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CONCOURS BLANC – JUILLET 2023

UTILISATION DE LA CALCULATRICE N’EST PAS AUTORISEE

Q1 L’excitation d’un muscle placé dans un milieu aérobie provoque la libération :


A De la chaleur initiale uniquement, suite à des réactions anaérobies ;
B De la chaleur initiale et retardée, suite à des réactions aérobies ;
C De la chaleur initiale suite à des réactions anaérobies, et de la chaleur retardée suite à des réactions
aérobies ;
D De la chaleur initiale et retardée, suite à des réactions anaérobies ;
E De la chaleur retardée uniquement, suite à des réactions aérobies.

Q2 Les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire appelée BPCO (Bronchopneumopathie chronique
obstructive) souffrent d'un dysfonctionnement grave de certaines fonctions physiologiques du corps. La
détérioration de la fonction musculaire est considérée l'un des symptômes courant de cette maladie.
Afin de déterminer les causes de la faible activité musculaire chez les patients atteints de BPCO, on
propose le document ci-dessous qui présente les résultats d'une étude de la distribution des types de
fibres musculaires chez une personne atteinte de BPCO et chez une personne saine (figure a) et certaines
propriétés des fibres musculaires (figure b).

Fibres Fibre I Fibre II


Caractéristiques
Taille Petit Gros
Résistance +++ +
Nombres de mitochondries +++ +
Activité des enzymes oxydatives +++ +
Activité des enzymes glycolytiques + +++
Activité de l’enzyme LDH + +++

Le nombre de signe (+) indique l’importance du caractère.


L’enzyme LDH catalyse les réactions de la production de l’acide lactique.

Fig. a Fig. b
Ce document montre :
A Les muscles squelettiques des personnes BPCO possèdent un pourcentage égal de fibres de type I et II
intervenant dans les réactions de la respiration cellulaire ;
B Les muscles squelettiques des personnes BPCO possèdent un pourcentage égal de fibres de type I et II
intervenant dans les réactions de la fermentation alcoolique ;
C Les muscles squelettiques des personnes BPCO possèdent un pourcentage élevé de fibres de type II
caractérisées par un nombre réduit de mitochondries, une forte activité des enzymes glycolytiques et de
LDH intervenant dans les réactions de la fermentation lactique ;
D Les muscles squelettiques des personnes BPCO possèdent un pourcentage élevé de fibres de type I
caractérisées par une forte activité des enzymes oxydative et une forte activité des enzymes glycolytiques
intervenant dans les réactions de la respiration cellulaire ;
E Les muscles squelettiques des personnes BPCO ne possèdent pas de fibres ce qui rend la production
d’énergie nécessaire à la contraction musculaire impossible.

Q3 La séquence d’ARNm qui se forme à partir de la séquence 5’ ATA TAC CGA 3’ (brin transcrit d’ADN) est :
A ARNm : 5’ TCG GTA TAT 3’
B ARNm : 5’ UCG GUA UAU 3’
C ARNm : 5’ UAU AUG GCU 3’
D ARNm : 3’ UCG GUA UAU 5’
E ARNm : 3’ UAU AUG GCU 5’
Q4 On considère les croisements suivants :
- le premier croisement :
On croise deux lignées pures de drosophiles : une à ailes longues et aux yeux bruns, l'autre aux ailes
vestigiales et aux yeux rouges. On obtient une descendance F1 uniforme, constituée uniquement
d'individus aux ailes longues et aux yeux rouges.
Le deuxième croisement :
On croise des femelles F1 avec des mâles bi-récessifs. On obtient en F2 :
- 716 drosophiles aux ailes longues et aux yeux bruns ;
- 702 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux rouges ;
- 238 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux bruns ;
- 256 drosophiles aux ailes longues et aux yeux rouges.
Ces résultats montrent que :
A Les deux gènes étudiés sont liés, et que l’apparition des drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux bruns
s'explique par un brassage interchromosomique lors de la métaphase I de la méiose ;
B Les deux gènes étudiés sont indépendants, et que l’apparition des drosophiles aux ailes vestigiales et aux
yeux bruns s'explique par un brassage interchromosomique lors de l’anaphase I de la méiose ;
C Les deux gènes étudiés sont liés, et que l’apparition des drosophiles aux ailes longues et aux yeux rouges
s'explique par un brassage intrachromosomique lors de la prophase I de méiose ;
D Les deux gènes étudiés sont indépendants, et que l’apparition des drosophiles aux ailes longues et aux
yeux rouges s'explique par un brassage interchromosomique lors de la prophase I de la méiose ;
E Les deux gènes étudiés sont liés, et que l’apparition des drosophiles aux ailes longues et aux yeux bruns
s’explique par un brassage intrachromosomique lors de la prophase I de méiose.

