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SYLLABUS DU COURS
PLAN DU COURS
CHAP. I : INTRODUCTION
CHAP.II : LES ETAPES DE LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE
CHAP.III : PLAN D’UN TRAVAIL DE RECHERCHE
CHAP.IV : LES DIFFERENTES PARTIES D’UN TRAVAIL SCIENTIFIQUE
I.1.Objectifs
Certaines gens se contentent du bon sens. Il est vrai que parfois le bon sens peut
suffire mais le fait qu’il puisse suffire ne nous assure pas qu’il doit en être ainsi. Il
nous faut reconnaitre la possibilité d’avoir raison pour les mauvais motifs.
L’accent est mis sur le fait que la recherche permet de dépasser le niveau du gros bon
sens et d’élargir les perspectives en donnant aux problèmes et à leur solution, une
formulation fondée sur des bases scientifiques.
1. La recherche fondamentale
C’est par exemple le cas d’un chercheur qui compare deux théories de deux auteurs.
On cherche à savoir pour le simple plaisir de comprendre les fondements d’un
phénomène. Elle vise la compréhension du monde qui nous entoure à travers
l’élargissement et le perfectionnement des connaissances scientifiques.
Les études empiriques de vérification quant à elles sont des observations très précises
et objectives ayant pour objectif de vérifier pour confirmer ou infirmer une (des)
hypothèses. Dès lors la recherche empirique peut être qualitative ou quantitative.
2. La recherche appliquée
Tout compte fait, la science peut recourir à l’un ou l’autre de ces types de recherches
comme elle peut se servir des 3 types à la fois.
Le chercheur doit analyser le sujet et noter les mots clés correspondant au sujet.
2. Préparer sa recherche
Après avoir interrogé le sujet, il faut chercher dans le dictionnaire les définitions des
mots clés et des mots contenus dans le titre, passer aux synonymes et aux singuliers
ou aux pluriels des mots clés.
-Les encyclopédies : il s’agit d’une somme de savoirs sur des choses et des concepts ;
Avec la recherche simple, vous pouvez déjà limiter votre requête avec les filtres
suivants :
•la langue dans laquelle est écrit le document ;
•le type de document: livre, périodique, livre électronique, etc.
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Pour trouver les sources de documentations, il faut utiliser les outils de repérage :
- Les catalogues des bibliothèques : celles-ci recensent différents types de
documents qui sont physiquement présent à la bibliothèque. Elles permettent
aussi de repérer où (coté, rayon,…) se trouve un ouvrage.
- L’internet et le web : il s’agit d’une source d’accès à l’information très riche
mais il faut bien vérifier la fiabilité de l’information.
4. Evaluer l’information
Il faut :
1. Bien identifier le document
2. L’évaluer
Evaluation d’une source ou d’un auteur :
- Accessibilité de l’identification de l’organisation ou de l’auteur ;
- Fiabilité de l’organisation ou de l’auteur ( l’auteur du document est-il
spécialiste ou est conseillé par un autre ?) ;
Degré de compétence sur le thème traité :
- Adéquation du site avec les objectifs visés ;
Evaluation du contenu :
- Degré de fiabilité de l’information ;
- Niveau d’actualité (pour un site : est-ce que la date de création est présente
sur la page ? La date de la dernière mise à jour et la fréquence des mises à
jour sont-elles indiquées?), de précision, d’exhaustivité, d’exactitude
- Clarté d’indication et accessibilité aux sources ;
- Pertinence, richesse des liens externes (les liens sont-ils valides ?)
- Qualité de la langue, de l’expression écrite, de la traduction
- Utilité et pertinence des illustrations (schémas, graphiques, etc.)
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Les informations trouvées doivent être traitées et reformulées pour être adéquates au
sujet de la recherche. Sur base de ces informations on doit arriver à l’organisation
d’un plan de recherche.
III.1. Introduction
1. Présentation du sujet
a. Justification du choix du sujet : Une fois que le sujet est trouvé et adopté, le
chercheur doit démontrer pourquoi il l’a choisi.
b. Délimitation du sujet : Si quelqu’un choisit le sujet, celui-ci peut être très vaste
et même déborder le domaine du chercheur. Alors il faut le circonscrire pour
le délimiter afin d’être réaliste et de l’exécuter facilement et dans les délais.
