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Histoire Des Grandes Erreurs de Management
Histoire Des Grandes Erreurs de Management
Histoire
des grandes erreurs
de management
Ils se croyaient les meilleurs…
Denoël
Christine Kerdellant, diplômée de HEC où elle a enseigné, a été chef d’entreprise
avant de devenir journaliste et écrivain. Auteure d’une quinzaine d’essais économiques
et de romans, dont en 2000 Le Prix de l’incompétence, déjà consacré aux erreurs des
dirigeants, elle est directrice de la rédaction de L’Usine nouvelle et conférencière.
À mon amour des 5 décembre
Introduction
Benjamin Franklin
Georges Duhamel,
écrivain et académicien
1. En France, UberX — une plate-forme de VTC qui met en relation des chauffeurs
et des clients — est autorisé, tandis qu’Uberpop — la plate-forme qui met en relation
des particuliers qui s’improvisent chauffeurs avec les clients — a été interdit.
2. L’affirmation de l’idéologie propriétaire est liée à celle du néolibéralisme. Elle se
fonde sur l’idée que les marchés sont efficients et qu’ils s’autorégulent, à condition que
les droits de propriété sur les biens — et notamment les entreprises — soient pleins,
entiers et exclusifs. Elle implique aussi que l’efficacité d’une entreprise se mesure à la
satisfaction de ses actionnaires. Le but principal de l’entreprise devient la création de
valeur pour les actionnaires (shareholder value). Les principes de gouvernance sont
alors entièrement tournés vers la maximisation de la valeur : toute action du manager a
pour objectif de faire monter le cours de Bourse — d’où les licenciements dits
« boursiers », ou la cession des murs des hypermarchés pour générer une plus-value
immédiate et recentrer l’activité vers le cœur de métier. Certaines de ces actions, qui
visaient le redressement du cours de Bourse, ont conduit, en raison de leur court-
termisme, à des erreurs majeures que nous avons étudiées (notamment avec le cas
Carrefour au chapitre I).
Cette idéologie propriétaire s’oppose à la théorie des « parties prenantes »
(stakeholders), précédemment dominante. Cette dernière concevait l’entreprise comme
une « communauté de destins », et ses actions comme un compromis entre différents
acteurs : actionnaires, salariés, managers, État ou collectivités. Ce discours a disparu.
Au nom de l’idéologie propriétaire, les actionnaires et les managers s’approprient
l’essentiel de la richesse créée, puisqu’ils considèrent que ce sont eux seuls qui en sont
les auteurs. Une des conséquences en a été la crise des subprimes (voir chapitre X).
Chapitre V
LA PUB SUICIDAIRE
Quand la communication pénalise les produits
Aristote
Winston Churchill
Albert Einstein
Lénine
Une femme qui place son sac à main en évidence sur le pas de
sa porte, et le surmonte d’une pancarte : « Sac à main non
surveillé : le prendre serait un vol », est-elle coupable du larcin
qui va suivre ? Non, bien sûr : le voleur est seul coupable, et la
propriétaire du sac l’est d’autant moins qu’elle a prévenu qu’il
s’agirait d’un vol. N’est-elle pas, pour autant, largement
responsable de cette exaction ? La réponse, là aussi, semble
évidente : en laissant le sac à main au vu de tous, sans
surveillance, en précisant même qu’elle se doute qu’il sera volé,
elle incite au larcin. Mais quel pourcentage de la responsabilité
porte-t-elle ?
L’affaire Kerviel a posé, depuis ses débuts, la même question
que la parabole du sac à main. Le monde entier connaît les
grandes lignes de l’histoire : Jérôme Kerviel, un trader de la
Société Générale, a fait perdre à sa banque 4,9 milliards d’euros
— un record historique et planétaire — en spéculant de manière
hasardeuse ; la banque ne s’est aperçue de rien pendant un an et
demi, parce que, dans le système informatique, il masquait ses
positions par de fausses contreparties. À moins, susurrent les
défenseurs de Kerviel, qu’elle n’ait rien voulu voir parce que les
spéculations du jeune homme étaient toujours gagnantes jusqu’à
la date où, curieusement, alors qu’elles ne l’étaient plus,
quelqu’un les a officiellement dévoilées. À la Société Générale, on
reconnaît en tout cas aujourd’hui que Kerviel est un « produit de
la culture maison » de l’époque. Une culture que les nouveaux
dirigeants de la banque se sont attachés, depuis, à transformer en
profondeur.
« JK », comme on l’a vite surnommé, n’a pas détourné l’argent
à son profit et visait moins l’enrichissement personnel, par les
primes que ses résultats exceptionnels ne manqueraient en effet
pas de lui valoir, que de faire gagner de l’argent à sa banque et
d’être ainsi reconnu à ce qu’il estimait être « sa juste valeur ». Le
jugement, en première instance, l’a reconnu coupable d’abus de
confiance, de faux et usage de faux et d’introduction frauduleuse
de données dans un système informatique ; il a donc été
condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, ainsi qu’au
remboursement des 4,9 milliards d’euros disparus en fumée. Le
jugement en appel a confirmé les deux condamnations. Mais les
juges de la Cour de cassation en ont décidé autrement : tout en
confirmant la peine de prison, ils ont « cassé » le montant des
dommages et intérêts, et renvoyé la décision sur ce point à la
cour de Versailles. Non parce qu’ils estimaient que cette peine
était invraisemblable et donc parfaitement théorique —
4,9 milliards d’euros correspondent à 177 000 années de son
salaire actuel pour le trader —, car le droit peut se permettre de
telles aberrations. Ils l’ont cassée parce qu’elle supposait que
Kerviel fût à 100 % responsable des pertes subies par la SocGen.
Or, ont-ils statué, ce n’était pas le cas.
Alphonse Allais
sur le marché public. Des bourgeois les achètent pour les planter
dans leurs jardins, le long des canaux, au cœur d’Amsterdam. La
fleur devient un signe extérieur de richesse, surtout lorsqu’elle
possède des pétales marbrés de couleurs vives —, des anomalies
dues à un potyvirus dans le bulbe, comme on le découvrira
beaucoup plus tard.
Les bulbes se vendent, soit au comptant entre juin et
septembre, soit, le reste de l’année, par le biais d’un contrat à
terme, devant notaire, l’achat devant se faire à la fin de la saison.
De fait, les Néerlandais sont à l’origine d’un grand nombre
d’instruments de la finance moderne. En 1634, à cause d’une
demande française qui stimule les ventes, les spéculateurs entrent
sur le marché. En 1636, une Bourse de commerce se crée, où se
négocient les contrats à terme des bulbes. Les négociants se
réunissent en « collèges » dans des auberges et les acheteurs
doivent s’acquitter d’un « pourboire » de 2,5 % de la transaction,
plafonné à 3 florins. Aucune des deux parties ne fournit de dépôt
de garantie et il n’existe pas d’appel de marge. Parce qu’il s’agit de
négocier sur des bulbes qui n’existent pas encore, les Hollandais
ont baptisé cette spéculation sur les contrats à terme du joli nom
de « commerce du vent » (Windhandel)…
En 1636, les prix explosent. Le 1er février 1637, une variété de
tulipes « cassées » atteint le prix record de 6 700 florins. Un
oignon peut valoir autant que deux maisons ou huit veaux gras,
soit quinze fois le salaire annuel d’un artisan : le marché est
devenu totalement irrationnel. Las, le 3 février, sans raison
apparente, le prix des contrats à terme de bulbes de tulipe
s’effondre brutalement, mettant fin au commerce du vent. Et ils
vont s’effondrer jusqu’en mai, entraînant un cortège de faillites,
de désespoir et de suicides. Pour certains historiens, la présence
de la peste bubonique à Haarlem expliquerait ce retournement de
tendance et la fin de la folie tulipière.
Les Bourses chinoises ont aussi donné le tournis aux
investisseurs, en 2015. La frénésie avait été telle autour des places
financières chinoises en 2014 et pendant les cinq premiers mois
de 2015 (+128 % pour Shanghai sur un an, + 165 % pour
Shenzhen) que des observateurs commençaient à craindre la
formation d’une gigantesque bulle spéculative. Les anticipations
négatives ont fini par prendre le dessus sur l’euphorie
irrationnelle : la Bourse chinoise a chuté de près 30 % en moins
d’un mois, à en juger par son indice Shanghai Composite.