Q5 La mucoviscidose est une maladie héréditaire autosomale liée à une anomalie au niveau du gène qui
code pour la protéine CFTR. Le non fonctionnement de cette protéine se traduit par l’apparition des
symptômes de la mucoviscidose (Troubles respiratoires et digestifs). Le pedigree présente l’arbre
généalogique de deux familles A et B dont l’un des individus est atteint de cette maladie.

Sachant que l’individu II5 aurait une probabilité de 1/30 d’être atteint de la maladie, on peut déduire
qu’il s’agit :
A D’une maladie dominante autosomale et que la probabilité que le fœtus III1 soit atteint est de 1/30 ;
B D’une maladie récessive autosomale et que la probabilité que le fœtus III1 soit atteint est de 1/180 ;
C D’une maladie récessive gonosomale et que la probabilité que le fœtus III1 soit atteint est de 1/4 ;
D D’une maladie dominante gonosomale et que la probabilité que le fœtus III1 soit atteint est de 1/180 ;
E D’une maladie récessive autosomale et que la probabilité que le fœtus III1 soit atteint est de 2/3.

Q6 Le document ci-contre représente le caryotype d’un fœtus :

À partir des informations tirées de ce document, on peut déduire


que ce caryotype est celui d'une cellule d'un fœtus à 22AA, XYY issue
de la fusion :

A D’un gamète femelle au caryotype normal et d’un gamète mâle résultant d’une méiose dont l’anaphase I
a présenté une anomalie ;
B D’un gamète femelle au caryotype normal et d’un gamète mâle résultant d’une méiose dont métaphase
II a présenté une anomalie ;
C D’un gamète femelle au caryotype normal et d’un gamète mâle résultant d’une méiose dont l’anaphase II
a présenté une anomalie ;
D D’un gamète femelle au caryotype anormal résultant d’une méiose dont l’anaphase II a présenté une
anomalie et d’un gamète mâle normal ;
E D’un gamète femelle au caryotype anormal résultant d’une méiose dont l’anaphase I a présenté une
anomalie et d’un gamète mâle anormal résultant d’une méiose dont prophase I a présenté une anomalie.

Q7 Soit une maladie dominante liée à X, on dénombre dans la population de Hardy-Weinberg 20 individus
malades parmi 100 individus de sexe masculin. Quelle serait la fréquence des femelles atteintes ?
A 0.36;
B 0.04 ;
C 0.036 ;
D 0.16 ;
E 0.32.

Q8 En 1863, lors de la construction du métro de Londres, certains moustiques communs européens sont
restés piégés dans les souterrains lors de sa construction. Aujourd’hui, leurs descendants, appelés
moustiques communs souterrains sont incapables de se reproduire avec les moustiques communs
européens de surface, même au laboratoire.
Le tableau ci-dessous montre quelques caractéristiques de ces deux moustiques :

Moustique commun Moustique commun


européen souterrain
Cycle avec période de vie ralentie en hiver OUI NON
Reproduction dans des espaces fermés NON OUI

Ces résultats permettent de déduire que :


A Le moustique commun européen et le moustique commun souterrain appartiennent à la même espèce ;
B Le moustique commun européen et le moustique commun souterrain appartiennent à la même
population ;
C Le moustique commun souterrain est le résultat d’un phénomène de migration sous l’influence des
facteurs du milieu ;
D Le moustique commun européen et le moustique commun souterrain n’appartiennent pas à la même
espèce ;
E Le moustique commun européen et le moustique commun sont interfécond capable d’engendrer une
descendance fertile.

