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14 décembre 2023

Rapport de l'outil de diagnostic de l’OMPI en matière de


propriété intellectuelle pour l’OAPI

MARQUES
Ce rapport est généré automatiquement en fonction de vos réponses.

Vous avez indiqué que vous n’avez pas encore de marque enregistrée, ou que vous n’en
êtes pas sûr. Il faut noter que cela pourrait poser un problème à votre entreprise. En effet,
dans l’espace OAPI, une marque désigne un signe visible ou sonore que l’on se propose
d’utiliser et qui est propre à identifier et distinguer sur les marchés, les produits ou les
services d’une entreprise par rapport à ceux d’une autre. Ainsi, si vous ne possédez pas
de marque, cela signifie que vous n’avez pas protégé les signes que vous utilisez pour
distinguer vos produits de ceux de vos concurrents.

En outre, tout signe propre à distinguer des produits ou des services peut être utilisé en
tant que marque : ce sont les dénominations sous toutes les formes telles que les mots,
l’assemblage de mots, les noms patronymiques pris en eux-mêmes ou sous une forme
distinctive, les dénominations particulières, arbitraires ou de fantaisie, les lettres, les sigles
et les chiffres, des signes figuratifs tels que les dessins, les étiquettes, les cachets, les
liserés, les reliefs, les hologrammes, les logos, les images de synthèse, les formes
notamment celles du produit ou de son conditionnement, les combinaisons ou nuances de
couleurs. L’OAPI admet la protection des signes visibles, sonores et audiovisuels.

Les marques sont bénéfiques pour votre entreprise pour les raisons suivantes :

• L’enregistrement de la marque a pour première fonction de réserver l’usage du signe


à son titulaire pour désigner et distinguer dans le commerce, les produits ou les
services couverts de ceux de ses concurrents. Ainsi, la marque permet au
consommateur d’identifier facilement votre produit sur le marché; elle permet d’établir
l’origine du produit ou du service proposé. Une marque bien choisie et soigneusement
protégée est un précieux actif commercial pour la plupart des entreprises. Pour
certaines entreprises, cela peut même être l’actif le plus précieux. La fonction
principale d’une marque est de permettre aux consommateurs d’identifier un produit
(qu’il s’agisse d’un bien ou d’un service) d’une société donnée afin de distinguer
d’autres produits identiques ou similaires fournis par des concurrents. Les
consommateurs qui sont satisfaits d’un produit donné continueront vraisemblablement
de l’acheter ou de l’utiliser à l’avenir. C’est pourquoi ils doivent pouvoir différencier

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facilement des produits identiques ou similaires. Les marques jouent un rôle capital
dans les stratégies publicitaires et commerciales en ce sens qu’elles contribuent à
forger l’image et asseoir la réputation des produits de la société aux yeux des
consommateurs. De l’image et de la réputation d’une société naît la confiance qui est
indispensable à la fidélisation de la clientèle et à la valorisation de l’entreprise. Les
consommateurs sont souvent sentimentalement attachés à certaines marques, du fait
que les produits qui en sont munis présentent un ensemble de qualités ou de
caractéristiques répondant à leurs aspirations. Les marques incitent aussi les sociétés
à investir pour maintenir ou améliorer la qualité de leurs produits. Les consommateurs
attachent en effet du prix aux marques, à leur réputation, à leur image et à un
ensemble de qualités recherchées qu’ils associent à la marque, et sont donc prêts à
payer plus cher un produit muni d’une marque qu’ils reconnaissent et qui répond à
leurs attentes. Le simple fait de posséder une marque dotée d’une bonne image et
d’une réputation assure donc à une société un avantage sur ses concurrents.
• Ainsi posséder une marque peut envoyer un message de synthèse de toutes les
caractéristiques intellectuelles ou émotionnelles sur votre entreprise, sur sa
renommée, sur la qualité de vos produits, sur les aspirations de vos consommateurs
cibles que vous espérez combler.
• La marque permet aussi aux consommateurs de consolider ses décisions d’achat sur
ce qu’il a entendu, lu ou expérimenté. Elle permet de créer un lien de confiance entre
le consommateur et l’entreprise, titulaire de droit et partant incite celle-ci à investir
dans le maintien ou l’amélioration de la qualité de leurs produits afin d’entretenir ou de
renforcer leur renommée.
• La marque forte contribue à empêcher toute confusion, à engager et conserver
durablement le personnel et à lutter efficacement contre la concurrence déloyale et la
contrefaçon. C’est dire, en conclusion que la marque a une importance économique
considérable.
• Les marques constituent l’un des actifs commerciaux les plus utiles et les plus
durables. Elles peuvent durer très longtemps et offrent ainsi à votre entreprise un
avantage concurrentiel à long terme.
• Des marques fortes permettent d’engager et de conserver plus facilement le
personnel. Les gens préfèrent travailler pour des marques et des entreprises célèbres
et bien considérées.
• Les marques constituent l’une des armes les plus efficaces contre la concurrence
déloyale. Les marques permettent à votre entreprise d’empêcher ses concurrents
d’utiliser, sans son autorisation, ses marques. En outre, elles peuvent servir à lutter
contre les importations parallèles et à empêcher l’importation de contrefaçons. Elles
peuvent aussi vous permettre d’empêcher des tiers d’utiliser votre marque dans un
nom de domaine.

