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INTRODUCTION GENERALE
0.1. Mise en contexte
La ville de Kinshasa connait des grandes disparités aussi bien sur le plan social que du
niveau de l’urbanisation des milieux de vie. Ces disparités se traduisent par des
grandes différences des niveaux de vie au sein d’une même population. Les habitudes
des consommations des ménages kinois sont souvent vers les habitudes étrangères, ces
grades modifications sont à des problèmes de revenu des ménages et au manque des
politiques alimentaires fiables (Ministère du plan,2004)
Cette situation conduit à des pertes de devises conséquentes et montre en même temps,
l’importance relative dans le développement de ces différentes filières au niveau local
afin de sortir cette impasse. (Tshomba Kalumbu,2020).
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Plusieurs bénéfices ont été associés une alimentation locale. Cela inclut le bien-être
des agriculteurs, qui comprend des dimensions économiques et sociales ; le
développement local, qui implique des dynamiques de valorisation des ressources
territoriales ; le bien-être de la communauté ; et la protection de l’environnement
(Mundler & Laughrea, 2016).
Parmi les freins les plus régulièrement cités, s’agissant de la commercialisation des
produits locaux, sont le coût des produits, la disponibilité, le manque d’information sur
la disponibilité de ces produits, l’absence de campagne de promotion de ces produits
(Derfa, 2008, Pearson et Bailay, 2009).
Pearson et Bailay (2009) soulignent dans son étude par ailleurs certains inconvénients
inhérents aux circuits courts de commercialisation à savoir parmi lesquelles le fait de
ne pas faire jouer, les avantages comparatifs entre les régions, le prix exagérément
élevé pour certains produits, l’impact environnemental quelque fois élevé pour
certaines productions locales inadaptées aux conditions naturelles de la zone.
Sabi S. (2019) a analysé les effets des foires agropastorales (FAP) dans le
développement des Activités Génératrices de Revenus (AGR) et a conclu que des
forains bénéficiaires pour un développement locales des foires agropastorales génèrent
des effets qui impactent les revenus des forains et la création et la formalisation des
groupements/associations et entreprises de forains favorisent les activités la
commercialisation des produits des participants.
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Le temps est venu pour donner de la valeur a la production agricole locale pour gagner
en termes des devises et faire face à l’offre extérieur qui gangrène les tous les
supermarchés installer à Kinshasa ainsi permettre le développement global et lutter
contre l’insécurité alimentaire.
D’ici 20 ans si le secteur agricole ne pas valoriser et le commerce produits locaux reste
faible par rapport aux produits agricoles importés, la RDC se présenterait davantage
comme un grand marché potentiel et un grand espace commercial des produits
agricoles importés dans l’espace d’échange régional avec en perspective près de
doublé sa population d’ici 2040. Pour faire face à cet enjeu, deux contraintes majeures
se présentent à la RDC. La première perspective est celle d’accroitre la productivité
agricole et la seconde, celle relative à l’approvisionnement régulier à la fois face à la
demande locale et à la compétitivité des produits agricoles importés. Pour sortir de
cette impasse, il s’avère important de comprendre les caractéristiques actuelles des
importations alimentaires et d’identifier les facteurs de motivations qui stimulent les
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acteurs à préférer les produits agricoles importés. Ces informations permettraient aux
décideurs politiques d’orienter les mesures au profit du développement du secteur
agricole (Tollens ,2004),
Quels sont les facteurs explicatifs à la sous valorisation des produits agricoles
locaux dans le supermarché à Kinshasa ?
Quels sont les mesures à mettre en place pour une revalorisation des produits
locaux au même titre que les produits importés ?
Les facteurs dus à la faible valorisation des produits agricoles locaux sont dus à
l’absence des filières (des circuits longs) et donc une forte présence des circuits
courts. De ce fait la création des filières mettant en lien les producteurs et les
supermarchés aideraient à revaloriser les produits locaux dans ces derniers
a) Méthode
La méthode analytique : nous sera utile pour examiner les données récoltées
théorique du travail, d’une part et d’une autre part, nous allons voir comment
certaines variables clés dans cette étude ont évolué dans l’économie congolaise
b) Technique
Le choix de ce sujet que nous traitons relève d’une grande importance dans la mesure
où il touche la vie sociale et économique, nous avons été attirés par les enjeux que
suscite de commerce des produits agricoles locaux et importés dans la ville province
de Kinshasa.