Q9 Le document suivant décrit les expériences


historiques d'immunisation chez le lapin, ces
expériences montrent :

A Le sérum de A contient des anticorps anti-


diphtérie et anti-tétanos ;
B L'immunité adaptative liée à l'action de
molécules solubles est démontrée par
l'expérience sur le lapin B ;
C Le lapin A ne meurt pas car il ne produit des
d'anticorps antitétanique ;
D L'action spécifique contre des antigènes pendant
la réponse immunitaire peut être déduite des
expériences sur les lapins C et D ;
E Le lapin A ne meurt pas car la toxine tétanique
n'est pas dangereuse.
Q10 Le document ci-après montre l’évolution des
antitoxines tétaniques lors d’une vaccination
contre la toxine tétanique :
A Les antitoxines tétaniques sont des anticorps anti-
toxine tétanique ;
B Le vaccin permet à l'organisme de produire
immédiatement des antigènes ;
C La réponse primaire sont plus rapides et plus
efficaces que la réponse secondaire ;
D La zone de protection correspond au taux
d'anticorps en dessous duquel l'organisme n'est
plus protégé correctement ;
E La vaccination contre la toxine tétanique induit
une régression de la réponse immunitaire de
l'organisme.
COMPOSANT 2 : PHYSIQUE

Propagation d'une onde à la surface de l'eau

A l’instant t=0, On produit à l'aide de la plaque (P) d'un vibreur, à la


surface libre de l'eau d'une cuve à ondes, des ondes progressives
périodiques de fréquence N=10Hz . les ondes se propagent sans
amortissement ni réflexion.
La figure ci-contre donne l'aspect de la surface de l'eau à un instant t 1
donné.
Donnée : d=6cm.

Q 11. l’instant t 1 vaut :

A t 1 =0,213 s B t 1 =0,425 s C t 1 = 0,850 s D t 1 = 0,900 s

Diffraction d'une onde lumineuse

On effectue une expérience de diffraction à l'aide


d'un laser émettant une lumière monochromatique
de longueur d'onde λ. À quelques centimètres du
laser, on place successivement des fils verticaux de
diamètre connu.
La figure de diffraction est observée sur un écran
placé à une distance D = 2 m des fils.
Pour chacun des fils, on mesure la largeur L de la tache centrale.
On calcule alors l'écart angulaire θ du faisceau diffracté et on trace
la courbe L=f(1/a) de la figure 2. +

On considère que tan θ = θ.


On donne : 2,25=4x0,563 et 563=112,5x5

Q 12. La longueur d’onde de la lumière utilisée est :

A λ= 420 nm B λ= 513 nm C λ= 563 nm D 620 nm

Pour un fil de diamètre a inconnu, on mesure une largeur de tache égale à 2,25 cm.

Q 13. La valeur du diamètre a est :

A a = 0,3 mm B a = 0,1 mm C a = 0,05 mm D a = 0,025 mm


Désintégration du plutonium 238

On considère l’équation de désintégration radioactive du plutonium 238 : 238


94 Pu → 234
92 U + 42 He
238 238
Soit t 1/2 la demi-vie du noyau de 94 Pu et Soit N 0 (Pu) le nombre de noyaux de 94 Pu à l’instant t=0.
A un instant t 1 on a : N( Pu ) = 4N( U ).
238
94
234
92

Q 14. L’instant t 1 vérifie la relation :

A t1/ 2 B t1 = 4t1/ 2 C Ln5 D 5


t1 = t1 = t1/ 2 ( - 2) t1 = 4t1/ 2 .Ln
4 Ln2 2

Charge d’un condensateur

On charge totalement à travers un conducteur ohmique de résistance R un condensateur de capacité


C=50μF à l’aide d’un générateur idéal de tension de force électromotrice E (fig. 1).Un système
d’acquisition nous permet de visualiser les courbes u C (t) et u R (t) représentées sur la figure 2 .

Q 15. L’expression de la tension u R (t) est :

t t t t
A − B − C − D −
τ τ τ τ
u R (t)= E(1 - e ) u R (t)= E(1 + e ) u R (t)= E.e u R (t)= 1 - E.e

Q 16. l’instant t 1 où les deux courbes se coupent vérifie :

A B C τ D
t = 2τ t = τ.Ln2 t= t =τ(1 + ln 2)
ln 2

Freinage d’une voiture

On réalise un essai de freinage d’une voiture de masse m =1t et de centre d’inertie G sur une piste horizontale
rectiligne. Lors d’un parcours AB =50m de sa trajectoire, on enregistre en A une vitesse V A =30 m/s et en B une
vitesse V B =25 m/s .

On considère que les forces de frottement sont équivalentes à une force de freinage unique f d’intensité
constante et de sens opposée à la vitesse.

