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2/1
I)Introduction
L’étude de la résistance des matériaux (RDM) a pour but d’assurer le
bon fonctionnement d’une pièce en utilisant une quantité optimale du
matériau. Le bon fonctionnement des pièces nécessite la satisfaction de
ces exigences :
Résistance : La pièce doit pouvoir supporter et transmettre les
charges externes qui lui sont imposées ,
Rigidité : La pièce ne doit pas subir de déformation excessives
lorsqu’elle est sollicitée
Stabilité : La pièce doit conserver son intégrité géométrique,
Endurence : La pièce, si elle est soumise à un chargement répété,
doit pouvoir tolérer sans rupture un certain nombre de cycles de
sollicitation variable (fatigue),
Résilience : Lors d’un impact sur la pièce, cette dernière doit
pouvoir absorber une certaine quantité d’énergie sans s’en trouver
trop endommagée .
3/1
I)Introduction
L’étude de la résistance des matériaux (RDM) a pour but d’assurer le
bon fonctionnement d’une pièce en utilisant une quantité optimale du
matériau. Le bon fonctionnement des pièces nécessite la satisfaction de
ces exigences :
Résistance : La pièce doit pouvoir supporter et transmettre les
charges externes qui lui sont imposées ,
Rigidité : La pièce ne doit pas subir de déformation excessives
lorsqu’elle est sollicitée
Stabilité : La pièce doit conserver son intégrité géométrique,
Endurence : La pièce, si elle est soumise à un chargement répété,
doit pouvoir tolérer sans rupture un certain nombre de cycles de
sollicitation variable (fatigue),
Résilience : Lors d’un impact sur la pièce, cette dernière doit
pouvoir absorber une certaine quantité d’énergie sans s’en trouver
trop endommagée .
3/1
I)Introduction
L’étude de la résistance des matériaux (RDM) a pour but d’assurer le
bon fonctionnement d’une pièce en utilisant une quantité optimale du
matériau. Le bon fonctionnement des pièces nécessite la satisfaction de
ces exigences :
Résistance : La pièce doit pouvoir supporter et transmettre les
charges externes qui lui sont imposées ,
Rigidité : La pièce ne doit pas subir de déformation excessives
lorsqu’elle est sollicitée
Stabilité : La pièce doit conserver son intégrité géométrique,
Endurence : La pièce, si elle est soumise à un chargement répété,
doit pouvoir tolérer sans rupture un certain nombre de cycles de
sollicitation variable (fatigue),
Résilience : Lors d’un impact sur la pièce, cette dernière doit
pouvoir absorber une certaine quantité d’énergie sans s’en trouver
trop endommagée .
3/1
I)Introduction
L’étude de la résistance des matériaux (RDM) a pour but d’assurer le
bon fonctionnement d’une pièce en utilisant une quantité optimale du
matériau. Le bon fonctionnement des pièces nécessite la satisfaction de
ces exigences :
Résistance : La pièce doit pouvoir supporter et transmettre les
charges externes qui lui sont imposées ,
Rigidité : La pièce ne doit pas subir de déformation excessives
lorsqu’elle est sollicitée
Stabilité : La pièce doit conserver son intégrité géométrique,
Endurence : La pièce, si elle est soumise à un chargement répété,
doit pouvoir tolérer sans rupture un certain nombre de cycles de
sollicitation variable (fatigue),
Résilience : Lors d’un impact sur la pièce, cette dernière doit
pouvoir absorber une certaine quantité d’énergie sans s’en trouver
trop endommagée .
3/1
I)Introduction
L’étude de la résistance des matériaux (RDM) a pour but d’assurer le
bon fonctionnement d’une pièce en utilisant une quantité optimale du
matériau. Le bon fonctionnement des pièces nécessite la satisfaction de
ces exigences :
Résistance : La pièce doit pouvoir supporter et transmettre les
charges externes qui lui sont imposées ,
Rigidité : La pièce ne doit pas subir de déformation excessives
lorsqu’elle est sollicitée
Stabilité : La pièce doit conserver son intégrité géométrique,
Endurence : La pièce, si elle est soumise à un chargement répété,
doit pouvoir tolérer sans rupture un certain nombre de cycles de
sollicitation variable (fatigue),
Résilience : Lors d’un impact sur la pièce, cette dernière doit
pouvoir absorber une certaine quantité d’énergie sans s’en trouver
trop endommagée .
