Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1° Organisation : Il s’agit d’une action collective qui a pour but de réaliser certains objectifs
clairement définis.
- Entreprise : il s’agit d’une organisation privée qui veut prioritairement réaliser un profit.
Cependant avec la RSE, l’entreprise peut également réaliser une mission sociale,
environnementale ou sociétale.
- Association : il s’agit d’une organisation privée qui a pour but de réaliser une mission
d’intérêt générale. Lorsqu’une association est internationale on parle d’ONG (Organisation
Non Gouvernementale).
- Organisation publique : organisation qui veut réaliser une mission de service public.
(Education nationale, hôpitaux publics, armée, police, justice, les collectivités….).
Les ressources matérielles : les locaux, les magasins, les matières premières, les machines.
Les ressources technologiques : le site internet, les applications, les logiciels, l’intelligence
artificielle, les algorithmes, les données, le big data, la robotique, chatbot…
La diversification : l’entreprise décide de ne pas se focaliser seulement sur un marché de niche mais
d’étendre ses activités sur plusieurs branches.
L’internationalisation : l’entreprise décide d’étendre ses activités au-delà du périmètre national pour
être présente dans plusieurs pays ou continents.
La différenciation par le haut : l’entreprise propose un produit différent, souvent le fruit d’une
innovation. La qualité du produit est supérieure à celle des concurrents, le consommateur valorise le
produit donc le prix de vente est plus élevé que celui des concurrents. L’innovation technologique
peut être un élément de la différenciation par le haut.
La différenciation par le bas : La domination par les couts : l’entreprise pour un produit de qualité
identique propose un prix plus faible que ses concurrents.
Approche réactive : l’entreprise crée un produit qui correspond à un besoin existant et immédiat.
Approche médiatrice : l’entreprise associe les clients et les consommateurs à la définition du produit.
Veille commerciale :
A travers une veille commerciale, l’entreprise veut analyser si son produit correspond aux besoins et
aux attentes du consommateur. L’entreprise vérifie si son produit suit les évolutions des besoins des
consommateurs.
Veille concurrentielle :
A travers la veille concurrentielle, l’entreprise veut analyser sa situation par rapport à celle des
concurrents directs ou indirects. Est-ce que mon chiffre d’affaires augmente par rapport à celui de
mes concurrents ? Est-ce que j’innove le plus ? Est-ce que j’ai su conquérir plus de nouveaux clients ?
8° Avantage concurrentiel :
L’avantage concurrentiel est l’élément qui permet de différencier considérablement une offre face à
ses concurrents. L’avantage concurrentiel confère un avantage à l’entreprise sur les entreprises
concurrentes.
10°L’innovation :
Il s’agit de la capacité d’une entreprise de proposer une nouveauté afin de se différencier de ses
concurrents. Il existe plusieurs catégories d’innovations. L’innovation de produit est la capacité de
créer un produit nouveau. L’innovation de procédés : il s’agit de la capacité de créer de nouvelles
manières de fabriquer un produit. L’innovation managériale : il s’agit de la capacité de mettre en
œuvre de nouvelles méthodes de travail.
Il s’agit d’une simple évolution pas une révolution. L’innovation incrémentale améliore un produit
mais le produit ne change pas de manière significative ou radicale.
Mode de production en série : mode de production de masse d’un même produit standardisé.
Mode de production à l’unité : l’entreprise produit en très faible quantité, voire produit un produit
unique.
Flux de production poussés : l’entreprise produit en très grande quantité avant de connaitre la
demande exacte de son produit. L’entreprise fait une estimation en anticipant la quantité qui devra
être produite et dans la mesure du possible vendue.
Flux de production tendus : l’entreprise attend de connaitre de manière certaine si son produit sera
acheté par le ou les consommateurs avant de le produire.
Il s’agit de la démarche à travers laquelle l’entreprise fabrique un produit qui correspond aux besoins
et aux attentes des consommateurs, notamment par rapport au prix du produit. Les japonais ont
introduit une démarche de zéro défaut du produit.
16° La communication :
Autofinancement : l’entreprise fait appel à sa trésorerie : c’est-à-dire aux bénéfices qu’elle avait
réalisés les années précédentes.
Emprunt : l’entreprise décide faire appel à une banque. Elle obtient un crédit en contrepartie d’un
intérêt à verser à la banque.
Les subventions : l’entreprise peut recevoir des aides de l’état ou des collectivités territoriales.
Crédit-bail : location d’un bail commercial avec possibilité pour l’entreprise d’acheter le bien loué
après une certaine période.
