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Théâtre grec antique

Le théâtre grec antique est à l'origine du théâtre en Occident. Il prend naissance à


l'époque archaïque au vie siècle av. J.-C. pour atteindre son apogée à Athènes au
e
v siècle av. J.-C.

Origine
Le théâtre naît en Grèce à l'époque archaïque. Le théâtre émerge, selon Aristote, du
dithyrambe lors des fêtes en l'honneur de Dionysos, dieu du vin, des arts et de la fête. Il tire
son nom du latin theatrum qui le tire lui-même du nom grec θέατρον / théatron, issu du
verbe θεάομαι / theáomai, « regarder ». Le théâtre est donc à la fois le lieu d'où l'on
regarde (les gradins) et ce qui est regardé (la scène où se déroule le spectacle). Lors des
premières manifestations de cet art, l'acteur mime et grimace de façon exagérée pendant
qu'un public participe bruyamment au spectacle. Décors, mise en scène, texte
n'apparaissent que plus tard.

Au cours du vie siècle av. J.-C. et du ve siècle av. J.-C., le théâtre est né et s'est développé à
Autel sculpté découvert au chevet de
partir des dithyrambes, des processions, des danses, des chants et des paroles chantées à la la cathédrale Saint-Étienne
gloire des héros grecs. Ces spectacles ont lieu autour des temples consacrés au culte de ces (Toulouse)
figures illustres ou sur l'agora dans la région de Corinthe. Lentement, un lieu spécifique
s'intègre au temple pour les représentations
proprement théâtrales. La tradition rapporte
que Thespis, auteur du vie siècle av. J.-C. qui
se produit près d'Icaria, révolutionne le
dithyrambe : il y introduit le premier acteur,
le protagoniste. Pendant que le chœur chante
les dithyrambes, l'acteur soliste, Thespis en
l'occurrence, intercale des vers parlés. Le
protagoniste joue alors tous les rôles. C'est la
forme primitive du théâtre qui connaît dès
Relief votif célébrant une victoire dans un
lors un développement très rapide.
concours dionysiaque, peut-être suivant une
Phrynichos, poète tragique du
e représentation des Bacchantes : à gauche
vi siècle av. J.-C., dont l'œuvre se résume
trois acteurs tiennent des masques ; à
aujourd'hui à quelques fragments, exerce
droite Paidéia assise devant Dionysos
Figure décorative d'un masque de ensuite une influence notable sur le
allongé sur une couche. Vers 401 av. J.-C.,
théâtre représentant Dionysos, terre développement du texte et sur les premiers
Musée national archéologique d'Athènes
cuite de Myrina, Musée du Louvre. grands dramaturges. Le récit dramatique, au
lieu de raconter et de résumer les faits,
permet bientôt de représenter en temps réel le déroulement des actions des héros. En -538,
Pisistrate organise le premier concours athénien de tragédie. Eschyle introduit le deutéragoniste (deuxième acteur) et Sophocle le
tritagoniste (troisième acteur). Les Perses d'Eschyle, écrite en -472, est la plus ancienne tragédie entièrement conservée.

Au temps du développement de la philosophie, de la sophistique et de la démocratie, le théâtre devint sujet à des interrogations
politiques ou éthiques, mais, puisqu'on célèbre toujours Dionysos au temple, son culte demeure étroitement lié au théâtre. Non
seulement les représentations théâtrales content-elles des mythes et des fables, mais elles se déroulent pendant les Dionysies et les
Lénéennes. En outre, le théâtre est organisé de manière à instaurer un support pour la communication avec les dieux, et avec
Euripide, pour remettre en question la valeur de leurs attitudes et de leurs actions sur les hommes et leur condition.
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Jane Ellen Harrison signale que Dionysos dieu du vin (boisson des couches aisées) s'est substitué tardivement à Dionysos dieu de
la bière (boisson des couches populaires) ou Sabazios, dont l'animal emblématique chez les Crétois était le cheval ou le centaure. Il
se trouve que la bière athénienne était une bière d'épeautre, trágos en grec. Ainsi, les « odes à l'épeautre » (tragédies) ont-elles pu
être considérées tardivement, par homonymie, comme des « odes aux boucs » (l'animal qui accompagnait le dieu et associé au vin
rouge chez les Crétois ou les Athéniens).