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II) Hypothèses de base
4/1
II) Hypothèses de base
4/1
II) Hypothèses de base
4/1
II) Hypothèses de base
4/1
III) Méthode de résolution
5/1
III) Méthode de résolution
5/1
III) Méthode de résolution
5/1
I) Force
On appelle force, l’action mécanique qui s’exerce mutuellement
entre deux particules ponctuelles.
Une force est appliquée en un point et se modélise par l’ensemble
d’un point et d’un vecteur.
→
−
Par exemple, la notation (P, F ) signifie que P est le point
→
−
d’application de la force F .
→
− → − −→ → −
M A ( F ) = AP ∧ F (1)
7/1
→
−
En un autre point (ici le point B), le moment de (P, F ) :
→
− → − −→ → −
M B ( F ) = BP ∧ F (2)
→
−
k F k en N.
→
− → −
kM A ( F )k en N.m.
8/1
→
−
En un autre point (ici le point B), le moment de (P, F ) :
→
− → − −→ → −
M B ( F ) = BP ∧ F (2)
→
−
k F k en N.
→
− → −
kM A ( F )k en N.m.
8/1
III) Torseur d’action mécanique
→
−
L’action mécanique associée à (P, F ) est représentée par le torseur
d’action mécanique noté {τS }, tel que :
→
− → −
τS = { R , M } (4)
→
− →
−
R = F : est la résultante du torseur d’action mécanique {τS } .
→
− → − →
− → − −→ → −
M B ( F ) = M A ( F ) + BA ∧ R : le moment exprimé au point B du
torseur d’action mécanique {τS }.
9/1
III) Torseur d’action mécanique
→
−
L’action mécanique associée à (P, F ) est représentée par le torseur
d’action mécanique noté {τS }, tel que :
→
− → −
τS = { R , M } (4)
→
− →
−
R = F : est la résultante du torseur d’action mécanique {τS } .
→
− → − →
− → − −→ → −
M B ( F ) = M A ( F ) + BA ∧ R : le moment exprimé au point B du
torseur d’action mécanique {τS }.
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IV) Modélisation d’un ensemble de force
→
− →
−
{τS̄/S }A = { R S̄/S , M A,S̄/S } (6)
avec :
→
− X→
−
R S̄/S = Fi , 16i 6n (7)
→
− X −−→ → −
M A,S̄/S = APi ∧ Fi , 16i 6n (8)
10 / 1
IV) Modélisation d’un ensemble de force
→
− →
−
{τS̄/S }A = { R S̄/S , M A,S̄/S } (6)
avec :
→
− X→
−
R S̄/S = Fi , 16i 6n (7)
→
− X −−→ → −
M A,S̄/S = APi ∧ Fi , 16i 6n (8)
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- Expression analytique :
Soit (→
−
x ,→
−y ,→
−z ) une base orthonormée directe. Les résultantes et les
moments peuvent alors s’exprimer en coordonnées cartésiennes dans ce
repère de la façon suivante :
−−→
RS̄/S = X →
−
x +Y→
−
y + Z→
−
z (9)
→
−
M A,S̄/S = LA →
−
x + MA →
−
y + NA →
−
z (10)
En écriture ligne :
X→ −
x +Y→−y + Z→
−
z
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→ = (11)
z)
x + MA →
LA →
− −
y + NA →
−
z
En écriture colonne :
X LA
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→
z) = Y MA (12)
Z NA
11 / 1
- Expression analytique :
Soit (→
−
x ,→
−y ,→
−z ) une base orthonormée directe. Les résultantes et les
moments peuvent alors s’exprimer en coordonnées cartésiennes dans ce
repère de la façon suivante :
−−→
RS̄/S = X →
−
x +Y→
−
y + Z→
−
z (9)
→
−
M A,S̄/S = LA →
−
x + MA →
−
y + NA →
−
z (10)
En écriture ligne :
X→ −
x +Y→−y + Z→
−
z
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→ = (11)
z)
x + MA →
LA →
− −
y + NA →
−
z
En écriture colonne :
X LA
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→
z) = Y MA (12)
Z NA
11 / 1
- Expression analytique :
Soit (→
−
x ,→
−y ,→
−z ) une base orthonormée directe. Les résultantes et les
moments peuvent alors s’exprimer en coordonnées cartésiennes dans ce
repère de la façon suivante :
−−→
RS̄/S = X →
−
x +Y→
−
y + Z→
−
z (9)
→
−
M A,S̄/S = LA →
−
x + MA →
−
y + NA →