L’ampleur de la débâcle a de quoi donner le vertige. L’indice
ChiNext des valeurs de technologie de Shenzhen a chuté encore
plus lourdement : au début de l’automne, moins 40 % par rapport
à son plus haut de l’année. Or ce sont les deux marchés boursiers
les plus importants du monde, après Wall Street. En Chine, selon
Bloomberg, 2 800 milliards de dollars sont partis en fumée
pendant le seul mois de juin !
Dans un pays où les coiffeurs et les chauffeurs de taxi, les
jeunes cadres et les vieux retraités, se sont tous mis à boursicoter
compulsivement, confondant la Bourse de Shanghai avec les
casinos de Macao, cette envolée spectaculaire était clairement
due aux particuliers, qui pèsent plus de 80 % de la capitalisation
du marché. Et qui, curieusement, adorent les achats et les ventes
à découvert. Le gonflement de cette bulle spéculative
s’expliquerait d’ailleurs davantage par cet engouement particulier
pour les transactions à terme que par une ruée sur les
introductions en Bourse de sociétés Internet, qui ont pourtant été
nombreuses.
Le pouvoir chinois a aussi favorisé — ou à tout le moins laissé
faire — cette frénésie, en laquelle on pouvait voir une manière de
redonner du pouvoir d’achat aux ménages chinois, stimulant
ainsi la consommation intérieure. Certains intermédiaires
autorisaient à leurs clients des effets de levier égaux à six fois,
une technique à double tranchant, car si elle accroît les gains
quand il y en a, elle accroît aussi les pertes éventuelles et le
mouvement de panique qu’elles provoquent. Autre facteur
explicatif, l’initiative des régulateurs chinois, « Shanghai-Hong
Kong Stock Connect » permettant, depuis novembre 2014, aux
investisseurs étrangers d’acheter des actions de sociétés de la
Chine continentale sans demander une autorisation préalable.
La correction a sûrement été douloureuse pour ces petits
épargnants moutonniers, qui voyaient leur portefeuille gonfler
comme par magie depuis des mois. Même si une étude
prémonitoire de la Bank of Communications annonçait, juste
avant le krach, que la « bulle » chinoise, essentiellement
alimentée par l’afflux de millions de petits porteurs convaincus
que le pouvoir politique allait soutenir la hausse des indices pour
des raisons d’équilibre social, allait théoriquement éclater dans
les six mois. Prévisible donc ? « Pour le seul mois de mai 2015,
plus de 20 millions de Chinois ont ouvert des comptes pour
investir des sommes, la plupart du temps empruntées à des
banques, destinées à boursicoter ! » fait remarquer l’homme
politique et économiste Pierre Larrouturou, l’un des rares qui ait
annoncé la crise financière de 2007.
L’Occident a découvert, pour l’occasion, et avec stupeur, qu’en
matière de marchés boursiers aussi, la Chine avait des pratiques
particulières. Poussés par l’État à investir dans l’économie
nationale (notamment par des incitations sous forme de décote
sur le prix, le premier jour de l’introduction en Bourse) et par des
facilités de crédit, les épargnants chinois sont à l’origine de
l’immense majorité des transactions enregistrées sur les marchés.
Rien à voir avec les Bourses occidentales, où l’essentiel des
échanges est assuré par des professionnels et institutionnels. Ce
qui ne garantit pas, d’ailleurs, une attitude plus rationnelle en cas
de retournement des marchés.
De nombreux travaux ont porté sur les responsabilités de la
science économique et de la théorie financière dans la formation
des crises et notamment de la dernière en date. Mais la
responsabilité des sciences de gestion n’a pas été réellement
étudiée. Or, si les pratiques de management ont suscité autant de
dérives, c’est aussi en raison de choix académiques blâmables.
Comme le montrent des théoriciens venus de diverses spécialités
(stratégie, ressources humaines, entreprenariat) dans un numéro
de la Revue française de gestion, nous avons préparé la crise « en
chassant de bonnes pratiques au nom de fausses théories ».
Jusqu’aux années 1990, les sciences de gestion évoluent de
manière particulièrement riche. La recherche fondamentale ne
s’obstine plus à rechercher des principes de gestion universels,
efficaces en toutes circonstances, elle leur préfère des théories
plus diversifiées et plus innovantes des formes viables
d’organisation et de rationalisation de l’action. Une usine de
construction automobile ne peut pas être gérée comme une plate-
forme pétrolière ou une clinique. Des courants critiques
continuent de dénoncer une organisation technocratique du
travail et la faiblesse endémique, en France, du dialogue social
dans les entreprises, mais on étudie les mécanismes qui
permettent à des collectivités humaines de créer des richesses,
des techniques, des repères sociaux. De même que l’on étudie les
nouvelles formes de pouvoir et d’autorité, comme on l’a vu
notamment au chapitre VIII. On est loin de la simple division du
travail ou de l’exécution des plans.
Mais les années 1990 balayent ces acquis. Les entreprises sont
assimilées à des « nœuds de contrats » entre actionnaires et
dirigeants, ou entre dirigeants et salariés, voire entre les services
d’une même société. La raison d’être des entreprises se voit aussi
limitée à la réduction des coûts de transaction associées aux
rapports marchands. Ces théories, publiées d’abord dans de
grandes revues américaines, s’étendent en bénéficiant de leur
aura. Mais c’est surtout l’avènement du capitalisme mondial et
financier qui va leur profiter. Ils vont offrir aux tenants de ce
système une représentation, biaisée et simplificatrice mais
commode, d’une entreprise décomposable en autant de fragments
que l’on peut vendre ou acheter sur les marchés. « On passe alors,
explique Armand Hatchuel, professeur à Mines ParisTech, de
théories erronées à des idéologies pratiques, puis à des normes de
gestion, qui vont guider les acteurs et seront enseignées comme
de bonnes références professionnelles. »
Très vite, les signaux d’alerte vont se multiplier. Il y a d’abord
une série de crises et de scandales entre 1995 et 2005, mais le lien
ne sera pas établi : seule la catastrophe de 2008 va obliger à le
faire, de manière spectaculaire et inédite. Plusieurs théoriciens
montrent comment cette conception « contractualiste » et
financière de l’entreprise « s’est propagée notamment en
stratégie, en ressources humaines et en gouvernance, où elle a
fait régresser des approches plus coopératives de la gestion ».
Pour eux, la sortie de crise ne passe donc pas par moins de
management mais par le retour de la tradition théorique et
critique des sciences de gestion.
Une autre lecture — non contradictoire — de la crise des
subprimes, dont nous subissons toujours les conséquences
aujourd’hui, consiste à en attribuer la responsabilité à l’idéologie
propriétaire, concomitante du néolibéralisme et de la
financiarisation des marchés. Pour accroître leurs profits, les
banques ont imaginé, comme on l’a vu plus haut, transformer des
Américains pauvres et insolvables en propriétaires de leurs
logements. Ils ont alors fabriqué les produits financiers
correspondant à ces crédits qui avaient toutes les chances de finir
impayés, mais qui étaient gagés sur des biens dont la valeur ne
cessait d’augmenter, et surtout dont ils se débarrassaient en les
revendant, habilement « packagés », à d’autres.
Il existe aussi une lecture purement financière et monétariste
des crises. La fragilité du système financier mondial, qui a donné
naissance aux grandes crises de la fin du XXe siècle et du début du
e
XXI, est due à une erreur majeure et « systémique » commise en
août 1971 par le président américain d’alors, Richard Nixon : la
suspension de la convertibilité du dollar en or. Cette suspension a
annulé les accords de Bretton Woods qui avaient été instaurés, en
e
1944, pour mettre fin à l’instabilité monétaire. Le XIX siècle et le
e
début du XX avaient en effet été le théâtre d’une série de crises,
de krachs et de paniques monétaires ; la crise de 1929,
responsable de la grande dépression, de la crise financière de
1934 et de ses conséquences funestes — la prise de pouvoir de
Hitler —, convainc enfin les puissances occidentales de mettre en
place une coopération internationale afin d’instaurer un système
de changes fixes mais ajustables, régulé par le FMI. Les crises
financières disparaissent alors pendant quatre décennies.
L’abandon de la convertibilité-or du dollar en 1971, qui
débouche sur un système moins régulé de changes flottants, a
renvoyé le monde à ses crises financières périodiques. Une vraie
litanie : crise obligataire de 1974, crise de la dette des pays en
voie de développement en 1982, krach obligataire puis boursier
de 1987, crise du SME en 1992, crise économique asiatique en
1997, crise russe en 1998, krach boursier (explosion de la bulle
Internet) de 2000, crise des subprimes, crise de la dette
européenne devenant crise de l’euro… Parmi elles, plusieurs
crises à proprement parler monétaires — et en particulier la
grande crise financière provoquée par l’effondrement des crédits
subprimes en 2008 — ont remis à l’ordre du jour le projet de
création d’un système monétaire international plus stable et plus
régulé.