Le théâtre athénien au ve siècle av.J-C


Les trois principaux festivals de théâtre sont les Dionysies champêtres, de décembre à janvier, les Lénéennes, de janvier à février et
les grandes Dionysies, de mars à avril. Ces festivals donnent lieu à un concours de tétralogies : trois tragédies et un drame
satyrique. L'ouverture des festivités est faite de processions et de cérémonies en l'honneur de Dionysos. On sacrifiait notamment un
bouc en l'honneur du dieu (bouc en grec, se dit tragos, à l'origine du mot tragédie).

Les grandes Dionysies ont lieu à Athènes et durent de cinq à dix jours durant le mois de Élaphébolion (la restitution courante
donne sept jours) ; les quatre derniers jours donnent lieu à des agons tragiques et comiques, du lever au coucher du soleil à raison
d'un auteur par jour. Ceux qui assistent à celles-ci entièrement peuvent entendre près de vingt mille vers sans compter les
dithyrambes (chants religieux). La première journée (le 11 du mois) est consacrée aux concours de dithyrambes. La deuxième (le
20) est celle des comédies : trois poètes et plus tard cinq en présentent chacun une. Les trois jours suivants (22, 13 et 15) sont
réservés à la tragédie, et chacun d'eux est consacré tout entier à l'œuvre de l'un des trois poètes choisis par l'archonte. Chaque
œuvre tragique consiste en une tétralogie, à savoir une trilogie (composée de trois tragédies sur le même sujet), suivie d'un drame
satyrique.

L'archonte éponyme, l'un des magistrats qui dirigent la cité et qui donne son prénom à l'année, nomme les différentes composantes
de la représentation. Il nomme les chorèges, les poètes et les protagonistes. Le chorège est un riche citoyen qui recrute et équipe les
chœurs. Les chœurs tragiques sont composés de douze puis quinze choreutes et les chœurs comiques de vingt-quatre. Les chorèges
fournissent quelquefois de la nourriture et du vin aux spectateurs.

Le protagoniste est l'un des trois acteurs, il recrute le deuxième, le deutéragoniste, et le troisième, le tritagoniste. Toutes ces
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personnes sont des hommes, les rôles des femmes étant aussi joués par des hommes ; celui qui joue mal peut se faire fouetter par
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un mastigophore, agent public - muni d'un fouet , sur ordre de l'agonothète. Les poètes, les chœurs et les acteurs sont payés pour
leur prestation. La présence des femmes dans le public est encore débattue par les spécialistes : certains d’entre eux, comme Haigh,
Podlecki, Henderson, Mastromarco, Gerö et Johnsson, soutiennent que les femmes étaient présentes parmi le public des concours
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dramatiques ; d’autres préfèrent supposer leur exclusion : Rogers, Willems, Box, Wilson et Thiercy .

Dix juges tirés au sort parmi les citoyens décident des personnes gagnantes. Le public essaie d'ailleurs souvent de les influencer.
Ces juges attribuent six récompenses symboliques, mais prestigieuses : deux aux meilleurs protagonistes comique et tragique, deux
aux meilleurs chorèges comique et tragique et deux aux meilleurs poètes comique et tragique. Les poètes reçoivent des couronnes
de lierre. Les chorèges reçoivent des trépieds qu'ils posent souvent sur des colonnes dans des lieux particulièrement fréquentés. Le
public juge aussi l'archonte organisateur en le blâmant ou en faisant son éloge.

