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Avant d’accéder au vif de mon rapport, je tiens à présenter mes sincères remerciements à
toute personne ayant participé de près ou de loin à la réalisation de ce modeste travail par
leurs inestimables conseils et contributions.
En particulier :
Mme EL KOUCH SOUAD, qui a fait preuve d’encadrement exemplaire et à qui je dois
remercier d’une manière appuyée pour tout le temps qu’elle a consacré à la mise en ordre
des différents éléments et idées contenues dans ce document.
Mr. LAMZOURI SOUFIANE, pour son encadrement, pour ses précieux conseils, ainsi
que l’effort fourni et le temps qu’il nous a consacré à nous guider tout au long de la
période du stage.
Dans le but d’un bon apprentissage et de consolider mes connaissances théoriques acquises
lors de ma formation au sein de l’Ecole supérieure de technologie de Meknès ; l’établissement
a prévu un stage d’initiation à la fin de la première année pour avoir une idée sur le milieu
professionnel, d’une durée d’un mois, j’ai effectué mon stage au sien du bureau d’étude
techniques “ATLAS STRUCTUTRE SARL”, qui est chargé de la realisation des projets des
travaux divers de construction et voiries.
Ce stage m’a aidé à savoir la réalité des travaux dans un bureau d’études techniques,
comprendre ses différentes activités ainsi son fonctionnement concernant les travaux de
construction et le suivi du chantier.
Alors, ce rapport est un résumé de ce que j’ai appris lors de mon stage au sein de ce bureau.
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PRESENTATION DU GENERAL BUREAUX :
Au terme d’un acte sous signé privé à Meknès, il a été constituée une société disent: bureau d’études
ATLAS STRUCTURE.
Dirigé par Monsieur LAMZOURI SOUFIANE Ingénieur d’Etat de L’école ENSA à Al Hoceima.
1. Coordonnées de la société:
Siège social et adresse : Avenue Moulay Youssef Imm 8, Apt N° 7 ; 2eme Etage VN Meknès
Date de création : 04/05/2015
Tél : 05 35 40 19 26
Email: Atlas. structure@gmail.com
2. Objectifs et activités :
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Etude statique :
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I. Généralités :
- Limite d’ouverture des fissures : pour éviter la corrosion trop rapide des aciers.
3. Hypothèse de calcul :
Dans notre étude au bureau les hypothèses de calcul adoptées sont :
La fissuration est préjudiciable =>le calcul se fait à L’ELU avec une vérification à L’ELS.
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4. Caractéristiques des matériaux :
4.1 Le béton :
Le béton est obtenu en mélangeant une quantité convenable du ciment, des granulats
(gravier, sable) et de l’eau selon le type d’ouvrage à réaliser.
Le béton est connu par sa bonne résistance à la compression mais d’autre part à la
mauvaise résistance à la traction, pour cela on introduit des armatures pour palier à cet
inconvénient pour avoir un béton armé résistant à la compression et à la traction.
a. Caractéristiques physiques :
La résistance en compression à 28 jours est désignée par fc28. Elle se mesure par
compression axiale de cylindres droits de révolution et d'une hauteur double de leur
diamètre. La résistance est mesurée à l’âge de 28 jours :
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4.2 L’acier :
Les armatures en acier ont pour objectif de supporter les efforts de traction dans les
pièces fléchies et tendues, et de renforcer les sections des pièces comprimées. La quantité des
armatures est calculée de façon à assurer la résistance aux charges déterminées. Les
armatures d’acier utilisées dans le béton armé sont fabriquées en barres laminées à chaud et
en fils étirés à froids.
a. Type d’acier :
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a. Les actions permanentes (G)
Elles ont une intensité constante (fixes) ou très peu variable dans le temps, qui imposent
en permanence des efforts sur la construction, elles comprennent :
- Poids propre de la structure (des éléments porteurs tel que : poutres, poteaux,
murs…etc.)
- Poids des éléments non porteurs (remplissage en maçonnerie, cloisonnement, revêtement.
Ces charges sont définies par la masse volumique des matériaux ou le poids surfacique ou
ponctuelle de l’équipement.