Las, le G20 de 2008 et ceux qui l’ont suivi n’ont pas pris de
mesures concrètes en ce sens et le monétarisme triomphe
toujours. Le monde attend, sans le savoir, la prochaine bulle. Que
beaucoup estiment inévitable à l’horizon de quelques années au
plus tard.
Chapitre XI
LA TENTATION MÉGALOMANE
Quand la « vision » tue l’entreprise
Charles de Gaulle
Staline
Tous les cas que nous venons d’évoquer, et que nous aurions
pu facilement multiplier à l’infini, sont soit moralement
discutables, soit franchement malhonnêtes. Dans tous les cas,
l’éthique se confond avec la notion de responsabilité. C’est cette
notion que les dirigeants surpayés refusent de prendre en
compte, en arguant qu’ils restent fidèles à la loi du marché ; ou
que Lance Armstrong conteste, lorsqu’il confie que le cyclisme ne
peut plus être pratiqué sans EPO et qu’une bonne équipe est aussi
celle qui sait mettre en place un système de stimulants efficace.
« La responsabilité, écrivait le philosophe Alain Etchegoyen, est
devenue un maître mot, donc il a plus de valeur que de sens. Être
responsable, c’est répondre de ses actes et de leurs conséquences
devant autrui. C’est l’engagement — juridique et moral — que l’on
prend en accédant à un pouvoir impliquant des responsabilités.
La responsabilité exprime notre époque. Ce n’est ni du prêt-à-
penser ni du prêt-à-agir. Elle ne donne pas des réponses clés en
main. C’est en ce sens que la vraie morale se moque de la
morale. » Un commentaire que pourraient et devraient méditer
tous les dirigeants d’entreprise.
Conclusion
De l’erreur à l’échec sublimé
Winston Churchill
Même s’il nous a quittés, ma gratitude va aussi à Peter Drucker, qui restera pour
moi, comme il a été surnommé à juste titre, le « pape » du management : je n’oublierai
jamais la journée passée avec ce très vieux monsieur à l’esprit toujours alerte, dans sa
maison de Claremont, en Californie.
Références
INTRODUCTION
Capucine GRABY et Marc SIMONCINI, Grandeurs et misères des stars du net, Grasset,
2012.
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rattrapée, Robert Laffont,2016.
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The World of Business, FT Prentice Hall, 2010.
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Catherine HEURTEBISE, Les Petites Bêtises du marketing, Éditions François Bourin,
2015.
Fabien BENOIT et Jean-Christophe FÉRAUD, « Les Glass, le mauvais œil de Google »,
Libération, 17-18 janvier 2015.
David BARROUX, « L’effrayant destin de Nokia », Les Échos, 12 avril 2012.
Gilles FONTAINE, « Les dix plus gros échecs de Google », Challenges, 9 mars 2015.
Voir aussi (leurs propos ont été utilisés dans le livre de 1999, pour des cas résumés ici) :
Patrick FRIDENSON, Jean-Louis LOUBET, Jean-Marc LÉVY, Alix BRIJATOFF, Xavier
TERLET.
Véronique BADOR, « Le Baron s’obstine », Challenges, octobre 1990.
Hervé BENTÉGEAT, « Les vieilles recettes du baron », L’Expansion, 22 novembre 1990.
Laurence ARMANGAU et Audrey CHAHOUAT, « La Mercedes classe A tente une pirouette
pour reprendre de l’élan », CB News, 9 mars 1998.
« David Douillet investisseur poids lourd », Le Revenu français - Hebdo, 14 mars 1994.
Renaud LECADRE, « David Douillet, lourd en judo, léger en affaires », Libération,
17 octobre 1997.
Claire DERVILLE, « Se planter, la meilleure façon de réussir », Management,
octobre 2012.
Hélène MORAUX-SAUREL, Pierre VOLLE, « Le concept d’open marketing », Revue
française de gestion, vol. 41/252, 2015.
CHAPITRE II
Laurent MAURIAC, « Faillite retentissante d’un fleuron du commerce électronique
Booooooooooo.final. », Libération, 19 mai 2000. Du même auteur, Les Flingueurs
du net : Comment la finance a tué la nouvelle économie, Calmann-Lévy, 2002.
Richard WRAY, « Boo.com spent fast and died young but its legacy shaped Internet
retailing », The Guardian, 16 mai 2005.
Charles DRAZIN et Erik PORTANGER, Boo Hoo : A Dot.Com Story from Concept to
Catastrophe, Random House, 2001.
« La boîte noire de Concorde », L’Expansion, juin 1973.
« Le dernier septennat de Concorde », Le Nouvel Observateur, 9 janvier 1999.
« La fin de l’âge d’or du Minitel », Le Monde, 27 août 1997.
Bruno GIUSSANI, « Le Minitel n’est pas mort, il bouge encore », Libération, 5 décembre
1997.
Aude Claire DE PARCEVAUX, « Nouveaux produits : pourquoi tant d’échecs ? »,
L’Entreprise, mai 1999.
Thèses de Benoit DEMIL, auteur de divers articles dans La Revue, à propos du débat
Pionniers/Suiveurs.
Étude statistique de Gerard TELLIS et Peter GOLDER parue dans L’Expansion
Management Review en juin 1996.
CHAPITRE III
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15 septembre 2014.
Martin SOMA, « La saga Club Med » : www.capital.fr/.../la-saga-club-med-des-tentes-
trigano-au-luxe-avec-le-chinois-fosun-1002329
Jean-Jacques MANCEAU, Réinventer la machine à rêves, Perrin, 2010.
Alain FAUJAS, Trigano, l’aventure du Club Med, Flammarion, 1994.
Notes des entretiens de Jacques GAUTRAND et de l’auteur avec Gilbert TRIGANO, pour
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Robert F. HARTLEY, « Coca-Cola’s Classic Planning Blunder », in Management Mistakes
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l’entreprise », L’Entreprise, septembre 1997.
Christine KERDELLANT et Stéphène JOURDAIN, « Pourquoi il est si difficile de créer une
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CHAPITRE IV
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Martin SOMA, « Kodak, splendeur et décadence d’un empire », capital.fr.
François SAUTERON, La Chute de l’empire Kodak, L’Harmattan, 2009.
Franck DEDIEU et Béatrice MATHIEU, « Uber, Airbnb, BlaBlaCar… L’invasion des
barbares », dossier, L’Expansion, juin 2015. De manière générale, les dossiers de
L’Expansion, toujours riches et très argumentés, ont été une source précieuse.
Saluons ici l’expertise de Béatrice MATHIEU et Franck DEDIEU, mais aussi de
Stéphanie BENZ, Julie DE LA BROSSE, Isabelle HENNEBELLE, Sébastien JULLIAN,
Géraldine MEIGNAN et Emmanuel PAQUETTE.
http://www.consonaute.fr/2014/02/10/pourquoi-et-comment-facebook-apple-et-google-
ont-depasse-hp-ibm-et-microsoft/#FIC8MvtM1tScjhkT.99
Julien DUPONT-CALBO, « Microsoft : le masque du loup », Les Échos et lesechos.fr,
21 octobre 2014.
Philippe ESCANDE, « La fin de l’informatique à l’ancienne », Le Monde, 10 octobre 2015.
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« L’échec d’Iridum hypothèque la téléphonie par satellite », L’Usine nouvelle, n 2698,
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Frédéric JALLAT et Denis LINDON, Le Marketing. Études, moyens d’action, stratégie,
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Dunod, 6 éd., 2010.
Frédéric JALLAT, Ed PEELEN, Eric STEVENS et Pierre VOLLE, Gestion de la relation client :
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Costas MARKIDES, « Pourquoi les entreprises existantes ne devraient pas créer de
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Jean-Marc SCHOETTL, « La révolution à petits pas : pour une relecture du cas Ikea »,
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Revue française de gestion, n 197, 2009.
Plus globalement, on lira l’excellent dossier sur « Les stratégies de rupture », de
Laurence LEHMANN-ORTEGA et Pierre ROY, numéro spécial de la Revue française de
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gestion, n 197, 2009.
CHAPITRE V
Patrick CAPPELLI, « L’humour dans la pub, Mamie Nova, pas touche aux seniors », Les
Échos, 16 août 2011.