Caractère distinctif de la marque

Votre réponse à cette question semble indiquer que si vous enregistriez votre signe en
tant que marque vous auriez une marque dont le caractère distinctif n’est pas clair
(veuillez vérifier le caractère distinctif de votre signe par rapport aux critères mentionnés
ci-dessous).

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Qu’est-ce que cela signifie?

Tout signe propre à distinguer des produits ou des services peut être utilisé en tant que
marque, notamment des mots, des noms, des lettres, des chiffres, des dessins, des
images, des formes, des couleurs, des étiquettes, des sons, des images en mouvement
(animées) ou toute combinaison de ces éléments. Quel que soit le type de signe utilisé, il
importe que le signe soit distinctif pour pouvoir être protégé en tant que marque. Les
marques distinctives sont parfois appelées marques “fortes”. Plus une marque est forte,
plus la probabilité qu’elle soit acceptée à l’enregistrement est élevée et plus la protection
offerte par les tribunaux sera étendue. Il est par conséquent important de comprendre la
différence qui existe entre les marques intrinsèquement fortes et les marques
intrinsèquement faibles. Les marques proposées peuvent être classées en cinq
catégories, de celle qui présente le caractère distinctif le plus affirmé (marque forte) à celle
qui présente le caractère distinctif le moins affirmé (marque faible) :

• Les marques inventées ou de fantaisie sont des mots inventés ou des signes sans
véritable sens. Parce qu’elles sont entièrement le résultat de votre imagination, tout
concurrent vendant les mêmes produits que vous n’aurait aucune raison valable
d’utiliser la même marque ou une marque similaire. Les marques de fantaisie sont,
d’un point de vue juridique, les marques les plus fortes dans la mesure où elles ont
toutes les chances d’être acceptées à l’enregistrement. Exemple : “Google”.
• Les marques arbitraires sont des mots ou des signes ayant un sens qui n’a toutefois
aucun lien logique avec le produit dont elles font la publicité. Exemple : le terme
SUNNY ou l’image d’un soleil utilisée aux fins de la commercialisation de téléphones
portables est un exemple de marque arbitraire. Les marques arbitraires sont moins
fortes que les marques inventées ou de fantaisie, mais elles ont de grandes chances
d’être enregistrées.
• Les marques suggestives sont des marques renvoyant à la nature, à la qualité ou
aux caractéristiques du produit, mais ne décrivant pas ces caractéristiques. La
marque SUNNY utilisée pour la commercialisation de lampes serait un exemple, car
elle servirait à suggérer que ce produit est conçu pour apporter de la lumière dans
votre maison. Dans certains pays, les marques suggestives peuvent être considérées
comme n’ayant pas un caractère distinctif suffisant pour être admises à
l’enregistrement.
• Les marques descriptives sont des marques décrivant essentiellement une
caractéristique du produit en question, telle que sa qualité. Les signes descriptifs ne
peuvent généralement pas faire l’objet d’une protection, à moins qu’il puisse être
prouvé que le caractère distinctif a été créé au fil du temps par une utilisation de
grande ampleur sur le marché. La marque SWEET est, par exemple, susceptible
d’être rejetée pour la commercialisation de chocolats parce qu’elle est descriptive.
• Les signes génériques sont des mots ou signes que l’on utilise nécessairement pour
nommer l’espèce ou l’objet qu’ils désignent (par exemple POMME pour
commercialiser le fruit appelé pomme). Ils sont totalement dépourvus de caractère
distinctif et ne remplissent pas les conditions requises pour obtenir une protection en
tant que marques, car leur accorder cette protection reviendrait à priver les
concurrents du droit de désigner leurs produits par ce nom.