Q 17. La valeur algébrique de l’accélération de G est :


A a G = - 2m/s B a G = - 2,5m/s C a G = - 2,75m/s D a G = - 3 m/s

Q 18. L’intensité de la force de frottement est :


A f = 1000 N B f = 2500 N C f = 2750 N D f = 2850 N
Oscillations d’un pendule élastique

Un oscillateur mécanique est formé d’un solide (S)


de masse m =100g et de centre d’inertie G fixé à l’extrémité libre
d’un ressort horizontal à spire non jointives de masse négligeable et de
raideur K, l’autre extrémité du ressort est fixé à un support.
On néglige les frottements et on prend π 2 =10 .
La courbe suivante représente la variation de la vitesse de G en fonction du temps.
on choisit comme origine de l’énergie potentielle élastique la position d’équilibre de (S) (x=0).

0, 3
On donne :  0,1
π

Q 19. L’amplitude des oscillations de G est :

A X m = 0,3 cm B X m = 3 cm C X m = 4 cm D X m = 5 cm

Q 20. L’énergie mécanique du système oscillant est :

A E m = 4,5 mJ B E m = 9 mJ C E m = 10 mJ D E m = 12 mJ
COMPOSANT 3 : CHIMIE

Suivi temporel d'une transformation chimique1

On étudie la réaction d'oxydation de l'acide oxalique H 2 C 2 O 4 par l'ion permanganate MnO 4− en milieu acide.

On mélange un volume V 1 = 25 mL de la solution aqueuse de


permanganate de potassium de concentration molaire apportée C 1 ,
quelques gouttes d'acide sulfurique concentré et V 2 = 25 mL d'une
solution aqueuse d'acide oxalique de concentration molaire apportée C 2 .
La courbe ci-contre représente les variations de
l'avancement x de la réaction en fonction du temps.
H 2 C 2 O 4 est limitant.

Q 21. La valeur de la concentration molaire C 2 est :

A C 2 =8.10-4 mol.L-1 B C 2 =1,6.10-3 mol.L-1 C C 2 =4.10-3 mol.L-1 D C 2 = 2.10-3 mol.L-1

Q 22. La vitesse volumique à l’instant t=400 s vaut :

A V=3,33.10-7mol.L-1.s-1 B V=3,33.10-6mol.L-1.s-1 C V=4,33.10-7mol.L-1.s-1 D V=6,67.10-7mol.L-1.s-1

Détermination du pourcentage d’acide butanoïque dans un beurre.

Dans un bécher, on introduit m b =10 g de beurre fondu auquel on ajoute de l’eau distillée. Après agitation On
obtient une solution aqueuse (S) d’acide butanoïque de concentration molaire C et de volume V 0 =1L.
On dose le volume V =10 mL de la solution (S) par une solution aqueuse d'hydroxyde de sodium de concentration
molaire C B =4.10-3 molL-1 l’équivalence est obtenue quand on verse le volume V BE =10 mL.
Données :
M(C 3 H 7 CO 2 H)=88 g.mol-1; pK A ( C 3 H 7 CO 2 H / C 3 H 7 CO 2 -) = 4.78

Q 23. Le pourcentage d’acide butanoïque dans le beurre vaut :

A 3,00 % B 3,52 % C 5,20 % D 3,52.10-2 %

Q 24. au cours du titrage , quand on verse un volume V B =3,8 mL de la solution d’hydroxyde de sodium,
Le pH du mélange s’écrit :

A VB B VBE − VB C VBE D VB
=
pH pK A + log ( ) =
pH pK A + log ( ) =
pH pK A + log ( ) =
pH pK A + log ( )
VBE − VB VB VB VBE
Q 25. Les valeurs du taux d’avancement final de la réaction et du pH du milieu réactionnel pour le
volume V B = 5mL sont :

A τ = 0,5 B τ = 0,5 C τ=1 D τ=1


pH = 4 pH = 4,78 pH = 5 pH = 4,78

Etude d’une pile

+ 3+
L’équation de la réaction de fonctionnement d’une pile est : Al (S) + 3Ag (aq)  Al (aq) + 3Ag (s)
Lorsque cette pile débite, un courant électrique d’intensité I constante pendant une durée d’une heure, la
masse de l’électrode d’aluminium Al diminue de 54 mg.
Données : 1F = 9,65.104 C.mol−1 ; M(Al) = 27g.mol−1 ; M(Ag) = 108g. mol−1