Véronique RICHEBOIS, « Marketing du scandale, mode d’emploi », Les Échos,
29 septembre 2009 ; « Votre argent les intéresse », Les Échos, 2 août 2010.
Florent SILNICKI, Élisabeth SEGARD et Sébastien CHENU, « Le cliché sexiste, nouvelle
mode du marketing publicitaire ? », La Tribune, 8 juillet 2014.
« Communication de crise, les tops et les flops », Le Journal du Net, dossier collectif,
26 janvier 2005.
Jeanne BORDEAU, Le Langage des dirigeants : une métamorphose, Boostzone, 2013.
Du même auteur, Le Langage, l’entreprise et le digital. Dialogues avec Éric Le Braz et
Olivier Nathum, Nuvis, 2016.
Gilles MARION, « La Renault 14, une poire exemplaire », Entreprises et Histoires, juin
1998.
Analyse de Maurice LÉVY dans « Une marque en haut de l’affiche, 90 années de
publicités Renault ».
Chantal BAILOBOS, portrait de Gustave Leven, L’Expansion, 8 mars 1990.
http://www.lexpress.fr/informations/benetton-a-mal-a-sa-pub
CHAPITRE VI
http://gestion-des-risques-interculturels.com/risques/pourquoi-renault-a-echoue-en-
inde-avec-la-logan/
http://gestion-des-risques-interculturels.com/pays/asie-pays/chine/barbie-en-chine-
mattel-mise-sur-linfluence-apres-plusieurs-maladresses-interculturelles/
Sur ces sujets, on parcourra avec profit l’excellent site du consultant et formateur en
management interculturel Benjamin PELLETIER, « Gestion des risques
interculturels », qui traite du management interculturel sous l’angle de ses enjeux
stratégiques.
« Les 25 plus mauvaises traductions publicitaires », site de AD.
Cyrille AZOUVI, Delphine DÉCHAUX, Serge FLORENTIN, Muriel JAOUEN et Cyrille
PLUYETTE, « Tirez parti de vos erreurs », Management, mars 2007.
Jean-Louis LOUBET, Citroën, Peugeot et les autres. Histoire de startégies d’entreprises, Le
Monde Éditions, 1999.
Loïc GRASSET, « Disneyland Paris n’est pas tiré d’affaire », Capital, février 1995.
Natacha TATU, « Ce Bourguignon au chevet de Mickey », Le Nouvel Observateur,
24 mars 1994.
Bertrand FRAYSSE, « Le plan marketing qui a sauvé le parc », Management, février 1996.
Michel EISNER, Work in Progress, Penguin, 1999.
CHAPITRE VII
Enquêtes de Philippe FLAMAND dans L’Entreprise.
Marc SIMONCINI et Capucine GRABY, Grandeurs et misères des stars du net, Grasset,
2012.
Pascal AURÉGAN et Albéric TELLIER, La Modification des règles du jeu sectoriel, IAE
université de Caen, Revue française de gestion, 2009/7.
Sabine DELANGLADE, « Heureux comme Seb en France », Les Échos, 15 novembre 2012.
Dan ARIELY, C’est (vraiment ?) moi qui décide, Flammarion, 2008.
CHAPITRE VIII
Rapport Technologia : « France Télécom, État des lieux sur le stress et les conditions
de travail », 21 mai 2010.
http://www.michaelulryck.com/le-plan-next-de-france-telecom/
Enguérand RENAULT, « Publicis-Omnicom : un double malentendu », Le Figaro, 9 mai
2014.
Christian MOREL, Les Décisions absurdes I, II, « Folio essais », Gallimard, 2014. (Un
livre qui fait référence sur la « sociologie des erreurs radicales et persistantes ».)
François VIDAL, « La bataille du rail », Les Échos, 22 mai 2014.
Gilles BRIDIER, « SNCF : le scandale des trains trop larges, manip et bulle médiatique »,
slate.fr.
Matthieu DELENEUVILLE et Paul PRADIER, étudiants en master journalisme à Sciences
Po Paris, « La seule erreur de Michel et Augustin, le management des ressources
humaines ».
Dominique ALBERTINI, « Alcatel-Lucent, histoire d’un désastre industriel », Libération et
liberation.fr, 8 octobre 2013.
Philippe D’IRIBARNE, La Logique de l’honneur, Seuil, 1993.
« Public-Privé », Revue française de gestion, septembre-octobre 1997.
Jennifer BOUTANT, Anne-Marie VERDIER, « Les incitations à la gestion des résultats des
sociétés absorbantes, le cas des fusions-absorptions françaises », Revue française de
gestion, vol. 41/252, 2015.
CHAPITRE IX
Gérard DAVET, Pierre-Antoine DELHOMMAIS et Anne MICHEL, « Jérôme Kerviel à ses
supérieurs : “Je voulais vous faire la surprise” », Le Monde, 4 février 2008.
Airy ROUTIER, « Kerviel ou le roman d’un tricheur », Challenges, 10 avril 2008.
Marc PAYET, « Il a pu être grisé par la toute-puissance », Le Parisien, 30 janvier 2008.
Valérie DE SENNEVILLE, « Kerviel : les raisons d’un verdict implacable », Les Échos,
7 octobre 2010.
Cyrille LOUIS, « Selon JK, d’autres traders procèdent comme lui », Le Figaro, 29 janvier
2008.
Christophe DORÉ, « La course folle d’un trader de fonds », Le Figaro, 2 février 2008.
Martine ORANGE, « Affaire Kerviel : pour Eva Joly, “la thèse du trader fou ne tient
pas” », Mediapart, 17 mars 2014.
Martine ORANGE, « Affaire Kerviel, les étranges silences des enregistrements de la
Société Générale », Mediapart, 20 juin 2013.
Delphine DÉCHAUX et Grégoire PINSON, « BNP Paribas, chronique d’une amende record
annoncée », Challenges, 2 juillet 2014 : www.challenges.fr/.../bnp-paribas-
chronique-d-une-amende-annoncee.html
CHAPITRE X
Hervé STOLOWY, « Confiance et marchés financiers, enseignements de l’affaire
Madoff » : www.hec.fr/Knowledge/Finance-et-Comptabilite/Marches-
financiers/Confiance-et-marches-financiers-enseignements-de-l-affaire-Madoff
Yann ROUSSEAU, « Brutal retour à la raison sur la Bourse de Shanghai », lesechos.fr :
http://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/021149574132-brutal-
retour-a-la-raison-sur-la-bourse-de-shanghai-1129913.php?
6jh3uGHPKX0SyyYb.99
Henri LACHMANN, « Les décisions ne se prennent pas, elles se cueillent », Revue
française de gestion, novembre-décembre 1996.
Armand HATCHUEL, « Les sciences de gestion au miroir de la crise », Le Monde Éco
& Entreprise, 16 avril 2013.
Jean-Philippe DENIS et Alain-Charles MARTINET (dir.), « Bonnes vs mauvaises pratiques
o
et théories en management », Revue française de gestion, n 228-229, nov.-déc.
2012.
CHAPITRE XI
Enquêtes de Martine ORANGE sur Vivendi dans Le Monde.
Enquête de Pierre BRIANÇON dans Le Nouvel Observateur (à propos de son livre, Messier
Story).
Enquête de Thuy-Diep NGUYEN et Jean-Pierre DE LA ROCQUE, Challenges, 10 janvier
2002.
« L’influence de March sur la sociologie des organisations en France », Revue française
o
de gestion, 2002/3, n 139.
o
Thierry WEIL, « À quoi sert le chef », Revue française de gestion, n 28/139, 2002, p. 187-
194.
Charles-Emmanuel HAQUET, « Anne Lauvergeon, l’électron libre », L’Expansion,
er
1 janvier 2008 (et tous les autres articles publiés par le même auteur, fin
connaisseur du nucléaire, dans L’Expansion et L’Express).
Olivier SIBONY, Réapprendre à décider, Débats publics, 2015.
Mélanie DELATTRE, « Dexia : splendeur et misère d’une banque mégalomane »,
lepoint.fr : www.lepoint.fr/economie/dexia-splendeur-et-misere-d-une-banque-
megalomane, 7 octobre 2011.
Guillaume DUVAL, « Le scandale Dexia et le (vrai) “mal français” », alternatives-
economiques.fr : http://www.alternatives-economiques.fr/le-scandale-dexia-et-le--
vrai----mal-francais--_fr_art_633_59174.html, 31 mai 2012.