La délimitation est soit thématique, géographique ou temporaire.
- La délimitation thématique : celle-ci concerne la restriction du sujet au
niveau des thèmes à traiter. Par exemple s’il s’agit d’une étude portant sur
l’évaluation d’un logiciel utilisé par une entreprise donnée, le chercheur
peut se limiter par exemple au rendement financier.
En général quand on définit une problématique, il y a une série des
questions que l’on se pose. Ces questions vont orienter le chercheur vers
une délimitation thématique.
2. Cadre théorique
Il s’agit de présenter le cadre scientifique générale dans lequel l’étude sera menée.
On va alors parler des différentes théories. De cette manière l’étude reste cadrée à
l’intérieur de ces théories.
- Elucidation des concepts de base : il ne s’agit pas de présenter une liste
des thèmes et d’en donner des définitions ramassées ici et là, mais plutôt
d’indiquer les rapports qu’il y a entre ces définitions et les sujets à traiter.
- Les généralités sur les sujets d’études : On peut choisir des sujets très
originaux qui n’ont pas encore été explorés par beaucoup de gens et par
conséquent qui nécessitent des explications plus fouillées. Pour ce faire, le
chercheur doit présenter un ensemble de données d’ordre général pour
bien cadrer son étude. Ces généralités aideront à bien comprendre
l’orientation du travail et faciliteront également sa compréhension.
3. La problématique
NB : Une problématique peut n’est pas être sous forme de questions mais sous forme de
description d’une situation ou d’une pratique présentant un défis à relever par la mise en place
d’un outil résultant d’une recherche.
a. Hypothèse générale
Il s’agit d’une affirmation globale qui se présente comme une réponse globale à la
série de questions que se pose le chercheur.
Pour être démontrée, l’hypothèse générale doit être scindée en des hypothèses
particulières. Celles-ci sont plus concrètes et visent des aspects concrets de l’étude.
Elles sont faciles à contrôler au niveau de la conduite du travail.
Les hypothèses ne doivent pas être formulées au conditionnel mais plutôt au présent
car au début de l’étude, elles constituent des réponses provisoires que se pose le
chercheur.
Pour un travail de recherche qui traite l’étude des cas, les hypothèses ne sont pas
nécessaires car il s’agit d’une étude qualitative consistant à approfondir un
phénomène sur un petit groupe d’individus qui n’exige pas des calculs ni des
comparaisons statistiques.
5. Les objectifs
a. Objectif global
Comme pour l’hypothèse générale, l’objectif générale est formulé de façon global
ou en donnant une orientation à poursuivre qui reste bien entendu à vérifier au niveau
de sa réalisation. L’objectif générale est formulé sous forme d’affirmation souvent à
l’infinitif avec des verbes d’action et non des verbes mentalistes comme apprécier,
expliquer sans déterminatif.
Pour être réalisé, l’objectif général doit être traduit en objectifs opérationnels ou
spécifiques qui sont plus concrètes et plus mesurables. C’est de cette manière que
l’on peut manipuler et concrétiser l’objectif global en le traduisant en des petites
activités.
La différence réside dans le fait que pour les hypothèses, il s’agit de vérifier ou bien
le chercheur pourra trouver qu’elles ne sont pas vrais ou qu’elles sont tout
simplement nuancées. Quant aux objectifs, il s’agit des phénomènes qui existent
mais qu’il faut mettre en évidence. Si le chercheur ne parvient pas à les atteindre,
cela ne signifie pas qu’il n’existe pas.(ex. Conception d’un réseau informatique)
Souvent on utilise aussi les variables d’un travail de recherche si on veut faire une
comparaison des résultats.
6. Méthodologie de recherche
A l’issu d’une étude ou d’un travail de recherche, il est important de tirer des
conclusions et de faire des recommandations pour l’amélioration de la situation. Les
conclusions constituent des résumés et des synthèses de ce que le chercheur a
présenté. Déjà à la fin de chaque chapitre, le chercheur doit conclure en reprenant ses
idées essentielles en même temps le chercheur va annoncer le chapitre qui suit et
cette manière, il réalise une transition entre deux chapitres.
