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3,75%
3500 5
2500 4
1500 3
500 2
-500 1
-1500 0
janv.-03 janv.-04 janv.-05 janv.-06 janv.-07 janv.-08 janv.-09 janv.-10 janv.-11 janv.-12
120
115
110
105
100
95
90
85
80
déc.-99 déc.-00 déc.-01 déc.-02 déc.-03 déc.-04 déc.-05 déc.-06 déc.-07 déc.-08 déc.-09 déc.-10 déc.-11
1
3
0,5
2
0
janv.-00
janv.-02
janv.-03
janv.-05
janv.-06
janv.-08
janv.-09
janv.-11
janv.-01
janv.-04
janv.-07
janv.-10
1
0
00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11
4 2 4
Glissement continu du dinar Politique "stop and go"
3 0 3
2 -2 2
1 -4 1
0 -6 0
-1 -8 -1
Solde courant en % du PIB retardé d'1 trimestre (axe G)
% Dépréciation f ace à l'euro non expliquée par l'eur/usd (panier) % Dépréciation de l'euro non expliquée par l'eur_usd (panier)
-2 -10 -2
00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11
2000 2002 2004 2006 2008 2010
Partie 2:
Évaluations macro-économique des
effets de la politique monétaire
A. Réactions globales
B. Le pass-through du taux de change
A. Réactions globales: évidences à
partir de la modélisation VAR
k
• Forme générale du VAR: A0 xt Ai xt i Bvt
i 1
• Objectif: Evaluer les réponses des variables à un choc
non anticipé sur les instruments de politique
monétaire
• Problème d’identification des chocs de PM à cause la
multiplicité des objectifs et des instruments
• Méthode d’identification: Décomposition de Cholesky,
VAR avec restrictions de signe (Uhlig, 2005)
• VAR en niveau estimé sur données mensuelles sur la
période [2000M1-2011M6], changements de PM …
A. Réactions globales: évidences à
partir de la modélisation VAR
Réponse à un choc sur le taux de change
Production manufacturiere IPC hors alim at energie
.4 .04
.2
.00
.0
-.04
-.2
-0.38 -.08
-.4
-0.071
-.12
-.6
-.8 -.16
5 10 15 20 25 30 35 5 10 15 20 25 30 35
.2
.0
-.2
-.4
5 10 15 20 25 30 35
A. Réactions globales: évidences à
partir de la modélisation VAR
Réponse à un choc sur le TMM
Production manufacturière IPC hors alim. et énergie Credits sains
1.5 .10 1
.05
1.0
0
.00
0.5
-.05 0.04
0.0 -0.098 -1
-.10
-0.5
-.15 -2
-1.0 -.20
5 10 15 20 25 30 35 5 10 15 20 25 30 35 5 10 15 20 25 30 35
.10
-0.9 0.068
.04
.05
.00 .00
-.05
-.04
-.10
5 10 15 20 25 30 35 5 10 15 20 25 30 35
B. Pass-through du taux de change
McCarthy, Agrégat monétaire (M3) Taux d’intérêt
1999, 2000 et
2007
Δ Prix à la production
Δ Prix à la consommation (Indice des prix de vente Δ Prix à l’import
(IPC) industrielle) (en monnaie domestique)
B. Pass-through du taux de change
toil Et 1 toil ts
t Et 1 t a1 ts td
et Et 1 et b1 ts s b2 td te
m E t 1 m 1 s 2 d 3 e m
w E t 1 w 1 s 2 d 3 e 4 m w
c E t 1 c 1 s 2 d 3 e 4 m 5 w c
.0004
.004 .0000
-.0004
.002 -.0008
-.0012
.000 -.0016
-.0020
-.002 -.0024
2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
.0000
.0000
-.0002
-.0004 -.0002
-.0006
-.0004
-.0008
-.0010 -.0006
2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
B. Pass-through du taux de change
Response to Cholesky One S.D. Innovations ± 2 S.E.