−
z (10)
En écriture ligne :
X→ −
x +Y→−y + Z→
−
z
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→ = (11)
z)
x + MA →
LA →
− −
y + NA →
−
z
En écriture colonne :
X LA
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→
z) = Y MA (12)
Z NA
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- Expression analytique :
Soit (→
−
x ,→
−y ,→
−z ) une base orthonormée directe. Les résultantes et les
moments peuvent alors s’exprimer en coordonnées cartésiennes dans ce
repère de la façon suivante :
−−→
RS̄/S = X →
−
x +Y→
−
y + Z→
−
z (9)
→
−
M A,S̄/S = LA →
−
x + MA →
−
y + NA →
−
z (10)
En écriture ligne :
X→ −
x +Y→−y + Z→
−
z
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→ = (11)
z)
x + MA →
LA →
− −
y + NA →
−
z
En écriture colonne :
X LA
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→
y ,−
→
z) = Y MA (12)
Z NA
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- Torseurs particuliers:
Torseur quelconque
(→
− )
R
{τ }A = −→ (13)
MA
Torseur couple
(→
− )
0
{τ }A = −→ (14)
MA
Torseur glisseur
(→
−)
R
{τ }A = →
− (15)
0
12 / 1
- Torseurs particuliers:
Torseur quelconque
(→
− )
R
{τ }A = −→ (13)
MA
Torseur couple
(→
− )
0
{τ }A = −→ (14)
MA
Torseur glisseur
(→
−)
R
{τ }A = →
− (15)
0
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- Torseurs particuliers:
Torseur quelconque
(→
− )
R
{τ }A = −→ (13)
MA
Torseur couple
(→
− )
0
{τ }A = −→ (14)
MA
Torseur glisseur
(→
−)
R
{τ }A = →
− (15)
0
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V) Différentes actions mécaniques
- Action à distance :
L’action la plus courante est laction de la pesanteur.
- Action de contact ponctuelle :
Lorsque deux solides (S et S̄) sont en contact, une surface de contact va
se créer. On modélise les actions de contact par une force ponctuelle
dont le point d’application est le centre de cette surface et dont la
direction est perpendiculaire à celle-ci.
- Action de contact répartie :
C’est une action exercée par S̄ sur tout S. Par exemple, un fluide exerce
une force repartie sur toute la surface de S. Ces forces sont
généralement modélisées par une pression répartie sur la surface de S.
13 / 1
V) Différentes actions mécaniques
- Action à distance :
L’action la plus courante est laction de la pesanteur.
- Action de contact ponctuelle :
Lorsque deux solides (S et S̄) sont en contact, une surface de contact va
se créer. On modélise les actions de contact par une force ponctuelle
dont le point d’application est le centre de cette surface et dont la
direction est perpendiculaire à celle-ci.
- Action de contact répartie :
C’est une action exercée par S̄ sur tout S. Par exemple, un fluide exerce
une force repartie sur toute la surface de S. Ces forces sont
généralement modélisées par une pression répartie sur la surface de S.
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V) Différentes actions mécaniques
- Action à distance :
L’action la plus courante est laction de la pesanteur.
- Action de contact ponctuelle :
Lorsque deux solides (S et S̄) sont en contact, une surface de contact va
se créer. On modélise les actions de contact par une force ponctuelle
dont le point d’application est le centre de cette surface et dont la
direction est perpendiculaire à celle-ci.
- Action de contact répartie :
C’est une action exercée par S̄ sur tout S. Par exemple, un fluide exerce
une force repartie sur toute la surface de S. Ces forces sont
généralement modélisées par une pression répartie sur la surface de S.
