : antalgiques centraux faibles (douleurs moyennes à intenses)
 Palier 3 : antalgiques centraux forts (douleurs très intenses à rebelles).

2.1. Palier I : antalgiques périphériques (douleurs légères à moyennes)

Les antalgiques de palier I ou antalgiques périphériques avec le traitement des douleurs

légères à modérées,

 Le paracétamol : Antalgique de référence, utilisé en première intention, en raison de

sa bonne tolérance dans les conditions normales d’utilisation. Il est indiqué dans le
traitement symptomatique des douleurs d’intensité légère et/ou des états fébriles. Il à
une action centrale et périphérique. Il est le 1 er choix chez la femme enceinte et chez
les enfants.

 L’acide acétylsalicylique ou aspirine : Comparée au paracétamol, cette molécule a

également une composante anti-inflammatoire et est souvent utilisé en rhumatologie
dans le traitement des rhumatismes. A des doses plus faibles, l’aspirine est utilisée en
prévention des maladies cardiovasculaires. Cependant, il ne sera traité que son
utilisation en tant qu’antalgique et anti- inflammatoire.

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2.2. Palier II : antalgiques centraux faibles (douleurs moyennes à intenses)

 Les antalgiques de palier II ou antalgiques opioïdes faibles très souvent en association

avec le paracétamol, traitant les douleurs d’intensité modérée à intense ;

 Le tramadol : Les médicaments à base de tramadol existent sous différentes formes :

des formes à libération immédiate et des formes à libération prolongée. Son pic
d’action varie de 20 minutes à 2 heures après administration en intraveineuse. Avant
d’être prescrit, le prescripteur doit évaluer le rapport bénéfice/ risque du tramadol en
fonction de chaque patient.

 La codéine : Pour additionner les effets antalgiques, la codéine est très souvent
associée au paracétamol ou à l’aspirine. Elle est indiquée dans le traitement
symptomatique des douleurs d’intensité modérée à intense ne répondant pas à
l’utilisation d’antalgiques périphériques seuls.

2.3. Palier III : antalgiques centraux forts (douleurs très intenses à rebelles).

 Les antalgiques de palier III ou antalgiques opioïdes forts indiqués dans le traitement
des douleurs sévères, intenses et/ ou rebelles aux antalgiques des niveaux précédents.
 La morphine : C’est la plus connue et la référence des antalgiques traitants des
douleurs persistantes, intenses ou rebelles. Sur un homme sain elle a un effet
dysphorique alors que sur un homme souffrant elle a un effet euphorique. La voie
orale est toujours préférée à la voie injectable pour limiter le risque de dépendance.
Ainsi la dose usuelle d’initiation d’un traitement par morphine est de 60 mg/ jour.
Ensuite on recherche la dose optimale efficace.
 Le fentanyl : Apres la morphine, le fentanyl est un antalgique très utilisé agissant très
rapidement et sur une courte durée. Grâce à un dispositif transdermique, les douleurs
stabilisées évitent l’usage de la voie orale et ainsi les effets indésirables semblent
limités.

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Palier III
-Morphine
Palier II
-Fentanyl
Palier I -Codéine
-hydromorphone
-Paracétamol -Dextropropoxyphène
-Oxycodone
-anti-
-Tramadol -Buprénorphine
inflammatoire-non
stéroïdien -Péthidine
-Dihydrocodéine
-Aspirine
-Néfopam
-Noramidopyrine

-Floctafénine

Antalgiques Antalgiques Antalgiques

non opioïdes opioïdes faibles opioïdes forts

Douleurs Douleurs Douleurs

d’intensité faible à d’intensité d’intensité
modérée modérée modérée à forte

III/ Interactions médicamenteuses

Les antalgiques peuvent être utilisés dans différentes prises en charge. Cependant il
existe des recommandations d’utilisation. Les antalgiques de Palier 1 s’associent facilement
au palier 2 ou 3. Par exemple le paracétamol potentialise l’action de la morphine, association
d’un palier 1 et d’un palier 3. Les antalgiques de Palier 2 et 3 s’associent difficilement. Cela
n’est pas exclu, mais il faut garder à l’esprit qu’il y a un risque de surdosage ou une
majoration possible des effets indésirables. Mélange topalgic et morphine entraînant très
souvent des troubles digestifs (nausées ou vomissements).

 Solution Sucrée

G30%, Sirop de sucre de canne +eau,…

Chez les prématurés et chez les nourrissons, jusqu’à 3 mois environ, il est possible
d’utiliser une solution de saccharose par voie orale. La concentration doit être de minimum

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20% afin d’être efficace. A donner minimum 2 minutes avant la réalisation d’un soin
engendrant une douleur faible à modérée. Associée à la succion, l’effet antalgique est majoré.

