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Management
Rapport de stage
à adrеssеr mеs sinсèrеs rеmеrсiеmеnts à M. Nafizi Chérif , Chef de service des ateliers dе
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OCP Khouribga , рour m’avoir еnсadré durant la рériodе dе stagе еt pour m’avoir aidé à lе
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Résumé
La production est un maillon essentiel dans les entreprises de production qui s’affairent à
la conception , à la fabrication ,au réglage à la réparation ou à l’assemblage d’une multitude de
piéces , d’outils, d’accessoires et de produits métalliques,Les moteurs ,les engrenages.
Le développment économique de ces entreprises passe par la modernisation des équipements
et l’introduction de technologies de point, ainsi que la maintenance préventive qui joue un
role prémordiale pour que les machines ne tombent pas en panne.
Dans ce sens, vient
i le présent i rapport qui porte sur l’analyse des flux des
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processus des acx et les modes des défaillances et évaluer les points critique liées au
processus de production.
L’objectif de mon étude est de proposer des améliorations pour augmenter l’efficacité, et
l’efficience du travail des ateliers centraux.
C’est pourquoi j’ai choisi la méthode DMAIC étant une démarche structurée et une
conduite de changement qui permet d’améliorer la performance dans un délai court.
Un plan d’action est finalement mis en place, et plusieurs procédures sont standardisées par
la mise en œuvre des modes opératoires créés durant ce travail. Toutes les actions seront
contrôlées par la feuille de route pour garantir le gain gagné et pour les améliorer au fur à
mesure selon les résultats perçus.
Finalement, ce projet était une expérience professionnelle très enrichissante où j’ai pu
développer mon esprit de créativité et d’adaptation. C’était aussi une occasion pour
développer ma compétence communicative et mettre en pratique mon savoir-faire et mes
connaissances techniques acquises pendant ma formation à HEM.
Abstract
iii
The production is an essential link in the production companies which are occupied with
the design, the manufacture, the adjustment with the repair or the assembly of a multitude of
parts, tools, accessories and metal products, the engines, the gears.
The economic development of these companies requires the modernization of equipment and
the introduction of new technologies, as well as the preventive maintenance which plays a
role premordiale so that the machines do not fall in breakdown.
In this sense, this thesis focuses on the analysis of the flow of the processes of acx and the
failure modes and evaluate the critical points related to the production process.
iv
Liste des abréviations
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LISTE DE FIGURES
Figure 1: les activités par ordre
chronologique…………………………………………………………………………. 10
Figure 2: l'activité chiffrée de
l'OCP………………………………………………………………………………………….. 11
Figure 3: Les sites et les types d'activités de l'OCP au niveau
national……………………………………… 12
Figure 4: Quelques Chiffres
Clés……………………………………………………………………………………………….. 13
Figure 5: organigramme
d'OCP………………………………………………………………………………………………… 14
Figure 6: Cartographie des
processus………………………………………………………………………………………. 15
Figure 7 : Organigramme des ateliers
centraux…………………………………………………………………………. 16
Figure 8: usinage d’un arbre de grand
dimension………………………………………………………….............. 17
Figure 9: Les activités du
Processus…………………………………………………………………………………………… 20
Figure 10 : Value Stream
Mapping…………………………………………………………………………………………….27
Figure 11: diagramme d'ISHIKAWA.................................................................................................34
Figure 12: les 5
pourquoi…………………………………………………………………………………………………………..
35
Figure 13 : Procédures de constitution de la feuille de
route……………………………………………………..45
LISTE DE TABLEUX
Tableau 1: Démarche DMAIC..............................................................................................................24
Tableau 2 : méthode QQOQCP............................................................................................................25
Tableau 3 : SIPOC................................................................................................................................26
Tableau 4: logigramme de flux d'information.......................................................................................29
Tableau 5:AMDEC du processus..........................................................................................................39
Tableau 6: plan d'action........................................................................................................................39
Tableau 7: les 5S...................................................................................................................................40
Tableau 8 : tableau de bord du processus de MFM..............................................................................47
vi
Sommaire
Dédicace.......................................................................................................................................i
Remerciement.............................................................................................................................ii
Résumé......................................................................................................................................iii
Abstract......................................................................................................................................iii
Sommaire..................................................................................................................................vii
Introduction générale..................................................................................................................1
Référence bibliographique........................................................................................................79
Annexes.....................................................................................................................................81
vii
Introduction générale
Alors, Comment peut-on procéder pour assurer une bonne maîtrise de processus de
production, Comment on peut améliorer des flux des processus des ateliers centraux?
Pour pouvoir donner les bonnes réponses aux problématiques déjà citées, le
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ACX doivent être remets en question. En revanche, notre finalité à travers ce projet est !!
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démarche DMAIC qui nous a permis d’identifier les causes principales qui ont conduit à ce
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dysfonctionnement, d’analyser et de structurer les données pour pouvoir par la suite mettre en
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Nous allons procéder dans le premier chapitre à un rapprochement théorique de
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la
fonction de production et maintenance qui sont des i moteurs principaux pour chaque
entreprise industrielle, et nous allons expliquer la relation d’interdépendance et de
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complémentarité entre ces derniers, ensuite nous allons justifier notre choix méthodologique
i
pouvoir proposer un plan d’action à mettre en œuvre en exposant les solutions d’entreprise
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Chapitre I : Cadre conceptuel i
et méthodologie de travail
10
Introduction
Production, toute industrie qui produit des produits à partir de matières premières en
utilisant du travail manuel ou des machines et qui est généralement réalisée de manière
systématique avec une division du travail. Dans un sens plus restreint, la fabrication désigne la
fabrication ou l'assemblage de composants en produits finis sur une assez grande échelle. Parmi
les industries manufacturières les plus importantes figurent celles qui produisent des avions, des
automobiles, des produits chimiques, des vêtements, des ordinateurs, des produits électroniques
grand public, des équipements électriques, des meubles, des machines lourdes, des produits
pétroliers raffinés, des navires, de l'acier et des outils et matrices.
Ceci étant, ce chapitre est structuré en deux parties dans la première nous
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maintenance.
Ensuite la deuxième section, nous l’avons réservé pour la méthodologie de travail, dans
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un premier lieu nous avons essayé de défendre notre choix méthodologique adapté lors
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du traitement de sujet, et par la suite nous avons présenté brièvement les différents outils
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Section 1 : Le cadre conceptuel du projet et revue de la littérature
1. Les systèmes de production
1.1 Définition d’un système de production
i
Un système de production est une combinaison d'actions et de processus utilisés tout au long
de la production d'un bien quelconque. Si les entreprises ont développé différents systèmes et
processus au fil du temps, ils sont devenus un élément de plus en plus important de tout
environnement de production.
La mise au point d'un système adéquat fournit un moyen de transmettre des commandes aux
machines et des ordres aux travailleurs, et constitue un élément de plus en plus essentiel du
contrôle de la qualité.