L’intérêt de ce sujet est de trois sorte :
Notre modeste contribution conduira dans une moindre mesure à une plus
Par souci d’être plus précis, nous avons délimité notre travail dans le temps et dans
l’espace. Dans cette étude, nous nous intéressons au cas du supermarché dénommé Kin
marché au cours de l’année 2022.
Notre travail a pour objectif général est d’identifier les facteurs explicatifs de la faible
commercialisation des produits agricoles locaux dans la ville de Kinshasa face aux
produits agricoles importés dans les supermarchés installés à Kinshasa.
De manière spécifique, cette étude vise à mettre en évidence les produits locaux et
importés dans les supermarchés.
Pour atteindre cet objectif, nous avons réparti notre travail en trois principaux
chapitres, outre, l’introduction et la conclusion générale.
Le présent travail est subdivisé en trois chapitres. Le premier chapitre aborde la revue
de la littérature. Le deuxième chapitre fera la description du cadre d’étude et des
approches méthodologiques. Enfin, le troisième chapitre portera sur la présentation et
discussion des résultats.
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Ce concept concerne tout ce qui est relatif à l'agriculture, alors nous devons savoir ce
quoi l'agriculture.
1.1.1. Définitions
L'agriculture dans son acception large désigne l'ensemble des travaux transformant le
milieu naturel pour la production des végétaux et des animaux utiles à l'homme. En
plus donc de la culture des végétaux, sont également prises en compte les activités
d'élevage, de pêche et de chasse (Larousse, 2017).
L’agriculture est un processus par lequel les êtres humains aménagent leurs
écosystèmes pour satisfaire les besoins alimentaires en premier et autres, de leurs
sociétés. Elle désigne l’ensemble des savoir-faire et activités ayant pour objet la
culture des terres, et plus généralement, ensemble des activités développées par
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D’après Kuznets cité par Bella H. (2009), l'activité agricole est dotée de nombreuses
spécificités dont il faut tenir compte pour comprendre son fonctionnement :
a. La Terre
La Terre joue un rôle particulier dans l'activité agricole. Les techniques agricoles
exigent d'être développées sur des grandes étendues de Terre, les superficies des
exploitations agricoles se mesurent souvent en hectares.
Comparativement à l'activité industrielle, la Terre est un facteur de production
important pour la pratique de l'activité agricole. Par ailleurs, l'abondance ou non des
Terres peut justifier le système de production pratiqué. Ainsi, dans les zones où le
facteur Terre est limitant, l'activité agricole sera plus intense en capital ou en travail.
Contrairement aux zones dans lesquelles ce facteur est abondant où l'activité sera
extensive.
b. Les conditions naturelles et les saisons
La dépendance de l'agriculture vis-à-vis des conditions naturelles et des saisons est très
marquée. Elle l'est davantage dans les pays en développement où la maîtrise des
techniques sophistiquées n'est pas encore un acquis. Cette dépendance entraîne
certaines conséquences : la saisonnalité de l'emploi des facteurs et le risque. La
saisonnalité des facteurs, même si elle n'est pas spécifique à l'agriculture impose à la
fonction de production agricole des caractéristiques particulières. On parle par
exemple de tomates pluviales, de tomates irriguées. Quant au risque, aucune activité
économique n'y échappe. En agriculture, au risque classique qui provient de
l'incertitude quant au prix auquel une marchandise sera vendue, s'ajoute une
incertitude sur la quantité de produits obtenus avec des moyens de production et une
technique de production donnée. Un orage peut par exemple ravager l'ensemble des
résultats, une pluviométrie peu abondante peut entraver le développement normal des
plantes, une épidémie peut détruire la production d'un élevage.