Response of DLOG(e) to DLOG(PM) Response of DLOG(e) to DLOG(IPC)
.003 .003
.002 .002
.001 .001
.000 .000
-.001 -.001
-.002 -.002
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Partie 2 :
La fonction d'intermédiation financière
en Tunisie et son rôle dans la
transmission de la politique monétaire
10
0
1999m7 2001m7 2003m7 2005m7 2007m7 2009m7 2011m7
date
Source: calculs de la BdF - DGEI - DEMFI à partir de données BCT - DGPM -DSPM
A.2. Coût des ressources et marché
monétaire
• Le marché monétaire en Tunisie
– Interbancaire
– Entre agents financiers et non-financiers (segment des
DAT et des certificats de dépôts des « gros
institutionnels »)
• animé par environ 10 ‘gros’ institutionnels
• Ce marché est ‘en coulisse’ avec des transactions
– Sécurisées (repos sur bons du trésor) ou
– Non-sécurisées (DAT / CD)
A.2. Coût des ressources et marché
monétaire
• Pourtant les prix semblent agréger
l’information:
– Taille des investisseurs liée à leur pouvoir de
marché
– Choc sur la liquidité augmente le taux ‘moyen’ payé
– Dispersion des taux payés peut refléter les risques
pris du fait d’effet fragile de concurrence imparfaite
• Mais pas d’informations publiques sur les prix
• Donc pas de diffusion des jugements sur les
risques pris par les banques
A.3. Gestion des risques de crédit
• Pratiques hétérogènes d’évaluation des risques
lors de l’attribution de nouveaux crédits
– Outils quantitatifs: Banques à capitaux étrangers vs.
publiques/ privées tunisiennes
– Prêts à la consommation dirigés vers salariés
• Très forte hétérogénéité structurelle des
créances douteuses
– à des niveaux potentiellement difficile à rationaliser,
cf. hôtellerie
• Restructuration post-2004: tendance à la baisse
pour tous les acteurs
A.3. Gestion des risques de crédit
• Causes de la baisse des créances douteuses?
1. Bonne santé macro-économique de la Tunisie?
2. Utilisation judicieuse de structure de
défaisance et de recouvrement?
3. Meilleures techniques d’évaluation du risque
par les banques?
• En supposant que les 2 premiers items sont
communs à toutes les banques, la mesure
de l’efficacité individuelle est donné par
l’évolution de l’écart à la moyenne
A.3. Gestion des risques de crédit
• Entreprises: Niveau élevé de garantie pour
compenser la mauvaise évaluation des risques
(avis divergents)?
– Est-ce lié à la capacité à saisir ces garanties?
• Ménages: vers les salariés uniquement?
– Risque de non-remboursement est alors corrélé à
la macro-économie (chômage et inflation/change)
– Importance d’éviter les chocs négatifs brutaux
A.4. Changements structurels sur le
marché du crédit
• Récemment: fort dynamisme, lutte pour les
parts de marché?
80
70 M3 et crédit intérieur en % du PIB
en % du PIB
60
50
8
en %
janv.-01
janv.-02
janv.-03
janv.-04
janv.-05
janv.-06
janv.-07
janv.-08
janv.-09
janv.-10
janv.-11
janv.-03
janv.-05
janv.-06
janv.-07
janv.-09
janv.-10
janv.-11
janv.-04
janv.-08
4000
3000
2000
1000
0
janv.-03
janv.-04
janv.-05
janv.-07
janv.-08
janv.-09
janv.-11
janv.-06
-1000 janv.-10
-2000 Total facteurs autonomes
60%
55%
50%
45%
40%
35%
30%
25%
20%
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
A.2.1. Financement de l’économie et
rôle des banques
50% 22%
48% 20%
46%
18%
44%
16%
42%
14%
40%
12%
38%
10%
36%
Créances saines 8%
34%
Créances immobilisées
32% 6%
Créances immobilisées corrigés des cessions radiations
30% 4%
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Estimation en panel du canal du taux
d’intérêt
• Équation estimée
2500 25000
2000 20000
1500 15000
1000 10000
500 5000
0 0
1999m12
2000m06
2000m12
2001m06
2001m12
2002m06
2002m12
2003m06
2003m12
2004m06
2004m12
2005m06
2005m12
2006m06
2006m12
2007m06
2007m12
2008m06
2008m12
2009m06
2009m12
2010m06
2010m12
2011m06
M4-M3 M3-M2 M1 (axe de droite) M2-M1 (axe de droite)
Impact retardé des mauvaises
créances?
• A un rôle sur les TEG des prêts aux entreprises et
des prêts logements
– A court-terme : Une augmentation de 100 pbs
augmente les TEG de 5 pbs.
– A long terme, l’impact est de 7 pbs
• Prêts non-performants n’ont pas d’impact sur les
taux à la consommation
– Explique le dynamisme de ce marché?
– Pour lesquels l’évaluation des risques est la plus
simple?
– Attention au risque macro-économique?
ANNEXES DE LA PARTIE 3
A. Réactions globales: évidences à partir
de la modélisation VAR
Prod. Manuf. TMM
• ARDL sinon