L'édifice
Le terrain avant la construction de l'édifice était
choisi en fonction de la qualité acoustique que
prodiguait le lieu. Le koilon désigne les gradins,
adossés au relief naturel. Le premier rang est
réservé aux spectateurs de marque ; les places sont
en effet attribuées en fonction des catégories
sociales. L’orchestra est un cercle de terre battue
où se placent le chœur, les danseurs, chanteurs et
musiciens. Il comporte aussi un autel de sacrifice,
Théâtre de Taormine le thymélée (Autel de Dionysos, dieu du vin, dans
par Giuseppe Bruno, fin xixe le théatre grec). Le proskenion est le lieu où jouent
les acteurs, c'est une estrade étroite et longue en
bois. La skéné est un édifice qui sert de coulisses
aux acteurs ; il était en bois, puis en pierre à partir du ive siècle av. J.-C. La scène est percée
de trois portes : par la porte centrale entrait le personnage principal ; par la porte de droite
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entrait des personnages qui viennent de l'agora, et par la porte de gauche, de la campagne .
Théâtre d'Épidaure
Le théâtre est organisé de manière à instaurer un support pour la communication avec les
dieux. Tout d'abord, les couronnes de lierre offertes en récompense sont le symbole de
Dionysos. De plus, le grand prêtre de Dionysos est présent au premier rang, dans l'axe de symétrie du koilon. Les acteurs et celui-ci
revêtent le même costume que la statue de Dionysos présente dans l’orchestra [réf. nécessaire]. Le temple, situé juste derrière la skéné
et la statue du dieu de l’orchestra affirment sa présence [réf. nécessaire].

Les costumes prouvent cet aspect. Les acteurs portent des costumes et de grands masques qui peuvent les faire dépasser deux
mètres vingt. Ces masques modifient d'ailleurs les voix en les rendant profondes et presque inhumaines. À cela s'ajoutent la
longueur du spectacle déjà évoquée, le vin, et la nourriture autorisés. Le public rit, hurle, siffle et applaudit durant les comédies et
crie d'horreur pendant les tragédies. D'ailleurs, il existait une police spéciale, les rhabdouques. Aux transes initiales succède le
théâtre, dont la traduction étymologique est souvent « lieu pour voir », mais qui est plutôt un lieu pour avoir des
visions [réf. nécessaire].

Accessoires

Costumes

La Grèce antique connaît déjà la notion de costume de théâtre : les acteurs revêtent des habits, des
souliers qui ne sont pas ceux de la vie quotidienne. Ceux-ci varient suivant l'époque et le genre
(tragédie, comédie, drame satyrique), mais leur rôle reste identique : il s'agit de faciliter
l'identification des personnages. En effet, un même acteur peut jouer plusieurs rôles au sein d'une
même pièce, parfois très différents. Les textes des pièces ne comprennent aucune indication de
costume, mais il est possible de relever des allusions pertinentes dans le texte lui-même. Il existe
également des représentations figurées, très nombreuses pour la comédie : peintures sur vases ou
encore figurine.
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La tradition attribue à Eschyle l'introduction des costumes dans la tragédie . Ceux-ci peuvent être
très variés. Ainsi, dans les Choéphores, Électre porte un vêtement de deuil. Le même personnage
porte des haillons dans l’Électre d'Euripide. Dans Andromaque, Hermione déclare elle-même être
couronnée d'or et porte un péplos spartiate bariolé. Dans la comédie les Acharniens, Aristophane
montre Dicéopolis fouillant dans le magasin d'accessoires d'Euripide : on y trouve les haillons
Papposilène de drame
d'Œnée, la « crasseuse défroque » de Bellérophon, les guenilles de Télèphe ou encore les loques
satyrique, terre cuite
d'Ino. Les acteurs vont pieds nus ou chaussés de κόθορνοι / kothornoi, sorte de bottines,
béotienne, Musée du Louvre
parfois lacées, parfois dotées de bouts pointus. Le costume comique masculin consiste souvent en
un chiton,sorte de tunique, et un manteau court, laissant apercevoir un énorme pénis postiche,
pendant et doté d'un gland vermillon. Il arrive que l'acteur utilise également des rembourrages au niveau des fesses et du ventre.

