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RECHERCHES DOCUMENTAIRES

EN VUE DE LA REDACTION DU
MEMOIRE
Chapitre 1 : QUELQUES PREALABLES A LA RECHERCHE
DOCUMENTAIRE

I- RECHERCHE D’UN SUJET D’ETUDE


1- « S’ETONNER ! » OU LE BESOIN DE COMPRENDRE
2- LA MOTIVATION DU CHERCHEUR
3- S’INSCRIRE DANS UN CADRE SCIENTIFIQUE
II- CONSTRUCTION DE LA PROBLEMATIQUE
1- QU’EST CE QU’UNE PROBLEMATIQUE
2- BIEN CONSTRUIRE SA PROBLEMATIQUE
III- CADRE METHODOLOGIQUE
1- LES TROIS TYPES DE METHODOLOGIES (QUALITATIVE, QUANTITATIVE ET MIXTE)
2- LA STRUCTURATION DE L’ARGUMENTATION
I- RECHERCHE D’UN SUJET D’ETUDE
La recherche documentaire permet de collecter des données informatives grâce à l’étude de documents officiels ou universitaires. La recherche documentaire passe impérativement par
la recherche et la découverte d’un sujet d’étude. En effet, comment rédigerions-nous un mémoire s’il n’y a pas de sujet ? ce serait un oiseux bavardage… Comment trouver un sujet
s’étude ?
1- « S’ETONNER ! » OU LE BESOIN DE COMPRENDRE
- L’Histoire des idées nous enseigne que l’étonnement est la source de toutes les sciences. Pour Socrate
« C’est, en effet, l’étonnement qui poussa comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. Au début, leur étonnement porta sur les difficultés qui se présentaient les premières à
l’esprit ; puis, s’avançant ainsi peu à peu, ils étendirent leur exploration à des problèmes plus importants, tels que les phénomènes de la Lune, ceux du Soleil et des étoiles, enfin la genèse de l’Univers. Or
apercevoir une difficulté et s’étonner, c’est reconnaître sa propre ignorance (c’est pourquoi même l’amour des mythes est, en quelque manière, amour de la sagesse, car le mythe est un assemblage de
merveilleux). Ainsi donc, si ce fut bien pour échapper à l’ignorance que les premiers philosophes se livrèrent à la philosophie, c’est qu’évidemment ils poursuivaient le savoir en vue de la seule connaissance
et non pour une fin utilitaire. » — Aristote, Métaphysique, Livre I, 2, 982b
- Le monde professionnel présente également des raisons de s’étonner. S’étonner, de la mévente d’un produit, s’étonner de l’organisation d’une entreprise, s’étonner des stratégies et des politiques mises
en œuvre etc. Le chercheur doit formuler cet étonnement sous forme d’un sujet d’étude.
2- LA MOTIVATION DU CHERCHEUR

- De la subjectivité…
Son ouvrage L’erreur de Descartes, le professeur de neurologie Antonio DAMASIO étudie la place des émotions dans la construction de la pensée scientifique : « De la même façon qu’il n’y a pas de
clivage net entre l’apprentissage par l’expérience et la pratique et l’apprentissage par le raisonnement et la théorie, il n’y a pas de dichotomie entre la subjectivité et l’objectivité. L’expérience et la pratique
n’excluent pas le raisonnement, et la théorie comme la subjectivité n’excluent pas l’objectivité » Vax, Louis. « Chapitre IV - De l’étonnement », , La Poésie philosophique. sous la direction de Vax Louis.
Presses Universitaires de France, 1985, pp. 56-69.

On peut choisir un sujet sur la base de considérations affectives : Vous pouvez préférer travailler sur des questions qui « vous plaisent » !
- Et de l’objectivité
Il faut également se poser des questions d’ordre pragmatique : Est-ce que le sujet sur lequel je souhaite travailler me permet de développer des compétences pour intégrer tel ou tel autre secteur d’activité ?
Est-ce que j’ai les ressources documentaires pour travailler sur ce sujet ? Est-ce que ce sujet répond à un besoin manifeste dans mon entreprise ? Etc.

