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EPIGRAPHE
HARVEY SPECTER
ii
DEDICACE
A mes très chers parents LWANWA KWIBUKA Deogratias et BALEGAMIRE BALAME
Tatienne et à mes très chères sœur LWANWA LOLI Mireille, LWANWA ZANIZOKANFU
Naomi, LWANWA NONDA Raïssa, LWANWA NEMBA Sarah et LWANWA BALAME
Esther
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REMERCIEMENTS
A celui qui est assis sur le trône et à l’agneau soit la louange, l’honneur, la gloire et la force à
jamais. Comme ce passage biblique le retrace, nos remerciements s’adresse premièrement au
Dieu vivant qui par lui nous avons le mouvement, l’être et la respiration qui est à la base de
tout pour l’accomplissement de ce travail.
Je tiens à remercier le Professeur Docteur TWIZERE BAKUNDA J. Daudet qui malgré ses
multiples occupations et charges, a fourni des efforts nécessaires et des sacrifices énormes
pour la direction de ce travail.
Je remercie également les gestionnaires, les corps des enseignants, les corps administratifs
ainsi que tous les étudiants de notre très cher ISTA GOMA pour nous avoirs encadré tout ce
temps passé à notre chère institution.
Merci pour la formation scientifique et humaine de qualité dont nous avons jouie.
Ma famille a été un milieu qui m’a permis de mener à bien ce travail. Mention spéciale à mon
père LWANWA KWIBUKA Deogratias , à ma mère BALEGAMIRE BALAME Tatienne,
qui ont été les premiers à m’offrir le meilleur d’eux-mêmes dès mon existence jusqu’à la
réalisation de ce travail avec une grande affection. Ils n’en seront jamais assez remerciés. Que
mes frères et sœurs, reçoivent mes sincères marques de gratitude pour m’avoir aidé dans les
moments de joie et de souffrance.
Enfin, tous les amis et camarades étudiants avec qui nous avons partagé peines et joies qui se
sont donnés corps et âmes aux mises aux points de ce travail, qu'ils trouvent ici une source de
légitime satisfaction.
0. INTRODUCTION
Au terme de cycle universitaire, l’étudiant est appelé à présenter un travail qui a prouvé
l’assimilation personnelle des matières apprises et qui constitue une épreuve de maturité
scientifique.
Depuis l’aube de l’humanité jusqu’à l’invention des tuyaux, des joints étanches et des
robinets, les hommes voient couler l’eau sans pouvoir l’arrêter vraiment. On savait construire
des barrages dans l’Antiquité et les Romains avaient déjà des robinets, mais il n’y avait guère
de fontaines qu’on aurait interrompues à la demande, pour économiser l’eau, à moins de
disposer d’une possibilité de stockage non saturée. Les historiens de l’hydrologie nous disent
que les Romains qui savaient si bien acheminer l’eau en franchissant des vallées, ne savaient
pas mesurer un débit… Et c’est seulement au XIX siècle que les choses changent, voire sont
bouleversées : l’invention des tuyaux étanches, des robinets qui ferment, puis du compteur
d’eau dans les sociétés industrielles capitalistes détache progressivement l’eau comme bien de
consommation domestique ou industriel de l’eau comme ressource, car elle en transforme le
caractère de bien public ou commun en celui de bien de club. Cette transformation est
quasiment achevée en Europe et dans d’autres pays développés, mais pas tout à fait : il reste
des endroits où la population recourt encore à des puits privés, des citernes d’eau de pluie ; ou
bien elle est groupée autour de petits systèmes d’approvisionnement communs où on paie
encore l’eau au forfait, selon des règles supposées équitables.
Il n’existe pas d’histoire générale des compteurs d’eau, et encore moins des robinets.