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c. La rigidité de la demande
Concernant la demande des produits alimentaires, elle est peu sensible aux prix (loi de
KING) et au revenu (loi d'ENGEL). Mais, il faut tout de même faire la distinction
entre produit alimentaire et produit agricole. Tout produit alimentaire n'est pas agricole
et tous les produits agricoles ne sont pas alimentaires. Cependant, il apparaît que la
rigidité de la demande alimentaire se transmet pour l'essentiel à la demande des
produits agricoles. Cette situation a pour effet une difficile intégration de l'agriculture
dans une économie en croissance (Baibolaka N., 2011).
La notion de croissance économique est ainsi devenue une préoccupation pour Toutes
les économies car au-delà de la satisfaction des besoins de la population, l'objectif de
toute économie est aussi de connaître la phase de croissance et de développement
économique.
L'agriculture, en tant que secteur d'activité de l'économie peut contribuer au PIB de
celle-ci. Dans la théorie économique, la contribution de l'agriculture au PIB se fait
selon plusieurs points de vue. Le caractère "primaire" des activités agricoles en fait
souvent un secteur en amont des autres. Il est donc un secteur d'activité au service des
autres secteurs dans le processus du développement. Mais au-delà de ce rôle de secteur
en amont du développement, d'autres auteurs estiment que le développement du
secteur agricole pour lui-même offre aussi des gages d'un véritable développement.
Les sections suivantes ont pour objet d'exposer ces différentes approches.
Dès 1946, l'agriculture devient dans de nombreux pays une industrie, qui non
seulement assure les besoins de l'exploitant, mais fournit un surplus destiné à couvrir
les besoins de la population non agricole ainsi que l'exportation. On parle d'agri
business. Subventionnée par la PAC, l'agriculture européenne est même victime de
crises de surproduction, tandis que la filière agroalimentaire détermine en partie
l'avenir du secteur. L'agriculture d'aujourd'hui repose sur des concepts fondamentaux,
basés sur la fiabilité et la rapidité d'action. Les problèmes combinés tel que la chute
inattendue du rendement ou l'augmentation brusque de la température ne se résolvent
qu'avec une bonne maîtrise rationnelle de tous les éléments constitutifs du système de
production. Développement agricole et son impact sur la disponibilité et le
provisionnement des produits agricoles (Mazoyer M et Roudart L., 2002).
1.1.4. Rôles de l’agriculture
L'agriculture, principale activité du monde rural, doit continuer à jouer son rôle
historique qui se résume comme suit :
Fournir de matières premières à l'industrie généralement localisée dans les
centres urbains, dans une première phase du développement ;
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En s'inscrivant dans cette logique, l'économiste Kuznets (1964) distingue quatre voies
par lesquelles l'agriculture concourt au développement économique (Shindano L.,
2010) :
a. Les produits
L'agriculture fournit aux autres secteurs le surplus de main-d’œuvre dont elle dispose.
Ces analyses de Kuznets se retrouvent dans différents travaux des économistes du
développement. L'accent était mis sur le développement industriel, car lui seul était à
même de fournir des conditions d'un véritable développement économique. Cette
fascination pour la modernisation leur a fait avoir une « doctrine de primauté de
l'industrialisation sur le développement agricole, qui a sapé du même coup les
possibilités de contribution de l'agriculture au développement global ».
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a. Produits locaux
Selon Merle et Piotrowski (2011), les produits locaux se définissent par la proximité
en termes de distance géographique entre le producteur et le consommateur. Le produit
local est donc nécessairement consommé dans un rayon proche de son lieu de
production. Le concept de ‘proche’ ne sera précisé en termes de kilométrage par aucun
auteur. Il conviendra donc à chacun de définir une distance psychologiquement
acceptable pour considérer que le produit consommé est local.
b. Produits authentiques
Dans le cas de produits transformés, ils doivent l’être de manière artisanale et non
industrielle (Alice de Viron, 2017).
c. Produits localisés
Avant de poursuivre, et pour éviter une confusion, une importante distinction est à
faire entre produits locaux, ceux qui nous concernent pour la suite de ce travail, et les
produits localisés. Les produits localisés sont ceux protégés par une appellation ou
indication géographique. Ces derniers sont attachés à une origine territoriale, sans
limite en termes de distance de vente. Bien sûr, un produit localisé peut également être
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un produit local et inversement dans le cas où il est vendu dans un certain rayon à
proximité de l’activité de production. (Merle & Piotrowski, 2012).