3- S’INSCRIRE DANS UN CADRE SCIENTIFIQUE


- Notre réflexion doit s’inscrire nécessairement dans le cadre de notre discipline. C’est dire que le sujet doit correspondre aux paradigmes de notre discipline. Sinon, nous risquons de
manquer de compétences pour traiter efficacement le sujet. Si on est comptable, notre sujet doit porter sur une question de comptabilité. Il en est de même pour les autres disciplines.
- Il faut toujours considérer que nous étudions de « vieilles » disciplines. C’est disciplines on élaborer des méthodes et des techniques pour répondre à un certain nombre de questions. Il
s’agit en définitif d’utiliser ces outils pour construire une réflexion qui cadre avec un certain contexte social et une certaine activité sociale.
II- CONSTRUCTION DE LA PROBLEMATIQUE
1- QU’EST CE QU’UNE PROBLEMATIQUE
La problématique a pour but d’interroger le sujet afin de révéler des questions pertinentes, qui font débat. La problématique apparait comme un guide
pour mener la réflexion sur le sujet choisi. Elle permet d’identifier des axes de recherche. Elle doit permettre de décrire le problème qu’il va falloir
résoudre dans le développement de la recherche.

2- BIEN CONSTRUIRE SA PROBLEMATIQUE


Conseil 1 : La problématique doit s’inscrire dans un contexte

Qui a un problème ? Quand et où a émergé le problème ? Quelle est la cause de ce problème (est-ce qu’il découle de recherches antérieures ou est
lié à la modification d’un facteur ?) ?

Conseil 2 : Faire une revue de littérature

Que sait-on du problème ? Qu’en disent les chercheurs et les autres personnes concernées ? Qu’est-ce qui a déjà été fait pour résoudre ce
problème ? Est-ce que certaines solutions ont fonctionné – si oui, pourquoi ? Est-ce qu’une cause a été étudiée en particulier ?

Conseil 3 : Être original

Qu’allez-vous exactement aider à résoudre ? Qu’est-ce que vous n’allez pas traiter ?

Conseil 4 : Être pertinent

Pourquoi est-il important pour la société ou la profession concernée de résoudre ce problème ? Que se passera-t-il s’il ne l’est pas ? Qui en
ressentira les conséquences ?
III- CADRE METHODOLOGIQUE

1- LES TROIS TYPES DE METHODOLOGIES (QUALITATIVE, QUANTITATIVE ET MIXTE)

2- LA STRUCTURATION DE L’ARGUMENTATION
Conseil 1 : Ecrire simplement
• Faites des phrases courtes
• Restez cohérents
• Structurez votre argumentation
Conseil 2 : Utilisez la structure canonique du paragraphe argumentatif
Le développement est constitué des arguments et/ou des contrarguments sur lesquels repose la thèse. C’est la partie la plus longue du texte. Dans le développement, chaque argument et/ou contrargument fait l'objet d'un
paragraphe. En général, on trouve deux ou trois paragraphes de développement dans un texte argumentatif. Le développement présente les différentes idées en réponse au problème posé. Il est nécessaire que ces idées soient
bien articulées.
• Idée 1 :

∙ Argument 1

∙ Explication de l’argument

∙ Exemple

∙ Argument 2

∙ Explication de l’argument

∙ Exemple

∙ Argument 3

∙ Explication de l’argument

∙ Exemple

• Idée 2 :

∙ Argument 1

∙ Explication de l’argument

∙ Exemple

∙ Argument 2

∙ Explication de l’argument

∙ Exemple

∙ Argument 3

∙ Explication de l’argument

∙ Exemple
Chapitre 2 : LES RESSOURCES DOCUMENTAIRES
I- LES TYPES DE DOCUMENTS EXPLOITABLES PAR LE CHERCHEUR
1- LES LIVRES
• LES OUVRAGES DE FICTION
• LES OUVRAGES DOCUMENTAIRES
2- LES PERIODIQUES OU REVUES SCIENTIFIQUES
3- LES DOCUMENTAIRES ELECTRONIQUES
4- LES AUTRES TYPES DE DOCUMENTS
II- FOCUS SUR LES RESSOURCES DOCUMENTAIRES DU WEB
1- LES CATALOGUES DE BIBLIOTHEQUES
2- LES BASES DE DONNEES BIBLIOGRAPHIQUES
3- LES PORTAILS SCIENTIFIQUES OU THEMATIQUES
4- LES CORPUS DE TEXTE
III- EVALUER LA FIABILITE D’UN DOCUMENT
1- L’AUTORITE
2- LA FIABILITE DU CONTENU
3- L’OBJECTIF
4- LA FORME
I- LES TYPES DE DOCUMENTS EXPLOITABLES PAR LE CHERCHEUR
1- LES LIVRES
•LES OUVRAGES DE FICTION