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B. Qualité :
La qualité est la standardisation de quelque chose, mesurée par rapport à d'autres choses de
même nature ou on peut dire le degré d'excellence de quelque chose. Nous ne pouvons pas
mesurer la qualité d'un produit produit mais nous pouvons le comparer avec un autre
produit.
Lorsque nous parlons de qualité, nous disposons de certains éléments pour la contrôler.
éléments pour la contrôler ou la surveiller.
C. Le coût :
Dans les affaires, le coût est l'évaluation la plus monétaire de
des matériaux, des efforts, des ressources, des services publics consommés, des risques
encourus, du temps et de l'opportunité perdus dans la production et la livraison d'un bien ou
d'un service. Il existe de nombreux facteurs que nous devons garder à l'esprit lorsque nous
cherchons à améliorer l'avenir de notre entreprise. Certains de ces points sont indiqués ci-
dessous :
Taux de rebut des matériaux
Coût de la mauvaise qualité
D. Livraison :
C'est une action qui consiste à livrer votre produit à une période donnée.
A cette période donnée, le produit doit être passé par tous les points de contrôle décidés par
un fabricant. tous les points de contrôle décidés par une usine de fabrication. usine. Dans le
secteur de l'automobile, la plupart des clients doivent réserver leur véhicule.les clients
doivent réserver leur véhicule et ensuite l'entreprise décide à quel moment il peut être livré
au client.
Nous avons quelques points majeurs dans la section de livraison qui sont
E. Sécurité :
C'est la condition d'être protégé contre une blessure ou un risque.C'est l'un des facteurs les
plus importants de la production.travailleurs veulent que leur environnement soit sûr. Pour
la sécurité, nous avons différents projets et tâches qui nous permettent de calculer le risque.
En matière de sécurité, nous prenons soin de
F. Morale :
Concerné par le principe du bon et du mauvais comportement de un processus est
moral. Toute forme de modification ou encouragement est moral dans une usine de
fabrication. Tout type d’augmentation de la satisfaction du client ou du processus est une
grande préoccupation.
13
1.3 La classification des systèmes de production
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Les systèmes de production ne sont pas tous identiques, et les entreprises peuvent utiliser
différents types de systèmes de production en fonction de ce qu'elles fabriquent, de la
manière dont elles veulent le fabriquer, de leur taille et d'un certain nombre d'autres
facteurs.
Voici les différents types de systèmes de production couramment utilisés aujourd'hui.
Système de fabrication en continu
Il s'agit du système classique de production de masse et de celui auquel les profanes
pensent le plus souvent lorsqu'ils pensent à la fabrication. Dans un système de fabrication
en continu, un produit se déplace le long d'une chaîne de montage, avec divers travailleurs
spécialisés effectuant des actions pour assembler le produit à des stations le long du
chemin.
La fabrication en continu permet d'obtenir une production plus élevée et des coûts unitaires
plus faibles, mais elle nécessite un investissement en capital important en raison de la
quantité de main-d'œuvre et de machines nécessaires, et se retrouve donc plus souvent dans
les grandes entreprises.
Si votre système de fabrication actuel ne donne pas les meilleurs résultats, il est peut-être
temps d'en changer. Il peut s'agir d'une entreprise coûteuse et longue au début, mais elle
peut aussi rapporter de gros dividendes à long terme.
Le rôle de la gestion de la production est d'harmoniser tous les aspects clés liés à la
production. Parfois aussi appelés les 5 M de la production, ceux-ci comprennent : 1) les
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hommes (main-d'œuvre et travail), 2) les machines
(équipements), 3) les méthodes (processus de production, postes de travail et gammes
de fabrication), 4) les matériaux (matières premières, composants et/ou sous-
ensembles), et 5) l'argent (financement et utilisation des actifs). La gestion efficace et
continue de la production est essentielle pour
Les décisions relatives à la gestion des équipes de production sont classées en trois niveaux
ou catégories :
1/Planification stratégique de la production :
La planification stratégique consiste à décider et à élaborer des plans stratégiques pour
atteindre des objectifs (ou buts) stratégiques. La direction générale élabore généralement
les plans stratégiques. Ces décisions ou plans sont normalement des décisions à long terme,
qui ont des implications pour les cinq prochaines années et plus. La planification à long
terme ou au niveau stratégique comporte beaucoup de risques et d'incertitudes. La
planification stratégique nécessite un balayage et une analyse de l'environnement externe
pour rechercher des informations.
Les décisions de planification des opérations stratégiques comprennent :
1. Les décisions technologiques : Choix de la technologie appropriée, de l'équipement, du
processus et du degré d'automatisation.
2. Les décisions relatives à la capacité : Quantité, moment et type.
3. Décisions relatives aux installations : Taille, emplacement et spécialisations
4. L'intégration verticale : Direction, étendue et équilibre
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La direction de niveau inférieur élabore des plans
opérationnels et l'horizon de planification est d'un an (maximum). Ces plans établissent les
actions qui sont nécessaires pour atteindre les objectifs opérationnels. Ces plans sont
déterministes dans le sens où l'incertitude est très faible. Les plans sont exprimés en termes
d'actions, qui peuvent être quantifiées.
Par exemple, le plan de production est une planification de niveau opérationnel qui donne
les détails comme :
1) Quel est l'emploi ?
2) Sur quelle(s) machine(s) il doit être traité (séquence d'opérations)
3) Qui doit effectuer ce travail - détails sur l'opérateur
4) Heures de début et de fin de chaque tâche dans chacun des postes de
travail ou machines ou installations
5) Les spécifications de qualité et les détails des inspections et des tests.
6) Ainsi, le plan de production opérationnel donne tous les détails
concernant le traitement du produit depuis le stade de la matière
première jusqu'aux produits finis prêts à être expédiés après le contrôle
de la qualité et les tests de performance.
2 Types et niveaux de maintenance
2.1 Definition :
La maintenance industrielle est le service effectué par les techniciens ou les mécaniciens
pour gérer les machines et les équipements afin d'augmenter le temps de fonctionnement et
d'atteindre les objectifs de l'entreprise. Elle est utilisée dans de nombreuses industries et peut
impliquer le dépannage, la réparation et le remplacement d'équipements afin d'améliorer les
performances des actifs.
2.2 Le role de la maintenance :
L'objectif principal de l'entretien régulier est de garantir que tous les équipements
nécessaires à la production fonctionnent à 100 % à tout moment.
production fonctionnent à 100% d'efficacité à tout moment. Grâce à de courtes inspections
quotidiennes, nettoyage, lubrification et ajustements mineurs, les problèmes mineurs
peuvent être détectés et corrigés avant qu'ils ne deviennent un problème majeur susceptible
d'arrêter une ligne de production.
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problèmes mineurs peuvent être détectés et corrigés avant qu'ils
ne deviennent un problème majeur susceptible d'arrêter une ligne de production. Un bon
programme de maintenance requiert la participation et le soutien de l'ensemble de
l'entreprise, de la direction à l'atelier.