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VI) Principe Fondamental de la Statique (PFS)
Énoncé
Il existe un repère galiléen R(O, → −
x ,→
−
y ,→−z ), tel que pour tous systèmes
matériels (S) en équilibre par rapport à ce repère, les actions mécaniques
appliquées à (S) vérifient :
(→− ) (→ −)
R S̄/S 0
{τS̄/S }A/(−
→
x ,−
→ z) = →
y ,−
→ − = → − (16)
M A,S̄/S 0
14 / 1
Théorème de la résultante statique :
→
− X→
− →
−
R S̄/S = Fi = 0 , 16i 6n (17)
→
− X −−→ → − →
−
M A,S̄/S = APi ∧ Fi = 0 , 16i 6n (18)
15 / 1
Théorème de la résultante statique :
→
− X→
− →
−
R S̄/S = Fi = 0 , 16i 6n (17)
→
− X −−→ → − →
−
M A,S̄/S = APi ∧ Fi = 0 , 16i 6n (18)
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VII) Théorème d’action réciproque
16 / 1
-Degrés de libertés cinématiques (DDL) :
Les degrés de libertés cinématiques associés à une liaison mécanique liant
deux pièces, sont les mouvements possibles de l’une de ces deux pièces
par rapport à l’autre. On général il ya 6 degrés de libertés : 3 pour la
translation (Tx , Ty , Tz ) et 3 pour la rotation (Rx , Ry , Rz ). Pour une
liaison mécanique donnée, les 6 degrés de liberté sont représentés par :
Tx Rx
DDL = Ty Ry (20)
Tz Rz
17 / 1
-Degrés de libertés cinématiques (DDL) :
Les degrés de libertés cinématiques associés à une liaison mécanique liant
deux pièces, sont les mouvements possibles de l’une de ces deux pièces
par rapport à l’autre. On général il ya 6 degrés de libertés : 3 pour la
translation (Tx , Ty , Tz ) et 3 pour la rotation (Rx , Ry , Rz ). Pour une
liaison mécanique donnée, les 6 degrés de liberté sont représentés par :
Tx Rx
DDL = Ty Ry (20)
Tz Rz
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VIII) Types d’appuis
-Définition : Les éléments d’une structure doivent être reliés entres eux
et avec le monde extérieur par un certain nombre de liaisons mécaniques,
(appelés aussi des appuis). Une liaison mécanique impose des
conditions cinématiques et exerce des efforts sur les éléments
directement attachés avec cette liaison. On distingue principalement
trois types d’appuis :
Appui mobile -Articulation -Encastrement.
18 / 1
VIII) Types d’appuis
-Définition : Les éléments d’une structure doivent être reliés entres eux
et avec le monde extérieur par un certain nombre de liaisons mécaniques,
(appelés aussi des appuis). Une liaison mécanique impose des
conditions cinématiques et exerce des efforts sur les éléments
directement attachés avec cette liaison. On distingue principalement
trois types d’appuis :
Appui mobile -Articulation -Encastrement.
18 / 1
-Appuis mobile :
Ce type d’appui, laisse à la structure toute liberté de pivoter autour de
−→
O (extrémité de la poutre) et de se déplacer selon OX .
−→ →
−
Cet appui ne permet pas le mouvement selon OY , la réaction R d’appui
−→
possède alors une seule composante selon OY qui est R.
19 / 1
-Appuis mobile :
Ce type d’appui, laisse à la structure toute liberté de pivoter autour de
−→
O (extrémité de la poutre) et de se déplacer selon OX .
−→ →
−
Cet appui ne permet pas le mouvement selon OY , la réaction R d’appui
−→
possède alors une seule composante selon OY qui est R.
19 / 1
-Articulation:
Cet appui autorise seulement la rotation de l’extrémité de la poutre
−→
autour de OZ .
−→ −→
Puisque cette liaison empêche les mouvements selon OX et OY , sa
→
− −→
réaction R possède alors deux composantes : une selon OX et la
−→
deuxième selon OY .
Figure 4: Articulation.
20 / 1
-Encastrement :
L’encastrement interdit tout déplacement de la section droite de l’appui.
Autrement dit, l’encastrement annule la rotation et la translation de la
poutre au niveau de l’encastrement.
→
−
L’appui applique dans cas une réaction R avec deux composantes selon
−→ −→
OX et OY , et un moment d’encastrement noté M qui empêche la
rotation.
Figure 5: Encastrement.
21 / 1
-Appuis simple :
−→ →
−
Cet appui ne permet pas le mouvement selon OY , la réaction R d’appui
−→
possède alors une seule composante selon OY qui est R.
22 / 1
Les liaisons en génie mécanique selon la norme NF EN ISO 3952-1.
23 / 1
-Systèmes isostatiques :
Les systèmes isostatiques sont les systèmes pour lesquels les équations
d’équilibre suffissent à traduire totalement toutes les réactions(le
nombre d’inconnues est identique aux conditions d’équilibre).
Cela signifie aussi que toutes les réactions seront nécessaires pour
maintenir l’équilibre et la stabilité du système.
-Systèmes hyperstatiques :
Les systèmes hyperstatiques sont des systèmes tels que les équations
d’équilibres seules ne suffisent pas à rendre de toutes les réactions.
24 / 1
-Systèmes isostatiques :
Les systèmes isostatiques sont les systèmes pour lesquels les équations
d’équilibre suffissent à traduire totalement toutes les réactions(le
nombre d’inconnues est identique aux conditions d’équilibre).
