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-loi de 2010 : réformes scolaires imposé par Gelmini (sur le système scolaire) Le Ministère, avec
le terme littérature, fait référence à la culture contemporaine
-C’est l’enseignant qui décide le programme qui va à développer pour ses étudiants il n’y a pas
des positions qui vient de la loi
-En France, on impose un programme au niveaux ministériel qui change toutes les années, à ce
propos, les enseignants doivent lire le texte et préparer les matériels, qui sont choisis par le BAC
l’année suivante.
Maya Cousineau
-nouvelle intéressante où on raconte le parcours d’une fille qui se confronte à des situations
d’intégration
-il y a aussi une minutieuse description de la ville de Verrières : blanche et rouge, paysage
montagneux et le fleuve qui coule en bas (c’est une carte postale)
-Deuxième paragraphe : on s’approche de la ville, on apprend qu’il y a une petite rivière qui la
traverse et des mouvements de scies- à bois. On a la présentation des activités qu’on fait dans la
ville : l’une des activités majeures et le commerce du bois.
-tous les événements qui concernent les héros des romans fait référence à Napoléon : il est
l’exemple d’une grande guerrière qui grâce à ses capacités physiques arrive à devenir empereur
(capacités personnelles)
-le narrateur est « omniscient » il connait ses endroits et les caractéristiques de personnages
Par définition, le terme « littérature » indique l’ensemble des œuvres écrites ou orales
auxquelles on reconnait une valeur esthétique. Plus précisément, il s’agit d’une forme d’art
qui exprime un idéal de beauté. À ce propos, le but principal d’un parcours littéraire est
d’éduquer le public- en diffusant des idées- afin de lui transmettre des valeurs. Pour cette
raison, l’enseignement de la littérature étrangère dans les écoles est fondamental, car il
oblige à la compréhension et à l’élaborations des notions. Autre chose importante c’est le
fait que, au-delà de la littérature, il y a l’étude de la langue étrangère et de la culture du pays
concerné, lesquels contribuent à une meilleure compréhension générale du sujet.
Le message du texte littéraire n’est pas univoque, car chacun de nous peut l’interpréter selon
le contexte, les connaissances acquises et l’interprétation personnelle. Cet aspect est
fondamental, parce que permettre de réfléchir sur la place qui occupent les textes dans un
parcours littéraire.
On parle de « motivation » et des « besoins d’étudiants » comme deux points clés dans la
stratégie d’apprentissage des savoirs. Dans le parcours didactique, c’est l’enseignant qui doit
transmettre les connaissances essentielles aux élèves, et il doit le faire de façon homogène et
efficace, afin que tout le monde puisse comprendre. En outre, chaque étudiant a ses besoins
et ses limites, et c’est à parti de ça que le professeur doit construire une méthode didactique
spécialisé.
Moi aussi, je trouve intéressant le parallélisme établit entre le processus d’acquisition
linguistique, par rapport à celui d’apprentissage musical. En effet, comme on dit dans le
texte, la langue comme la musique nécessite de l’entrainement. C’est pour cela que, quand
nous sommes petites, et nous sommes exposés à différents sons, plus sons nous étendons,
plus rapidement nous pouvons apprendre une langue étrangère. C’est un processus constant
qui requiert temps et patience.
Réveiller la curiosité du lecteur c’est fondamental. Il n’y a pas d’apprentissage sans curiosité
et imagination.
Je trouverai intéressant proposer des questionnaires aux élèves afin de comprendre ce qu’ils
aiment lire ou les auteurs qu’ils préfèrent.
La petite ville de Verrières peut passer pour l'une des plus jolies de la
Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles
rouges s'étendent sur la pente d'une colline, dont (relative) des touffes
de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs
coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications,
bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées.
Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c'est
(explicative) une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se
couvrent de neige dès les premiers froids d'octobre. Un torrent, qui se
précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le
Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois; c'est
une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la
majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. Ce ne sont
pas cependant les scies à bois qui ont enrichi cette petite ville. C'est à
la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse, que l'on doit l'aisance
générale d’image qui, depuis la chute de Napoléon, a fait rebâtir les
façades de presque toutes les maisons de Verrières.