La documentation historique est sur ce point assez limité mais on peut faire l’hypothèse que le
service de l’eau doit quelque chose à l’industrie du gaz, qui avait besoin d’étanchéifier des
réseaux pour de bonnes raisons de sécurité. Les compteurs de gaz précèderaient ceux de l’eau
d’une vingtaine d’années (1830 contre 1850). Et d’ailleurs, dans plusieurs pays, les
associations d’ingénieurs sont longtemps restées communes pour l’eau et le gaz ? A cette
époque, les réseaux d’eau étaient déjà en pleine expansion en Angleterre et les coûts étaient
généralement couverts par des forfaits, voire par des taxes locales liées à la valeur locative des
propriétés desservies. Il est probable qu’on a d’abord imaginé apporter l’eau près du domicile
par une fontaine d’eau courante par exemple dans les cours d’immeuble et cela par
mimétisme de l’approvisionnement public de l’époque ? L’eau coulait en permanence donc
pourquoi la compter ? ce rapport à l’eau est resté dominant dans la culture des pays du
Commonwealth ; et ; aujourd’hui encore, alors que les robinets d’arrêt soient généralisés, un
peu plus de la moitié des ménages n’ont pas de compteurs et payent l’eau via des impôts
locaux liés à la valeur locative de leur logement. Et cela malgré une prévision de
généralisation des compteurs en 2000, lors de la privatisation des services d’eau.
C’est ainsi que nous nous sommes intéressé à développer le sujet intitulé « Etude,
conception et réalisation d’un compteur d'eau commande par une application Android », cette
2
étude nous dans la création des compteurs « cash watter » plus particulièrement dans la
calibrage d’eau, l’ouverture et la fermeture du robinet par une application Android pour
permettre aux consommateurs de bien gérer leurs consommations d’eau, pour annuler le
surpassement qui faisait défaut mais aussi permettre aux consommateurs de savoir
journellement combien des litres d’eau ont été consommée.
0.2. PROBLEMATIQUE
L’homme, depuis toujours, recherche des moyens pour satisfaire à ses besoins. Ceux-ci
peuvent être de lourdes tâches, et peut-être qu’il ne soit pas à mesure de les supporter. Mais
grâce aux apports technologiques, l’homme recours à certains domaines pour rendre certains
travaux automatiques, jadis faits manuellement, grâce à l’intervention de l’outil informatique.
Dans le domaine de la technologie, a vu apparaître l’informatique qui permet de libérer
l’homme des lourds travaux qui peuvent lui créer des ennuis et de surveiller plus rapidement
des phénomènes grâce au progrès de l’informatique. Ainsi, les scientifiques doivent rester
compétitifs en améliorant leurs systèmes informatiques en vue de rendre ce monde plus
vivable. Actuellement, nous assistons aux situations suivantes :
il y’a toujours eu des consommateurs d’eau qui consomment l’eau sans avoir payé leur
facture, c’est qui conduit à une consommation excessive ;
d’autres qui payent l’eau sans savoir la quantité qu’ils ont consommé et enfin
d’autres vu la fatigue ne peuvent pas se déplacer pour payer leur facture d’eau
consommée, ceci conduit au non-paiement des factures.
Ainsi, une application Android peut bien remplacer l’homme tout en ayant besoin de
son éventuelle intervention. Le calibrage d’eau du robinet permettra sans beaucoup d’effort
humain d’ouvrir et de savoir sa consommation qu’il consomme à chaque fois qu’il le voulait.
Tous ces problèmes conduiraient au déclenchement du système.
Vu ces problèmes cités ci haut, nous nous sommes posé différentes questions pour faire
face à cette étude entre autre :
0.4. HYPOTHESES
Le choix du sujet
Le choix de ce sujet est basé sur la problématique rencontrée par les consommateurs de
l’eau. Vu la connaissance acquise durant les six années passées, je voulais mettre en place une
solution qui permettra aux consommateurs de bien gérer leurs consommations d’eau, pour
annuler le surpassement qui faisait défaut mais aussi permettre aux consommateurs de savoir
journellement combien des litres d’eau ont été consommée.
Intérêt personnel
Intérêt général
Elle permettre à la REGIDESO de bien recouvrer les frais de l’eau consommée sans
indignation des consommateurs. De l’autre côté elle permettra aux consommateurs de payer
en fonction de la quantité d’eau consommée. Et aux futurs chercheurs, d’avoir un
soubassement pour bien mener leurs recherches.
Tout chercheur se focalise sur une méthode susceptible de l'orienter à atteindre son
objectif du problème qu'il étudie dans son travail. En d'autres termes la méthode est
l'ensemble des moyens par lesquels, une discipline cherche à atteindre. Les vérités qu'elle
poursuit, les démontrent et les vérifient.