Note : Lorsqu’une marque forte est utilisée d’une manière inappropriée, elle peut aussi
perdre son caractère distinctif au fil du temps et devenir une marque générique, sans

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protection donc (p. ex. trampoline pour un appareil de saut athlétique).

Marque pouvant être valablement enregistrée

Vous avez indiqué ne pas connaître les conditions exigées pour que la marque soit
valable.

Qu’est-ce que cela signifie?

Dans l’espace OAPI pour que la marque soit valable, elle doit remplir certains critères de
fond : le signe choisi à titre de marque doit être visible ou sonore, distinctif, disponible et
licite. En outre, en plus des conditions de fond, ledit signe doit également être soumis au
respect de certaines conditions de forme.

S’agissant des critères de fond du signe

Le signe est visible ou sonore s’il est perceptible et reproductible c’est-à-dire qu’on peut le
matérialiser ou tout simplement le reproduire.

Le caractère distinctif ou arbitraire de la marque signifie que celle-ci doit permettre


d’identifier un produit ou service parmi les produits et services de même nature proposés
par les concurrents. Certains signes ne sont pas distinctifs. Il s’agit de signes génériques
ou nécessaires qui sont par définition, la désignation ordinaire, habituelle ou courante du
produit. Par exemple : le mot « siège » comme marque d’un « fauteuil » ou « parfum de
voyage » pour du « parfum » ou encore « céréales » pour une marque de riz ou de maïs.
Un autre signe ou une indication constituant la composition du produit. Par exemple « Eau
pure » ou « H2O » pour désigner de l’eau. Le signe doit être également disponible. En
effet, pour constituer une marque valable, un signe ne doit pas entrer en conflit avec un
droit antérieur. C’est-à-dire que le dépôt d’un signe ne doit pas porter atteinte à des droits
ou prérogatives déjà détenus par des tiers sur le territoire de l’espace OAPI. C’est le
problème d’antériorité qui peut être constitué soit par des signes distinctifs protégés par
l’Accord de Bangui (exemple de la marque, l’indication géographique et le nom
commercial), soit par des signes non protégés par l’Accord de Bangui (la dénomination
sociale et le nom de domaine), soit par une création littéraire et artistique, soit enfin par un
droit de la personnalité.

Quant à la licéité du signe, il s’agit de la conformité à l’ordre public et aux bonnes mœurs,
et au respect des interdictions spéciales de l’utilisation de certains signes. C’est le cas par
exemple d’un signe constitué par un slogan subversif ou incitant à la haine ethnique, de
termes grossiers ou d’images obscènes ou encore vulgaires.

Ne peut être adopté comme marque, un signe qui est susceptible de tromper le public sur
une caractéristique du produit ou du service telle que la composition, l’origine
géographique, la nature ou les qualités.

Sont également interdits par la loi ou des conventions internationales, les signes
reproduisant ou imitant, totalement ou partiellement les signes officiels d’un Etat ou d’une
Organisation Internationale. Sauf autorisation de l’autorité compétente de cet Etat ou de
cette organisation. Ainsi, une marque ne peut contenir des drapeaux ou autres emblèmes,
signes ou sigles d’un Etat.