IV.0. Introduction
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Un document écrit, quel que soit le lecteur auquel il est destiné, est appelé à
convaincre de ce que l’étudiant a bien rempli les objectifs qui lui sont assignés et a
respecté les consignes données. Deux pôles d’attention existent pour fixer cette
conviction: le fond et la forme.
Un des critères d’évaluation pour tous les travaux universitaires est la rigueur
scientifique. Ce critère concerne aussi bien le fond (structure du raisonnement,
qualité des idées et des arguments présentés, diversité et pertinence des sources), que
la forme (respect des règles en matière de citation, référencement des sources,
orthographe, organisation du texte).
Les consignes présentées ci-dessous vous prépareront progressivement aux
exigences et aux codes de présentation des différents travaux écrits qui vous seront
proposés dans le cadre de vos études. Le respect de ces consignes constitue déjà une
preuve de rigueur scientifique.
Page de couverture
La dédicace
Les remerciements ou l’avant-propos
La liste des sigles et abréviations
La liste des tableaux, graphiques, diagrammes et figures
La table des matières
Introduction
Chapitres
Conclusion
Bibliographie
Liste des annexes
Annexes
a) Page de couverture
b) La dédicace
Il s’agit d’un texte adressé aux personnes ou aux institutions auxquelles le chercheur
manifeste un attachement particulier surtout par rapport à leur contribution à la
réalisation du travail. En général, ce sont des personnes chères ou des institutions qui
ont joué un rôle important dans la vie de l’auteur d’un ouvrage ou du travail de
recherche.
Cette rubrique comporte les remerciements que l’auteur adresse aux personnes et
institutions qui ont eu une part dans l’accomplissement de son travail comme le
directeur du mémoire, les parents, les professeurs, les personnes qui ont apporté une
aide matérielle ou financière à l’étudiant, les informateurs, les responsables des
institutions enquêtées, etc.
Pour faciliter la compréhension du texte, il faut expliquer en toutes lettres les sigles
et abréviations utilisées dans le texte. Le chercheur va alors indiquer en toutes lettres
les sigles utilisés surtout ceux qui ne sont pas très courants ou qu’on a soi-même
forgés pour le besoin de la cause.
La table des matières reprend les différentes parties du travail, en précisant les pages.
Elle permet au lecteur de localiser plus rapidement et plus facilement un point
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g) L’introduction
Veillez donc à :
i) La conclusion
Votre travail de recherche doit comporter une conclusion générale. La conclusion est
un aboutissement, un point d’arrivée et pas seulement une fin. Elle témoigne de
l’esprit de synthèse et de l’esprit critique de ses auteurs. L’esprit de synthèse apparaît
dans la présentation claire et habilement formulée des idées, des réflexions
maîtresses développées tout au long du travail. N’oubliez pas qu’un lecteur averti lit,
souvent, d’abord l’introduction et la conclusion. Ces deux parties doivent donc être
logiques et bien articulées. Par ailleurs, une conclusion générale d’un travail de
recherche bien faite comprend trois parties :
k) Les annexes
Figureront en annexes tous les documents utiles pour étayer le travail mais qui
alourdiraient la lecture, s’ils figuraient dans le texte. Dans le texte, vous ferez
référence aux annexes comme ceci: “les différentes tâches (cfr annexe n°2)”.
Il est important, pour faciliter la lecture, de numéroter les annexes, de leur donner un
titre, et d’en faire une liste qui figurera comme page de garde aux annexes. Cette liste
sera mentionnée dans la table des matières avec la pagination.
Il faut toujours donner la source du document mis en annexe.
-La phrase : Attention aux phrases trop longues, qui peuvent entraîner des
problèmes de construction. Préférez les phrases courtes; ne développez pas plus d'une
idée par phrase. Tentez si possible de varier la structure de vos phrases pour
introduire un certain rythme dans votre production.