IV/ Conseils pratiques

1- Antalgiques en automédication

L’automédication doit privilégier la prise du paracétamol qui peut être consommé

même pendant la grossesse ou l’allaitement. Le recours à l’automédication peut poser
problème si aucun diagnostic n’a été porté. Lorsque la douleur est violente, inattendue et
survient de façon brutale, mieux vaut en premier lieu consulter son médecin traitant qui
évaluera la douleur pour prescrire l’antalgique qui convient.

Que ce soit en automédication ou dans le cadre d’une prescription, il est recommandé

de lire la notice du médicament ou demander conseil à votre médecin ou pharmacien en cas
de doute.

2- Grossesse et allaitement
Les antalgiques utilisés ne seront pas les mêmes en fonction de la période de la
grossesse.

Pour le premier trimestre, le paracétamol peut être utilisé mais de façon ponctuelles et
aux doses recommandées. Les AINS et l’acide acétylsalicylique ne doivent pas être prescrits
pendant les cinq premiers mois de grossesse à cause d’un risque de fausse couche et de
malformation cardiaque.

Pour les deuxièmes et troisièmes trimestres, le paracétamol peut être utilisé de façon
ponctuelle tandis que les AINS et l’aspirine sont conte indiqués dès le 6eme mois de grossesse.

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CONCLUSION GENERALE

En somme, cette étude a permis de montrer que les antalgiques réduisent ou

suppriment la douleur en agissant soit sur le système nerveux périphérique, soit sur le système
nerveux central ; cela dépend de leur intensité et de leurs propriétés chimiques. S’ils existent
sous plusieurs formes, c’est surtout pour satisfaire de préférence des consommateurs et pour
contrôler la libération du principe actif. En général, ils servent surtout à faire face à la douleur
nociceptive, alors que les autres types de douleur doivent compter sur des méthodes
alternatives. En outre, il ne faut pas oublier que la douleur a une dimension psychologique qui
n’est pas forcément prise en compte, ce qui risquerait à long terme de nous faire croire que les
antalgiques nous sont indispensables. Il est important de prendre en compte le fait que les
antalgiques ne sont pas non plus le seul moyen de se débarrasser d’une sensation
douloureuse ; serait-il possible que les méthodes dites « naturelles » remplacent un jour les
anti-douleurs classiques ?

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BIBLIOGRAPHIE

 Dictionnaire Larousse édition 2000

 http://www.medecine.ups-tlse.fr/du_diu/fichiers/sallerin/antalgiques.pdf
 http://www.medcomip.fr/region/region-outils/outils-douleur/medocantalgiques.pdf
 Pratique du Traitement de la Douleur, Institut UPSA, édition 2007.
 Dr Caroline Fonzo- Christe/ Pharmacie des HUG- 12 Avril 2006
 Véronique Fournier, Formation Clud – Mars 2008
 Pr Hervé Lévesque, spécialiste en médecine interne et membre de la Société Nationale
Française de Médecine Interne

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TABLE DES MATIERES

Sommaire ………………………………………………………………………………………………… i
Dédicace ………………………………………………………………………………………………… ii
Remerciement ………………………………………………………………………………………….. iii
Avant-propos ………………………………………………………………………………………….. iv

INTRODUCTION GENERALE ………………………………………………………………….. 1

PREMIRE PARTIE ……………………………………………………………………………….. 2

HISTORIQUE ……………………………………………………………………….……………… 3
SITUATION GEOGRAPHIQUE ……………………………………..……………………… 3
FONCTIONNEMENT, ORGANISATION ……………………………………………… 3
Fonctionnement ………………………………………………………………………..…………… 3
 Moyens humains ………………………………………………………………...………… 3
 Moyens matériels et infrastructures ………………………………………….……… 3
Organisation ………………………………………………………………………………………..… 4
DEUXIEME PARTIE …………………………………………………………………………….. 6
CHAPITRE I : LES ANTALGIQUES ……………………………………………………………7

I/ Définition des antalgiques ……………………………………………………………………… 7

1. Formes et voies d’administration ………………………………………………………………... 7

2. Prescription d’un antalgique ……………………………………………………………………. 7

2.1- Evaluation de la douleur ……………………………………………………………………… 7

2.2- Critères d’évaluation …………………………………………………………………………. 8

II/ Traitements antalgiques ……………………………………………………………………… 8

1- Classification pharmacologique ………………………………………………………………... 8

2- Classification selon l’OMS : « Organisation Mondiale de la Santé » ……………………….. 9

2.1. Palier I : antalgiques périphériques (douleurs légères à moyennes) ……………………….. 9

2.2. Palier II : antalgiques centraux faibles (douleurs moyennes à intenses) ………………… 10

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2.3. Palier III : antalgiques centraux forts (douleurs très intenses à rebelles) ………………… 10

III/ Interactions médicamenteuses …………………………………………………………….. 11

IV/ Conseils pratiques ………………………………………………………………………….. 12

1- Antalgiques en automédication ……………………………………………………………….. 12

2- Grossesse et allaitement ………………………………………………………………………. 12

CONCLUSION GENERALE …………………………………………………………………. 13

BIBLIOGRAPHIE ……………………………………………………………………………... 14

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