Les choreutes tragiques portent des vêtements qui identifient leur métier ou leur condition sociale. Dans les Suppliantes, le chœur
représente les Danaïdes, qui portent de somptueuses robes barbares. Dans Ajax, il s'agit de marins de Salamine. Dans les drames
satyriques, le chœur est toujours composé de satyres : ils sont nus, dotés d'un énorme pénis postiche en érection. Dans la comédie,
le costume de base est agrémenté d'accessoires : de petites ailes, par exemple, pour le chœur des Guêpes.

Masques
6 7, 8
Toute la troupe porte un masque dont Aristote avoue ignorer l'origine . Selon la Souda,
ils dérivent de l'innovation de Phrynichos, se passant le visage au blanc, puis à la teinture
de pourpier. Les masques anciens ne couvrent que le visage. Par la suite, ils s'agrandissent
vers le sommet du crâne, de sorte à pouvoir y fixer des perruques ou au contraire, à figurer
un crâne chauve. Le masque est percé aux yeux et à la bouche, pour permettre au
comédien de se déplacer et de s'exprimer librement. Malgré les indications des Anciens à
9
ce sujet , des expériences modernes ont montré que la bouche du masque n'a pas pu servir
de porte-voix [réf. nécessaire].

Le masque tragique est plutôt réaliste. Le masque du drame satyrique porte une barbe, des
oreilles pointues et un crâne chauve. Il y a deux trous pour les yeux et un pour la bouche.
Le masque comique peut être très varié. Parfois, il caricature un personnage contemporain,
bien connu des spectateurs. Dans Les Cavaliers, Aristophane plaisante sur le masque de
l'acteur représentant Cléon : selon lui, l'homme est si beau que tous les fabricants de Figure décorative d'un masque de
masques ont voulu le représenter mais la femme si laide que personne ne voulut la paysan, terre cuite de Tanagra,
représenter. Très vite, des types de masques sont apparus suivant le personnage. Au Musée du Louvre
e
ii siècle, l’Onomastikon de Julius Pollux dresse une liste de 76 masques : 44 modèles
comiques, 28 modèles tragiques et 4 modèles de drame satyrique. Les masques avaient
différentes couleurs qui permettaient aux spectateurs de reconnaître les personnages (rouge pour les satyres, blanc pour les femmes,
etc.).

Les masques sont utiles pour les changements de rôle et l'identification rapide des personnages sur scène [réf. souhaitée].

En raison de la fragilité de leur matériau (bois, cuir, cire, etc.), les masques originaux ont presque tous disparu. En revanche, nous
conservons une bonne idée de leur apparence grâce à leur reproduction en terre cuite, surtout à Lipari. De plus faibles dimensions,
ces reproductions pouvaient être dédiées comme ex-voto dans des temples, déposées dans des tombes ou plus simplement utilisées
comme objets de décoration.

Notes et références
1. (en) J. E. Harrison, Prolegomena to the Study of Greek Religion, VIII.
2. Lucien de Samosate 2015, p. 376.
3. Angela Maria Andrisano, « Le public féminin du théâtre grec. A propos de la Lysistrata d’Aristophane », Methodos.
Savoirs et textes, no 7,‎10 avril 2007 (ISSN 1769-7379 (https://portal.issn.org/resource/issn/1769-7379),
DOI 10.4000/methodos.587 (https://dx.doi.org/10.4000/methodos.587), lire en ligne (https://journals.openedition.or
g/methodos/587), consulté le 9 octobre 2023)
4. Petitmangin 1934, p. 62
5. Horace, Art poétique, v.278 ; Athénée, Deipnosophistes [détail des éditions] (lire en ligne (http://remacle.org/blood
wolf/erudits/athenee/index.htm)), I, 21d-e ; Philostrate, Vie d'Eschyle, 13.
6. en grec : προσωπεῖον / prosōpeīon (ou πρόσωπον / prósōpon, mot désignant aussi le visage).
7. Pellegrin 2014, p. 2766 (1449b).
8. Bellevenue & Auffret, p. 15-16.
9. Aulu-Gelle, Nuits attiques [détail des éditions] (lire en ligne (http://remacle.org/bloodwolf/erudits/aulugelle/index.ht
m)), Livre V, 7, 2, où l'auteur, citant le traité de Gabius Bassus sur l'Origine des mots, signale l'astucieuse
hypothèse étymologique qui voudrait faire dériver le mot latin persona, désignant le masque de théâtre, du verbe
personare qui signifie « retentir », parce qu'il fait porter la voix des acteurs.

Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
le théâtre grec antique (https://commons.
wikimedia.org/wiki/Ancient_Greek_theatr
e?uselang=fr), sur Wikimedia Commons

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Articles connexes sujet : Théâtre de la Grèce antique.
Genres : tragédie grecque, comédie grecque antique, drame
satyrique, musique de la Grèce antique
Genres annexes : dithyrambe, pantomime
Grands auteurs : Aristophane, Eschyle, Euripide, Sophocle, Ménandre
Architecture : Architecture du théâtre grec antique, Liste de théâtres grecs antiques
Liste de films sur le théâtre grec antique (en)

Bibliographie
Émile Chambry, Émeline Marquis, Alain Billault et Dominique Goust (trad. du grec ancien par Émile Chambry),
Lucien de Samosate : Œuvres complètes, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2015, 1248 p.
(ISBN 978-2-221-10902-1).
Histoire sommaire illustrée de la littérature grecque, Paris, J. de Gigord, 1934, 176 p.
Paul Demont et Anne Lebeau, Introduction au théâtre grec antique, Paris, Le Livre de Poche,
coll. « Références », 1996 (ISBN 2-253-90525-9).
Pierre Grimal, Le Théâtre antique, Presses universitaires de France, coll. « Que Sais-je ? » (no 1732), 1991
(ISBN 978-2-13-038630-8).
Aristote (trad. Odette Bellevenue et Séverine Auffret), Poétique, Mille et une nuits, 2006, 95 p.
(ISBN 978-2-842-051174).
Pierre Pellegrin (dir.) (trad. du grec ancien par Pierre Destrée), Aristote : Œuvres complètes, Paris, Éditions
Flammarion, 2014, 2923 p. (ISBN 978-2-08-127316-0), « Poétique ».
Jean-Charles Moretti, Théâtre et société dans la Grèce antique, Paris, Le Livre de Poche, coll. « Références »,
2001 (ISBN 2-253-9058-52).
Cahiers du Gita, Université Paul Valéry, Montpellier (ISSN 0295-9909 (https://portal.issn.org/resource/issn/0295-9909)) [lire
en ligne (http://recherche.univ-montp3.fr/cercam/article.php3?id_article=292)].
Pierre Sauzeau (dir., avec la collaboration de Jean-Claude Turpin), La Tradition créatrice du théâtre antique, t. I
et II, Université Paul Valéry, Montpellier, 1999 (ISBN 2-84269-299-3 et 2-84269-328-0).
Philippe Fraisse et Jean-Charles Moretti, Le théâtre, Exploration archéologique de Délos, 2 vol., École
française d'Athènes, 2007, (ISBN 2-86958-235-8).
Corinne Coulet, Le théâtre grec, Nathan, 1996, (ISBN 2-091-90992-0)

Liens externes

Notices d'autorité : BnF (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb120199756)


(données (https://data.bnf.fr/ark:/12148/cb120199756)) · LCCN (http://id.loc.gov/authorities/sh85057137) ·
Israël (http://olduli.nli.org.il/F/?func=find-b&local_base=NLX10&find_code=UID&request=987007540818705171)
Académie d'Orléans (http://www.ac-orleans-tours.fr/hist-geo-grece/themes/theatregrec.htm)
Académie de Toulouse (http://www2.ac-toulouse.fr/lyc-bellevue-toulouse/calendriers/grec/theatre.htm)
GITA (http://recherche.univ-montp3.fr/cercam/rubrique.php3?id_rubrique=69) (Groupe interdisciplinaire du
Théâtre Antique, Université Paul Valéry - Montpellier III)
Le site des Dionysies (http://www.dionysies.org) (Festival de théâtre en grec ancien)

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