Ouvrages de fiction, de littérature, ils sont inscrits dans les œuvres au programme et peuvent paraître sous la forme d'éditions critiques (texte littéraire et commentaires).
•LES OUVRAGES DOCUMENTAIRES

•Ouvrages documentaires, ils peuvent être des manuels, ouvrages de synthèse ou plus spécialisés. Ils constituent une base à mes travaux de recherche ou me renseignent sur un sujet précis.
2- LES PERIODIQUES OU REVUES SCIENTIFIQUES
∙ Un périodique scientifique ou une revue scientifique est une publication qui paraît à intervalle régulière et qui publie des articles rédigés par des scientifiques et spécialistes. Ces périodiques
peuvent être publiés par des sociétés savantes, académies des sciences, ou encore par des éditeurs scientifiques. Leur fonction est de faire rapidement connaître les travaux de recherche
originaux afin de contribuer au débat scientifique entre spécialistes et ainsi faire avancer la science.
∙ Dans le cas des périodiques arbitrés, le processus de publication est plus rigoureux. Les articles soumis doivent non seulement passer entre les mains du comité éditorial, mais doivent
également être examinés par un comité de lecture formé de chercheurs-pairs de la même spécialité avant d'être acceptés pour publication.
3- LES DOCUMENTS ELECTRONIQUES
∙ Elles sont innombrables mais leur qualité est extrêmement variable et l’information y est volatile. Ils sont composés de sites, d
∙ Document stocké sur un support électronique ou virtuel, et dont l'accès nécessite l'utilisation d'un appareil électronique.
∙ Les documents électroniques (textes, sons ou images) peuvent être stockés notamment sur un disque dur, un CD-ROM, une clé USB ou dans le nuage informatique.
∙ Connaître les sites spécialisés dans votre domaine de recherche permet d’éviter les
∙ écueils de la recherche « Google ».
∙ On privilégiera les portails officiels des ministères ou organismes internationaux … :

4- LES AUTRES TYPES DE DOCUMENTS


- Un brevet
- Une donnée statistique
- Une image
- Une thèse de doctorat ou un mémoire
- Une infographie

- un document officiel (loi, décret, règlement, marché public).


II- FOCUS SUR LES RESSOURCES DOCUMENTAIRES DU WEB
2- Les catalogues de bibliothèques :
pluridisciplinaires, ils sont incontournables pour trouver de la documentation papier :
● le catalogue collectif des universités (SUDOC : http://www.sudoc.abes.fr)
● le catalogue mondial (Worldcat : http://www.worldcat.org/)
● Le catalogue de la Bibliothèque nationale de France (http://catalogue.bnf.fr)

2. Les bases de données bibliographiques


Elles sont constituées d'un ensemble structuré de références bibliographiques sur un sujet, un domaine, un type de document, etc. Elles peuvent contenir une analyse, un résumé et de plus en plus souvent l’accès au texte
intégral du document lui-même.
Les bases de données bibliographiques répertorient toute catégorie d'objets bibliographiques livres, collections, revues, articles de revues grâce à leurs métadonnées telles que leur titre, auteur, résumé, descripteur sujet.
Francis — Articles scientifiques en sciences humaines et sociales — Origine française (CNRS, INIST) — résumés en français — indexation bilingue (français, anglais) (la base Francis n'est plus mise à
jour).
Google Scholar — Origine société Google, États-Unis.
Pascal — Science Technique et Médecine — Origine française (CNRS, INIST) — indexation bilingue (français, anglais) (la base Pascal n'est plus mise à jour).
WorldCat — catalogue collectif OPAC (monographies et périodiques) — Origine OCLC (États-Unis) — parfois citée comme la plus grande base bibliographique mondiale.
Open Library — Catalogue collectif du projet Internet Archive.
Urbamet — base de données bibliographiques — origine association Urbamet, France — la principale base de données française sur l'urbanisme, l'aménagement du territoire, les villes, l'habitat et
le logement, l'architecture, les équipements collectifs, les transports, les collectivités locales, etc. qui rassemble et diffuse la mémoire de l’aménagement, de l’urbanisme et de l’habitat.
SantéPsy [archive] — base de données bibliographiques — origine Ascodocpsy — principale base de données française sur la psychiatrie et la santé mentale
Avec accès au texte intégral du document
Cairn, Persée, Thèses.fr

