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Bruno Trentini
Conférence : la problématisation,
organisée par Benjamin Horrut (IA-IPR de l’académie Nancy-Metz)
au centre Pompidou-Metz le mercredi 15 mars 2023
INTRODUCTION
INTRODUCTION
a. Conditions d’énonciation
INTRODUCTION
a. Conditions d’énonciation
a. Conditions d’énonciation
a. Conditions d’énonciation
a. Conditions d’énonciation
a. Conditions d’énonciation
→ Construire une problématique, avant de poser une question, c’est faire une amorce.
INTRODUCTION
→ Construire une problématique, avant de poser une question, c’est faire une amorce.
Une question qui ressemble à une question de connaissance peut parfois devenir un
problème.
INTRODUCTION
→ Construire une problématique, avant de poser une question, c’est faire une amorce.
Une question qui ressemble à une question de connaissance peut parfois devenir un
problème :
– l’exemple de « qu’est-ce que le vrai au théâtre ? »
INTRODUCTION
→ J’ai hésité à faire une intervention sur le problème de la problématique dans le champ des
arts plastiques, mais cela n’aurait pas répondu aux attentes…
INTRODUCTION
→ J’ai hésité à faire une intervention sur le problème de la problématique dans le champ des
arts plastiques, mais cela n’aurait pas répondu aux attentes…
d. Annonce du plan
INTRODUCTION
d. Annonce du plan
d. Annonce du plan
d. Annonce du plan
Comment représenter une vision paréidolique sans supprimer du même élan la dimension
projective de la perception ?
I. EXEMPLE DE PROBLÉMATIQUE EN POÏÉTIQUE DES ARTS PLASTIQUES :
LA COMMUNICABILITÉ D’UNE PERCEPTION SINGULIÈRE
Comment représenter une vision paréidolique sans supprimer du même élan la dimension
projective de la perception ?
Comment représenter une vision paréidolique sans supprimer du même élan la dimension
projective de la perception ?
Peut-on communiquer une perception idiosyncratique originale sans sombrer ni dans l’image
fantasque ni dans l’image banale ?
I. EXEMPLE DE PROBLÉMATIQUE EN POÏÉTIQUE DES ARTS PLASTIQUES :
LA COMMUNICABILITÉ D’UNE PERCEPTION SINGULIÈRE
Ce problème reste bien insoluble ; si certaines tentatives fonctionnent comme art c’est
rarement en tant que communication d’une perception idiosyncratique.
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
La notion de leurre : le fait d’avoir l’impression que les dessins sont des œuvres participe,
paradoxalement, à construire l’installation comme œuvre.
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
La notion de leurre : le fait d’avoir l’impression que les dessins sont des œuvres participe,
paradoxalement, à construire l’installation comme œuvre.
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
La notion de leurre : le fait d’avoir l’impression que les dessins sont des œuvres participe,
paradoxalement, à construire l’installation comme œuvre.
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
La notion de leurre : le fait d’avoir l’impression que les dessins sont des œuvres participe,
paradoxalement, à construire l’installation comme œuvre.
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
La notion de leurre : le fait d’avoir l’impression que les dessins sont des œuvres participe,
paradoxalement, à construire l’installation comme œuvre.
L’implémentation des dessins des robots comme œuvre : accrochage et mise en vente.
La notion de leurre : le fait d’avoir l’impression que les dessins sont des œuvres participe,
paradoxalement, à construire l’installation comme œuvre.
Une distinction philosophique éclairante : celle séparant l’œuvre de son habitacle (Rainer
Rochlitz).
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
Une distinction philosophique éclairante : celle séparant l’œuvre de son habitacle (Rainer
Rochlitz).
Problématiser la question de savoir ce qui fait œuvre permet parallèlement de sensibiliser aux
pratiques documentaires.
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
Doit-on se défaire d’un attachement trop sacralisant à l’objet qui fait qu’on tienne à distinguer
les œuvres d’une même série (les quatre saisons d’Arcimboldo par exemple) ou a-t-on raison
de tenir à ses distinctions ?
II. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA QUESTION DE SAVOIR CE QUI FAIT ŒUVRE
Doit-on se défaire d’un attachement trop sacralisant à l’objet qui fait qu’on tienne à distinguer
les œuvres d’une même série (les quatre saisons d’Arcimboldo par exemple) ou a-t-on raison
de tenir à ses distinctions ?
Doit-on se défaire d’un attachement trop sacralisant à l’objet qui fait qu’on tienne à distinguer
les œuvres d’une même série (les quatre saisons d’Arcimboldo par exemple) ou a-t-on raison
de tenir à ses distinctions ?
Est-on spectateur du Leviathan d’Anish Kapoor si on n’y a pas crié – ou au moins entendu
l’écho d’un son vif ?
Anish Kapoor, Leviathan, 2011
III. RENDRE PROBLÉMATIQUE LA RÉPONSE SPECTATORIELLE
Elle se retrouve dans d’autres domaines des arts parfois de manière très précise. Je pense
notamment à la question du dispositif au cinéma (Raymond Bellour).
EN GUISE DE CONCLUSION…
EN GUISE DE CONCLUSION…
UNE PRATIQUE RÉFLEXIVE SUR LE REGARD PROFESSORAL
EN GUISE DE CONCLUSION…
UNE PRATIQUE RÉFLEXIVE SUR LE REGARD PROFESSORAL
Les artistes ont quitté le white cube notamment pour se confronter à des regards qui ne sont
pas des regards spectatoriels.
EN GUISE DE CONCLUSION…
UNE PRATIQUE RÉFLEXIVE SUR LE REGARD PROFESSORAL
Les artistes ont quitté le white cube notamment pour se confronter à des regards qui ne sont
pas des regards spectatoriels.
On assiste à un retour de ces artistes dans l’espace d’exposition pour, forts de cette expérience
dans l’espace public, déconstruire les regards spectatoriels dans l’espace d’exposition.
Graciela Carnevale, Acción del encierro, 1968
Roman Ondák, Good Feelings in Good Time, 2003
EN GUISE DE CONCLUSION…
UNE PRATIQUE RÉFLEXIVE SUR LE REGARD PROFESSORAL
Les artistes ont quitté le white cube notamment pour se confronter à des regards qui ne sont
pas des regards spectatoriels.
On assiste à un retour de ces artistes dans l’espace d’exposition pour, forts de cette expérience
dans l’espace public, déconstruire les regards spectatoriels dans l’espace d’exposition.
Le regard professoral contraint sans doute encore plus que le regard spectatoriel.
EN GUISE DE CONCLUSION…
UNE PRATIQUE RÉFLEXIVE SUR LE REGARD PROFESSORAL
Les artistes ont quitté le white cube notamment pour se confronter à des regards qui ne sont
pas des regards spectatoriels.
On assiste à un retour de ces artistes dans l’espace d’exposition pour, forts de cette expérience
dans l’espace public, déconstruire les regards spectatoriels dans l’espace d’exposition.
Le regard professoral contraint sans doute encore plus que le regard spectatoriel.
Il m’a toujours semblé intéressant de laisser ouverte la possibilité de contourner ce regard.
Je vous remercie pour votre écoute.
Bibliographie