CHAPITRE XII
« La société postindustrielle », Daniel COHEN, Académie des sciences morales et
politiques, séance du 23 octobre 2006.
Enquêtes de Jean-Pierre DE LA ROQUE dans Challenges.
Catherine HEURTEBISE, Les Petites Bêtises du marketing, Editions François Bourin,
2015.
« Le gourbi pas très prolétarien de Lepaon », Le Canard enchaîné, 29 octobre 2014.
Frédérique ROUSSEL, « Lepaon : des confrères plus à l’étroit », Libération, 30 octobre
2014.
Enquêtes d’Éric ALBERT dans Le Monde.
Emmanuel EGLOFF, « Une ONG et une université ont fait tomber le constructeur
allemand », et Nicolas Barotte, « Volkswagen emporté dans la tourmente », Le
Figaro, 22 septembre 2015.
Lukas BAY et Martin-Werner BUCHENAU, « The Man Who Broke Volkswagen »,
o
Handelsblatt, n 271, 25 septembre 2015.
CONCLUSION
Jérôme BARTHÉLEMY, professeur à l’Essec, « Les entreprises françaises sont peu
compétitives parce que mal gérées », Le Monde, 12 novembre 2014.
Nicholas BLOOM, Christos GENAKOS, Raffaela SADUN et John VAN REENEN,
« Management Practices Across Firms and Countries », Academy of Management
Perspectives, vol. 26, février 2012.
Benjamin CORIAT, « Commoners de tous les pays, unissez-vous », Libération, 27 et
28 juin 2015.
Raymond-Alain THIETART, « La dialectique de l’ordre et du chaos dans les
o
organisations », Revue française de gestion, n 160, janvier 2006, p. 47-66.
e
Vincent DESPORTES, Décider dans l’incertitude, Economica, 2 éd., 2015.
Laurence J. PETER et Raymond HULL, Le Principe de Peter, Stock, 1970.
Nassim Nicholas TALEB, Le Cygne noir, la puissance de l’imprévisible, Les Belles Lettres,
2010.
Nassim Nicholas TALEB, Antifragile : les bienfaits du désordre, Les Belles Lettres, 2013.
Jean-Baptiste RUDELLE, On m’avait dit que c’était impossible, Stock, 2015.
Index
3 Suisses 1, 2, 3, 4
3Com 1
3M 1, 2, 3
A. T. Kearney 1, 2, 3
Abercrombie & Fitch 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
ABN Amro 1, 2, 3, 4
Access International Advisors 1
Accor 1
Adamson, Simon 1
Adidas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
Aéroports de Paris 1, 2
Agnelli (famille) 1
Air France 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Airbnb 1, 2
Airbus 1, 2, 3, 4, 5
Alcatel 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14
Alcatel-Lucent 1, 2, 3, 4, 5
Allen, Paul 1, 2, 3
Alpha 1, 2
Alphabet 1, 2
Alquier Communication 1
Alquier, Jean-Christophe 1
Alstom (Alsthom) 1, 2, 3, 4
AltaVista 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Amar, Amal 1
Amaury 1, 2, 3, 4, 5
Amazon 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15
America Online (AOL) 1
American Airlines 1, 2
American Machine and Foundry (AMF) 1
Amery, Julian 1
Amora 1
Ampex 1
Anderson, Tom 1
Andros 1
Angelides, Christos 1
Apple 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15,
16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28,
29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39
Aquarius 1, 2, 3, 4
Arena 1
Areva 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14
Ariel 1, 2
Ariely, Dan 1, 2, 3
Armand-Delille, Hugues 1
Armani 1
Armstrong, Lance. 1, 2, 3
Arnault, Bernard 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Art du jardin (L’) 1
Arthur D. Little 1
Asia Optical Co Inc. 1
Asseraf, Albert 1
Association pour la recherche sur le cancer (ARC) 1, 2, 3, 4,
5
Atreid Concept 1
Auchan 1, 2
Aufeminin.com 1
Aujourd’hui Sport 1, 2, 3
Autoroutes du Sud de la France (ASF) 1, 2
Avirex 1
Axa 1, 2, 3, 4, 5
AZF 1
Azoulay, Guy 1, 2, 3, 4
Babolat 1
Bachelard, Gaston 1, 2
Badinter, Élisabeth 1
Bakir, Moussa 1
Balladur, Édouard 1, 2, 3
Ballmer, Steve 1, 2, 3
Bank of New York Mellon 1
Banque de France 1, 2, 3
Barberot, Olivier 1
Barbie 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17
Bardot, Brigitte 1
Barings 1
Barnes & Noble 1
Batten Barton Durstine Osborn (BBDO) 1, 2, 3, 4
Bazin, Sébastien 1
Beals, Vaughn 1, 2, 3, 4, 5
Bébéar, Claude 1, 2, 3
Benetton 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20
Benetton, Alessandro 1, 2
Benetton, Carlo 1
Benetton, Gilberto 1
Benetton, Giuliana 1, 2
Benetton, Luciano 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25
Berchet 1
Berger, Laurent 1
Bernanke, Ben 1
Bernard, Daniel 1, 2, 3, 4, 5, 6
Bernard, Francis 1
Best Buy 1
Bettencourt, Liliane 1, 2
Bezos, Jeff 1, 2, 3
BHP Billiton 1
Bic 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15,
16, 17, 18, 19
Bich, Bruno 1, 2, 3
Bich, Marcel (baron) 1, 2, 3, 4
Bijon, Claude 1
Bitner, Mary 1, 2
BlaBlaCar 1, 2, 3, 4
Blanc, Christian 1
Blazy, Dominique 1
Bleustein-Blanchet, Marcel 1, 2, 3
Blitz, Gérard 1, 2, 3, 4
Bloom, Nicholas 1, 2, 3
Bloomberg 1
BMW 1, 2, 3, 4
BNP 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
BNP Paribas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13,
14, 15, 16, 17, 18
Boeing 1, 2, 3, 4, 5, 6
Boisjoly, Roger 1, 2
Bokus.com 1, 2
Bolloré, Vincent 1, 2
Bombardier 1
Bon, Michel 1, 2, 3, 4, 5, 6
Bonnafé, Laurent 1
Bonomi, Andrea 1
Bonus 1
Boo.com 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
Booms, Bernard 1, 2
Bordeau, Jeanne 1, 2, 3
Borden, Neil 1, 2, 3, 4, 5
Borg, Björn 1, 2
Bossard, Jean-Charles 1
Boston Consulting Group (BCG) 1, 2, 3, 4, 5
Botton, Marcel 1, 2
Bourguignon, Philippe 1, 2, 3, 4, 5
Bouton, Daniel 1, 2, 3, 4, 5
Bouygues 1, 2
Brando, Marlon 1
Branson, Richard 1
Breivik, Anders 1, 2
Breton, Thierry 1, 2, 3, 4, 5
Brin, Sergey 1, 2
British American Tobacco 1
British Telecom 1
Bronfman (famille) 1, 2, 3
Bronfman Jr., Edgar 1, 2, 3
Brunat, David 1
Burberry 1, 2, 3
Burnett, Leo 1, 2
Bush, George W. 1, 2
Business Village 1, 2
Butler, Walter 1
C&A 1
Caisse d’Épargne 1
Calvet, Jacques 1, 2
Calvin Klein 1, 2
Canal + 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Canon 1, 2
Carlson, Chester 1, 2
Carlyle, Thomas 1
Carrefour 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34
Cary, Franck 1, 2, 3
Castro, Fidel 1
Cdiscount 1
CEA Industries 1
Cégélec 1
Cegetel 1
Cendant Software 1
Chalhoub 1
Challenger 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Chalumeau, Denys 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
Chambourcy 1
Chandler, Alfred 1, 2, 3
Chanel 1
Chanterac, Géraud de 1
Charpentier, Christophe 1
Charton 1
Chevalier Le Forestier Michel (CLM/BBDO) 1, 2
Chevignon 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Chevrolet 1, 2, 3
China Market Research Group 1
Chirac, Jacques 1, 2, 3
Chodron de Courcel, Georges 1
Chomsky, Noam 1
Chriqui, Henri 1
Christofle 1, 2
Christofle, Charles 1
Chrysler 1, 2, 3, 4, 5
Cité des Voyages 1
Citerne, Philippe 1
Citigroup 1
Citroën 1, 2, 3, 4, 5, 6
Clausewitz, Carl von 1, 2, 3, 4
Cleary Gottlieb 1
Club Med 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34
CNBC 1
Coca-Cola 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14
