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Vous avez lu sur le forum de votre école de langue la contribution suivante : « J’ai

lu qu’il y a encore 50 ans à l’école primaire on rencontrait 54% de femmes


enseignantes et 46% d’hommes. Une quasi parité professionnelle. Mais
aujourd’hui…? Aujourd’hui l’école primaire comporte 82% de femmes
dans l’enseignement. Et si on ne considère les chiffres que de l’enseignement privé
ça monte même à 91%. Je suis persuadée que cette situation est nocive pour les
enfants, car ils n’ont plus de repères masculins ».

Bonjour !

Je viens de lire tout ce que vous avez écrit et je voudrais (sin de) vous donner mon avis,
mais premièrement je me présente. Je m’appelle Luis et j’étudie aussi dans le même
école que vous. Je pense que notre contribution, les élèves, sur le forum est une
initiative très intéressante pour nous permet de donner notre opinion sur des thèmes
importants académiques, mais aussi pour apprendre à débattre entre nous (toujours avec
le respect).

Tout d’abord, le topic que dans les écoles il existe plus des femmes travaillent comme
professeures que des hommes professeurs est une réalité, donc je ne suis pas là pour
démentir ça, sinon pour vous faire réfléchir. La décision d’étudier la licence de
magistère est libre, donc aucune personne force (sin a) les hommes de ne pas (cuando el
verbo está en infinitivo en ne pas se pone seguido) l’étudier. En plus, l’université ici en
France est publique, tous nous pouvons faire la licence que nous aimions. Toutefois,
malgré ces facilités pour tous les gens sans importe le sexe, on trouve cette situation
« peu équitable » dont vous parlez.

En continuation, je vais (sin à, en el futuro cercano no se pone) ) approfondir sur ce


sujet pour éclaircir la situation. Pour la comprendre la on doit regarder la société.
Normalement, les femmes depuis elles sont filles, elles sont éduquées pour être une
« bonne mère », c’est t-à-dire, prendre soins de sa maison, de son mari et de ses enfants.
Tout ça affecte à ce que (se lee asque) dans le moment de prendre la décision de choisir
une carrière, elles choisissent plus la licence de magistère que les hommes, puis que
tous nous sommes conditionnés pour les valeurs de notre société.
(faire la licence / choisir une carrière  mejor decirlo así)
Pour conclure, je voudrais ajouter que je ne crois pas que cette situation est nocive pour
les enfants. On trouve plus des hommes que des femmes dans le reste de tous les
travaux, donc ce n’est pas un problème ce que vous avez dit, le véritable problème est
que dans tout notre société se produit le contraire de ce que vous dites.

Merci pour lire mon opinion. J’espère votre réponse !

Luis.

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