1.2. Filière
Selon Nganda A. (2021), un produit consommé est le résultat d’actions d’une chaîne
de personnes, qui produisent, transforment, transportent ou vendent. Ces étapes
constituent la filière du produit.
On distingue plusieurs types de filière : la filière longue et la filière courte ; la filière
courte mobilisant au plus un intermédiaire entre le producteur et le consommateur. La
vente directe est une filière courte : le produit est vendu par le producteur au
consommateur, sans la présence d’intermédiaires (transformateurs, grossistes,
distributeurs...).
Ci-dessous sont présentés les grands ensembles qui composent une filière de produit
agricole. Tous ne sont pas présent dans chaque filière. D’autre part, si l’on prend une
filière industrielle (par exemple la fabrication d’une voiture ou d’un médicament),
d’autres ensembles existent comme la conception, la recherche, etc.
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C’est une activité ou une opération qui a pour objet la vente d’une marchandise, d’une
valeur ou l’achat de celle-ci mise sur les marchés après l’avoir transformé ou non. La
commercialisation est donc l’achat du produit du maïs mis sur les marchés destinés à
la vente après l’avoir transformé ou non. Généralement en Afrique, la signification du
terme commercialisation varie en fonction des différentes catégories sociales. Pour le
fermier ce terme se rapporte à la vente de ses produits agricoles. Pour la ménagère c'est
l'achat des vivres au marché (Biaou F., 1987).
Pour Biaou F. (1987), ces différentes fonctions sont de trois natures à savoir :
Les fonctions d'échanges (collecte et distribution) ;
Les fonctions physiques (transformation, stockage et transport) et
Les services rendant possible l'accomplissement des deux premières catégories
de fonctions (financement, prise de risque, emballage...).
1.3.1. Acteurs de commercialisation
Une filière agricole est une chaîne d'opérations concernant un produit, depuis la
production jusqu'à la commercialisation, en passant par les différentes étapes de
conditionnement et de transformation. La filière est un système d'agents qui
concourent à produire, transformer, distribuer et consommer un produit ou un type de
produits (Duteurtre, 2000).
L'approche filière est développée par Barris et Couty et repris par Ahohounkpanzon
(1992) et Singbo (2000), et elle postule que cette approche est liée au système de
production. Ainsi une analyse du fonctionnement du marché devrait intégrer les
domaines de la production et de la commercialisation afin de mieux interpréter les
résultats.
Selon Thyamiou (1985), le circuit commercial d'un produit donné est la succession des
intermédiaires et marchés par lesquels passe ce produit du producteur au
consommateur. D'après Barris et Couty (1981), le circuit est une succession
d'intermédiaires et des lieux par lesquels transitent pendant une période définie, des
flux : de produits (allant du producteur au consommateur), de monnaie (allant du
consommateur au producteur), et d'informations. L'approche circuit permet entre
autres, d'examiner le niveau de concurrence effective d'une part, et le rôle joué par les
différents intermédiaires dans la formation des prix d'autre part. L'une des limites de
cette approche est qu'elle ne prend pas en compte les effets rétroactifs de la
commercialisation. Cette approche est intéressante pour notre étude en ce sens qu'elle
nous permet d'identifier les différents circuits des noix de cajou et dans le même temps
d'identifier les acteurs.
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Cette approche utilisée par Adégbidi (1996), prend en compte tous les facteurs
générateurs de revenus de l'unité de production qui peuvent affecter la quantité du
produit commercialisé. Cette approche peut être utilisée dans le cadre de la présente
étude. Mais la limite de celle-ci dans le cadre de la commercialisation des produits
agricoles est qu'elle est orientée vers la commercialisation du produit final.
complété par une analyse sous-secteur (subsector analysis) qui prend en compte sa
critique.