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Quant aux conditions de forme relative à la demande d’enregistrement du signe à
titre de marque

Le droit de marque ne s’acquiert qu’à la suite d’un dépôt suivi d’un enregistrement de la
marque. Toutefois, l’usage d’un signe à titre de marque peut-être pris en considération et
lui conférer une certaine protection. C’est le cas des marques notoires non enregistrées.

Les atteintes portées aux droits du titulaire de la marque de produit ou


de service

Votre réponse à cette question semble indiquer que personne n’a enregistré votre signe
en tant que marque.

Qu’est-ce que cela signifie?

Si personne d’autre n’a enregistré votre signe en tant que marque et, à condition que votre
signe puisse bénéficier d’une protection en tant que marque (car il présente par exemple
un caractère distinctif et qu’il n’y a pas d’utilisateur antérieur sur le même marché ayant
des droits antérieurs), vous pouvez, selon toute vraisemblance, enregistrer votre marque.
Dans la plupart des pays, lorsque vous déposez une demande d’enregistrement de
marque, vous devez indiquer les produits ou services auxquels la marque s’appliquera et
ces produits ou services sont classés dans ce que l’on appelle des classes. La protection
est généralement accordée uniquement pour les produits ou services qui relèvent des
classes pour lesquelles la protection est demandée. Cela vous permet, par exemple,
d’utiliser votre signe (et également de demander la protection de la marque) pour un
studio de fitness si la marque relative à un signe identique a déjà été enregistrée pour des
produits ou services différents, par exemple, uniquement pour des chaussures. Toutefois,
si votre signe se rapporte également à des chaussures, vous porteriez atteinte à la
marque et pourriez être poursuivi par le titulaire de la marque existante. Les marques
notoires, telles que “Coca-Cola” ou “Volkswagen”, sont une exception à cette règle. Ces
marques bénéficient d’une protection étendue, y compris pour les classes pour lesquelles
la marque n’a pas été enregistrée. Vous porterez donc atteinte à la marque si vous
appelez votre studio de fitness “Coca-Cola” ou “Volkswagen”.

Investisseurs

Vos réponses semblent indiquer que vous cherchez à attirer des investisseurs.

Dans l’économie d’aujourd’hui, fondée sur le savoir, les actifs incorporels des entreprises
constituent une part plus importante de la valeur globale des entreprises. Les actifs
physiques des entreprises représentent une part de plus en plus faible de la valeur des
entreprises. Par conséquent, toute marque minutieusement choisie et protégée constitue
un actif commercial de grande valeur pour la plupart des entreprises. Elle peut même être
l’actif le plus utile de votre entreprise. Dans son rapport de 2019, Interbrand estime que la
marque APPLE® est la marque ayant la plus grande valeur au monde, évaluée à près de
235 milliards de dollars, suivie par GOOGLE®, estimée à plus de 167 milliards de dollars
et Amazon® à 125 milliards de dollars. En tant que droit de propriété intellectuelle, les
marques peuvent être traitées comme des actifs physiques et peuvent être vendues,
concédées sous licence,données, ou faire l’objet d’un apport en société. Il s’agit donc d’un
actif négociable qui peut constituer un élément important de la valeur de l’entreprise et qui,
à ce titre, sera soigneusement examiné par les investisseurs pour déterminer s’ils veulent
investir dans l’entreprise. Dans ce cas, il faut, bien entendu, être en mesure d’évaluer la

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marque. D’autres raisons peuvent expliquer cette nécessité d’évaluer la marque (comme
dans le cadre d’un litige, aux fins de la production de rapports financiers, etc.). Il existe des
méthodes bien établies pour déterminer la valeur d’une marque et un expert en évaluation
peut être consulté à cette fin.

Marque créée par un tiers pour vous

Vous avez indiqué que la marque que vous utilisez n’a pas été créée par un tiers.
Toutefois, si vous envisagez de faire appel à un tiers, par exemple un créateur, pour
concevoir une marque attrayante pour vous, il peut y avoir des droits de dessin ou modèle
et des droits d’auteur attachés à cette marque et il importe de préciser qui en est le
titulaire.