Pour l'élaboration de notre travail, nous nous sommes servis des certaines méthodes, nous
citons ;
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Méthode historique : Elle consiste à étudier le passé d'une chose pour mieux cerner
sa situation actuelle afin de mieux préparer son évolution future ;
Méthode descriptive : Par cette méthode, certains principes et concepts ont été
décrits tout simplement sans commentaire ;
Méthode analytique : Elle nous a permis d'analyser en détail le composant du
système que nous avons mis en place.
0.7.2 TECHNIQUES
La technique est l'ensemble organisé des procédés d'un travail, et comme tout travail nécessite
des techniques, pour celui-ci nous avons opté pour :
Dans cette partie nous présenterons les différents travaux et articles faits par d’autres
chercheurs pour résoudre les problèmes liés au sou-compteur de surveillance de la
consommation d’eau, les pistes de solutions proposées pour résoudre ces différents problèmes
et les apports de chacun de chercheurs. Nous allons aussi présenter notre approche, la
structure de notre solution.
Pour ce faire, nous avons subdivisé ce chapitre en deux sections, la première section
portera sur la revue de la littérature où seront présentés les travaux et articles réalisés par
ailleurs et la seconde section portera sur notre méthode d’analyse.
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déployé maintenant afin de directifs auprès des parties- afin de mieux connaître les
mieux connaître les raisons prenantes impliquées : élus, raisons de son émergence,
de son émergence, d’affiner responsables et techniciens du d’affiner l’historique de son
l’historique de son service d’eau, … Deux guides déploiement, de décrire les
déploiement, de décrire les d’entretien ont été conçus (cf. attentes et problèmes
attentes et problèmes annexe rencontrés par les différentes
rencontrés par les L’un destiné aux élus et parties prenantes et enfin de
différentes parties prenantes ingénieurs ayant conçu le système mieux comprendre le
et enfin de mieux et l’autre aux techniciens en charge comportement des abonnés
comprendre le de son application. Ces entretiens
comportement des abonnés cherchaient à approfondir les
: niveau d’information, motivations au déploiement de ce
perception de ce service, service, à estimer l’implication de
freins rencontrés à chaque partie prenante dans la mise
l’inscription à ce service et en place et la vie de ce service, à
à l’interprétation des recueillir de l’information sur les
informations, réactions modalités d’installation des
quant à ces informations nouveaux compteurs et l’impact
notamment en termes de perçu de ce nouveau service.
comportement de Une enquête quantitative a
consommation, été conduite auprès des abonnés, en
distinguant les abonnés municipaux
et les abonnés (assimilés)
domestiques. Un questionnaire a
été conçu et testé (cf. annexe 2). Il
les questionnait sur leurs pratiques
de l’eau, leur connaissance du
réseau d’eau et de sa gouvernance.
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compteur intelligent
Réseaux Electriques Intelligents (Smart Grids)(El Smart Grid est une nouvelle Custom domain Le réseau intelligent permet
Makhtoum and Bentaleb 2021) facette de l’industrie de Markets domaine une communication immédiate
l’énergie qui trouve des dans les deux sens des signaux
solutions aux problèmes du d’énergie et de
réseau actuel communication, de la source
de génération au client
Un compteur « intelligent » pour mesurer les L’objet sociotechnique se L’analyse a ainsi mis en lumière la L’acquisition de cette mesure
usages de l’eau : l’entrée en scène d’une nouvelle présente alors comme un manière dont émergent les renforce la capacité des
connaissance(Collard, Garin et al. 2019) point d’observation du modalités d’accès et de maîtrise ingénieurs à maîtriser et
cycle hydrosocial à d’une ressource à l’échelle locale et ordonner la ressource en eau
privilégier en lien avec des contraintes et des tel que souhaité par l’État
actes de mesure plus globaux.
Le déploiement des compteurs dits « intelligents J’étudie notamment D’implémente des compteurs
» est une fausse bonne idée comment les pratiques communicants
sociales évoluent avec les
dispositifs techniques,
Tableau 1: travaux similaires études liées
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I.2.1. DEFINITION
Le compteur d'eau est un élément essentiel du système de distribution d'eau potable. Il permet
de calculer la facture d'eau et de contrôler la consommation d'eau.