Maintenance préventive :
La maintenance préventive implique des tâches standard conçues pour répondre aux besoins
typiques et prévus en matière d'entretien et de maintenance pendant le cycle de vie d'un
composant ou d'une pièce d'équipement. La maintenance préventive est un outil utile pour
éviter les problèmes de maintenance évitables, mais elle peut également entraîner des
inefficacités, comme l'investissement de ressources dans une maintenance qui n'est pas
nécessaire à ce moment-là.
Maintenance prédictive :
La maintenance prédictive intègre les données et la technologie pour fournir des
informations sur les performances des équipements et faciliter les alertes précoces sur les
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problèmes de maintenance potentiels.
La maintenance prédictive repose sur la technologie des capteurs industriels, notamment
les capteurs de vibrations, les capteurs à ultrasons et les capteurs thermographiques. Elle
constitue une nouvelle étape dans l'évolution de la maintenance - grâce à la prévoyance, à la
planification et à l'efficacité qu'elle permet.
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2.4Les niveaux de la maintenance
Maintenance de niveau 1
La maintenance de 1er niveau correspond aux interventions simples, nécessaires et réalisées
sur des éléments facilement accessibles. Ces opérations ne nécessitent pas le démontage ou
l'ouverture de l'équipement et peuvent être réalisées par l'opérateur lui-même ou par un
opérateur non spécialisé.
Seules quelques pièces détachées ou consommables sont utilisées pour ces opérations. Il n'y a
pas de risque particulier pour la sécurité si les instructions essentielles sont disponibles, par
exemple sur un manuel ou des instructions visuelles.
Maintenance de niveau 2
La maintenance de niveau 2 correspond aux interventions moins complexes, dont les
procédures sont simples à suivre. De plus, le remplacement de pièces lors de ces opérations ne
nécessite pas le démontage global de l'équipement concerné.
Ces interventions doivent être effectuées par un technicien qualifié ayant reçu une formation
sur la sécurité et les dangers. Elles sont donc généralement effectuées par un technicien de
qualification moyenne.
Maintenance de niveau 3
La maintenance de niveau 3 correspond à des interventions considérées comme complexes.
Ces interventions doivent donc être précédées d'un diagnostic et d'une identification. Elles
peuvent être réalisées sur site ou dans un atelier de maintenance, et doivent prendre en compte
l'équipement dans son ensemble, car la modification d'un élément peut avoir des
conséquences sur son fonctionnement général.
Les opérations de maintenance de niveau 3 doivent être effectuées par des techniciens
spécialisés utilisant les outils indiqués dans la notice d'entretien de la machine.
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Maintenance de niveau 4
Les opérations de maintenance de niveau 4 sont complexes et de grande importance, elles
nécessitent une expertise technique particulière.
Elles doivent donc être effectuées par un technicien ou une équipe de techniciens spécialisés
Maintenance de niveau 5
La maintenance de niveau 5 comprend des actions complexes réalisées par le fabricant de
l'équipement ou par une entreprise agréée par lui. Les actions à réaliser sont similaires aux
actions de fabrication.
Des exemples d'interventions de maintenance de niveau 5 sont la reconstruction ou la
réparation d'un équipement ou la mise en conformité d'un équipement avec de nouvelles
réglementations.
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2.5 La relation entre la maintenance et la production
La maintenance est un élément important du bon fonctionnement d'une production. Elle aide
les entreprises à maintenir leurs ressources tout en contrôlant le temps et les coûts afin de
garantir une efficacité maximale du processus de fabrication, des services publics et des
installations connexes. C'est un outil qui permet d'assurer une qualité fiable et satisfaisante de
la production, la sécurité des employés et la protection de l'environnement. La gestion de la
maintenance est également appelée GMAO, ce qui signifie Système de gestion de la
maintenance par ordinateur.
La maintenance est un facteur important de l'assurance qualité et, dans certains cas, elle
détermine le succès à long terme d'une entreprise. Des ressources mal entretenues peuvent
provoquer une instabilité et interrompre partiellement ou totalement la production. Les
machines qui fonctionnent mal ou les pannes complètes peuvent devenir un processus coûteux
pour la plupart des entreprises.
Lorsque des pannes surviennent, le coût de la main-d'œuvre par unité augmente à mesure que
le temps passe jusqu'à ce que les machines fonctionnent à nouveau normalement. Dans ce cas,
il y aura des dépenses imprévues pour réparer les problèmes, ce qui inclut des coûts
supplémentaires pour les installations de réparation, le technicien/l'équipe de réparation, les
inspections de maintenance préventive et les pièces de rechange. Voici quelques exemples de
ce à quoi une entreprise peut s'attendre au fil du temps si une solution de gestion de la
maintenance fiable n'est pas installée - même pour les entreprises ayant de nouvelles
machines dans leur production
23
Section 2 : Méthodologie de recherche
I. Le choix méthodologique
i
La variété des méthodes de résolution de problèmes (Problem Solving) entraîne une confusion
dans leur utilisation et crée une certaine complexité lorsqu'il faut en choisir une. Cependant, il
n'y a pas beaucoup de différence entre ces approches, comme on pourrait s'y attendre. Ces
différences, et donc mon choix vers une approche plutôt qu'une autre, dépendent avant tout du
type de problème à résoudre.
Les méthodes de résolution de problèmes telles que PDCA, DMAIC, A3, 8D et bien d'autres
peuvent être classées selon les deux critères suivants :
Malgré leurs différences, toutes ces approches ont en commun d'être toutes basées sur une
approche scientifique et méthodologique de la résolution d'un problème. De plus, la phase de
chaque méthode coïncide les unes avec les autres.
Afin de mieux choisir l'approche appropriée, je dois présenter chacune de ces méthodes, afin
que je puisse choisir la plus adaptée à notre problème.
PDCA
Le PDCA ou le cycle de Deming est une méthodologie de gestion qui vise à améliorer
continuellement les processus. Ce cycle est basé sur quatre étapes : planifier, faire, vérifier et
agir.
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faut donc comprendre cette approche comme un ensemble de jalons à passer afin d’être
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certain d’arriver au résultat. Ici, on est plus dans l’ordre de la « philosophie » que de la «
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DMAIC
DMAIC est le modèle de projet traditionnel au sein de la philosophie de gestion de Lean Six
Sigma. Il s'agit de la principale méthodologie d'amélioration axée sur les données de Six
Sigma. DMAIC est l'abréviation de Define, Measure, Analyze, Improve et Control. Les cinq
phases sont suivies de manière structurée en travaillant sur la résolution des problèmes et
l'optimisation des processus.
la méthode DMAIC est utile dans toute situation où vous devez améliorer un processus. La
méthode DMAIC réduit les risques de régler le mauvais problème en analysant le processus
avant de mettre en œuvre une solution. Elle améliore également la communication au sein de
l'équipe et de l'organisation, ce qui permet d'améliorer les performances et de rendre les
clients plus heureux.