On les appelle ainsi car ce sont des charges qui varient dans le temps. On retrouve deux catégories
de charges variables :
- Les charges climatiques : dont on prend compte des charges qui ont une incidence sur le
bâtiment comme :
- La neige (symbolisée par S) :c’est une charge verticale statique qui varie en fonction des régions et
de l’altitude
- Le vent (symbolisé par W) : c’est une action complexe qui entraîne des effets statiques de
dépression et de suppression sur les parois mais aussi des effets dynamiques (phénomène de
résonnance) sur la structure.
- Les charges particulières : on trouve les charges thermiques liées aux variations
de température et les charges sismiques générées par les tremblements de terre.
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II. Pré-dimensionnement :
1. Pré-dimensionnement des dalles :
a. Condition de flèche :
Avec :
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compression 16+4 ; 20+5 ; 25+5 ; 30+5.
a. Résistance à la flexion :
- Dalle reposant sur trois ou quatre appuis : Lx /50 < e < Lx / 40.
Ly
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Avec :
Dans notre cas les dalles qui reposent sur deux appuis ont une portée égale à : Lx =
4,6 m.
La dalle pleine : 460/35 <e < 460/30 =>13,14< e <15,34 => e = 15 cm.
Les premières sont destinées à reprendre les efforts normaux de traction/compression dus
à la flexion. Par contre les deuxièmes sont destinées à reprendre l'effort tranchant.
b
2.1 Méthode forfaitaire :
Pour des raisons architecturelles on prend : b=25cm ;
Détermination de la hauteur h :
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Poutre porteuse
dans 2 sens
Poutre porteuse
dans un seul sens :
H : la hauteur de la poutre
L : portée de la poutre.
𝐋
𝒉=
𝟏𝟓
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Généralement, on prend h égale à l’épaisseur de la dalle.
h=L/10
On trouvera : h=0.326m=32.6cm
On prend : h=35 cm
Il y’a deux méthodes pour calculer les sollicitations appliquées sur le poteau :
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3.1 Méthode de la surface d’influence :
Le calcul est basé en premier lieu sur la section du poteau le plus sollicité, la section
afférente (surface d’influence) est la section résultante de la moitié des panneaux entourant
le poteau.
L’effort N est é g a l à la somme des efforts exercés par les poutres pour lesquelles il
sert d’appui
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3.3 Pré dimensionnement de la section de béton :
Les poteaux seront dimensionnées selon :
- La condition du R.P.S.2000.
Longueur de flambement :
En fonction des conditions aux extrémités, il existe une relation entre longueur libre et
longueur de flambement.
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1.1 Cas d’un poteau carré ou rectangulaire :
L’élancement : =Lf/ i
Avec : 𝑖 = √𝐼⁄𝐵
I : moment d’inertie (On prend I
minimal) µ
B : section du béton.
i : rayon de giration
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b- condition selon R.P.S 2000 :
On adopte : a=25cm
Donc la section minimale adoptée pour les poteaux est de :(25×25) cm2
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4 -Pré-dimensionnement des voiles :
Voiles
𝒆𝒎𝒊𝒏 = 𝐦𝐢𝐧(𝟏𝟓𝐜𝐦, 𝐡𝐞/𝟐𝟎) Pour un voile non rigidifié à ses deux extrémités.
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III. DESCENTE DE CHARGE :
1. INTRODUCTION :
La descente de charge a pour but de déterminer les charges et les
surcharges revenant à chaque élément porteur au niveau de chaque
plancher.
après :
semelle sol
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Principe
Planchers et toiture
Poutres et murs
Murs et poteaux
Fondations
Sols
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Charges horizontales :
une structure st soumise 0 des charges horizontales notamment aux charges climatiques tel
que le sismique et le vent.
le dispositif pour reprendre ces charges permet de transmettre au sol l4effet des actions
horizontales et limiter les déformations d’ensemble de la structure.
Dans un bâtiment en béton armé, ce sont les voiles, les planchers et les cages d’escalier et
d’ascenseur qui font le contreventement.
Dans un bâtiment en acier ou en structure bois, il faut penser à placer des contreventements
dans les trois plans perpendiculaires au bâtiment.