I.2.2. HISTORIQUE
L'histoire du compteur d'eau est longue et complexe. Les premiers compteurs d'eau
ont été développés au début du 19e siècle, mais ils n'étaient pas encore très fiables ou précis.
Au cours du 20e siècle, les compteurs d'eau ont connu de nombreuses améliorations, et ils
sont aujourd'hui un élément essentiel du système de distribution d'eau potable dans le monde
entier.
Ils étaient principalement utilisés pour mesurer la consommation d'eau dans les grandes
villes, où la distribution d'eau était plus répandue.
Les premiers compteurs d'eau étaient mécaniques. Ils fonctionnaient par la rotation d'une
roue ou d'un piston entraîné par le débit d'eau. Ces compteurs étaient fiables, mais ils étaient
également coûteux et difficiles à installer. Ils sont devenus plus fiables, plus précis et moins
coûteux. Cela a conduit à une augmentation de leur utilisation, notamment dans les zones
rurales.
Les compteurs d'eau mécaniques ont été améliorés par l'utilisation de matériaux plus durables
et de mécanismes plus précis. Des compteurs électroniques ont également été développés, qui
utilisent des capteurs pour mesurer le débit d'eau.
Aujourd'hui, les compteurs d'eau sont un élément essentiel du système de distribution d'eau
potable dans le monde entier. Ils permettent de calculer la facture d'eau et de contrôler la
consommation d'eau.
Les compteurs d'eau sont devenus plus fiables, plus précis et moins coûteux. Ils sont
également plus faciles à installer et à entretenir.
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Les compteurs mécaniques : ils fonctionnent par la rotation d'une turbine entraînée
par le débit d'eau.
Les compteurs à turbine : sont les plus courants. Ils fonctionnent d’une turbine
entraine les débits d’eau. La turbine est reliée par un mécanisme qui enregistre le nombre de
tours effectues.
Un compteur d'eau à jet multiple est un type de compteur d'eau qui utilise plusieurs
jets d'eau pour faire tourner une turbine. La vitesse de rotation de la turbine est
proportionnelle au débit d'eau. Un compteur est utilisé pour mesurer la quantité d'eau qui a
traversé la conduite.
Les compteurs mécaniques sont les plus répandus. Ils sont simples et peu coûteux à installer.
Cependant, ils sont moins précis que les compteurs électroniques.
Les compteurs électroniques sont plus précis et ils offrent des fonctionnalités
supplémentaires, telles que la télé relève. Cependant, ils sont plus coûteux à installer.
NB : Il est important de noter qu'il existe de nombreuses autres marques de compteurs d'eau
disponibles en RDC. Il est important de choisir un compteur d'eau adapté à vos besoins et à
votre budget.
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Ces marques proposent une large gamme de compteurs d'eau mécaniques à turbine, adaptés à
différents besoins et budgets.
Depuis quelques années le gouvernement de la RDC encourage le remplacement des
compteurs d’eau mécanique par les compteurs d’eau électronique 1
L’installation d’un compteur d’eau est une manipulation assez simple qui ne présente
pas de difficulté majeure. Certains compteurs peuvent être posés horizontalement et
verticalement. Cette spécificité est indiquée sur la notice du produit.
Lors de l’installation de votre compteur il est important de garder en tête que c’est un
appareil qui devra rester accessible, aussi bien pour vous que pour le professionnel qui
passera faire le relevé de votre compteur. De plus, la durée de vie d’un compteur d’eau n’est
pas infinie. Il faut donc le laisser accessible pour pouvoir le changer en cas de besoin. La
durée de vie d’un compteur d’eau est estimée entre 10 et 15 ans en moyenne.
Le circuit d’eau sur lequel le compteur d’eau est installé à une importance particulière. En
effet, un type différent de compteur est à employer pour le réseau d’eau froide et le réseau
d’eau chaude. Il existe aujourd’hui des compteurs spécifiques pour mesurer l’eau chaude.
Plus résistant aux températures élevées et aux changements de température brusques, ce type
d’appareil doit être surveillé plus régulièrement. Pour différencier l’eau chaude de l’eau
froide, les compteurs eau chaude disposent, la plupart du temps d’un anneau rouge, qui
encercle le cadran.