A peine entre-t-on dans la ville que l'on est étourdi par le fracas d'une
machine bruyante et terrible en apparence. Vingt marteaux pesants, et
retombant avec un bruit qui fait trembler le pavé, sont élevés par une
roue que l'eau du torrent fait mouvoir. Chacun de ces marteaux
fabrique, chaque jour, je ne sais combien de milliers de clous. Ce sont
des jeunes filles fraîches et jolies qui présentent aux coups de ces
marteaux énormes les petits morceaux de fer qui sont rapidement
transformés en clous. Ce travail, si rude en apparence, est un de ceux
qui étonnent le plus le voyageur qui pénètre pour la première fois dans
les montagnes qui séparent la France de l'Helvétie. Si, en entrant à
Verrières, le voyageur demande à qui appartient cette belle fabrique de
clous qui assourdit les gens qui montent la grande rue, on lui répond
avec un accent traînard: _ Eh! elle est à M. le maire _.
Pour peu que le voyageur s'arrête quelques instants dans cette grande
rue de Verrières, qui va en montant depuis la rive du Doubs jusque vers
le sommet de la colline, il y a cent à parier contre un qu'il verra paraître
un grand homme à l'air affairé et important.
A son aspect tous les chapeaux se lèvent rapidement. Ses cheveux sont
grisonnants, et il est vêtu de gris. Il est chevalier de plusieurs ordres, il
a un grand front, un nez aquilin, et au total sa figure ne manque pas
d'une certaine régularité: on trouve même, au premier aspect, qu'elle
réunit à la dignité du maire de village cette sorte d'agrément qui peut
encore se rencontrer avec quarante-huit ou cinquante ans. Mais bientôt
le voyageur parisien est choqué d'un certain air de contentement de soi
et de suffisance mêlé à je ne sais quoi de borné et de peu inventif. On
sent enfin que le talent de cet homme-là se borne à se faire payer bien
exactement ce qu'on lui doit, et à payer lui-même le plus tard possible
quand il doit.
http://abu.cnam.fr/cgi-bin/go?rouge1,21,40, http://www.incipit.farum.it
Questionnaire
détails
psychologiques
appréciations
morales
Sembene Ousmane
« Les bouts de bois de Dieu » : ce sont les hommes qui travaillent dans le bois. Il s’agit d’un roman
réaliste, où on raconte les aventures de ces personnes qui vivent et travaillent dans ce milieu. C’est
un roman qui prend inspiration de Zola. L’idée de Zola est que les personnes étaient prédestinées et
les milieux où elles vivaient aussi, réfléchissait son destin.
Analyse textuelle: Travailler sur des indices concrets sur des textes inconnus qui font
référence à des contextes différents pour les lecteurs de langue2.
Les bouts de bois de Dieu. Sembene Ousmane, né en 1923 au Sénégal, roman, œuvre
engagée, assez marquée par le naturalisme zolien, évoquant (d'où le titre) la première la
grande grève des cheminots africains de la ligne Dakar-Niger. Publié en 1960 l'œuvre,
tableau sans complaisance de la fin de l'ère coloniale, connut un vif succès et reste l'un
des classiques de la littérature francophone.
Les derniers rayons du soleil filtraient entre les dentelures des nuages. Au couchant, des
vagues de vapeurs se délayaient lentement tandis qu'au centre même de la voûte céleste -
vaste lac indigo cerné de mauve - une tache rousse grandissait. Les toits, les mosquées
hérissées de leur minaret, les grands arbres -flamboyants, fromagers, calcédrats -, les
murs, le sol ocré, tout flambait. Brutalement lancé à travers le rideau de nuées, tel le trait
lumineux d'un projecteur céleste, un rayon vint frapper de plein fouet la résidence du
gouverneur dressée comme un pain de sucre blanc au sommet du Koulouba.
