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Correction

1) Les marques de la première personne dans le texte sont des


pronoms personnels sujet (« je », « j’ », « nous ») et
complément (« me ») et des déterminants possessifs (« ma »
« mon »).
2) Les différents temps du récit sont le plus que parfait (« étions
arrivés »), l’imparfait (« retentissaient »), le passé simple
(« avançai »).
3) Le niveau de langue est familier dans le dialogue (« t’en fais
pas » sans négation) et soutenu dans le récit (« déflagrations »).
4) Le modalisateur d’imprécision est « peut-être ».
5) L’auteur actuel apparaît dans « je sais tous les ennuis ».
6) Ce texte est une autobiographie : le narrateur s’exprime à la
première personne (« je »), au passé (« regardai »). Il écrit le
texte longtemps après et il apparaît comme auteur actuel (« je
sais »). Le narrateur est à la fois auteur et personnage.
7) Le blessé est un Allemand qui murmure « Ach Gott », c’est-à-
dire un ennemi. Le narrateur hésite donc avant de le sauver.
Cependant il est « un être humain » et donc, il le sauve malgré
tout.

II
1) Les différentes marques de la première personne dans le texte
sont des pronoms personnels sujet (« je », « nous ») et
complément (« me », « m’ ») et des déterminants possessifs
(« ma », « mes »).
2) Les différents temps du récit sont le présent de l’indicatif (« suis
désigné ») et le passé composé (« ai oublié »).
3) Voici des termes familiers dans le texte : « décampe »,
« types », « sonnés », « planque ».
4) Ce texte est un journal intime : la date « 23 juillet au soir » est
écrite. Le texte est rédigé à la première personne (« je ») et
utilise le système du présent (« suis »). Le narrateur est
également auteur et personnage.
5) L’action se déroule pendant la guerre ; le narrateur emploie le
champ lexical de la guerre : les objets (« obus », « obus
lacrymogènes », « masques »), les personnes (« tué »,
« blessés », « Boches », « fusiliers-mitrailleurs », « régiment »),
les moyens de transport (« voiture », « voiturettes ») et enfin
les lieux ( « tranchée », « poste de secours »)
6) Prosper Fréminet exprime l’urgence de la situation en utilisant
le champ lexical de l’immédiateté (« tout à coup »). Il emploie
également le point d’exclamation dans le dialogue (« Aux
masques ! »). Il montre son inquiétude par la question « que
faire ?! », terminée par deux signes de ponctuation. Il écrit une
phrase composée de propositions indépendantes seulement
séparées par des virgules (« je saute les voies du train »). Il
détaille son état physique dégradé (« pris à la gorge, mes yeux
pleurent », « étouffer »).

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