Charges verticales :
Les charges verticales sont liées au poids propre des élements structurels à la charge
climatique tel que le vent et la neige et à la charge d’exploitation suivant l’utilisation du
bâtiment.
G = 665kg/m²
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2.2 Plancher Haut de RDJ, RDC, Etage Courant et premier
retrait :
Les charges permanentes G :
- Revêtement : 140kg/m2
- Cloison : 75kg/m2
Q=150kg/m²
Charges permanentes :
- Etanchéité : 10 𝑘𝑔/𝑚²
Charges d’exploitations :
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4. BALCONS (DALLE CONSOLE) :
- Revêtement : 140kg/m²
G=515kg/m²
Q=350kg/m²
Exemple de calcul de descente de charge d’un poteau du 2ème étage d’une R+2
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1) calcul de surface de chargement occupée par le poteau qui est définie par
la moitiée des élements porteurs occupée par ce poteau
Parce qu’il s’agit d’une dalle à corps creux on prend que les longueurs entre poteaux pour calculer
les surfaces en chargement :
S’ = 8.04 m2
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calcul de la surface de chargement totale :
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2) Calcul des charges permanentes :
- Poids du poteau :
Hauteur du poteau = 3m
a×b =0.25×0.25 m2
G1 = 0.25×0.25×3× 2500=468.75 kg
G2= (1.38+1.6+1.21+1.5)×0.25×0.3×2500=1066.875 kg
3) Poids du plancher :
Puisqu’il s’agit d’une dalle à corps creux (16+4) donc sa charge est : 285kg/m²
Revêtement = 140kg/m2
Faux plafond = 60 kg/m2
Cloison légère = 75 kg/m2
Donc la charge totale =275kg/m2
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6) Charges d’exploitation :
Charges d’exploitations (Q) :150 𝐾𝑔/𝑚² selon la norme puisqu’il s’agit d’une habitation
Donc Q = Stotale× 150 = 9.52 ×150 =1428 kg
A l’ELU :
A l’ELS :
On procède de la même manière suivant tous les niveaux en accumulant les charges jusqu’au sol .
1. Définition :
Un plan de coffrage est un plan dessiné par un ingénieur ou un technicien génie civil, qui a
pour but de décrire les différentes sections des éléments structuraux en phase de gros œuvre.
Les plans de coffrages doivent préciser les formes et les dimensions des différents éléments à
réaliser en béton armé qui sont : les dalles (pleines ou à corps creux), les poteaux, les poutres,
les voiles…
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2. Les éléments représentés dans un plan de coffrage :
- Les poteaux : ils sont représentés par une coupe de leur forme (carré, cercle,
rectangle…) et repérés par la lettre P suivie d’un numéro, exemple : P1, P2…
- Les poutres : elles sont repérées par un chiffre et un numéro suivi de la section indiquée
entre parenthèses. La section doit être présentée dans l’ordre suivant : (largeur X
hauteur), exemple : 1.1 (25X35), 3.5 (25X40)…
- Les dalles : s’il s’agit d’une dalle à corps creux, on présente le sens de portée de la dalle
et son épaisseur par exemple : 15+5 ou 15cm est la hauteur de l’hourdis et 5cm est
l’épaisseur de la couche de compression. S’il s’agit d’une dalle pleine, on présente son
épaisseur exemple : ep=18, ep=20 …
- Les voiles : ils sont des murs en béton armé, on présente leur épaisseur minimale,
exemple : emin=15cm.
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Plan de coffrage des fondations :
Les chainages (CH) : sont des éléments de liaison entre les différents composants des gros
œuvres (murs, planchers, semelles, poteaux…). Ils lient entre des semelles périphériques.
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1) Les longrines (LG) : sont des éléments de structure ayant la forme d’une poutre et
orientées horizontalement, supportant des forces mécaniques importantes. Elles lient
entre deux semelles centrées.
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1) Les poutres (ou longrines) de redressement (PR) : sont des poutres en béton armé
reposant sur des fondations ponctuelles ou continues et pouvant supporter un voile ou
un mur en maçonnerie. On l’associe avec une longrine pour lier entre une poutre
centrée et une autre excentrée.