-On visualise la lumière, le soleil, le rayon, etc. (c’est une situation horizontale), à laquelle
on contrapose une situation verticale (les arbres, les murs, etc.), qui donnent une idée de
verticalité
-On a aussi l’idée de la couleur jeune (Ex : le sol qui est ocre, la flamme jeune, rayon qui
frappe comme un fouet [isotopie] de la violence il y une flamme qui éclate, utilisation
de l’adverbe « brutalement » (mots forts et significatifs). Il parle d’un rayon qui est comme
« un pain de sucre » (parce qu’il est blanc).
-le rayon tombe de manière abrute sur la résidence du gouverneur comme un coup de
fouet qlq chose est en train d’arriver, et que la situation calme du début amène un
changement brutal
-on visualise la lumière, le soleil, le rayon, etc. (c’est une situation horizontale), à laquelle
on contrapose une situation verticale (les arbres, les murs, etc.), qui donnent une idée de
verticalité
- « comme un pain de sucre blanc » (qui est douce) rayon c’est comme…
Quelles isotopies ?
Avec cette affirmation, Derrida veut illustrer sa pensée sur la langue. D’un côté, il fait
référence à une langue maternelle, qui est la seule qui peut être apprise vraiment ; de l’autre,
il réfléchissait sur le fait que les locuteurs peuvent apprendre plusieurs langues, mais pas
« entièrement ». Dans ce contexte, le monolinguisme obstacle l’apprentissage des autres
langues.
Jacques Derrida, dans son livre Le Monolinguisme de l’autre (1996), réfléchit beaucoup sur
le concept d’identité culturelle appliquée à la langue. Il parle d’une langue maternelle,
unique et insubstituable, mais qui ne fait jamais partie de nous. Il explique ce concept- à
travers le raconte de son enfance- où il n’arrive pas à « posséder » le français. Il était un
jeune fils juif, d’origine magrébine, qui parlait tout à fait français. Le français, pour lui, a
était la langue maternelle et scolaire, mais aussi la langue « de l’autre », c’est-à-dire une
langue qu’il sentit « étrangère », pour les liens qu’il entretenait avec les autres locuteurs.
Plusieurs changements ont été apporté dans l’enseignement de la littérature. En effet, les
programmes visent à initier les étudiants à différents genres et œuvres, mais aussi à
développer une attitude positive à l’égard de la lecture et à stimuler les pratiques de lecture.
Ces changements se sont produits à partir de 1970, année à partir duquel l’importance des
textes littéraires s’est radicalement redimensionnée.
Les femmes avaient paru, près d'un millier de femmes, aux cheveux épars, dépeignés par la course,
aux guenilles montrant la peau nue, des nudités de femelles lasses d'enfanter des meurt-de-faim.
Quelques-unes tenaient leur petit entre les bras, le soulevaient, l'agitaient, ainsi qu'un drapeau de
deuil et de vengeance. D'autres, plus jeunes, avec des gorges gonflées de guerrières, brandissaient
des bâtons ; tandis que les vieilles, affreuses, hurlaient si fort, que les cordes de leurs cous
décharnés semblaient se rompre. Et les hommes déboulèrent ensuite, deux mille furieux, des
galibots, des haveurs, des raccommodeurs, une masse compacte qui roulait d'un seul bloc, serrée,
confondue, au point qu'on ne distinguait ni les culottes déteintes, ni les tricots de laine en loques,
effacés dans la même uniformité terreuse. Les yeux brûlaient, on voyait seulement les trous des
bouches noires, chantant la Marseillaise, dont les strophes se perdaient en un mugissement confus,
accompagné par le claquement des sabots sur la terre dure. Au-dessus des têtes, parmi le
hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite ; et cette hache unique, qui était
comme l'étendard de la bande avait, dans le ciel clair, le profil aigu d'un couperet de guillotine.
(Emile Zola, Germinal, I, V.[source http://abu.cnam.fr] )
-il y a une sorte de déshumanisation des participants (ils perdent leur individualité et devient des
animaux)
-Les mineurs n’avaient pas des chaussures, mais ils utilisaient des sabots (zoccoli) qui revoient aux
sabots des animaux (animalisation) perte de l’humanité
-Taudis : baracche
-Pioche : zappa
-Différence entre Zola et Housman : Il n’y a pas une animalisation comme dans le texte de Zola, ici,
le narrateur montre les états-d ’âmes des personnages (colère, douleur)
-narrateur omniscient
Doc. 12 : « Caviardage »
Caviardage concept importa du point de vue pédagogique. Les enfants sont actifs, dans le
moment de manipuler le texte. Ce type de caviardage est plutôt compliqué à l’école (à un niveau
B2), mais on peut travailler avec un texte plus facile. Dans ce processus on quitte les infos les plus
importants pour rendre le document plus accessible pour tout le monde.