3. Les portails scientifiques ou thématiques


● Google Scholar (http://scholar.google.fr/), Google Books (http://books.google.fr/), Economics Search Engine (http://ese.rfe.org/), Scirus (http://www.scirus.com/), Isidore (http://www.rechercheisidore.fr/),
Theses.fr (http://www.theses.fr/), Profusion Chimie (http://www.profusion-chimie.1s.fr)
4. Les corpus de textes
Ils regroupent des ensembles de textes à caractère thématique ou historique

∙ ● Ex. : Brepolis, Classiques Garnier, EEBO, etc.


IIII- EVALUER LA FIABILITE D ’UN DOCUMENT

1- L’AUTORITE

Il s'agit de l'élément le plus important du processus d'évaluation d'une source. QUI est derrière ce
document, qui est l'auteur? Quelle est sa formation? À quelle institution est-il affilié?
2- LA FIABILITE DU CONTENU

Qui est l’éditeur? Spécialisé ou vulgarisation? Public cible? Autres publications?


Présence d’un réel comité de lecture, de révision par les pairs (« peer review »)? Qui est l’auteur,
rédacteur ou producteur du site?
3- L’OBJECTIF

Le contenu correspond‐il à son titre? Les affirmations sont‐elles supportées par des preuves? Sont-
elles exactes? S’agit-il d’une source primaire ou secondaire? Liste de références ou
bibliographie incluses? Quel est le but, l’intention de l’auteur ou du producteur de l’information?

4- LA FORME

Attention à la qualité de la langue (orthographe et grammaire) et niveau de langage.