Cela signifie aussi que toutes les réactions seront nécessaires pour
maintenir l’équilibre et la stabilité du système.
-Systèmes hyperstatiques :
Les systèmes hyperstatiques sont des systèmes tels que les équations
d’équilibres seules ne suffisent pas à rendre de toutes les réactions.
24 / 1
Exemple
On veut étudier l’influence du poids de panneau de signalisation sur la
structure de soutien dite en " L ". La modélisation associée à ce
problème est décrite sur la figure ci-dessous.
25 / 1
On note par : {τP1 /S2 }C , {τP2 /S2 }B et {τ }O les torseurs des actions
→
− →
−
mécaniques modélisant les efforts (C , F1 ), (B, F2 ) et l’encastrement de
la structure avec la terre au point O.
1) Ecrire l’expression des trois torseurs dans la base (→−
xe ,→
−
e ,→
y
−
e ).
z
26 / 1
On note par : {τP1 /S2 }C , {τP2 /S2 }B et {τ }O les torseurs des actions
→
− →
−
mécaniques modélisant les efforts (C , F1 ), (B, F2 ) et l’encastrement de
la structure avec la terre au point O.
1) Ecrire l’expression des trois torseurs dans la base (→−
xe ,→
−
e ,→
y
−
e ).
z
26 / 1
On note par : {τP1 /S2 }C , {τP2 /S2 }B et {τ }O les torseurs des actions
→
− →
−
mécaniques modélisant les efforts (C , F1 ), (B, F2 ) et l’encastrement de
la structure avec la terre au point O.
1) Ecrire l’expression des trois torseurs dans la base (→−
xe ,→
−
e ,→
y
−
e ).
z
26 / 1
On note par : {τP1 /S2 }C , {τP2 /S2 }B et {τ }O les torseurs des actions
→
− →
−
mécaniques modélisant les efforts (C , F1 ), (B, F2 ) et l’encastrement de
la structure avec la terre au point O.
1) Ecrire l’expression des trois torseurs dans la base (→−
xe ,→
−
e ,→
y
−
e ).
z
26 / 1
On note par : {τP1 /S2 }C , {τP2 /S2 }B et {τ }O les torseurs des actions
→
− →
−
mécaniques modélisant les efforts (C , F1 ), (B, F2 ) et l’encastrement de
la structure avec la terre au point O.
1) Ecrire l’expression des trois torseurs dans la base (→−
xe ,→
−
e ,→
y
−
e ).
z
26 / 1
-Réponse :
1)
0 0
{τP1 /S2 }C = F1 0 (21)
0 0
0 0
{τP2 /S2 }B = F2 0 (22)
0 0
XO LO
{τ }O = YO MO (23)
ZO NO
Puisque (→
−
ex , →
−
ey ) est un plan de symétrie, alors :
27 / 1
-Réponse :
1)
0 0
{τP1 /S2 }C = F1 0 (21)
0 0
0 0
{τP2 /S2 }B = F2 0 (22)
0 0
XO LO
{τ }O = YO MO (23)
ZO NO
Puisque (→
−
ex , →
−
ey ) est un plan de symétrie, alors :
27 / 1
-Réponse :
1)
0 0
{τP1 /S2 }C = F1 0 (21)
0 0
0 0
{τP2 /S2 }B = F2 0 (22)
0 0
XO LO
{τ }O = YO MO (23)
ZO NO
Puisque (→
−
ex , →
−
ey ) est un plan de symétrie, alors :
27 / 1
Le torseur {τ }O , s’ecrit alors :
XO 0
{τ }O = YO 0 (24)
0 NO
→
− →
−
M O,P2 /S2 = 0 + [l1 →
−
ey − l2 →
−
ex ] ∧ F2 →
−
ey = −l2 F2 →
−
ez (32)
On remplace dans le théorème :
→
−
−l2 F2 →
−