La première étape de l’installation consiste donc à déterminer sur quel réseau (chaud, froid ou
les deux) il est nécessaire d’installer le compteur.
1
https://www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/non+valide.html
2
https://waterout.fr/blogs/actualite-plomberie-tutoriel/compteur-eau-fonctionnement-installation#wo-instal
3
https://fr.wikipedia.org/wiki/Microcontroleur
4
le PIC10F200 [archive] de Microchip fonctionne à 4 MHz, le LPC 3131 [archive] « Copie archivée » (version
15
La pose du compteur est facilitée par la présence d’une flèche qui indique le sens de
circulation de l’eau et donc le sens dans lequel le compteur doit être installé.
Lors de l’installation du compteur, soyez attentif aux indications notées sur le cadran. la
position du compteur est un des points primordiaux à prendre en compte. Sur le cadran, les
lettres H et V peuvent être inscrites. S’il n’y a que la lettre H, cela signifie que le compteur
doit être installé en position horizontale. Si, au contraire, c’est la lettre V, alors cela veut dire
qu’il faut poser le compteur à la verticale. Enfin, si les deux lettres H et V sont présentes,
vous pouvez au choix installer le compteur dans l’une ou l’autre position.
Pour assurer une qualité de mesure optimale du compteur, il est parfois nécessaire d’avoir des
longueurs de tube droites en aval et en amont de l’installation. Les fiches d’installations
des compteurs d’eau donnent généralement des précisions sur ce point spécifique. Ces
longueurs permettent de stabiliser le flux du liquide. Veillez également à installer votre
compteur à l’abris du gel et des chocs.
Pour simplifier l’installation du compteur et faciliter sa fixation contre une cloison, il est
possible d’opter pour un support de compteur, qui garantit un maintien robuste et pérenne
du compteur.
Il est également conseillé d’installer des vannes compteur en amont et en aval du compteur
d’eau. Ces vannes permettent de couper l’alimentation avant ou après le compteur d’eau, ce
qui facilite les interventions en cas de problèmes (remplacement du compteur, par exemple)2
Le relevé du compteur d'eau est effectué par le service des eaux. Il doit être effectué au
moins une fois par mois, en général. La consommation d'eau est calculée en fonction de la
différence entre le relevé initial et le relevé final.
Dans ce chapitre, nous avons vu quelques travaux et articles de nos prédécesseurs qui
ont abordé des travaux similaires au nôtre, leurs apports et ainsi que la différence établie entre
notre travail et les leurs. Nous avons aussi parlé de la notion sur le compteur. Dans le
prochain chapitre, nous examinerons les notions sur les applications Android, les
microcontrôleurs et aussi notre contexte d’étude qui est la ville de Goma.
2
https://waterout.fr/blogs/actualite-plomberie-tutoriel/compteur-eau-fonctionnement-installation#wo-instal
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II.1.1.1. Définition
Une application mobile est une application embarquée qui est sensé s’exécuter sur une
plateforme mobile à l’instar des Smartphones et les tablettes. L’application doit être
téléchargée par l’utilisateur pour devenir exécutable à partir du système d’exploitation du
téléphone exactement comme un logiciel ordinaire qui s’installe sur un ordinateur classique.
Les applications mobiles ne sont pas transférables d’un système d’exploitation à l’autre en
raison du langage informatique utilisé : si vous téléchargez une application Android, vous ne
pourrez l’utilisez que sur un téléphone portable Android. Reflet du succès commercial et
technique de l’iPhone, une grande majorité des applications mobiles furent créées à l’origine
pour le téléphone mobile d’Apple. Cependant, les applications Android se sont fortement
développées depuis les années 2010 / 2011 et dépassent désormais en nombre d’installation
les applications iPhone.