Coface 1
Cogema 1, 2
Cohen, Daniel 1, 2
Cohen, Edmond 1, 2
Colgate 1
Collomb, Bertrand 1
Colony Capital 1
Colussy, Dan 1
Combes, Michel 1, 2, 3
Compagnie du phénix 1
Compagnie Générale des Eaux (CGE) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8,
9, 10, 11, 12, 13, 14, 15
Compaq 1, 2
Comptoirs Modernes 1
Concorde 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22
Confédération française de l’encadrement-Confédération
générale des cadres (CGE-CGC) 1
Confédération française démocratique du travail (CFDT) 1, 2
Confédération générale du travail (CGT) 1, 2
Confucius 1
Continental 1
Coors 1
Corelle 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Corning Glass 1, 2, 3, 4
Corriat, Benjamin 1
Costner, Kevin 1
Crédit agricole 1
Crédit Lyonnais 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
CreditSights 1
Cretin, Pascal 1
Criteo 1
Crozemarie, Jacques 1, 2, 3, 4
Culiton, James 1
Cultura 1
Cuvillier, Frédéfic 1
Cyert, Richard 1
Dacia 1, 2, 3
Daimler-Chrysler 1
Damart 1, 2, 3, 4, 5, 6
Dangel 1
Danon, Laurence 1
Danone 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20
Darcos, Xavier 1
Darty 1
Dassault 1
Dassler (famille) 1, 2, 3
Dassler, Adolf 1, 2, 3, 4
Dassler, Horst 1
Dassler, Rudolf 1, 2, 3, 4
Dauvers, Olivier 1, 2, 3, 4
Dauzier, Pierre 1, 2, 3
David-Weil, Michel 1
David, François 1
David, Laurent 1
Davidson, Willie G. 1
Dean, James 1, 2
Debrouck, Franck 1
Decaux 1
Déchaux, Delphine 1, 2, 3
Defforey (frères) 1
Dejouany, Guy 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Dell 1
Delon, Alain 1
Demil, Benoît 1, 2, 3
Deming, William Edwards 1, 2
DenizBank 1
Depp, Johnny 1
Desmarest, Thierry 1
Desportes, Vincent 1, 2, 3
Deutsche Bank 1, 2, 3
Deutsche Börse 1
DeWolfe, Chris 1
Dexia 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15,
16
Dexter 1
Dia 1, 2
Digital Equipment Corporation (DEC) 1
Digital Research Intergalactic (DRI) 1
Diller, Barry 1, 2, 3, 4, 5
Dimon, Jamie 1
Dinin, Alain 1, 2, 3, 4, 5
DiPascuali, Franck 1
Disneyland 1, 2
Dodgeball 1, 2
Donnay 1, 2, 3
Donnay (famille) 1
Douillet, David 1, 2, 3
Doyle Dane Bernbach (DDB) 1, 2, 3
Dreyfus, Pierre 1
Drivy 1
Drucker, Peter 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Dubois, Bernard 1, 2, 3
Dufresne Corrigan Scarlett 1
Dupont-Calbo, Julien 1, 2
Dupuy, François 1, 2
Duran, José Luis 1, 2, 3
Duval, Guillaume 1, 2
Eastman, George 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Eastwood, Clint 1
EasyJet 1, 2
Ecovoiturage.fr 1, 2
Ed 1
Edison, Thomas 1, 2
Egg 1, 2, 3, 4, 5, 6
El Karoui, Nicole 1
Électricité de France (EDF) 1
Electrolux 1, 2, 3, 4
Elf 1
Elmaleh, Gad 1
Estridge, Don 1, 2, 3
Etchegoyen, Alain 1
Étienne, Jean-Louis 1
Euro Disney 1, 2, 3
European Aeronautic Defence and Space company (EADS) 1
Gabaix, Xavier 1, 2
Gailly, Pierre-Antoine 1
Galeries Lafayette 1, 2
Galiléo 1, 2
Gamma 1
Gand, Pascal 1
Gap 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Gapper, John 1
Garon-Bonvalot 1
Gates II, William 1
Gates, Bill 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27
Gaulle, Charles de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Gaume, Nicolas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Gayet, Julie 1
Gaymard, Hervé 1
Gebrüder Dassler Schuhfabrik 1
Gel 2000 1
General Electric 1, 2, 3
General Motors 1, 2, 3
General Product Division 1, 2
German, John 1, 2
Geus, Arie de 1, 2, 3
Ghosn, Carlos 1, 2, 3
Gillette 1, 2
Giscard d’Estaing, Henri 1
Giscard d’Estaing, Valéry 1
Glem 1
Glencore 1, 2
Godard, Jean-Luc 1
Golder, Peter 1, 2
Goldman Sachs 1, 2, 3, 4
Google 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40,
41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53,
54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66,
67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79,
80, 81, 82, 83
Gotainer, Richard 1
Graby, Capucine 1, 2, 3
Granjon, Jacques-Antoine 1, 2
Grimaud, Hélène 1
Gros, Catherine 1
Grove, Andrew 1, 2, 3, 4
Guédon, Philippe 1, 2, 3, 4, 5
Guetzkow, Harold 1
Guimbert Surgelés 1
Gyllenhammar, Pehr 1
H&M 1, 2, 3
Haberer, Jean-Yves 1, 2, 3, 4
Halley (famille) 1, 2
Hallyday, Johnny 1, 2
Hamel, Gary P. 1
Hannezo, Guillaume 1, 2
Hanon, Bernard 1, 2
Harley-Davidson 1, 2, 3
Harrison & Wolf 1
Harry, Mikel 1
Hassan II 1
Hatchuel, Armand 1, 2
Havas 1, 2, 3, 4, 5, 6
Hayek, Nicolas 1
Heal 1
Hechter, Daniel 1
Hedelin, Patrick 1, 2
Heiderich, Didier 1, 2
Henkel 1, 2
Henry, Thierry 1
Hépar 1
Hérail, Jean-Chrisophe 1
Hermès 1, 2, 3, 4
Hewlett Packard (HP) 1, 2, 3, 4, 5
Hitler, Adolf 1, 2
Holcim 1
Hollande, François 1, 2, 3
Homeplus 1
Honda 1, 2, 3
Hoover 1
Houbé, Philippe 1, 2
Houghton Mifflin 1, 2
HSBC 1, 2, 3
Huawei 1
Huillard, Xavier 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Humières, Patrick d’ 1
Iacocca, Lee 1, 2
IBazar 1
Ikea 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15
Inditex 1, 2
Institut national de l’audiovisuel (INA) 1
Intel 1, 2, 3, 4
Intercontinental Exchanges (ICE) 1
International Business Machines (IBM) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7,
8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21,
22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34,
35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47,
48, 49, 50, 51, 52
International Council on Clean Transportation (ICCT) 1, 2, 3
Iribarne, Philippe d’ 1, 2, 3
Israël, Lucien 1
Jackson, Thomas P. 1
Jaffré, Philippe 1
Jallat, Frédéric 1, 2, 3
Janin, Neil 1
Janis, Irving 1
Jeboycott.com 1
Jeffries, Mike 1, 2, 3, 4, 5
Jet Tours 1
Jobs, Lisa 1
Jobs, Steve 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13,
14, 15
Johnson & Johnson 1
Joly, Eva 1, 2, 3, 4, 5
Jospin, Lionel 1
Jouef 1
Joyce 1, 2
JP Morgan 1, 2, 3, 4
Juppé, Alain 1
JVC 1
Kabbaj, Thami 1
Kahn, Maxime 1, 2
Kalisto 1, 2, 3, 4, 5, 6
Karavel 1, 2
Kärcher 1, 2
Karoubi, Jean 1
Kennedy, John Fitzgerald 1, 2, 3
Kering 1
Kerviel, Charles 1
Kerviel, Jérôme 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13,
14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26,
27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39,
40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52,
53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65,
66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78
Kerviel, Marie-Josée 1
Kiabi 1
Kildall, Gary 1, 2, 3
Kirzner, Israel 1
Kmart 1
Kodak 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28
Kookaï 1
Kosciusko-Morizet, Pierre 1
Kotler, Philippe 1, 2, 3
Koubbi, David 1
Krasucki, Henri 1
Krugman, Paul 1
Krups 1
L’Écluse, Charles de 1
L’Entreprise 1, 2
É
L'Équipe 1, 2, 3, 4, 5, 6
L’Express 1, 2, 3, 4, 5
L’Oréal 1, 2
La Villehuchet, Thierry Magon de 1, 2
Lachmann, Henri 1, 2, 3
Lacoste 1
Lactalis 1
Ladepanne.fr 1, 2
