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l’atmosphère primitive était composé d ‘eau, de Dioxyde de carbone, de méthane et de diazote
l’origine des différents constituant viennent d’éruptions volcaniques, ainsi que le bombardement de
météorites qui ont apporté une grande quantité d’eau
3) la composition actuelle de l’atmosphère est : diazote, dioxygène ainsi que quelques traces d’eau,
de CO2
le diazote est restée globalement stable dans l’atmosphère
4) Le problème est quelle est le décalage temporel existant entre l’apparition de O2 dans les océans
et son apparition dans l’atmosphère.
5) les stromatolithes sont des formations rocheuses marines issues de l’activité photosynthétique des
cyanobactéries. Ces dernières ont libéré de lO2 dans l’océan qui est resté dans celui-ci et a permis
l’oxydation du fer. Une fois tous le fer oxydé, le dioxygène a pu être libéré dans l’atmosphère
Document 6 :
dans ce document nous constat-on que l’Australie se situe sous un énorme trou dans la couche
d’ozone comme on peut le voir sur la carte du globe qui se situe a droite on remarque que
l’Australie est coloré en bleu cela représente une épaisseur de environ 100 UA ,ce qui est
complètement différent de ce que l’on retrouve dans d’autres pays ou l’on se trouve plus au alentour
des 300 UA, cela provoquent une longue période pendant laquelle les rayons ultra-violets, surtout
en été ou les températures peuvent s’élever jusqu’à 40 degrés, D’après une étude menée par le
conseil australien du cancer nous démontre que 2,7 millions d’adultes attrapent des coups de soleil
notamment dans le territoire du Nord, la Tasmanie et le territoire de la capitale australienne, on en
déduit donc ainsi que la couche d’ozone protège ainsi des ultra-violets et permet à la vie de
subsister sur Terre
Physique Chimie :
2) l’eau a l’état de gaz qui été dans l’atmosphère est devenu liquide car la pression et la temperature
ont peu augmenté
6)
Activité 2
1)O2(g)+O(g)+N2(g)→O3(g)+N2(g)
3)Les choix politiques visant la restructuration de la couche d'ozone ont été justifiés par la prise de
conscience des effets nocifs des substances telles que les CFC sur la santé humaine et
l'environnement. Ces décisions étaient basées sur des preuves scientifiques solides montrant que les
CFC décomposent l'ozone stratosphérique, augmentant ainsi le risque de cancers de la peau et
d'autres problèmes de santé. Les accords internationaux, comme le Protocole de Montréal en 1987,
ont été établis pour limiter l'utilisation de ces substances et ont conduit à des mesures
réglementaires strictes et à la promotion de technologies respectueuses de l'environnement,
contribuant ainsi à la préservation de la couche d'ozone.