Chez les mobinautes, l’application mobile est similaire à un site internet pointu en raison de
sa connexion à internet, de plus l’interface du site et de l’application mobile s’avèrent
identiques sauf que l’application demeure fondamentalement définie comme un logiciel. En
ce sens, les applications mobiles se regroupent en plusieurs séries suivant des critères
basiques :
Techniquement parlant, il y a trois types d’application mobile que tout utilisateur peut
rencontrer :
Application native : Il s’agit d’application conçue pour une grande partie de systèmes
d’exploitation fiables par les Smartphones en se référant à un langage particulier à chacun
d’eux. Ce mode d’application est accessible seulement sur les plateformes d’applications
suivant ses particularités et ses formules. Ces plateformes retirent 25% du prix de vente pour
une application native payante. Le développement de l’application native nécessite le recours
à la mémoire du Smartphone sans omettre les options reliées au système d’exploitation en
question. De cette façon, le résultat se résume dans l’aboutissement à des applications mobiles
avec des fonctions plus professionnelles, développées et performantes au même niveau que
les applications en HTML5/CSS3 et les applications hybrides. Le souci des applications
natives est que les utilisateurs doivent avoir un système d’exploitation mobile donné pour
qu’ils puissent les utiliser. Pour assurer un usage plus exponentiel de ces applications mobiles,
il faut penser à lancer la même application mobile compatible à tout système d’exploitation
mobile.
Application web : Toute application conçue avec HTML et CSS de plus
opérationnelle sur navigateur internet pour un Smartphone est appelée application web. Peu
importe la marque de votre Smartphone, vous pouvez accéder à l’application web par le biais
de son navigateur et donc vous n’avez pas besoin de la télécharger. Vu qu’elle ne tient pas en
compte les divergences persistantes entre les systèmes d’exploitation et les marques de
Smartphone, l’application web manque d’ergonomie et de plus elle ne se sert pas de la
mémoire du Smartphone ce qui la place en infériorité par rapport à l’application native.
Application hybride : Il s’agit d’une application mobile qui fusionne entre les
caractéristiques de l’application web (développement en HTML 5) et celles de l’application
native. De cette manière, l’application mobile sera accessible sur toutes les plateformes
d’application. Ce type d’application mobile minimise les charges et la durée de son
développement même si cela sera au détriment du perfectionnement et de la qualité qui
caractérise l’application native. Notons que les applications hybrides sont accessibles
exclusivement sur iPhone et Android.
Une application mobile est plus rapide : En effet, sauf si elle est très mal
programmée (ce qui peut arriver), une application native va exploiter au mieux les capacités
du téléphone. En plus, en utilisant les composants graphiques du téléphone (boutons, barre de
titre, onglets...), l'interface est plus facile à appréhender pour l'utilisateur qui retrouve
rapidement ses marques.
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Une application offre plus de possibilités : Accéder aux photos, à l'agenda, aux
contacts, proposer de la réalité augmentée, réagir aux mouvements du téléphone, lire un code
barre : autant de fonctionnalités qui ne sont possibles qu'avec une application mobile.
C'est plus difficile à développer : On ne va pas dire le contraire. C'est pourquoi on
vous conseille de faire appel à des professionnels. Ce qui ne veut pas dire que le budget sera
démesuré...
Il faut développer pour chaque plateforme : Là encore, c'est tout à fait vrai. Pour
s'adapter à l'ergonomie de chaque plateforme, exploiter au mieux les fonctionnalités, il faut
développer pour chaque type de téléphone (iPhone, Android...). Cependant, décliner une
application vers une nouvelle plateforme coûte moins cher, car une bonne partie de
l'application peut être réutilisée.
On gagne plus avec une application mobile : Si vous avez comme projet de vendre
votre application, c'est effectivement plus aisé qu'avec une Web App, vente de l'application
sur l'AppStore ou l'Android Market, vente d'articles ou de fonctionnalités à l'intérieur de
l'application, tout ceci est possible très simplement.
Le déploiement est plus compliqué, plus long : Apple5 impose une validation des
applications avant publication. C’est vrai. Il n'y a cependant rien de tel sur AndroidMarket6,
et les mises à jour sont dans tous les cas signalés aux utilisateurs, ce qui remet un coup de
projecteur dessus. Enfin, pour les entreprises, il est possible de déployer ses applications en
interne, même sur iPhone/iPad, sans passer par l'AppStore.
Pas besoin d'être connecté pour utiliser mon application : Cela dépend de votre
application, mais effectivement, il n'est pas nécessaire de se connecter à l'internet pour lancer
l'application. Par contre, si celle-ci doit accéder à des informations depuis un serveur
(coordonnées des boutiques, dernières actualités...), il est évident que la connexion est
toujours nécessaire.