ez − (l2 + l3 )F1 →
−
ez + NO →
−
ez = 0 (33)
Ce qui donne :
NO = l2 F2 + (l2 + l3 )F1 (34)
4)
0 0
{τ }O = −F1 − F2 0 (35)
0 l2 F2 + (l2 + l3 )F1
29 / 1
Ce qui donne :
→
− →
−
M O,P1 /S2 = 0 + [l1 ey − (l2 + l3 )ex ] ∧ F1 →
−
ey = −(l2 + l3 )F1 →
−
ez (30)
De même, on a :
→
− →
− −→ → −
M O,P2 /S2 = M B,P2 /S2 + OB ∧ R P2 /S2 (31)
→
− →
−
M O,P2 /S2 = 0 + [l1 →
−
ey − l 2 →
−
ex ] ∧ F2 →
−
ey = −l2 F2 →
−
ez (32)
On remplace dans le théorème :
→
−
−l2 F2 →
−
ez − (l2 + l3 )F1 →
−
ez + NO →
−
ez = 0 (33)
Ce qui donne :
NO = l2 F2 + (l2 + l3 )F1 (34)
4)
0 0
{τ }O = −F1 − F2 0 (35)
0 l2 F2 + (l2 + l3 )F1
29 / 1
Ce qui donne :
→
− →
−
M O,P1 /S2 = 0 + [l1 ey − (l2 + l3 )ex ] ∧ F1 →
−
ey = −(l2 + l3 )F1 →
−
ez (30)
De même, on a :
→
− →
− −→ → −
M O,P2 /S2 = M B,P2 /S2 + OB ∧ R P2 /S2 (31)
→
− →
−
M O,P2 /S2 = 0 + [l1 →
−
ey − l 2 →
−
ex ] ∧ F2 →
−
ey = −l2 F2 →
−
ez (32)
On remplace dans le théorème :
→
−
−l2 F2 →
−
ez − (l2 + l3 )F1 →
−
ez + NO →
−
ez = 0 (33)
Ce qui donne :
NO = l2 F2 + (l2 + l3 )F1 (34)
4)
0 0
{τ }O = −F1 − F2 0 (35)
0 l2 F2 + (l2 + l3 )F1
29 / 1
Ce qui donne :
→
− →
−
M O,P1 /S2 = 0 + [l1 ey − (l2 + l3 )ex ] ∧ F1 →
−
ey = −(l2 + l3 )F1 →
−
ez (30)
De même, on a :
→
− →
− −→ → −
M O,P2 /S2 = M B,P2 /S2 + OB ∧ R P2 /S2 (31)
→
− →
−
M O,P2 /S2 = 0 + [l1 →
−
ey − l 2 →
−
ex ] ∧ F2 →
−
ey = −l2 F2 →
−
ez (32)
On remplace dans le théorème :
→
−
−l2 F2 →
−
ez − (l2 + l3 )F1 →
−
ez + NO →
−
ez = 0 (33)
Ce qui donne :
NO = l2 F2 + (l2 + l3 )F1 (34)
4)
0 0
{τ }O = −F1 − F2 0 (35)
0 l2 F2 + (l2 + l3 )F1
29 / 1
Ce qui donne :
→
− →
−
M O,P1 /S2 = 0 + [l1 ey − (l2 + l3 )ex ] ∧ F1 →
−
ey = −(l2 + l3 )F1 →
−
ez (30)
De même, on a :
→
− →
− −→ → −
M O,P2 /S2 = M B,P2 /S2 + OB ∧ R P2 /S2 (31)
→
− →
−
M O,P2 /S2 = 0 + [l1 →
−
ey − l 2 →
−
ex ] ∧ F2 →
−
ey = −l2 F2 →
−
ez (32)
On remplace dans le théorème :
→
−
−l2 F2 →
−
ez − (l2 + l3 )F1 →
−
ez + NO →
−
ez = 0 (33)
Ce qui donne :
NO = l2 F2 + (l2 + l3 )F1 (34)
4)
0 0
{τ }O = −F1 − F2 0 (35)
0 l2 F2 + (l2 + l3 )F1
29 / 1
Ce qui donne :
→
− →
−
M O,P1 /S2 = 0 + [l1 ey − (l2 + l3 )ex ] ∧ F1 →
−
ey = −(l2 + l3 )F1 →
−
ez (30)
De même, on a :
→
− →
− −→ → −
M O,P2 /S2 = M B,P2 /S2 + OB ∧ R P2 /S2 (31)
→
− →
−
M O,P2 /S2 = 0 + [l1 →
−
ey − l 2 →
−
ex ] ∧ F2 →
−
ey = −l2 F2 →
−
ez (32)
On remplace dans le théorème :
→
−
−l2 F2 →
−
ez − (l2 + l3 )F1 →
−
ez + NO →
−
ez = 0 (33)
Ce qui donne :
NO = l2 F2 + (l2 + l3 )F1 (34)
4)
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{τ }O = −F1 − F2 0 (35)
0 l2 F2 + (l2 + l3 )F1
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Merci de votre attention !
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