Poutre de
redressement
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Exemple de Plans de coffrage effectués lors du stage :
Sur un projet R2
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Dimensionnement des poutres :
Dans une structure, une poutre subit des sollicitations complexes en fonction de ses
points d’appui et les charges qui lui sont appliquées.
Les déformations d’une poutre chargée et les déformations qu’elle subit varient
suivant la position des charges par rapport aux appuis de la poutre et suivant que
ces charges sont concentrées ou uniformément réparties, statiques ou mobiles.
NOTA : lorsqu’une poutre est sollicitée par des charges verticales alternées
(déplacement des charges sur la poutre), chaque section est sollicitée
alternativement en compression et en traction.
La poutre s’incurve vers le bas en partie centrale sous l’effet de son propre poids et
des charges appliquées. La partie inférieure de la poutre s’allonge ; elle est soumise
à un effort de traction. La partie supérieure de la poutre se raccourcit, elle est donc
soumise à une compression. Lorsqu’on augmente les charges sur la poutre, les
déformations s’accentuent, de même que les tractions dans la partie inférieure et les
compressions dans la partie supérieure.
NOTA : c’est donc dans la partie inférieure que l’on dispose des armatures pour
s’opposer aux efforts de traction.
La poutre est en console. La fibre supérieure est tendue, la fibre inférieure est
comprimée.
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Poutre encastrée à une extrémité et reposant librement sur un appui à
l’autre extrémité :
Armatures longitudinales
Les efforts de traction maximum en partie basse sont entièrement repris par les
armatures longitudinales qui sont positionnées le plus bas possible, tout en
conservant un enrobage suffisant.
avec
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L’article 9.2.1.3 de la norme NF EN 1992-1-1 précise les règles à appliquer relatives
à l’épure d’arrêt des barres.
NOTA : des armatures longitudinales sont disposées en partie haute des poutres.
Elles sont destinées à faciliter la mise en place des armatures transversales dont la
fonction est la reprise de l’effort tranchant.
Dans le cas des poutres hyperstatiques (poutres continues sur plusieurs appuis,
encastrement), des efforts de traction se développent localement en partie
supérieure de la poutre, ce qui conduit à y prévoir des armatures longitudinales
(chapeaux).
Armatures transversales
Le taux d’armatures d’effort tranchant est égal à :
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Dimensionnement poteaux :
Les poteaux sont rarement sollicités en compression centrée (effort normal centré).
Un poteau est en général soumis à des charges excentrées, donc sollicités aussi
en flexion composée (effort normal et moment fléchissant) éventuellement en flexion
déviée. Cette flexion est générée par la distribution des efforts au sein de la
structure, la dissymétrie des chargements et les imperfections géométriques
d’exécution.
Les poteaux peuvent subir un phénomène de flambement s’ils sont élancés (rapport
entre sa longueur et sa plus petite dimension transversale grand). Le risque de
flambement est pris en compte dans le dimensionnement du poteau.
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Dispositions constructives des armatures
Ces exigences sont extraites de la section 9 de la norme NF EN 1992-1-1 : «
Dispositions constructives relatives aux éléments et règles particulières ».
Armatures longitudinales
Les armatures longitudinales sont réparties dans la section au voisinage des parois
de façon à assurer au mieux la résistance à la flexion de la pièce dans les directions
les plus défavorables.
Il convient de prévoir :
Chaque armature placée dans un angle doit être maintenue par des armatures
transversales.
Avec :
Elle ne doit pas être supérieure à une valeur maximale Asmax.(valeur recommandée
0,04 Ac).
Armatures transversales
Les armatures transversales sont disposées en plans successifs
perpendiculairement à l’axe longitudinal de la pièce. Elles assurent un ceinturage sur
le contour de la pièce entourant toutes les armatures longitudinales.
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Le diamètre et l’espacement des armatures transversales font l’objet de limites
inférieures.
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Conclusion :
Ce stage représente pour moi une belle transition entre le domaine éducatif et du
travail. En effet, durant la période de ce stage, j’ai eu l’opportunité d’appliquer mes
connaissances déjà acquises et de développer de nouvelles. C’est ainsi que j’ai pu
apprendre beaucoup de choses en travaillant avec des professionnels de mon domaine.
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