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L’auteur présente l’origine de l’archéologie. S’intéresser à une histoire très ancienne est le
propre de toutes civilisations humaines. L’intérêt du passé est importante dans la haute
antiquité, cela concerne un petit nombre de lettré, d’élites, des spécialistes : les techniciens
de l’écrit (scribe). Cet intérêt pour le passé se voit vite dans les sites anciens, avec la
collection d’objet plus ancien que l’objet lui même. (Tombe du VIIeme siècle avec bague du
IIIeme siècle dedans). Toujours un intérêt, même qu’esthétique, à la conservation d’objets
anciens. Autour de la diffusion de l’écrit, cela marque un seuil dans la diffusion du savoir.
Diffusion d’une forme de savoir plus large qui ce centre autour de l’histoire, cherchant à
remonter dans le temps.
Rupture au moyen âge, avec une volonte lié à la christianisation faire rentrer le temps
historique dans le temps religieux. Les données historiques débordent des livres religieux,
qui se veulent historique. Une forme de vision linéaire de l’histoire du moyen-âge, avec un
début (création du monde) et une fin (apocalypse). Difficile pour ces sociétés qui pense que
le monde à -4000 ans (Av-JC). Alors que les sociétés antiques interprête le temps d’une
manière cyclique. Autre rapport au temps, qui permet de se projeté bien plus loin dans le
temps, antérieur, même si on en a perdu la trace.
Le système du temps linéaire est pourtant bien plus intégré dans notre monde moderne. Par
la langue, les friges chronologiques, on a changé le début (Big Bang). Intéressant car notre
propre structure mentale nous en rend dépendant. Nuancé l’aspect négatif du moyen-âge
donné par l’auteur.
Les princes de la renaissance, puis les états européens, la possession d’oeuvre devient une
forme de puissance et de légitimiter, surtout quand les possessions proviennent du propre
sol. En même temps la connaissance d’anciens est ordonné, hiérarchisé, de plus en plus
complet et en même temps apparition des cabinets de curiosité qui correspondent à cette
manière de concevoir le savoir. Aspect de prestige qui existe encore aujourd’hui. La visite
des sites va ce mettre en place une pratique de visite, mise en valeur d’un patrimoine que
l’on peut visiter. Ceux qui visitent pratiquent le “grand tour”. Cela ce cristalise durant les
fouilles de Pompéi. Cette époque est également le pillage du marbre des monuments, pour
créé les palais des monuments créé durant l’antiquité. Ressource exploité, marché de l’art
transformé et exploité. Remise en cause de la vision biblique, se questionne sur l’existence
d’hommes avant Adam et Eve. Remise en question qui continue avec Darwin. Comment on
va faire quand on va prouver l’existence avant/après le déluge, chose impensable. Cela est
possible car les historiens se forment en réseaux, formant la communauté scientifique, des
hommes qui se lisent et débattent de différentes questions.
Finir lecture chapitre 1 : Mettre en avant les articulations, comment se construit ce récit,
particulièrement les grands personnages, les strates, les éléments qu’ils apportent. (Page 9
à la fin du livre)
Bibliographie archéologique Médiation : coll. à petits pas, éd. Inrap/Actes Sud Junior.
1. A l’origine des archéologues : les “antiquaires”, et la recherche d’objets d’art pour les
musées et les collections
Notion d’antiquaire : la personne qui s’intéresserait au passé. Roma Instaurata par Flavio
Biondo, présentation de l’architecture romaine. Cet intérêt pour les choses anciennes
existent depuis l’antiquité, elle existe durant la période médiévale, centré autour de certains
personnages durant le médiéval. Hélène, mère de Constantin, qui l’aurait converti, aurait
fondé les premières fouilles archéologiques à Jérusalem, pour y trouver des reliques.
Notamment la relique de la passion. Dimension politique et religieuse très importante.