-intrigue : Anish, une jeune femme autochtone qui a des problèmes à gérer des relations avec les
autres. Elle entretienne une relation amoureuse avec un homme marié dans un site de rencontre,
mais à la fin il la quitte, parce qu’il n’arrive pas à quitter son épouse. Elle subit des offenses et des
traitements racistes de la partie des autres. Finalement, sa mère adoptive lui annonce qu’elle a le
cancer de nouveau, mais elle ne peut pas guérir, donc elle meurt à la fin de l’histoire. Elle est
discriminée pendant toute l’histoire : d’abord, au centre commercial, mais encore, à la fin, par les
habitants de sa ville, pour ses origines.
Points fondamentaux :
-Anish : protagoniste de la nouvelle, elle est grande et athlétique. Elle passe, généralement, par une
chinoise, une Japonaise, ou encore une Espagnole. Elle est d’origine amérindienne. Elle a un
tempérament prompt.
-début de l’histoire : elle cherche des sandales. Elle se rendre au centre commercial, elle subit du
racisme. Elle n’est pas accompagnée, elle est seule après 10 ans de relation amoureuse.
-Luke : c’est l’homme marié qui entretien une relation virtuelle avec Anish. Il veut s’échapper de
son mariage trop vite fait. Il avait connu Anish avec pixels et dans un site de rencontres. Il s’était
inscrit après une longue réflexion : après un an d’abstinence forcé (il était déchiré en deux : divorcer
et détruire sa famille ou s’abandonner au désir sexuel). Il pensait que l’origine d’Anish pourrait être
mexicaine ou japonaise. Il est québécois.
-On comprendre qu’Anish est très insécure. Elle écrit, dans son cahier, qu’il arrivera à la quitter
après la première rencontre. (Ex. J’ai la grâce d’un pingouin dans un bain de boue … Je suis
gauche et maladroite.)
-Quand Luke interrompe la relation avec elle, elle se sent dévastée, triste. (Ex. Tu est entré dans
mon intime avec ton ardeur… tu est parti et la chambre est devenue ainsi petite…)
-rencontre avec sa mère, Hélène : elle a les cheveux gris et blancs. Accent québécois et blancheur
de sa peux, en contraste, avec Anish (yeux bridés et cheveux noirs). Elles promènent pour la ville.
Les deux se siègent et Hélène mange un hot-dog, puis elle caresse la main de sa fille.
-Hélène avait grandi non loin d’une réserve indienne, elle aidait les personnes qui avaient besoin.
La mère biologique, une Indienne, qui s’appelle Shianipiap lui demande d’adopter sa fille qui va
naitre en janvier (était décembre). Hélène lui répond (Tu n’as peur de regretter ta décision plus
tard ?) elle lui avait dit qu’elle acceptait son offre.
-préjugés de personnes (Tu as adopté une petite vietnamienne ?), les regards pleins de déception
quand Hélène parlait de l’origine de sa fille Anish.
-sa mère lui révèle que le cancer est revenu et elle ne va faire pas de chimiothérapie.
-scène finale : Anish sur la plage, avec un médaillon et deux photos différentes (sa mère et son père)
Elle ne regrettera plus d’être vive, elle se considérera comme une guérie.
La Nouvelle
La nouvelle c’est un genre qui n’était pas codifiée, donc on peut nommer « nouvelles » plusieurs
typologies textuelles. Selon la définition du Petit Robert, La nouvelle est un genre qu’on peut
définir comme un récit, généralement bref, de construction dramatique (unité d’action) présentant
des personnages peu nombreux, dont la psychologie est étudiée de la mesure ils réagissent à
l’événement, qui est le sens du récit.