A3
Les huit disciplines de la résolution de problèmes (8D) sont une méthodologie de résolution de
problèmes conçue pour trouver la cause principale d'un problème, concevoir une solution à
court terme et mettre en œuvre une solution à long terme pour éviter les problèmes récurrents.
Lorsqu'il est clair que votre produit est défectueux ou qu'il ne satisfait pas vos clients, une
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démarche 8D est une excellente première étape pour améliorer la qualité et la fiabilité.
La Ford Motor Company a mis au point cette méthodologie de résolution de problèmes, alors
connue sous le nom de Team Oriented Problem Solving (TOPS), dans les années 1980.
L'utilisation précoce de la méthode 8D s'est avérée si efficace qu'elle a été adoptée par Ford
comme principale méthode de documentation des efforts de résolution de problèmes, et
l'entreprise continue d'utiliser la méthode 8D aujourd'hui.
La méthode 8D est devenue très populaire parmi les fabricants car elle est efficace et
raisonnablement facile à enseigner. Vous trouverez ci-dessous les avantages d'une 8D, le
moment où il convient de l'effectuer et la manière de l'effectuer.
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Tableau 1 : Les méthodes de résolution de problème
PDCA DMAIC A3 8D
Define Clarifier le probléme 1. Constituer l’équipe et
Plan Définir collecter les informations
Préparer Measure Décomposer le probléme 2. Décrire le probléme
Mesurer Définir la cible 3. Définir des actions de
contournement
Analyze Analyser les causes racines 4. Analyser les causes racines
Analyser Developper les contres- 5. Définir des actions
mesures correctives potentielles
Do Improve Mettre en oeuvre les contre- 6. Mettre en œuvre des actions
Réaliser Améliorer mesures correctives
Check Evaluer les résultats et les 7. Définir des actions
Vérifier Control processus préventives
Act Controler Standardiser le succés 8. Féliciter l’équipe
Ajuster
Source : https://guillaumeroucou.com/problem-solving-pdca-dmaic-a3-8d/
Pour choisir l’une des démarches déjà citées, il faut préciser les critères de la
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il existe une contrainte liée à la démarche PDCA, parce que la phase « act » nécessite un i i i
temps très important et i qui i dépasse largement la i période de stage. De ce fait, notre
choix sera orienté vers la démarche DMAIC.
que cette démarche met l’action sur la réactivité et permet de résoudre un problème
i i i i i
unique, ce qui se contredit avec i les objectifs du i présent projet. D’autre part i la i
démarche A3 reste
utilisable pour des problématiques moins complexes et qui seront résoluesdans un délai trop court ne
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la problématique, elle permet de traiter les problématiques de grande taille, et s’appuie sur
i i i i
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un processus d’amélioration continue.
28
II. Les méthodes et outils de recherche
i i i
1. La démarche DMAIC i
Cette méthode a été créé par l’entreprise Motorola vers la fin des années 80, i i i
c’est une méthode liée très étroitement à la méthode SIX Sigma, et elle partage le même
i i i i i i i
de cette méthodeétait dans le cadre d’une démarche qualité mise en place par l’entreprise.
i
C’est une démarche de résolution des problèmes qui permet à toute entreprise de faire i i
production, mais elle est devenuetransversale et applicable à tous les types de processus grâce
i i i
La méthode DMAIC comporte cinq étapes pour résoudre d’une manière efficace
i i
29
DEFINE – Définir
Cette étape s’articule sur la limitation du champ de problème pour pouvoir définir
précisément le problème, ou bien le périmètre à traiter. Il faut tout d’abord expliciter le
i i i i i i
contexte du problème pour se situer par rapport au projet, et de cibler l’objectif à atteindre.
i i i i i
Plusieurs outils peuvent être utilisés dans ce cadre, pour notre cas on va opter pour le
i i i i i
QQOQCP (Qui i
MEASURE- Mesurer
Le but est de collecter des données sur le terrain, représentatives de la situation actuelle, pour
mieux comprendre la cause racine du problème.mais avant il faut sélectionner les variables i i i i
qui vont devoir être analysées ainsi que les outils qui seront mis en œuvre pour recueillir les
i i i i i i i i i
données.
ANALYZE – Analyser
Dans cette étape, il est nécessaire de déterminer l'influence des paramètres à l'origine du
changement de procédé à l'aide des données collectées à l'étape précédente. Le but principal
de cette étape est de pouvoir identifier et confirmer les causes sous-jacentes du problème. Les
causes profondes peuvent être mises en évidence à l'aide d'outils de résolution de problèmes
(brainstormingi - diagramme d'Ishikawa - méthode 5M).
IMPROVE- Améliorer
l’étape précédente. Il faut i bien évidement i prioriser les solutions i selon i l’urgence et
l’efficacité. Les solutions doivent permettre le i sous
i contrôle du processus afin i de
réduire les variabilités, c’est-à-dire passer en mode prédictif.
CONTROL- Contrôler
Il s’agit de tester à telle sorte que les mesures, dispositifs et les actions mises en place sont
i i i i i i
appliquées. Le but de cette étape consiste à surveiller le processus pour pérenniser les
i i i
progrès obtenus. Cette dernière phase vise à maintenir la solution identifiée dans la phase
précédente en établissant des indicateurs de suivi ou de contrôle de la maîtrise des deux
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processus.
C'est l'un des principes LEAN qui précise que tout processus doit être maîtrisé par
l'établissement d'un standard.
PLAN : regroupe les trois élements étapes de la méthode DMAIC : définir, mesurer et i
analyserle problème ; i
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Source : Elaboration personnelle
32
2. La méthode de questionnement QQOQCP
i i i
Le 5W1H est une approche de questionnement et une méthode de résolution de problèmes qui
vise à envisager les idées sous différents angles dans le but d'acquérir une compréhension
approfondie d'une situation spécifique. Elle est couramment utilisée comme une méthode
d'amélioration continue des processus et s'accomplit en répondant à tous les éléments de base
d'un problème, à savoir : quoi, qui, où, quand, pourquoi et comment.
Les éléments inclus dans la méthode 5W1H permettent une analyse complète de la situation
présentée et vous permettent de repérer les possibilités d'amélioration. Répondre aux
questions 5Ws et 1H, en étant aussi détaillé que possible, permet d'identifier des solutions
potentielles qui pourraient être mises en œuvre et dont l'efficacité pourrait être observée.
Vous pouvez les placer dans un ordre différent, mais vous devez vous assurer que les
questions 5Ws et 1H suivantes sont incluses :
-Quoi : L’élément "quoi" doit décrire clairement la situation, le problème spécifique,
-Qui: Le terme "qui" désigne les personnes ou les groupes spécifiques concernés par le
problème ou la situation.
reconnu.
-Quand: L'élément "quand" doit inclure tous les éléments de la situation relatifs à tout ce
d'agir
Source : https://www.definitions-marketing.com/definition/brainstorming/
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Figure 12 : Définition de l'outil QQOQCP
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3.La réunion brainstorming
i i
Pour s'assurer que la session est productive et que toutes les personnes présentes
contribuent, il existe des "règles" de brainstorming.