Lorsque la marque que vous utilisez a été créée pour vous (ou sur commande) par un
tiers, plusieurs droits peuvent être attachés à cette création sur commande : un droit de
marque, un droit de dessin et modèle industriel et même un droit d’auteur. Dans la mesure
où cela pourrait être source de conflit, il est important de préciser qui en est titulaire. Dans
le contexte du droit d’auteur, le titulaire est la personne qui aurait le droit exclusif de
l’exploiter par l’utilisation, la copie, la vente et la réalisation d’œuvres dérivées. Dans la
plupart des pays, le créateur est le titulaire du droit d’auteur sur cette production et la
personne qui a commandé l’œuvre possède uniquement une licence l’autorisant à utiliser
l’œuvre aux fins pour lesquelles elle a été créée, sauf disposition contraire expresse dans
le contrat. Dans le cas des droits de dessin ou modèle, les droits appartiendront
généralement à l’entreprise qui a commandé le dessin ou modèle. Toutefois, lorsque la
marque est seulement et uniquement le fruit de la création du titulaire, l’équation est plus
simple parce qu’il est le propriétaire exclusif de tous les droits attachés à son signe. Dans
tous les cas, il est conseillé d’éclaircir toutes les questions en suspens dans le cadre d’un
contrat avant de confier la création d’un objet quelconque de propriété intellectuelle à un
tiers.

Les actifs voisins : la marque collective et la marque de certification

Vous avez indiqué ne pas avoir pensé au potentiel de l’utilisation d’une commercialisation
collective ou aux bénéfices de la notoriété d'une autorité de certification.

La marque collective : Est la marque de produits ou de services dont les conditions


d’utilisation sont fixées par un règlement approuvé par l’autorité compétente et que seuls
les groupements de droit public, syndicats ou groupements de syndicats, associations,
groupements de producteurs, d’industriels, d’artisans ou de commerçants peuvent utiliser,
pour autant qu’ils soient reconnus officiellement et qu’ils aient la capacité juridique.
L’enregistrement se fait comme pour toute marque mais en fournissant en plus le
règlement d’utilisation et en payant la taxe y afférente. Elle est faite pour un ensemble de
producteurs qui en sont membres que cette marque fédère et regroupe avec pour objectif
de faciliter le développement économique de leur activité. La marque collective ne peut
être vendue à un tiers ou transmise à aux ayants droits du titulaire.

La marque de certification : Est la marque appliquée au produit ou au service qui présente


notamment quant à sa nature, ses propriétés ou ses qualités, des caractéristiques
précisées dans son règlement. Un organisme reconnu indépendant des parties en cause,
donne une assurance écrite pour attester que le produit ou service répond à des
exigences de références. La certification est volontaire et facultative. Exemples
d’organismes de certification dans un Etat membre de l’OAPI : ANOR, GEMA. La

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certification sert à identifier la provenance d’un produit en déterminant sa nature et sa
qualité. Elle est faite pour toute personne qui remplit les conditions à respecter et satisfait
aux normes établies. La marque de certification ne peut faire l’objet d’aucune vente ou de
mise en garantie à un tiers.

Avertissement

Le contenu des rapports générés par l'outil de diagnostic de l’OMPI en matière de


propriété intellectuelle ne constitue pas, et n’est pas destiné à constituer, un avis ou
un conseil juridique, et ne doit pas être traité comme tel. Les rapports sont générés
automatiquement et uniquement à des fins d’information générale, et leur contenu
peut ne pas correspondre à la situation particulière de la PME participante. Personne
ne doit agir, ou s’abstenir d’agir, en se fondant uniquement sur le contenu de ces
rapports sans avoir consulté un juriste ou tout autre professionnel compétent. Ni
l’OMPI ni l’OAPI ne sont responsable des pertes, coûts ou dommages de quelque
nature que ce soit résultant de l’utilisation de ces rapports ou des mesures prises ou
non prises sur la base de leur contenu. Pour de plus amples informations, bien
vouloir vous rapprocher de la Structure nationale de Liaison de votre pays ou d’un
mandataire agréé de l’OAPI, dont les adresses se trouvent ci-dessus.

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