Lady Gaga (Stefani Germanotta) 1
Lafarge 1
Lagardère, Arnaud 1
Lagardère, Jean-Luc 1, 2, 3, 4, 5
Lagerfeld, Karl 1
Lamborghini 1
Land, Edwin 1, 2
Larrouturou, Pierre 1
Lastminute.com 1
Laufer (frères) 1
Lauterborn, Robert 1, 2
Lauvergeon, Anne 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14
Lazard 1, 2, 3
Le 10 Sport 1, 2, 3, 4, 5, 6
Le Coq Sportif 1
Le Fur, Gérard 1
Le Lay, Patrick 1, 2
Leander, Kajsa 1, 2
Leboncoin 1
Leclerc 1, 2, 3
Leclerc, Édouard 1
Leconte, Patrice 1
Lee 1
Leeson, Nick 1, 2, 3
Legendre, Jean-Jacques 1
Lehman Brothers 1, 2, 3, 4, 5
Lehu, Jean-Marc 1
Leica 1
Lenovo 1
Leo Burnett (agence) 1, 2
Lepaon, Thierry 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Lescure, Pierre 1, 2, 3, 4, 5, 6
Leven, Gustave 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Levey, Stuart 1
Levi’s 1, 2, 3, 4
Levitt, Theodore 1, 2, 3
Lévy, Maurice 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
Libaert, Thierry 1, 2, 3
Ligier 1
Ligne, Charles-Joseph Lamoral, prince de : 482. 1
Linden Lab 1
Lip 1
Liveley 1, 2
Localeo 1, 2
Lombard, Didier 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13
Loubet, Jean-Louis 1, 2, 3
Louis-Dreyfus, Robert 1, 2
Louis Vuitton 1, 2
Lowe, Bills 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
LU 1
Lucky Strike 1, 2
Lyonnaise des Eaux 1, 2
Machiavel 1
Madoff, Andrew 1, 2, 3, 4
Madoff, Bernard 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25,
26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34
Madoff, Mark 1, 2, 3, 4
Madoff, Peter 1, 2, 3, 4
Madoff, Ralph 1
Madoff, Sylvia, née Muntner 1
Maffesoli, Michel 1
Maheux, Guy 1
Mahindra 1, 2
Majorette 1, 2, 3, 4, 5, 6
Malmsten, Ernst 1, 2, 3, 4, 5
Mamie Nova 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
Marceau, Sophie 1
March, James 1, 2, 3, 4, 5
Mariani, Pierre 1, 2, 3, 4
Marin, Jean-Claude 1
Marion, Gilles 1, 2, 3, 4
Markides, Costas 1, 2, 3, 4
Markopolos, Harry 1, 2, 3, 4, 5
Marks & Spencer 1, 2, 3
Marlboro 1, 2, 3, 4
Maroc Telecom 1
Maserati 1
Matra 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11
Mattel 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
Mauresmo, Amélie 1
Mazda 1
Mazzella, Frédéric 1
McCarthy, Jerome 1
McDonald’s 1, 2, 3
McDonnell Douglas 1
McKinsey 1, 2, 3, 4
McMath, Robert 1, 2
McNerney, James 1, 2, 3
Meetic 1, 2
Mercedes 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Mercuria 1
Merkel, Angela 1
Merlin-Gérin-Télémécanique 1
Messier, Antoinette, née Fleisch 1
Messier, Jean-François 1
Messier, Jean-Marie 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25,
26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38,
39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51,
52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61
Mestrallet, Gérard 1, 2
Metro-Goldwin-Mayer 1
Meyer, Ron 1
Mianné, Christophe 1
Michaux-Chevry, Lucette 1
Michel et Augustin 1, 2, 3, 4, 5
Michel, Philippe 1, 2, 3
Michel, Serge 1
Michelin 1, 2, 3, 4, 5
Microsoft 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40,
41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53,
54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62
Miller, Axel 1, 2
Miller, Claude 1
Minc, Alain 1, 2
Minerve 1
Minitel 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16
Mintzberg, Henry 1, 2, 3
Mitsubishi 1, 2
Mitterrand, François 1, 2, 3
Moët Hennessy Louis Vuitton (LVMH) 1
Mohammed VI 1
Molina, Anton 1
Molinaro, Édouard 1
Moltke, Helmuth von 1
Mondino, Jean-Baptiste 1
Monsieur de Fursac 1, 2, 3
Moody’s 1
Morck, Randall 1
Morel, Christian 1, 2, 3, 4, 5, 6
Morgan Stanley 1, 2, 3
Morgan, John Pierpont 1
Morin, Edgar 1
Morin, Thierry 1
Morton Thiokol (MT) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11,
12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24,
25
Moss, Kate 1, 2
Motoblouz 1, 2
Motorola 1, 2, 3, 4
Moulin Rouge 1
Moulin, Michel 1, 2, 3, 4, 5, 6
Moulinex 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Mountain View 1, 2, 3
MP3.com 1
MSN 1
Müller, Matthias 1
Murdoch, Rupert 1, 2
Murphy, Eddie 1, 2
Mustier, Jean-Pierre 1, 2, 3, 4
Myspace 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Nadella, Satya 1, 2
Nadoulek, Bernard 1
Naf Naf 1, 2
Nestlé 1, 2, 3, 4
Newedge 1
Nexity 1, 2
NextRadioTV 1
Niel, Xavier 1, 2
Nietzsche, Friedrich 1
Nike 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Nikon 1
Nintendo 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Nissan 1, 2, 3, 4, 5
Nixon, Richard 1
Nokia 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15
Nounours 1
Novak, David 1, 2
Noyer, Christian 1
NYSE Euronext 1
Oakley 1
Obama, Barack 1, 2
Olivennes, Denis 1
Olofsson, Lars 1, 2, 3, 4, 5
Olympus 1
Omnicom 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17
Oracle 1
Orange 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
Orange, Martine 1, 2, 3, 4
Oriez, Thierry 1
Orsenna, Erik 1
Oudéa, Frédéric 1
Pagès, Max 1
Pan Am 1
Panzani 1, 2
Paquerot, Mathieu 1, 2
Parayre, Jean-Paul 1, 2
Paribas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Parisot, Laurence 1
Parker 1
Parker, Tony 1, 2, 3
ParuVendu 1
Parviz, Babak 1
Pastel, Anne-Sophie 1, 2
Patterson, Tim 1
Pearson 1, 2
Pébereau, Michel 1, 2, 3
Pellerin, Fleur 1
Pelletier, Benjamin 1, 2, 3, 4
Pépin, Charles 1, 2
Pepsi Cola 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Perdue 1
Perrier 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26
Persil 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Peter, Laurence J. 1, 2, 3
Peters, Tom 1
Petitcollin 1
Pettigrew, Andrew 1, 2, 3
Peugeot 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18
Peyrelevade, Jean 1
Pfizer 1
Philip Morris 1
Picano-Nacci, Boris 1, 2
Picard 1
Picard, Irving 1, 2
Picower, Jeffry 1, 2
Piketty, Thomas 1
Pillsbury 1
Pinault, François 1, 2, 3
Pineau-Valencienne, Didier 1, 2
Ping-Pong 1
Pinson, Grégoire 1, 2
Pioneer 1
Pirelli 1
Planet Hollywood 1
Plassat, Georges 1, 2, 3, 4, 5
Polaroid 1, 2, 3
Pollet, Denis 1
Ponzi, Charles 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Poon, Dickson 1
Porsche 1
Porter, Michael 1, 2, 3
Prahalad, Coimbatore K. 1
Presley, Elvis 1
PriceMinister 1
Printemps (Le) 1
Procter & Gamble 1, 2, 3
Proglio, Henri 1
Promodès 1, 2, 3, 4
Promovacances 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
Prot, Baudouin 1, 2, 3
Proust, Marcel 1
Prudential 1, 2, 3
PSA 1, 2, 3, 4, 5
Publicis 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35
PublicisEtNous 1
Puma 1, 2, 3, 4, 5
Pyrex 1
R. J. Reynolds 1
Raffarin, Jean-Pierre 1
Ragot, Pascal 1
Ray-Ban 1
Reebok 1, 2, 3, 4, 5
Reggiani, Serge 1, 2, 3, 4
Rein, Shaun 1
Relevant24 1
Renault 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40,
41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52
Rent A Car 1
REpower Systems 1
Reputation Dividend 1