Q 26. L’augmentation de masse de l’électrode d’argent Ag est :

A 54 mg B 162 mg C 648 mg D 800 mg

Q 27. L’intensité I du courant est :

A 0,12 A B 0,16 A C 0,36 A D 0,60 A

Synthèse d’un ester

Pour synthétiser un ester , on réalise le chauffage à reflux de 0,4mol d’acide méthanoïque et de 0,4mol
de propan-2-ol. On ajoute à ce mélange quelques gouttes d’acide sulfurique concentré. Après une heure de
chauffage, on refroidit le mélange et on détermine par titrage acido-basique la quantité d’acide méthanoïque
restante : n r
La constante d’équilibre associée a cette réaction est K=1,49 .
On donne 1,22² = 1.49

Q 28. La valeur de la quantité de matière d’acide restante est :

A n r = 0,1 mol B n r = 0,16 mol C n r = 0,18 mol D n r = 0,2 mol

Q 29. Le rendement de cette réaction est :

A r = 35% B r = 45% C r = 55% D r = 67%

Q 30. Si on refait l’expérience précédente en partant d’un mélange équimolaire contenant 0,8mol
d’acide méthanoïque alors le rendement :

A augmente B diminue C Ne change pas D On ne peut rien dire


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Épreuve de Mathématique – Durée 30 min

Q31 :

(U n ) est une suite arithmétique tel que U 2022 − U 2020 = 44 et U 4 + U 6 = −4026 Alors :

A U 0 = 2023 B U 0 = −203 C U 2023 = −2023 D U 2023 = 2023 E U 2023 = 203

Q32 :
On considère les fonctions f et g définies par f ( x ) = ln x et g ( x ) = e x .
On note la surface du domaine limité par ( C f ) et ( C g ) et les droites d’équation

(x = ) et ( x = 1) par S  avec 0  1 . Alors lim S est :


 → 0+

A e B 2e C 3e D 4e E 5e

Q33 :
0 4
La valeur de l’intégrale  dx est :
1
e 2x
(1 + e )
−2 x 2

e2 − 1 e2 4e2 −4e2 1 − e2
A B C D E
1 + e2 1 + e2 1 + e2 1 + e2 1 + e2

Q34 :
iz
L’ensemble des points M ( z ) tel que le complexe : soit un imaginaire pur
i+z
est :
A L’union de deux droites B L’axe réel privé du point A ( −i )

C L’union d’un cercle et une droite privés des deux points A ( −i ) et B ( i )

D La droite d’équation y = 2 x − 1 privé du point A ( −i )

E L’axe imaginaire privé du point A ( −i )

Q35 :

f est une fonction dérivable sur tel que f ( x ) = ( x + x 2 + x 3 + ..... + x 2023 ) e x

la valeur de f  ( 1) − f ( 1) est :

A 2023  2024 e B 2022  2023e C 2023 1012e D 2022 1011e E autre réponse
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Q 36 :
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé, on considère la sphère (S) d’équation

x2 + y 2 + z 2 − 2 x − 2 y − 4 z + 5 = 0
On lance un dé dont les faces sont numérotées par 1,1,1,1,2,2 on obtint ainsi un nombre a
La probabilité pour que le plan (P) d’équation x − 2 y − 2 z + 2a = 0 soit tangent à (S) est :

1 1 1 2
A B C D E autre réponse
3 6 2 3

Q37 :

La valeur de lim
ln ( 3
)
1 + x sin 3 x
est :
x →0 3
x

A 0 B 1 C 3 D + E n ' existe pas

Q38 :
   
sin   − i cos  
Un argument du complexe
5  5  est :
6+i 2
7 11 −13 −7 −11
A B C D E
15 15 15 15 15

Q39 :

ABC un triangle rectangle en C tel que AB=3 et  une mesure de l’angle BAC alors
la surface du triangle ABC est :
9 3 9 9
A S = sin ( ) B S = sin ( 2 ) C S = 9sin ( ) D S= sin ( 2 ) E S = sin ( 2 )
4 2 2 4

Q40 :

  1
Soit n  l’équation x + 3 x − 1 = 0 admet une unique solution
n
a n dans  0, 
 2
Alors la limite de la suite ( an ) n1 est :

1 1 1
A 0 B 1 C D E
2 3 4

Réalisé par :
Prof Hicham BELGOUZDEM

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