Dans la culture populaire, les artefacts, les reliques, ont d’autres sens. Intérêt pour les
périodes anciennes durant le moyen-âge, mais en lien avec la religion. S’inscrit dans une
légitimité politique et religieuse. Leur intérêt pour le passé est lié à une grille de lecture
politico-religieuse.
Explosion au XVIIIème siècle avec les fouilles financés par les états, et la création de
méthodologies. Quelle utilité déterrer si pas de quoi financer d’entretenir les bâtiments déjà
fouiller. Au XVIIIeme la question n’est pas là. Prototype de fouille systématique, question de
la mise en place des institutions qui vont gérer ces découvertes. Au XVIIIeme siècle va
naitre le lieu de musée. Les musées les plus anciens
Champollion 1790-1832
Possibilité de comparaison globale reposant sur la typologie, comparée des choses, étude
des matériaux, si les objets sont humains ou naturels.
Typologie, quoi les objets (rattaché les objets à des objets similaires dans le temps)
Technologie, comment les objets (méthode de fabrication, recyclage, etc)
Stratigraphie, où les objets (dans quelles couches)
Science qui s’est largement complexifié, peut pas être spécialiste de tout, spécialisation par
période (paléontologique ancien on tir vers les recherches naturelles). Ce confronte aux
sources matérielles mais aussi dans les sources écrites.
Pour la semaine prochaine : Lire chapitre télécharger. En complément page 13-22 sur
moodle
Incarné par entre 1800 et 1860 l’essor du sentiment national allemand, du Deutsches
Wörterbuch. Pour Jacob Ludwig Karl Grimm et Ernst Moritz Arndt cherche à prouvé une
identité culturelle allemande, établir une origine et l’occupation actuelle. Progressivement un
rôle de l’archéologie ce créé.
L’internationalisation de l’archéologie :
Fouille de tumulus du grand serpent (Ohio, fouiler en 1848 par Squier et Davis). Les
civilisations amérindiennes n’ont pas été que des sociétés nomades / chasseur cueilleur,
sociétés qui a connu des phénomènes urbains.
L’approche fonctionnaliste :
D’un coté la question des niveaux techniques (matériaux, complexité des matériaux, du
commerce et du système économique), on cherche comment les mettre en parralèle avec
les hiérarchies sociales (voir la structuration de la société, que l’on peut percevoir par
l’analyse des tombes) et les habitats (variété de l’habitat, société où l’habitat est organisé en
ville). En croisant ses données cette approche permet de faire une interprétation
anthropologique et sociologique de ses époques.
Conclusion :
L’approche typologique :
La typolotique est importante car c’est l’évolution de la forme des objets, après les avoir
classer. Permet de se rendre compte que le classement peut toujours évoluer.
Enregistrement et stratigraphie :
Méthodes qui ont été développer, renforcer au cours du XXeme siècle, systématisé, réfléchi
sur comment techniquement on enregistre de manière les plus précises les informations
collecté. Enjeu scientifique sur comment enregistrer les choses. Enjeu majeure d’une
méthode destructive. Destructions des sources quand on les exhumes.
Débats sur la question historicistes, débats qui sont encore important aujourd’hui, touche
plus les préhistoriens.
Quel sens donner à la discipline, quel est le principal fil d’analyse. Est que ce qui est étudié
part vers la géologie ou l’antropologie. Travailler sur les matériaux et leur conservation ?
Réfléchir aux formes des objets, ou aux gens qui les manipulent ? Les sites sont à étudier,
ou qu’un moyen pour étudier les hommes qui ont créé ce site.
Autre question : plutôt réfléchir dans une dimension évolutionniste ou diffusioniste : est que
c’est par le contacte avec d’autres gens on adopte une nouvelle manière de procédé / à
partir d’un certain moment évolue.
Une discipline jeune : cet aspect politique apparait dans les années 60. On ne créé pas une
discipline de 0, il y a une volonté de cassé des codes, le premier étant qu’il ne sert à rien. Le
second est comment on fait pour développer des questionnements autonomes qui ne sont
pas uniquement défini par l’histoire des textes. Travailler sur le village à partir d’uniquement
de sources matérielles produites par les villages, pour développer un objet autonome, qui
sera ensuite confronté aux sources écrites.