La quantité d'idées est plus importante que la qualité, donc si les idées sont
partagées avec l'équipe, elles ne sont pas spécifiquement discutées ou critiquées ;
C'est pour les étapes ultérieures.
Chaque idée créée appartient au groupe plutôt qu'à l'individu qui l'a proposée.
35
Figure 13 : Définition de l'outil brainstorming
Source :
https://www.definitions-marketing.com/definition/brainstorming/
L'intérêt principal de la carte d'Ishikawai est d'identifier l'ensemble de mes causes qui
ont un effet sur moi, moi plus ou moins directement, pour un problème observé.. La force du
diagramme d’Ishikawa est d’être un
i i outil très visuel, i une représentation graphique facilite
grandement la communication autour du problème. Ceci offre aussi aux dirigeants une vision
i i i i
et effets est applicable pour tout type d’entreprise qui rencontre un dysfonctionnement, quelle
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36
Conclusion
éléments qui le déterminent, à savoir : les tâches, les ressources, les contraintes et les
i i i
critères d’optimisation, ainsi que les approches de classification qui s’appuient sur un i i i
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Chapitre II : Organisme d’accueil
et mise en situation
i i
38
Introduction
Ce chapitre sera divisé en deux sections. Dans un premier temps, nous allons
i i
présenter les informations clefs de l’entreprise à i savoir son i secteur d’activité qui
est l’industrie céramique, c’est un secteur qui connaît une concurrence acharnée surtout i i i i i i
entre les grandes entreprises, puis nous allons évoquer l’historique de notre organisme OCP. i i i i i
Dans la mesure de bien saisir l’organisation du groupe, nous allons détailler sa structure
i i i i
Nous allons finir notre première section par une explication détaillée du processus de
i i i
La deuxième section, va nous permettre à situer notre projet dans les deux contextes
i i i
Pour les deux dernières i phases : Innover et i Contrôler, nous allons présenter et i
permettant de suivre la rentabilité du plan d’action mis en place et évaluer les propositions
i i i i
Avant de conclure notre travail, nous allons évoquer brièvement notre bilan de
i i i i i i
39
Section 1 : Présentation de l’organisme d’accueil
1. Présentation du groupe OCP
Le Groupe OCP, formé d’OCP SA, de ses filiales et participants est le plus grand exportateur
mondial de roche phosphatée et de produits dérivés du phosphate. Ses activités couvrent la
totalité de la chaine de valeur du phosphate, depuis l’extraction minière de la roche jusqu’à la
production d’acide phosphorique et d’engrais phosphatés.
L'Office Chérifien des Phosphates est une entreprise publique, créée depuis août 1920
dans le cadre du développement du Domaine domanial des Phosphates, transformée à partir
de 1975 en un groupe dénommé Groupe OCP. Le développement des activités sécurisées par
le Groupe OCP s'est poursuivi depuis 1921, date à laquelle le groupe est passé de sa première
activité unique, l'extraction de phosphate, à d'autres fonctions telles que la commercialisation
de produits dérivés du phosphate à un niveau international, prolongé dans le temps et dans
l'espace. Début de la fabrication et de l'exportation d'acide phosphorique en 1998. Aussi
connu sous le nom de groupe, il continue d'étendre son réseau au niveau international
1.2 Historique
D’un point de vue chronologique, les dates principales qui ont marqué l’histoire du
Groupe OCP sont :
1920 : Création de l’Office Chérifien des Phosphates (OCP).
1921 : Début de l'exploitation en souterrain du phosphate dans la région d’Oued Zem
sur le gisement d’Oulad Abdoun.
1931 : Début de l’extraction en souterrain à Youssoufia.
1951 : Démarrage de l'extraction en « découvert » à Sidi Daoudi (Khouribga). Début du
développement des installations de séchage et de calcination à Khouribga.
1961 : Mise en service de la première laverie à Khouribga.
1965 : Création de la société Maroc Chimie. Début de la valorisation avec le démarrage
des installations de l'usine de Maroc Chimie, à Safi. Extension de l'extraction à ciel
ouvert à la mine de Merah El Aharch (Khouribga).
1974 : Lancement des travaux pour la réalisation du centre minier de
Benguerir.
1981 : Démarrage de l’usine Maroc Phosphore.
1994 : Démarrage du projet initié de Sidi Chennane à Khouribga.
1998 : Démarrage de la production d’acide phosphorique purifié (EMAPHOS,
Jorf Lasfar), le 31 janvier. Le Groupe OCP obtient le Prix national de la Qualité.
1999 : Démarrage de la production d’acide phosphorique de l’usine d’Imacid à
Jorf Lasfar, le 1er novembre.
2007-2009 : Lancement de nouveaux pôles urbains à Khouribga et à Benguerir :
Mine verte et ville verte.
2009 : Démarrage de Bunge Maroc Phosphore.
2010 : Partenarait avec Jacobs Engineering Inc. et création de JESA, lancement de
4 unités de production d’engrais à Jorf Lasfar.
2010-2011 : Ouverture de 2 bureaux de représentation au Brésil et en Argentine.
Et démarrage de plusieurs unités industrielle (Laverie Merah Lahrach, STEP…)
2011 : Lancement d’une unité de dessalement d’eau de mer à Jorf Lasfar.
2014 : Démarrage programmé du projet Slurry Pipeline sur l’axe de Khouribga-
Jorf Lasfar sur une longueur de 235 km.
1.3Activités de l’OCP :
L'exploitation minière : c'est la première activité réalisée en exploration ou
dans des galeries souterraines. Il consiste à extraire les phosphates du sol et se
déroule en quatre étapes : forage, dynamitage, décapage et redressage.
Transport : une fois le phosphate extrait puis transformé, il est acheminé vers
les ports de Casablanca, Safi ou el Jadida, vers les différents pays importateurs.
Traitement : il s'agit d'une opération nécessaire effectuée après l'extraction et
qui vise à enrichir le minerai en élevant sa teneur.
La vente : le phosphate est vendu, selon les demandes des clients, soit brut, soit après
traitement soit transformé en engrais, acide phosphorique ou acide sulfurique aux industries
chimiques
.
c) Engrais:
DAP (DI-AMMONIUM PHOSPHATE),
MAP (MONO-AMMONIUM PHOSPHATE),
TSP (TRIPLE SUPER PHOSPHATE),
NPK 15-15-15-10S,
NPK 14-28-14,
NPK 14-23-14-5S-1B2O3,
Engrais tertiaire, complexe granulé et engrais granulé utilisés pour la fertilisation des sols.
.
Figure 2: l'activité chiffrée de l'OCP
1.5 Organisation
Figure 3: Les sites et les types d'activités de l'OCP au niveau national
Secrétariat
technique QHSE
b) Section Ajustage
Il s'agit d'un atelier de service qui peut répondre à tous les besoins des unités en termes de travaux de
d'ajustage/réglage, de réparation et de montage. Pour cela, elle intervient dans les domaines suivants :
Service de maintenance spécifique des machines et équipements.