-Normalement, dans la Nouvelle il y a un personnage, c’est-à-dire un héro qui a un problème
(drame) et les personnages de l’histoire aussi s’insèrent dans ce contexte, ils agissent à partir de ce
problème.
-La psychologie des personnages est fonctionnelle à la résolution du problème ou à la mise en place
du problème.
La Nouvelle ce n’est pas un genre, parce qu’il est décodifié. Il y a, en français, plusieurs façons de
parler de récit bref, par exemple : le compte. A l’intérieur du genre, il y a des nouvelles brèves, des
fictions moyennes, des nouvelles longues, des mini-romans, des récits brefs. Tout rentre sous le
chapeau « nouvelle ».
On la distingue du roman par la taille, qui est courte et réaliste, et aussi par l’elliptique (la fin de la
nouvelle est assez abrupte).
Le compte termine toujours avec une chute, pas la nouvelle. C’est une fiction brève, qui existe et a
son sens, dans son unicité. C’est-à-dire dans la nouvelle, on ne peut pas avoir des nouvelles avec
plusieurs histoires, il y a seulement une action.
Dans le roman, il y a plusieurs actions et développement ; dans la nouvelle une seule ou maximum
deux. Dans le roman, le temps est long, dans la nouvelle assez rapide.
La Nouvelle est une pratique littéraire très développée. Par exemple, on a « Les lais » de Marie de
France, est une forme narrative brève. Le premier recueil était écrit par Marie de France, une
femme, qui raconte des petites histoires consacrant la vie de la cour du XII siècle. Au XIV siècle,
on rappelle du « Décaméron » de Boccace. C’est une situation de pandémie à Florence, de grande
peste, ou plusieurs personnes décident de s’échapper de la ville pour se rendre à la campagne.
Chaque jour, ils se racontent des nouvelles (deca= 10 nouvelles). La particularité du Décaméron est
qu’il y a un cadre narratif, ou début des recueils il y a le contexte, c’est-à-dire le cadre du roman, et
après les dix nouvelles racontées. Ensuite, au XVIII siècle, il y a la naissance et le développement
de la nouvelle et le compte, grâce au développement de la presse et du journalisme. On publiait les
nouvelles dans les journaux.
Au XIX siècle, il y a le développement des journaux et de la presse véridique (les quotidiens, les
hebdomadaires et les mensuels publient toujours des œuvres littéraires à l’intérieur, comme dans le
cas « des romans en feuilletons »). C’était une manière d’attirer les lecteurs et de lui faire lire les
journaux. La nouvelle devient un genre. On travaille sur la vie contemporaine et les faits d’hivers.
Adaptation au public
Selon la typologie du public, féminin ou populaire, on écrivait des nouvelles. Il y a toujours une
morale, le but de ce genre est « didactique » et efficace. Au XX siècle, il y a un développement dans
la publication des nouvelles pour différentes raisons, et surtout, dans la deuxième partie du XX
siècle, la publication des nouvelles en revue se développe beaucoup. Par exemple, en 1964, on met
en place un tri du cours de la nouvelle. Les écrivains sont sollicités à essayer le genre. Le prix
Goncourt est le prix le plus important de littérature en France, mais il y a en d’autres. C’est un prix
qui aide le développement de la nouvelle.
Aux années 80, « Le monde du dimanche », que c’est l’hebdomadaire du journal du dimanche
publie une nouvelle. Après ça, il y a la chute éditoriale. Les journaux peuvent être publiés
librement, donc c’est le journal qui décide de publier ou moins les histoires littéraires. C’est une
crise éditoriale et économique qui engendre aussi un développement de la manière d’affronter la
publication périodique.
Pour ce qui concerne les maisons d’éditions, dans les années 30, la maison d’édition Gallimard
publie des éditions de nouvelles « La renaissance de la nouvelle ». Dans les années 70, « L’instant
romanesque ». On a une autre collection qui s’appelle « Les mots ». Dans les années 90, il y a une
crise de l’édition pour des crises économiques. On commence à offrir des publications à « deux
francs », cout peu et c’est une édition petite.