La notion de “fait”.
La notion d’”ensemble”.
Diverses notations :
au lieu de AV JC remplacé avant notre ère, ou -, nombre arbitraire (au lieu de décennies ou
de quarts de siècles). Emplois des règnes (époque hadrianique par exemple).
Correspond à une vision linéaire du temps, impacté par notre religion. C’est aussi notre
manière de narrer une histoire. (Début, milieu, fin)
Les arbres ont un cycle de croissance plus ou moins important selon les cernes annuels, en
fonction du climat, les bonnes années le cerne est plus large, une mauvaise année le cerne
sera plus réduit. Les arbres d’une même essence réagissent de manière similaire. L’aubier
permet quant à lui l’année de coupe de l’arbre, mais pas nécessairement l’année
d’utilisation. Important de savoir car permet de connaitre pour les travaux de grand ampleur /
navale car certains arbres sont séché, généralement 5 ans. Mais potentiellement permet de
daté une structure, voir à la saison. Méthode de datation très précise, même si elle a ses
limites.
Marche mieux dans les régions très forestière avec de nombreux arbres, comme la
scandinavie
Méthodes bases sur la variation d’un cycle naturel
Archéomagnétisme sert essentiellement à daté des fours. Toutes les structures soumises à
des chauffes longues et importante. L’argile enregistre la position du nord magnétique, et
quant il est découvert on peut déterminer quelle a été la date de la dernière utilisation du
four.
Méthodes radiactives :
Carbonne 14 cherche à mesurer la présence de ses isotopes du carbonne 14. La demi vie
du carbonne pour totalement disparaitre est d’environs 10 000 ans. Le carbonne 14 est créé
simplement par l’atmosphère dans laquelle nous vivons. Il est présent dans l’atmosphère.
Carbonne 14 permet de daté assez précisément. Cependant petites variations existent. A
partir des années 50 on a réussi à maitriser le processus de calibration de désintégration de
carbonne. Il existe des variations dans l’atmosphère.
1. L’archéobotanique
Déboisement lié à l’élevage fait que l’homme a un impact sur l’environnement depuis 12 000
ans.
2. L’antracologie
Du grec charbon, l’anthracologie est l’étude des charbons de bois tirés de sculptures de
combustions d’artefacts ligneux carbonisés ou des couches naturelles.
Permet de savoir quel bois a été utilisé, soit est que le bois était déjà en charbon de bois où
est que c’était une bûche qui a brûlé. Charbon de bois permet une meilleur facilitation,
chauffe plus vite et fais moins de fumée.
3. La carpologie
Travaille sur toutes les semences découvertes dans des sédiments archéologiques datant
des derniers 10 000ans.
5. La palynologie
L’étude des spores, des graines de pollens pour identifier le type, l’espèce de végétaux.
Pour savoir en moyenne les plantes représenté
Définition de l’archéozoologie :
Discipline qui étudie les relations de l’homme avec le monde animal dans le passé.
Travaille sur les restes animaux, les os généralement, qu’on identifie grâce à une collection
auquel on le compare. On va donc le mesuré, ce qui permet un âge, un sexe à l’individus
caractériser. Selon la zone où l’on découvre les ossements, la signification change. On
compte par type d’os, par reconnaitre et décrire les espèce animal présentes, puis on
réfléchit à la nature entre l’homme et l’animal
L’élément scientifique pour connaître l’âge osseux d’un individu le plus important est le
cartilage de l’os.
Individus animaux doemstiques plus dur à identifier car peuvent être castrer.
4. Documenter des groupes humais par des pratiques spécifiques aux mondes
animales : entre la découverte de poule, d’aigle, de faucons, pas la même chose
entre une volière et une basse cour. Faut chercher à définir la consommation de
l’animal à une époque donnée. Développement des villes au XIIeme siècle met
d’autres chose en avant, itinéraire de chasse-marais qui mène à une consommation
énorme, faisant diminuer la taille de ses espèces, qui regagne en taille quand la
peste noir tue énormément de gens. Aprovisionnement de la ville en poisson.