Inspection des équipements pour réformer les équipements dans l'atelier et à l'extérieur.
Action corrective : soumettre la demande ; forage de rails, sciage, taraudage,
alésage, taraudage.
Travaux de confection
Travaux de réparation
Couple
Ventilateur en Débourbeur
d’engrenage
INOX
Tout au long de la réalisation de ce projet , nous avons eu la chance d'avoir bénéficié d'un
i i i i i i
2.1.1 Problématique
La méthode QQOQCP permet d'avoir sur toutes les dimensions du problème, des informations
élémentaires suffisantes pour identifier ses aspects essentiels. Elle adopte une démarche
d'analyse critique constructive basée sur le questionnement de façon systématique afin de
n'’oublier aucune information connue.
Le nom de l'outil invite l'équipe à considérer les fournisseurs (le "s" dans SIPOC) de votre
processus, les entrées (le "i") du processus, le processus (le "p") que votre équipe améliore, les
sorties (le "o") du processus et les clients (le "c") qui reçoivent les sorties du processus. Dans
certains cas, les exigences des clients peuvent être annexées à la fin du SIPOC pour plus de
détails.
Préparation et
Client DI + plan Planning +OT Débitage
planification
OT
Traitement Contrôle de
+ pièce traitée Pièce conforme livraison
thermique qualité
Tableau 2 : SIPOC
Répéter cette opération à l'infini est le moyen le plus simple et le plus efficace de vous
apprendre, ainsi qu'à vos collègues, à percevoir la valeur.
La cartographie du flux de valeur est le plus souvent utilisée dans la production allégée.
Cependant, les responsables de tout secteur d'activité peuvent en tirer profit.
La figure suivante représente la cartographie de notre processus.
Figure 9 : Value Stream Mapping
ST
Oui
Non
Client
Préparation
Transformation
Stockage
Planification
Lancement
etetlivraison
vérification
endes
OTOT
du
des OT DI Ou OT pour les hors zones
Client Clôture de Demande
la Intervention avec ou sans (plan + matériel
produit fini
demande
DI + plan + matériel
Préparateur Vérification et confirmée et approuvée
Approbation
Faisabilité
Compétitivité du
Préparateur service ?
DI
Chef de section OTDAX
DI
Application ORACLE
Préparateur
Fiche de travail
(SER/MOT/01/01) instruit
Chef de service
Chef de section OT planifié
Préparateur
Fiche de travail
Préparateur
(SER/MOT/01/01) instruit
Fiche de préparation
(SER/MOT/01/02) instruit
Matériel
Agent du GAM
Registres
Préparateur
(SER/MOT/01/05) instruit
Laisser passer
(SER/MOT/01/03) instruit
DI
Application ORACLE
Préparateur
Fiche de travail
(SER/MOT/01/01) instruit
C) Déroulement :
Exécution du besoin
En général l’expression de besoin est formulée sur une application ORACLE par le client
(Demande d’intervention par les services de la zone de KHOURIBGA et Ordre de travail par
les services hors zones) suite à un travail bien défini. Elle peut être une confection, réparation
ou une expertise.
Vérification et approbation
Le responsable de la réception de la Demande d’intervention et du matériel en réparation doit
prendre toutes les dispositions pour examiner la faisabilité du travail demandé :
1) vérification des rubriques du document formulé par les clients
a. le libellé des travaux demandés.
b. L’approbation du chef de service utilisateur (client).
2) contrôle de l’état du matériel à réparer.
Dans le cas échéant le regret de la satisfaction du client est imposé.
3) confirmation par signature du préparateur de la DI de la faisabilité de la demande.
Enregistrement de la demande au GAM
-L’enregistrement de la DI ou de l’OT et du matériel est formulé sur un registre à la section
gestion administrative du matériel GAM avec précision de la position du matériel attente
réparation sur la DI.
-Le document est retourné au BOP confirmé par le contrôleur du matériel
Faisabilité & Compétitivité du service
Dans le cas d’un travail courant qui n’est pas urgent une étude est imposée par le bureau
d’étude sur la compétitivité de la réalisation du travail en interne ou en externe selon les critères
suivants :
-La charge des sections.
-Le non compétitivité par rapport à l’extérieur.
-Manque de moyen pour satisfaire la demande.
-Manque matière première.
Dans ce cas le dossier de réalisation est confié à la cellule sous-traitante pour suivre la
procédure en vigueur.
Transformation de la demande en OT
La DI est transformée en OT selon la procédure informatisée de l’application ORACLE.
Planification
La planification des dossiers des travaux à réaliser est programmée par le classement des
dossiers suivant l’ordre chronologique des Ordre de travaux et la charge des sections
exécutantes.
Stockage du produit fini et livraison
-Le stockage du matériel est géré par la cellule du GAM (gestion administrative du matériel)
en collaboration avec les sections exécutantes par le biais d’un registre de réception.
-La livraison du produit fini est confiée au gestionnaire du GAM par la présence du client.
-Le client est appelé à confirmer la réception du matériel sur un registre de livraison déposé
au GAM.
-Un laisser passer est formulé pour le client par le gestionnaire du GAM et approuvé par le
BOP pour la sortie du produit des ateliers centraux.
Clôture de la demande
La clôture de la demande est formulée sur l’application de la GMAO par les agents
préparateurs.
Conclusion :
La phase ‘Définir’ nous a permis d’exposer les différentes caractéristiques du processus, de
réaliser un état des lieux en élaborant la cartographie VSM ainsi que le SIPOC et de définir
la procédure des travaux. Ces outils sont déployés pour définir la problématique d’urgence
au niveau des ateliers dans le chapitre qui suit.
La phase de mesure est chargée de la récollection des données afin d’avoir une vue claire et
précise de la performance actuelle du processus. La mesure est effectuée d’une maniére
qualitative qui sert à collecter des problèmes pour décliner des causes et tirer une signification
de toutes les informations et les données recueillies et d’utiliser ces données pour confirmer la
source des problèmes de processus que nous avons remarquées (les points critiques). Afin de
mieux comprendre l’origine du problème, il est maintenant nécessaire d’analyser ces
données et clarifier les relations entre les différents éléments du processus, par les différents
outils qui sont nombreux. Cependant, l’analyse des données issues de la phase précédente se
déroule généralement selon ce plan :
La mise en commun des données et l’identification des causes liées à la
problématique (outil Brainstorming) ;
- la détermination et l’analyse des causes profondes des
dysfonctionnements étudiés (outil 5 pourquoi et outil diagramme cause-
effet) ;
2.2.2 Collecter des données et des problémes
D’abord, on a accompagné et suivie les agents lors de leur travail quotidien pour suivre le
déroulement de confection des plusieurs “frottage, alésage et rainurage de 2 demi-manchons”.
Ensuite, on a effectué des enquêtes et des questionnaires avec les différents agents (préparateur,
les 4 chefs d’ateliers, responsable de BOP) et enfin on a extrait les données dont nous avons
besoin (celles concernant les travaux réalisés au sein des ateliers), tout en éliminant toutes les
données aberrantes afin de mesurer les différentes pertes constatées au niveau des sections.