Aujourd’hui le marché mondial des téléphones mobile est dominé par quatre
grandes entreprises de technologie Smartphone qui sont Google, Apple, RIM et Microsoft qui
développent respectivement les systèmes d’exploitation Android, iOS, BlackBerry OS et
Windows Phone 7. Pour connaitre le leader dans le marché des Smartphones et déterminer le
système le plus répondant aux besoins de notre application, nous allons présenter brièvement
chacun de ces systèmes et décrire leurs avantages et inconvénients :
a) Android : Android est un système d'exploitation ouvert (Open Source) pour tablettes
tactiles, terminaux mobiles et TV connectées. Il a été conçu en 2007, par la société Android,
une startup rachetée par Google. C’est un système d'exploitation fondé sur un noyau Linux
disponible grâce à une licence Apache. Android inclut tous les utilitaires requis par un
constructeur pour le mettre en œuvre dans un téléphone portable. Il est proposé à tous les
fabricants de téléphones mobiles pour faciliter son adoption. Il a été conçu pour intégrer les
applications Google comme Gmail, Google Map, Google Agenda, Google Talk ou encore
You Tube. Android est un système presque équivalent à IOS, tant en fonctionnalités qu'en
applications. Là où Apple cherche la cohérence et la sécurité, Android offre plus de choix et
19
b) IOS : Anciennement iPhone OS, est le système d'exploitation mobile développé par
Apple pour l'iPhone. Reconnu pour sa fluidité, son ergonomie et son intuitivité : c'est le
système d'exploitation le plus abouti à ce jour. Il dispose du portail App Store, qui avec un
catalogue de plus de 200 000 applications, s'est imposé comme une référence parmi les
kiosques d'applications mobiles. Après Android, iOS est le deuxième système d’exploitation
le plus répandu Il équipe uniquement les « iPhone », c’est-à-dire les Smartphones de la
marque Apple. Le système d'exploitation mobile d'Apple a toujours été cité en exemple pour
sa grande simplicité d'utilisation. Il se compose en effet principalement de multiples écrans
d'accueil qui abritent les applications. Il est possible de créer des dossiers d'applis, mais pas de
placer des widgets ou un quelconque autre moyen de visualiser des informations directement
sur les écrans d'accueil. Après avoir fait de la résistance, Apple a fini par proposer un centre
de notifications — bien après Android —, plutôt bien fichu, ainsi qu'une barre de raccourcis
pour accéder rapidement aux connectivités, à la lampe torche, à l'APN, etc. On apprécie tout
particulièrement la fonction de recherche universelle. Comme son nom le laisse entendre, elle
va fureter partout dans le système d'exploitation et se révèle vite indispensable pour les
utilisateurs les plus exigeants. Enfin, le système de multitâche s'avère lui aussi très bon, même
si certains peuvent lui préférer d'autres systèmes qui montrent davantage d'applis récemment
utilisées sur la même fenêtre.
de nombreuses récompenses et sont utilisées par des milliers d'entreprises dans le monde.
Longtemps réservé aux professionnels, BlackBerry a dû s'adapter à sa nouvelle clientèle, plus
jeune et tombée sur le charme des claviers AZERTY, très pratiques pour l'envoi de messages
écrits. D'une interface austère et dédiée à l'email (que l'on peut envoyer et recevoir en
instantané), BlackBerry OS est devenu au fil du temps agréable à utiliser et de plus en plus
complet. Le système regorge de bonnes idées à commencer par la possibilité de séparer son
espace de travail de sa vie privée sur un seul et même téléphone. Le magasin d’application
maison, l’App World, continue à se remplir, mais la force de l’OS est sa compatibilité avec
les programmes Android, qui ne nécessitent qu’une petite optimisation de la part des
développeurs.
Nous avons décrit en grosso modo les différents systèmes d'exploitation utilisés par
les applications mobiles. Dans cette section, nous allons mettre le point sur la plateforme
qu'on a choisi pour développer notre application. Nous avons choisi le système d'exploitation
Android pour les raisons suivantes :
Android est une plateforme Open Source, puissante, moderne, sure et ouverte. Grace à
l'ouverture du code source et des APIs, les développeurs obtiennent la permission d'intégrer,
d'agrandir et de modifier les composants existants. Les utilisateurs peuvent adapter les
applications à leur besoin.