Le genre a changé les nouvelles sont groupées dans des recueils articulés. Les nouvelles sont très
courtes, peu d’actions et personnages. Elles sont aussi réalistes.
Ensuite, il y a un autre genre « les novellas » espagnoles ce sont des formats brefs et légers. Taille :
1500 lignes (centaine de pages).
La nouvelle est un genre pas défini, mais c’est un genre de fiction nouvelle. C’est un récit fictif qui
peut être réaliste, mais qui ne l’est pas en réalité. On distingue :
-récit documentaire : décrit qlq chose qui a eu lieu comme un fait d’hivers et un récit fictionnel
-récit fictionnel : nous amènent aux aventures des personnages, mais on s’est que c’est une histoire
Diégèse : est le monde de la fiction, tout ce qui concerne le récit fictionnel que nous lisons. C’est le
monde que nous connaissons. Une Diégèse a une localisation et une temporalité et elle est formée
par les aventures des personnages. Souvent la littérature est accusée de raconter des choses justes,
donc il y a des œuvres censurées.
-Objectifs pédagogiques : lire un texte littéraire pour les situer dans un contexte culturel.
-Tache à développer
-Anticipation /préparation au texte : enseignant qui a déjà lu le texte, et puis développe stratégies de
lecture
-Stratégies de réception orale/ écrite : J’extraite des éléments de la nouvelle et ce que Je pense de
faire
-Activité langagiers communicatives : des personnes qui posent des questions et nous que pouvons
répondre
-Modalité de travail
-Epreuve
-Dans la plupart du texte, il y a une focalisation interne avec Anish, et ensuite, une focalisation
externe
-Dans le journal intime, c’est-à-dire les textes qui écrit Anish, il y a un narrateur intra diégétique (le
verbe est au présent de l’indicatif)
-Le sujet énonciateur qui raconte l’histoire finale est la mère d’Anish, le temps utilisé est un temps
passé Elle revient sur la décision d’Anish de suivre avec sa vie, et abandonner ses regrets
-Analepse : récit d’un événement ou on retour en arrière, où on parle d’une situation passée
-Prolixe : qlq chose qu’on imagine pourra avoir lieu dans le futur
-Il y a eu une situation de transformation, la situation avance par étapes et puis on passe au final de
l’histoire
-Le contact qu’elle a avec les autres personnages marque une étape de sensibilité très importante et
contribue à former son existence personnelle
-Espace : L’espace est fonctionnel par rapport au récit qu’elle est en train de raconter (lieux : centre
commercial, avion moyen de transport, où elle a le temps de réfléchir, c’est le moment où elle se
souvient du passé, la petite ville où elle arrive avec l’avion, et la plage ; chaque lieu est
symbolique pour chaque partie il y a un lieu diffèrent)
-Pour ses populations, le territoire est une entité vivante tout est vivant, tout a une âme
référence au mouvement « No more » (mouvement révolutionnaire de contestation des Premières
Nations du Canada par rapport à une lois établit par le Gouvernement)-
C’est important le fait d’étudier la culture dans l’étude d’une langue étrangère. Il est
essentiel afin de comprendre les mœurs et les traditions d’un peuple.
La littérature joue un rôle fondamental comme discipline. Elle a pour but de décrire une
période, des auteurs ou des événements à travers le regard des personnages d’un texte. Elle
est le miroir de la société.
Je trouve très intéressant cette définition sur l'idée de littérature. A travers des bons
instruments, les étudiants pourront élaborer une vision concrète de « l’autre » et du
« monde ».
Il est important de donner une clé d’interprétation aux élèves, mais ce n’est pas la seule
manière de travailler sur un texte littéraire. Il faut susciter de l’intérêt et de l’esprit critique,
afin qu’ils puissent comprendre qu’il y a plusieurs optiques, pas une seule.
Je trouve très intéressant cet aspect concernant l’enseignement aux écoles allemandes. Il est
important de fournir la même méthode à tout le monde, afin qu’ils puissent développer les
mêmes compétences, et qu’ils puissent rejoindre le même niveau linguistique et littéraire.
-méthode de recherche-création : méthode utilisée au Canada afin de travailler sur les textes
littéraires, en créant des textes à partir des recherches