18° Le numérique :
Il s’agit d’un processus de dématérialisation des activités de l’entreprise. Les différents éléments du
numérique que nous pouvons notamment citer sont les suivants :
Le système d’information : SI : il s’agit d’un système qui a pour but de collecter, stocker, traiter et
diffuser l’ensemble des informations d’une entreprise.
Le PGI : Progiciel de Gestion Intégrée : il s’agit d’un regroupement en un seul logiciel d’une multitude
de fonction. Le PGI peut regrouper un seul logiciel les taches de ressources humaines, de
comptabilité, de vente, de marketing…
Le Cloud computing : il s’agit d’un système d’enregistrement des données sur un serveur extérieur.
Cependant toutes les données restent accessibles à l’entreprise.
L’intelligence artificielle : il s’agit d’un mécanisme à travers lequel les machines numériques
parviennent à réaliser des taches qui étaient auparavant seulement réalisables par des êtres
humains.
Les données ouvertes : il s’agit de données dématérialisées mais accessibles à l’ensemble des
salariés d’une entreprise.
Il s’agit d’un mode vertical avec une division des taches : une division verticale avec une séparation
des taches de conception des ingénieurs et une division horizontale entre les ouvriers : chaque
ouvrier est spécialisé dans une tache et l’exécute de manière automatique. Le mode vertical de
l’organisation a été mis en œuvre la première fois par Henry Ford. Le mode vertical peut donc aussi
s’appeler le Fordisme.
20° Le mode souple de l’organisation :
Il s’agit d’un mode horizontal. Les salariés ne sont plus spécialisés dans une tache. Au contraire, ils
deviennent polyvalents et peuvent réaliser plusieurs taches à la fois. Le travail devient plus
intéressant : les salariés gagnent en compétence et ne travaillent plus de manière individuelle mais
plutôt en équipe. Le mode horizontal de l’organisation a été mis en œuvre la première fois par
l’entreprise Toyota, elle peut donc aussi s’appeler le Toyotisme.
La supervision directe : le travail est coordonné à travers l’autorité hiérarchique d’un dirigeant ou
d’un manager.
L’ajustement par des procédures : le travail est coordonné si le salarié respecte les procédures mises
en œuvre par l’entreprise.
L’ajustement par les objectifs : le travail est coordonné si le salarié atteint les objectifs qui ont été
fixés par l’entreprise.
22° La délégation de pouvoir : l’employeur ou le chef d’entreprise ne pouvant effectuer seul toutes
les opérations stratégiques peut décider de déléguer à un autre salarié le pouvoir qu’il détient. Plus
l’organisation est grande plus le pouvoir est décentralisé ; c’est-à-dire que le chef d’entreprise
délègue de manière importante. Au contraire, plus l’entreprise est petite et plus le chef d’entreprise
exerce un contrôle, c’est-à-dire qu’il délègue peu et le pouvoir est centralisé.
23° La culture de l’organisation : Il s’agit de l’ensemble des valeurs, des croyances de l’entreprise. La
culture de l’organisation est l’identité, l’histoire le récit de l’entreprise. La culture d’organisation
permet de fédérer les acteurs de l’organisation. Chaque salarié doit s’engager pour faire cette
culture.
Style autoritaire : l’employeur impose un ordre, un point de vue de manière dure. Le salarié ne peut
pas négocier l’ordre qu’il reçoit de son employeur.
Style paternaliste : l’employeur se montre à la fois sévère mais juste envers ses salariés. Il se
comporte comme un « bon père de famille ». Il peut à la fois sanctionner mais aussi récompenser les
salariés.
Style consultatif : l’employeur lorsqu’il prend une décision, peut demander l’avis de ses salariés. Les
salariés sont seulement consultés. L’avis des salariés ne s’impose pas à l’employeur ou chef
d’entreprise.
Style participatif : l’employeur délègue une partie de son pouvoir de décision aux salariés. Les
salariés participent à la prise de décision.
- Une performance sociale : offrir des bonnes conditions de travail à ses salariés, faire en sorte
de développer le bien-être au travail, mieux former ses salariés, leur proposer des
augmentation de salaire, donner du sens à leur travail, développer un style de direction
consultatif ou participatif, leur offrir des services pour améliorer la qualité de vie au travail,
leur proposer un cadre de travail agréable.
- Une performance sociétale : l’entreprise doit être inclusive : c’est-à-dire lutter contre les
discriminations, notamment à l’embauche, favoriser l’égalité homme/femme, faire en sorte
que les femmes puissent avoir des postes à responsabilité, accepter des personnes issues des
minorités sexuelles ou présentant un handicap.
- Une performance environnementale : l’entreprise doit lutter contre le réchauffement
climatique et la disparition des ressources naturelles.