-Le style et l’orthographe : Vous veillerez à ce que le style soit agréable : clarté de
la pensée, rigueur du raisonnement et justesse des formules. Le vocabulaire utilisé
doit être précis. Désignez les faits et les concepts par leur nom. Evitez les
approximations. La ponctuation est fondamentale pour rythmer un texte et le
structurer. Le sens même peut varier en fonction de la ponctuation utilisée.
L’orthographe doit être soignée.
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REMARQUES
*Majuscules, abréviations et chiffres
N’abusez pas des majuscules et des abréviations. Il existe des règles très précises
pour l’emploi de celles-ci. Contrairement aux habitudes anglo-saxonnes, seule la
première lettre d’un titre prend une majuscule. Dans le texte, les abréviations doivent
être aussi peu nombreuses que possible. Les nombres doivent être exprimés en
chiffres dans les travaux scientifiques. N’écrivez pas, dans la même page, soixante à
un endroit, puis 60 un peu plus loin.
Vous pouvez insérer ces éléments dans le texte, s’ils sont indispensables à la
compréhension de celui-ci et s’ils ne sont pas trop nombreux. Sinon, il est préférable
de les regrouper dans une annexe. Vous devez mentionner votre source sur chaque
document, ou bien indiquer clairement si ces informations ont été élaborées par vous.
*Pagination
Les citations sont toujours mises entre guillemets, car c’est la seule manière de
permettre aux lecteurs de distinguer clairement dans la présentation ce qui est repris
à autrui et votre raisonnement personnel.
Les citations sont nécessaires :
Elle commence par une minuscule si elle est insérée dans une phrase ou si elle
est introduite par « pour », « selon ». Ex. : M. Jousse a écrit que « dans l’écrit,
joue un tout autre mécanisme »3. Selon M. Jousse, « dans l’écrit, joue un tout
autre mécanisme. »4
Il convient d’utiliser des crochets [ ] afin de signifier que le mot mis entre
crochets ne provient pas de l’auteur mais a été ajouté pour mieux comprendre
le texte. Ex. : « Cette théorie [celle des spécialistes de l’organisation et de la
gestion] peut paraître réductrice »5
Si la citation est trop longue et que seule une partie intéresse votre
raisonnement, il convient de remplacer la partie omise par trois points de
suspension entre parenthèses. Ex. : « Il faut, non seulement trouver des termes
adéquats, mais les faire accepter par le milieu social(…). Aussi Jousse a-t-il
été obligé d’aller très lentement. »1
Les citations, mises entre guillemets, seront suivies d’un chiffre en exposant
qui renvoie à une référence en note de bas de page. La numérotation des notes
de bas de page peut être continue tout au long du travail ou recommencée à
chaque page. Ex. : « Les étudiants sont souvent déroutés en constatant que»¹.
Exemple :
BUZAN, T., Une tête bien faite : exploitez vos ressources intellectuelles, Paris, Les
Editions d’Organisation, 1981, p.15.
Exemple :
Un ouvrage en collaboration est un livre écrit par plusieurs auteurs sans distinguer la
part de chacun. Dans ce cas pour faire la citation, on indique le nom du premier auteur
en majuscules suivi de l’initiale de son prénom et on ajoute « et ses
collaborateurs » ou « et al. ». Les autres éléments sont les mêmes que pour le cas
d’un livre écrit par un seul auteur.
Exemple :
d) Citation d’un auteur dans un ouvrage collectif dans lequel chaque auteur a
écrit une partie qui porte son nom
Un ouvrage collectif est un livre écrit par plusieurs auteurs en distinguant clairement
la part de chacun qui doit porter son nom. Pour faire une référence tirée d’un livre
collectif, on procède de la manière suivante :
Exemple :
La citation d’un auteur cité par un autre est celle qu’on trouve dans un livre écrit par
un autre auteur et qui est bien indiquée dans les notes infra-paginales. Cette citation
est choisie par le nouvel auteur pour illustrer ses propos. Cela se fait surtout quand
on ne peut pas avoir soi-même accès à cet ouvrage.
Exemple concret :
BUZAN, T., Une tête bien faite : exploitez vos ressources intellectuelles, Paris, Les
Editions d’Organisation, 1981 cité par ROMAINVILLE M., L’échec dans
l’enseignement de masse, Paris, L’Harmattan, 2000, p.112.