Réseaux ferrés de France (RFF) 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Reymond, Aurélie 1
Reznik, Jean-Robert 1, 2
Riboud, Antoine 1, 2
Riboud, Franck 1
Rich, Marc 1
Richard, Pierre 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Richard, Stéphane 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Richebois, Véronique 1, 2, 3, 4, 5
Rio Tinto 1
Robert, Daniel 1
Robertson, Thomas S. 1
Rockefeller, David 1
Rockwell International 1
Rogers, Jack 1
Rogers, William P. (Commission Rogers) 1
Rolex 1, 2, 3, 4, 5, 6
Roll, Richard 1, 2
Roselmack, Harry 1
Rosoff, Matt 1
Rothschild, Edmond de 1
Rouleau, Raymond 1
Rousset, Alain 1
Rousset, Vincent 1
Roux Séguéla Cayzac Goudard (RSCG) 1, 2, 3
Roux, Amboise 1, 2, 3
Royco 1, 2, 3, 4
Rudelle, Jean-Baptiste 1, 2
Russo, Patricia 1, 2, 3, 4, 5
Ryanair 1, 2, 3
Saal, Agnès 1
Saatchi & Saatchi 1, 2
Saint-Gobain 1, 2, 3
Saint Olive, Hubert 1
Salesforce.com 1
Sams, Jack 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13
Samsung 1, 2, 3
Sanofi 1, 2
Sanofi-Aventis 1
Santander 1
Sapient 1
Sarda, Pascal 1, 2
Sarkozy, Nicolas 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Sasson, Steve 1
Sauteron, François 1, 2, 3
Schapiro, Mary 1
Schleifer, Andrei 1
Schmidt, Eric 1
Schneider 1, 2, 3, 4
Schoettl, Jean-Marc 1, 2
Schumpeter, Joseph 1, 2, 3
Schwartzenberg, Léon 1
Seagram 1, 2, 3, 4, 5, 6
Sears 1
Seb 1, 2, 3, 4, 5
Second Life 1, 2, 3, 4
Securities and Exchange Commission (SEC) 1, 2, 3, 4, 5, 6,
7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20,
21
Séguéla, Jacques 1, 2, 3, 4, 5, 6
SeLoger.com 1, 2, 3
Semaine du marketing (La) 1
Sénèque 1
Senior Agency 1
Serfaty, Dan 1
SFR 1, 2, 3
Shapiro, Eileen 1
Sharwood’s 1
Shell 1
Sibony, Olivier 1, 2
Simba 1, 2
Simca 1, 2
Simon, Herbert 1, 2, 3, 4
Simon, Michel 1, 2
Simoncini, Marc 1, 2, 3, 4, 5
Smart 1, 2, 3, 4
Smith, Adam 1
Smoby 1, 2, 3, 4
SNCF 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15,
16
Société de Banque Occidentale (SDBO) 1
Société Générale 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25,
26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35
Soficot 1
Sony 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Sorrell, Martin 1
Spielberg, Steven 1
Spinetta, Jean-Cyril 1, 2
Springsteen, Bruce 1
Spurlock, Morgan 1
ST Dupont 1
Standard & Poor’s 1, 2
Standard Chartered 1, 2
Stern, Édouard 1
Stolowy, Hervé 1, 2
Strauss-Kahn, Dominique 1
Stricker, Willy 1
Strong, Henry 1
Suard, Pierre 1
Suez 1
Summum 1
Supermarmite.com 1
Swanson, Eric 1, 2, 3
Swatch 1
Synergie 1
Système U 1
Taleb, Nassim Nicholas 1, 2, 3, 4, 5
Tapie, Bernard 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Target 1
Tchuruk, Serge 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Technologia 1, 2, 3, 4, 5
Tefal 1, 2, 3, 4
Telepiù 1
Télestore 1
Tellis, Gerard 1, 2
Tellow, Richard 1
Tesco 1, 2
Testamento.fr 1
TF1 1, 2
TGV 1, 2, 3, 4
Thatcher, Margaret 1
The Body Shop 1
The North Face 1
Thibault, Jean-Marc 1
Thomas Cook 1
Thompson, Gregory 1, 2, 3, 4, 5
Thomson 1
Thuin, Aude de 1, 2
Thumerelle, Thomas 1
ThyssenKrupp 1
Timex 1
TNS Secodip 1
Toscani, Oliviero 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Total 1, 2, 3, 4, 5
Towers, Alan 1
Toyota 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Toys “R” Us 1
Trafigura 1
Tragos Bonnange Wiesendanger Ajroldi (TBWA) 1, 2
Trans World Airlines (TWA) 1
Travelprice 1, 2
Travelstore 1, 2, 3
Tréguier, Jean-Paul 1
Trigano (famille) 1, 2, 3, 4, 5
Trigano, André 1
Trigano, Gilbert 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14, 15, 16, 17, 18
Trigano, Gisela 1
Trigano, Lydie 1
Trigano, Serge 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Trigano, Sylvie 1
Triumph-Adler 1
Twitter 1, 2, 3, 4, 5
Uber 1, 2, 3
Uberpop 1, 2
Ugeux, Georges 1
Ungaro 1
Unilever 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Uniqlo 1, 2
Universal 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17
USA Networks 1, 2
Valeo 1
Van Belleghem, Steven 1
Van Reenen, John 1, 2, 3
Vandevelde, Jean-Luc 1
Varin, Philippe 1
Vaughan, Diane 1
Veet 1
Vente-privée.com 1, 2, 3
Vernoux, Denis 1
Véron, Émile 1
Viadeo 1
Viannet, Louis 1
Viehbacher, Christopher 1, 2
Villeroy & Boch 1, 2
Vinci 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12
Virenque, Richard 1, 2
Virgin 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Vishny, Robert W. 1
Vitol 1
Vivarte 1
Vivendi 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14,
15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27,
28, 29, 30, 31, 32, 33, 34
Vizzavi 1, 2
Vodafone 1
Voet, Willy 1
Volanis, Antoine 1, 2, 3, 4, 5, 6
Volkswagen 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13,
14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22
Volvo 1
Voog, Christian 1
Voyageurs du Monde 1
Vulli 1
Walmart 1, 2, 3, 4
Warren, Jacques 1, 2
Wasserstein, Wendy 1
Waterman, Robert 1
Weil-Delseau 1
Weill, Alain 1, 2
Weinberg, Serge 1
Welch, Jack 1
Wenes, Louis-Pierre 1, 2, 3, 4, 5, 6
Whirlpool 1
Wiesel, Elie 1
Wilde, Oscar 1
Willis, Bruce 1
Wilson 1
Wilson, Allan 1
Winfrey, Oprah 1
Winterkorn, Martin 1, 2, 3, 4, 5, 6
Wipolo 1
Wire and Plastic Products (WPP) 1, 2
Women’s Forum 1
Wrangler 1
Wren, John 1, 2, 3
Xerox 1, 2, 3
Yahoo 1, 2, 3, 4, 5
Yoplait 1, 2
Young & Rubicam 1
Young, Sue 1
Zacharias, Antoine 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,
13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25,
26, 27
Zara 1, 2, 3, 4, 5, 6
Zebank 1, 2
Zucker, Lynne 1
Zuckerberg, Mark 1, 2
Cet ouvrage est initialement paru aux Éditions Denoël sous le titre
Ils se croyaient les meilleurs… Histoire des grandes erreurs de management.
Des innovations mort-nées de Bill Gates ou Steve Jobs aux rêves de grandeur de
Jean-Marie Messier, de Kodak qui ne croyait pas à la photo numérique à Mamie
Nova qui se moquait des grand-mères, de l’échec de Barbie en Chine à celui de
Renault en Inde, des performances viciées de Madoff et de Kerviel à l’explosion «
programmée » de la navette Challenger, de Danone à Orange, Google ou
Volkswagen, voici l’histoire de cent cinquante décisions qu’il eût fallu éviter. Si elles
ont marqué l’histoire industrielle, elles ont très rarement été l’objet d’une enquête
minutieuse à travers un récit qui fourmille d’anecdotes et de révélations.
Loin d’être un simple catalogue des ratages commis par des dirigeants, cet ouvrage
est un livre de référence en matière de prise de décision. Il analyse les grandes
catégories d’échec et en tire les leçons en matière de stratégie, de marketing ou de
gestion du personnel. Tant il est vrai que le succès n’apprend rien, que les
déconvenues seules permettent de progresser, et que les réussites planétaires n’ont
jamais été le fait des élèves modèles.
DU MÊME AUTEUR