Présence de publicité? Les graphiques et les schémas sont‐ils clairement présentés (axes, séries, etc.)? Les images
sont‐elles véridiques?
Chapitre 3 : L’utilisation des connecteurs logiques dans les
moteurs de recherche sur internet
I- RECHERCHE DANS LES PAGES INDEXEES
1- Définition
2- Les opérateurs booléens
II- RECHERCHE DANS LES PAGES NON INDEXEES
1- Définition
2- Quelques techniques de recherches
III- REFLEXIONS SUR QUELQUES SUJETS D’ETUDIANTS
I- RECHERCHE DANS LES PAGES INDEXEES
1- Définition
Les pages indexées sont les pages que le logiciel d’indexation de google parvient à trouver lorsque l’usager
tape une requête. En effet, le robot indexateur de Google, GoogleBot, scanne les pages webs sur la base de
critères prédéfinis. Ce travail d’indexation permet de proposer à l’usager des réponses à sa requête.
2- Les opérateurs booléens ou opérateur de recherche
A- Les opérateurs booléens élémentaires
L’opérateur booléen AND
L’opérateur booléen AND vous permet de rechercher plusieurs mots-clés à la fois. Par exemple, si vous saisissez la recherche : technicien AND maintenance, vous obtiendrez
tous les résultats qui contiennent ces deux mots-clés. Le mot « AND » peut aussi être remplacé par le caractère « | ».
L’opérateur booléen OR
L’opérateur OR, qui signifie « ou », permet de rechercher dans un contenu la présence soit d’un mot-clé, soit d’un autre, soit des deux. Reprenons notre exemple. Si vous tapez
la recherche : technicien OR maintenance, vous obtiendrez tous les résultats qui contiennent soit le mot « technicien », soit le mot « maintenance », soit les mots « technicien »
et « maintenance ».
L’opérateur booléen NOT
L’opérateur NOT permet d’exclure un mot-clé de votre recherche. Par exemple, si vous saisissez la recherche : technicien NOT maintenance, vous obtiendrez tous les résultats
contenant le mot « technicien » mais ne contenant pas le mot « maintenance ». Le terme NOT peut aussi être remplacé par le signe – .
Les parenthèses
Sur Google, les parenthèses ont la même fonction qu’en mathématiques. Elles permettent de donner la priorité à une opération sur une autre. Par exemple, si votre recherche
est : technicien AND (Marseille OR Strasbourg), vous obtiendrez les résultats contenant les mots « technicien » et « Marseille » ou « technicien » et « Strasbourg ».
Les guillemets
Les guillemets permettent d’obtenir les résultats de recherche relatifs aux mots-clés précis que vous tapez, dans le même ordre et sous la même forme. Par exemple si vous
tapez la recherche « technicien informatique à Paris » vous obtenez tous les résultats contenant cette expression exacte. Un résultat contenant par exemple « technicien à Paris
» ou « technicien informatique Paris » ne s’affichera pas.
L’astérisque
L’astérisque permet de laisser libre plusieurs lettres ou plusieurs mots pour élargir votre recherche. Par exemple, si vous tapez la recherche : dév*, vous obtiendrez les résultats
contenant des mots commençant par « dév », comme développeur, développement etc. De même, si vous tapez la recherche : développeur*, vous obtiendrez des résultats
contenant des expressions commençant par « développeur », comme développeur web, développeur frontend, etc.
2- Les opérateurs booléens ou opérateur de recherche
B- Les opérateurs booléens avancés
L’opérateur booléen AND
L’opérateur booléen site:
Cet opérateur permet de cibler un site précis en saisissant son URL. Par exemple, avec la recherche : recrutement site:opensuccess.fr, vous obtiendrez toutes les pages du site
Opensuccess qui contiennent le mot-clé « recrutement ». Veillez à ne pas mettre d’espace entre le mot « site » les « : » et les mots que vous saisissez ensuite. De même, les «
http » et « www » sont inutiles. Ces règles s’appliquent à tous les opérateurs contenant des doubles points. Pour rechercher plusieurs mots-clés, vous pouvez utiliser les
guillemets ou les autres opérateurs booléens tels que AND et OR.
L’opérateur booléen intitle:
L’opérateur intitle: permet de rechercher un mot-clé uniquement dans le titre d’une page web. Par exemple, si vous saisissez la recherche : intitle:CV, les résultats seront toutes
les pages web dont le titre contient le mot « CV ». La variante allintitle: permet de cibler plusieurs mots-clés à la fois dans le titre d’une page web, et se comportera alors
comme l’opérateur booléen AND (tous les mots-clés saisis devront être présents dans le titre pour que le résultat de recherche apparaisse).
L’opérateur booléen intext:
Tout comme les deux opérateurs booléens précédents, l’opérateur intext: permet de cibler votre recherche de mots-clés, mais cette fois dans le corps de texte d’une page web.
La variante allintext: permet de cibler plusieurs mots-clés à la fois dans le corps de texte d’une page web, et se comportera alors comme l’opérateur booléen AND.
L’opérateur booléen filetype:
Pour finir, l’opérateur filetype: permet de rechercher des types de fichiers précis en plus de vos mots-clés.
Par exemple, si vous recherchez des candidatures de techniciens de maintenance au format .pdf, vous pouvez saisir la recherche suivante : « technicien de maintenance »
filetype:pdf. L’avantage des opérateurs booléens sur Google est qu’ils vous permettent de cibler plusieurs sites, plusieurs mots-clés, dans l’ordre de votre choix etc. En
complément, vous pourrez utiliser l’opérateur “site:” qui permet de voir toutes les pages que Google connait à propos d’un site.
Exemple : si vous souhaitez rechercher des développeurs sur Github (célèbre site que tout bon développeur se doit de connaître) à Paris ou Lyon, voici une bonne combinaison :
site:github.com “déveloper” AND (Paris OR Lyon)
II- RECHERCHE DANS LES PAGES NON - INDEXEES
1- Définition
L’activité d’indexation du logiciel de google ne prend pas en compte certaines pages : ce sont les pages non
indexées. Ces pages non-indexées ne figureront pas dans les résultats de recherche. De fait, vous ne pourrez
pas avoir accès aux informations contenues dans ces pages.

2- Conseil
Le principal conseil que nous pouvons donner est celui de lire attentivement les documents que nous
pouvons trouver lors de notre recherche. Une lecture attentive permet d’orienter la recherche sur des mots
clés qui permettrons d’éclairer davantage le sujet de recherche. Un travail de recherche est une superposition
de strates, une superposition d’informations.

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