Exemple concret :
g) Citation d’un même auteur plus d’une fois et dans le même ouvrage :
Remarque : Si l’auteur est déjà cité pour un autre livre, on doit alors bien
préciser le titre du livre concerné.
h) Citation d’un même auteur plus d’une fois si les références se trouvent à la
même page dans l’ouvrage de l’auteur qui cite et dans l’ouvrage cité
Pour celui dont aucun auteur n’est indiqué, on va se contenter de citer le nom du
dictionnaire et on fait suivre les éléments relatifs au lieu et maison d’édition suivi de
l’année d’édition.
Souvent les encyclopédies sont en plusieurs volumes. Quand on fait une référence
tirée des encyclopédies, il faut mentionner le numéro du volume et l’année si les
volumes n’ont pas été publiés la même année.
Mémoire inédit signifie que le mémoire n’a pas été publié par une maison d’édition.
Il s’agit de l’exemplaire du mémoire tel qu’on le trouve dans la bibliothèque.
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Le chercheur doit toujours développer le réflexe de lire les bibliographies des livres
de référence car on peut y trouver des chapitres encore très intéressants pour le sujet
du mémoire.
Exemple :
Selon l’ONU, la violence à l’égard de la femme est définie comme suit :
« Tous actes de violence contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer un
préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la
menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit
dans la vie publique ou dans la vie privée »1.
Cette forme de présentation doit être la même à travers tout le travail. Le chercheur
doit éviter d’insérer les citations à l’intérieur du texte de son mémoire.
L’internet est un médium, c’est -à- dire un moyen de communication, qui permet de
trouver de nombreuses informations. Il est essentiel, lorsque l’on utilise une source
provenant d’internet, de respecter les normes de citation et de référencement comme
pour les sources publiées sur papier.
1
ONU, Déclaration des Nations Unies sur l’Elimination de toutes formes de Violence à l’égard de la
femme, 1994, article 1.
L’auteur
L’auteur d’un document électronique n’est pas toujours facile à identifier. Différents
cas peuvent se présenter :
- L’auteur est mentionné clairement en tête ou en fin de texte
- L’auteur n’est pas mentionné ; on donne alors le nom de la personne ou de
l’organisme responsable de son affichage, l’éditeur ou le propriétaire du site, d’après
les renseignements disponibles au début ou à la fin de la page. Si on ne trouve pas
l’auteur, on met la mention ANONYME.
Le titre
Le titre figure en haut de la page consultée. Si le titre n’apparaît pas en haut de la
page consultée, il faut se référer au titre du document qui contient la ressource ou au
titre du site.
L’adresse URL
L’adresse est l’élément le plus important. Elle doit être la plus complète possible.
L’adresse commence par http ://.
La date
La date mentionnée (en jour, mois et année) est la date du jour de consultation du
document. On la met entre parenthèse.
Lorsque vous consultez différentes pages d’un site, vous pouvez référencer le site de
la façon suivante : NOM DE L’AUTEUR (Organisme ou auteur personnel dans le
cas d’une page personnelle), INITIALE DU PRENOM, Titre de la page d’accueil
(souligné), adresse URL, (page consultée : jour, mois, année).
b) Ressources internet
On appelle une ressource internet un document électronique disponible sur un site
Web et contenant de l’information.
NOM DE L’AUTEUR, INITIALE DU PRENOM., Titre de la ressource (souligné),
In Nom du producteur du site, Titre du site (souligné), adresse URL (page consultée
le date jour, mois, année).
Ex: CARON, R., Comment citer un document électronique?, In Université de Laval,
Site de la Bibliothèque de l’Université de LAVAL, adresse URL:
http://www.bibl.ulaval.ca/doelec/citedoce.html (page consultée le 27 mars 2000).
c) Ouvrage en ligne
NOM DE L’ AUTEUR, INITIALE DU PRENOM, Titre de l’ouvrage (souligné),
Lieu d’édition, Maison d’édition (si disponible), date, adresse URL (page consultée
le date jour, mois, année).