La paléométallurgie
Branche de l’archéologie des techniques qui étudie les anciennes chaînes opératoires des
métaux
Recherche pluridiscinaire
Chaîne opératoire du fer : chaque activité humaine créé des déchets permettant d’identifier
les déchets pour reconstituer les faits.
-Collecter la matière, le fer sur terre, élément chimique, métal Fe. Extrêmement rare à l’état
natif le fer météoritique, seule souce de fer à l’état natif. Quelques objets ont été fondé à
partir de météoritique. Très présentsur terre en forme d’oxyde,de sulfure, minerai ferrique.
Les teneurs en fer sont viariable selon le minéral férifié.
Différentes techniques d’extractions : les minières, les mines, l’exploitation des karsts
(éléments calcaire remplie, oxyde de fer qui se bloque des les karst)
Qu’est que le fer : le fer est ductile, permet de former deux alliages avec du carbonne : le
premier est l’acier (avec 0,02% à 2% de carbonne) alliage forgeable très résistant (technique
qui demande une autre technique de forge), le second la forge (2% et 6,7%) alliage avec
bonne coulabilité, une bonne résistance à la chaleur mais très cassante.
Sidérurgie au début impossible d’obtenir la température de fusion du fer, les oxydes de fer
présent dans les minerais doivent donc subir un traitement réducteur afin d’obtenir du fer à
l’aide d’un bas fourneau. Procédé dit direct, seulement au XIIIeme-XIVeme siècle que le
procédé indirect apparait.
A la sortie on obtient dufer brut, qu’on appelle une “éponge de fer”, pas exploitable
directement à la forge, il faut la compacter en la martelant et la réchauffant. A la fin on
obtient des produits semi fini qui ont différentes formes, pouvant être exploiter directement
ou commercialiser.
Le minerai avant d’être transformer doit être trié, lavé, grillé. D’un point de vue
archéologique ça ne se voit quasiment pas, parfois on peut retrouver un peu de minerai, ou
le contexte permet d’identifier le foyer.
Les bas fourneaux apparaissent en occident entre l’âge du fuerau VIIIeme siècle jusqu’au
IVeme siècle avant J.C.,a la base des bas fourneaux à usage unique, puis des bas
fourneaux réutilisable.
Forte concentration de déchets, pour faire beaucoup de fer il faut beaucoup de déchets.
Grande force de rejet,les scories peuvent être équivalent à nos terrils dans le nord. Dans
ces zones de rejet on trouve les déchets : minerai grillé,ou non, scorie écoulé.
Pour faire simple : chaque minerai à son identité propre, la scorie, qui se retrouve dans les
produits fini. Cela permet avec les éléments actuels d’identifier la provenance du fer.
Procédure invasive (objet coupé en deux, puis polie)
Une forge peut être très différente, ç a peut être un petit espace itinérant avec comme seul
besoin d’un foyer dans le sol. Très peu d’indice archéologique. Peu avoir un foyer de forge,
avec parois pour protéger des courants d’air, support de frappe en pierre, percutant,
travaillant assis / accroupie. Enfin ferronier actuel avec énormément d’outils, foyer, enclme.
Le travail du fer se fait dans un atelier, les forges sont représentés dans l’iconographie
ancienne (antiquité par exemple). Au moyen âge les forgerons ont tendance à ce redresser
avec l’apparition des soufflets.
Deux éléments importants dans la constitutions des espaces = le foyer (peut être en terre
crue/brique dépendant) et le support de frappe (pierre, tas métallique), les deux devant être
proche. Déchet caractéristique quand on frappe le fer : la battiture, diffèrentes morphologies,
très peu déplaçable, se retrouve dans le sol de la forge. Pourdétecter la battiture, et donc les
forges,on utilise un détecteur à susceptiblité magnétique.