Lemeur (1994), par ses critiques sur ce paradigme, souligne que ce modèle devra
également intégrer les relations sociales entre tous les intervenants dans la chaîne de
commercialisation pour mieux refléter la réalité. Malgré l'ensemble des diverses
critiques faites sur ce modèle, nous estimons qu'il pourrait être un outil important pour
notre étude. Il a été utilisé par plusieurs auteurs sur la commercialisation des produits
agricoles au Bénin et ailleurs. D'après (Issaka et al., 2014), la définition de chaque
composante de même que les éléments qu'elles comportent sont :
produits 8 locaux et des produits non locaux menée au Royaume Uni, Edwards-Jones
et al. (2008) montrent que les consommateurs associent différents attributs aux
produits locaux. D’après les résultats de cette étude, 22% des participants, considèrent
un produit comme local s’il est produit dans un rayon 30 miles (48 km) de leur lieu
d’habitation ; alors que pour la majorité des répondants, un produit est dit local s’il est
produit et consommé dans une même zone. Cette ambigüité qui rend difficile une
définition claire d’un produit local est aussi soulignée par des auteurs comme Derfa
(2008) ainsi que Person et Bailey (2009).
2.2. Les motivations d’achat des produits locaux
Les freins les plus régulièrement cités sont le coût des produits, la disponibilité, le
manque d’information sur la disponibilité de ces produits, l’absence de campagne de
promotion de ces produits (Derfa, 2008, Pearson et Bailay, 2009). Pearson et Bailay
(2009) soulignent par ailleurs certains inconvénients inhérents aux circuits courts de
commercialisation à savoir :
Le fait de ne pas faire jouer les avantages comparatifs entre les régions ;
Les Persévérants (« Persisters ») (25%) : ceux qui font l’effort d’acheter sur la
Par ailleurs selon une étude américaine (Lydia Zepeda and Jinghan Li, 2006), les
caractéristiques démographiques ne sont pas des facteurs dominants qui influencent les
gens à acheter local. Les attitudes et comportements liés à l’environnement et la santé
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n’affectent non plus significativement l’achat des produits locaux. Ce sont plutôt les
attitudes et comportements liés à la nourriture et à l’achat qui augmentent
significativement l’achat des produits locaux. L’étude Derfa (2008) pour sa pat, met en
évidence l’influence des caractéristiques socio- économiques dans l’achat des produits
locaux. Cette étude montre que les personnes âgées, les femmes et ainsi que les
personnes mariées ont plus des intentions d’achat des produits locaux. Selon toujours
cette étude, la situation d’usage du produit influence aussi l’achat. Ainsi, l’étude
souligne que les CSP aisées achètent plus les produits locaux quand ils consomment
hors foyers.
Conclusion partielle
Dans ce chapitre premier, nous avons examinés les notions théoriques en rapport avec
le thème du travail en mettant l’accent sur les concepts clés du sujet enfin de se faire
une image généralisée sur le sujet examiné dans le cadre de ce travail. Le chapitre a
concerné deux sections. La première étant l’analyse théorique, il a s’agit d’expliquer
en des termes clairs des notions de base en rapport avec notre thème et un aperçu
théorique a également était présenté. La seconde concerne la discussion empirique.
Celle-ci a eu trait à la présentation des différentes études empiriques ayant portés sur
des sujets proches au nôtre.
Kin Marché débute en 2004, en ouvrant son premier magasin proche du Grand Marché
avec une petite boutique gérée par trois amis.
À partir de 2015, la marque Kin Marché ouvre son deuxième magasin et régulièrement
d'autres points de vente à travers la République Démocratique du Congo pour atteindre
à ce jour une vingtaine de magasins.
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1.3. Mission
La mission de l’entreprise est de fournir une expérience unique d’achat aux
consommateurs et une qualité inégalée des produits et des services auprès des
communautés congolaises où l’entreprise opère.
1.4. Valeur
Les valeurs du supermarché sont les suivantes : ambitieux, travailleur, ingénieux,
unité, confiance et courage.
1.5. Engagement
L’engagement de Kin marché est d’être au service de des communautés pour que
celles-ci vivent une vie meilleure.
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Dans notre recherche nous avons jugé bon d'utiliser l'entretien semi-directif pour
pouvoir obtenir des données désirées et crédibles. En effet, nous avons choisi
l'entretien semi-directif pour faciliter l'interview avec les personnes qui avaient un
temps limité.