Selon les éléments dans le plan de collecte, les dysfonctionnements majeurs sont classés
Dans les 4 catégories suivantes :
Préparation planification des activités :
Pratiques et méthode de programmation non harmonisées.
Priorités des activités non hiérarchisées.
Difficulté de l’utilisation des outils informatiques (GMAO).
pas de suivi des aléas.
planification est mal organisée.
pas d’action d’amélioration des aléas détectés
Communication :
Partage des décisions non adequat pour tout le monde.
Mauvaise communication.
Manque De communication entre les sections.
Environnement :
Mauvais l’aire de manutention de petites pièces dans les ateliers.
Pas de respect des consignes de sécurité par les agents.
Mauvis organisation d'environnement.
Nous avons pu quantifier les pertes constatées et avoir par la suite une
idée sur les problèmes majeurs ayant un impact important sur la
performance du processus.
A) Le Brainstorming
Ce travail en groupe ayant pour objectif de rechercher un maximum d’idées, d’identifier ou
de résoudre un problème, se traduit généralement en français par « remue-méninges », «
assaut d’idées », « assaut de cerveaux ». Il a pour but de stimuler la créativité et de favoriser
la production d’idées nouvelles dans un temps court, sans critique ni jugement. La
production d’idées nouvelles par le Brainstorming est bâtie sur l’interaction entre les
membres du groupe dont la créativité est alimentée par prolongement, enchaînement,
rebondissement, à partir des idées émises au cours de la séance. Cette construction
progressive d’un échafaudage d’idées stimule inévitablement les participants même réputés
d’ordinaire peu bavards ou peu imaginatifs.
Cet outil nous a permis d’identifier la principale cause des dysfonctionnements dans les
ateliers centraux avec les différents employés et qui est l’arrivée des DI urgentes, cela
perturber le déroulement des pièces dans les sections et donc une perte de temps.
B) Diagramme Ishikawa
Le diagramme en arête de poisson est un outil de découverte des causes et des effets qui permet
de déterminer la ou les raisons des défauts, des variations ou des échecs dans un processus. En
d'autres termes, il permet de décomposer, par couches successives, les causes profondes qui
contribuent potentiellement à un effet. Parfois appelé diagramme d'Ishikawa ou analyse de
cause à effet, le diagramme en arête de poisson est l'un des principaux outils utilisés dans une
analyse des causes profondes.
Voyons comment les 6 M sont définis et comment ils peuvent contribuer à la variation du
processus.
C) Les 5 pourqoui
Nous effectuerons une analyse des 5 pourquoi pour remonter à la cause première
du problème et ainsi le résoudre.
L'approche consiste à demander « Pourquoi ? » plusieurs fois de suite pour être
sûr de revenir à la cause première. Il suffit alors de visualiser cinq niveaux (ou
plus) sous forme d'arborescence.
Exposez clairement le problème.
Répondre, par observation, à la question "Pourquoi ? ".
Apportez la solution à cette réponse.
La réponse donnée à chaque étape devient le nouveau problème à résoudre, et
ainsi de suite.
Figure 11: les 5 pourquoi
Criticité du risque Risque négligeable Risque Moyen Risque élevé Risque Majeur
Moyennement Extrêmement
Gravité Peu Grave Très Grave
Grave Grave
Peu Moyennement
Probabilité d'apparition Probable Très probable
probable probable
Moyennement Peu
Probabilité de non détection Détectable Non Détectable
Détectable Détectable
Plan d’action :
Un plan d'action est un document interne aux entreprises définissant une stratégie à appliquer
pour arriver à un résultat voulu. Il s'inscrit dans un processus en trois temps comprenant une
phase d'élaboration, une phase de mise en œuvre et une phase de suivi et d'évaluation. Il peut
toucher toutes les problématiques identifiées par une société (organisationnelle, prévention
des risques, commerciale...).
Nous avons effectué le vote pondéré avec un groupe de travail pour trouver les solutions, et
on a abouti à des actions d’amélioration (une matrice des risques liés au processus, un plan
d’action).
Evaluation de
non détection
d'apparition
Criticité du
Probabilité
la criticité
Processus
Gravité
risque
Modification du remplir un
plan par formulaire avant
Dessin pièce non- Risque
l'opérateur sans 3 3 2 18 toute
industriel conforme élevé
prévenir le modification du
dessinateur plan
négligeable
Matière Augmentati
Risque
première non on du taux 2 2 1 4
Réception et conforme de rebut
stockage
négligeab
Condition
Risque
Corrosion
inapproprié de 1 2 2 4
le
de la
stockage
matière
DI non-
Risque négligeable
compréhensible
et non-détaillé
pièce non-
manque de
adapté au 1 2 2 4
signature de
plan
Travaux et responsable de
préparation et service
d'ordonnancem demandeur
ent manque
d'informatio
négligeable
n
Risque
Non-maitrise de concernant 3 2 1 6
GMAO les
enregistrem
ents des OT
Fabrication et Indisponibilité charge 4 3 2 24 Risque Création d'un
réparation des des élevés sur élevé plan de
sous-ensembles engins/machines les maintenance
machines pour les
équipements
Perte de
la sous-traitance
temps au Risque
Manque de main 4 3 3 36
niveau de Majeur
d’œuvre
fabrication
maintenance et
négligeabl
faible
Risque
Traitement pièce non-
résistivité 1 1 3 3
e
thermique durable
des pièces
confection
négligeabl
non maitrise ou
Risque
Contrôle de
d'outillage de réparation 1 2 3 6
e
qualité
mesure des pièces a
nouveau
perte des
propriétés
corrosion des Réalisation d'un
livraison et physique de Risque
pièces en attente 3 3 3 27 standard de
stockage matériaux Majeur
de livraison stockage
des pièces
finis
Risque Moyen de
Effica
d'éval
Délai
cité
2. Démarche des 5S
La méthode 5S se compose de 5 étapes, chaque étape est un résumé d'un mot qui commence
par la lettre S en japonais : Seiri ( 整 理 ), Seiton ( 整 頓 ), Seiso ( 清 掃 ), Seiketsu ( 清 潔 ),
Shitsuke (躾).
La Méthode 5S est une pratique qui traduit la volonté d'une personne de désencombrer un
milieu de vie ou de travail, de s'assurer qu'il reste organisé, de le garder organisé, propre, et
d'y apporter la rigueur nécessaire en termes de qualité et d'équité . -à temps. Cela fonctionne
aussi bien pour l'usine que pour le bureau.
Nettoyer
AVANT APRES
Ranger
APRES
AVANT
Le Gemba Walk est l’un des outils LEAN qui permet au gestionnaire de gérer efficacement le
quotidien. Leur objectif est « forcer » vos gestionnaires à aller sur le terrain pour rechercher les
gaspillages et les opportunités d’amélioration. Il faut le faire tous les jours pour les gestionnaires
du premier niveau. Au moins une fois par semaine pour les cadres intermédiaires et une fois par
mois pour les cadres supérieurs.
Parmi les principes du Gamba :
Quand un problème survient, aller d’abord sur le Gamba.
Contrôler le lieu réel.
Prendre des mesures correctives immédiates et temporaires.
Identifier et éliminer les causes premières.
Standardiser pour éviter le retour d’événement.
4. Standard de stockage
Afin d'avoir un agencement parfait pour le stockage, il est important de bien définir le choix des
emplacements en fonction des caractéristiques d'un produit. Vous devez prendre en compte :
• La nature de l'article, à savoir : Acier, Aluminium, Inox, Fer, etc.
• Forme, c'est-à-dire : plein, creux, poutres, tôle, etc.
• Et Caractéristiques du produit telles que : poids, dimensions,
D'autre part, les conditions environnementales affectent les marchandises stockées. Afin de ne pas
risquer d'altérer le stock, la manutention et le stockage doivent prendre en compte :
• L'humidité, la chaleur, la lumière, la poussière, etc.
Et pour bon rangement et faciliter de transport il faut utiliser quelques supports :
Quel que soit sa forme, ou la matière avec laquelle il est fabriqué, l’emballage ou le conditionnement a
pour fonction principale de protéger le produit contre toute dégradation dû à des agents extérieurs pour
Protéger le contenu afin qu’il conserve toute sa qualité
5.Grille de jugement : maitrise des urgences
En concernant les non-maitrises des urgences, en effet on a jugé convenable de faire une analyse
multicritère déterminant la priorité des DI selon quatre différents critères : estimation du service
récepteur, du service client, la criticité de la pièce, et la complexité des flux.
Cette grille de jugement nous permet d’avoir un jugement sur la priorité des DI correct. Lorsque les DI
sont réceptionnées, elles sont classifiées selon trois degrés de priorité : normal, urgent B, et urgent A. Et
c’est le client qui précise ce degré.
Normal : une fois les ateliers sont libres, et la matière est disponible, l’OT est
lancé.
Urgent B : L’OT est planifié de telle sorte qu’une fois les machines concernées sont libres, il sera
lancé.
Urgent A : L’OT est lancé sur le champ sans rien attendre. Il arrive des fois, qu’on lance des
travaux dont le client n’a pas vraiment besoin avec le degré d’urgence qu’il a précisé.
Donc le système de jugement n’est pas vraiment fiable, d’où l’idée de mettre en place une grille de
jugement permettant de s’assurer du degré d’urgence sur lequel on va s’appuyer pour le lancement
de l’OT. Et ceci a été fait suivant la démarche suivante :
Former une équipe de travail.
Faire un brainstorming des critères possibles.
Choisir la liste des critères fiables.
Extraire 3 différents critères à mettre dans la matrice combinée.
Mettre en place la matrice de jugement finale des DI.
3. Tableau de bord
Un tableau de bord est un outil de gestion qui synthétise les activités et les résultats de
l'entreprise par processus, sous forme d'indicateurs permettant de contrôler l'atteinte des
objectifs fixés et de prendre les décisions qui s'imposent, à une périodicité appropriée et dans
un temps limité.
Le tableau de bord est un outil d'aide à la décision très important et il remplit notamment les
rôles suivants :
C'est un système d'alerte et aussi un système d'action.
C’est ensuite un moyen d’apprentissage car le chef d’entreprise tire des
conclusions.
Il permet également au chef d’entreprise de se projeter en avant et d’avoir ainsi
des informations pour établir ses prévisions
Réalisation Mensuelle 2022
Périodicité
Unité
Excell SNC(*
Réf. Obj. Cumul
. )
mars
août
sept
janv
févr
juin
nov
mai
déc
avr
oct
juil
104 mensue 105 103 103 104 104 103 103 104 10 103 105 104
Temps réalisé /temps alloué 104% 100% 106% % 104%
% l % % % % % % % % 5% % % %
SNC(*) :C’est le seuil de Non-conformité à partir duquel des corrections ou des actions correctives voire préventives doivent être engagées.
Conclusion
Le présent chapitre est divisé en deux sections. Nous avons réservé la première pour
i i i
présenter l’organisme d’accueil qui était le groupe OCP, au niveau de cette section nous i i
avons choisi de présenter le secteur d’activité de notre entreprise accueillante, et qui est
i i i i
l’exploitation du phosphate, C’est un secteur qui est en plein croissance économique. Ensuite i i i
nous avons présenté la structure organisationnelle ainsi que les différentes gammes de
i i i i
Nous avons clôturé la première section avec une description détaillée des ateliers
i i i i i
centraux. Cela dans la mesure de bien situer et détecter la phase où se situe le processus qui
i i i i i i i i i
cause le dysfonctionnement, et aussi bien repérer le sous processus causant le problème par i i
rapport aux autres processus, i dans i la mesure de comprendre i son influence sur les autres i
processus.
projet ainsi que sa conduite. Dans un premier lieu nous avons commencé par la présentation
i i i i i
Pour les phases « Mesurer » et « Analyser », nous avons organisé une réunion
i i i i
brainstorming qui nous a aidé à définir les causes réelles du problème, ces dernières
i i i
81
Conclusion générale
problématique suivante : Comment peut-on procéder pour assurer une bonne maîtrise de
processus des ateliers ACX? Et quels sont les plans d’action qui vont permettre la résolution de ces
problèmes ?
À travers l’étude que nous avons mené sur le terrain, il s’avère que la maîtrise des
i i
flux du processus i des ateliers centaux à un i atout stratégiqueet une source de valeur, i i
gestion de production
i i et la maintenance , nous avons constaté que l’optimisation
des processus
i i étudiés dépend très étroitement de la mise i en i place d’un i plan
production qui a i pour rôle principale d’améliorer la i performance opérationnelle
ateliers centraux
Pour ce faire, nous avons choisi une démarche de résolution de problème intégrant i i
différentes étapes de réalisation de projet cependant nous ne pouvons pas avancer sans
i i i i
82
Référence bibliographique
Ouvrages
[2] : Giard V., « Gestion de production», 2éme édition, Economica, paris, 1988.
i i i i
[3] : Blondel F., « Gestion de la production», 3éme édition, DUNOD, Paris, 2000.
i i
[7] : Jeffrey W .Herrman, & al. Handbaook Of Production Scheduling, Springer NY,
i i i
2006.
2000 ».
83
[4] : P. Chrétienne, « Les réseaux de pétri temporises ». Thèse de
i i i
Technologique de Compiègne.
i
Sites web
https://www.dunod.com/sites/default/files/atoms/files/Feuilletage_282.pdf
https://www.ocpgroup.ma/fr
http://www.klmanagement.fr/des-operations/besoins-des-clients/les-systemes-
de-production
https://www.picomto.com/5-types-de-maintenance-a-connaitre-absolument/
84
Annexes
85
Ordre de fabrication ; Oracle
86