Android est basé sur le noyau Linux. Alors, y a plusieurs avantages comme une grande
mémoire, la gestion de processus, le modèle de sécurité, le soutien de bibliothèque partage,
etc.
Le SDK de l'Android offre complètement les APIs pour développer l'application sur
Android.
Grace au « Android Développer Challenge » que Google fournira 10 millions de
dollars en prix, aucune condition pour les applications sur la plateforme Android, les
développeurs ont eu l'opportunité de gagner beaucoup d'argent.
Si on vous dit « Android », une grande majorité d’entre vous me diront « Google ».
Vous avez raison, à l’heure actuelle, mais l’histoire commence bien avant l’arrivée de la firme
de Mountain View (Californie) sur le système d’exploitation. En effet, tout a débuté avec une
société américaine du nom d’Android justement, fondée en 2003. Celle-ci a été ensuite
rachetée par Google deux ans plus tard (en 2005). L’objectif premier était de développer un
système d’exploitation qui permettrait à l’utilisateur d’interagir avec ce dernier. Vous le savez
peut-être déjà, mais par le passé, chaque constructeur développait son propre système
embarqué. Dès lors, il était impossible de concevoir une application compatible sur tous les
appareils, sans même parler des bibliothèques de développement fournies qui s’en trouvaient
bridées afin que les secrets de fabrication des marques ne soient pas divulgués.
21
a) Le noyau Linux : Android repose sur un noyau Linux (version 2.6) qui gère les
services du système, comme la sécurité, la gestion de la mémoire et des processus, la pile
réseau et les pilotes. Il agit également comme une couche d'abstraction entre le matériel et la
pile logicielle.
b) Les bibliothèques : En interne, Android inclut un ensemble de bibliothèques C et
C++ utilisées par de nombreux composants de la plateforme Android.
c) Moteur d'exécution Android : Chaque application Android s'exécute dans son propre
processus, avec sa propre instance de machine virtuelle Dalvik.
d) Le Framework : Android offre aux développeurs la possibilité de créer des
applications extrêmement riches et innovantes.
e) Applications : Android est fourni avec un ensemble d’applications natives permettant
d'accéder à des fonctionnalités comme les courriels, le téléphone, le calendrier, les photos…
22
Les bases de données jouent un rôle sans cesse croissant dans les systèmes
d’information d’entreprise, qu’il s’agisse d’applications de gestion traditionnelles
(comptabilité, ventes, décisionnel…) ou d’applications intranet e-commerce ou de gestion de
la relation client. Comprendre les principes des bases de données, les langages d’interrogation
et de mise à jour, les techniques d’optimisation et de contrôle des requêtes, les méthodes de
conception et la gestion des transactions devient une nécessité pour tous les professionnels et
futurs professionnels de l’informatique.
Une base de données, ce mot est souvent utilisé pour désigner n’importe quel ensemble
de données, il s’agit là d’un abus de langage qu’il faut éviter. Une base de données est un
ensemble de données modélisant les objets d’une partie du monde réel et servant de support à
une application informatique. Pour mériter le terme de base de données, un ensemble de
données non indépendantes doit être interrogeable par le contenu, c’est-à-dire que l’on doit
pouvoir retrouver tous les objets qui satisfont à un certain critère, par exemple tous les
produits qui coûtent moins de 100francs. Les données doivent être interrogeables selon
n’importe quel critère. Il doit être possible aussi de retrouver leur structure, par exemple le fait
qu’un produit possède un nom, un prix et une quantité. Les bases de données ont pris
aujourd’hui une place essentielle dans l’informatique, plus particulièrement en gestion. Au
cours des trente dernières années, des concepts, méthodes et algorithmes ont été développés
pour gérer des données sur mémoires secondaires ; ils constituent aujourd’hui l’essentiel de la
discipline « Bases de Données » (BD). Cette discipline est utilisée dans de nombreuses
applications. Il existe un grand nombre de Systèmes de Gestion de Bases de Données (SGBD)
qui permettent de gérer efficacement de grandes bases de données. De plus, une théorie
fondamentale sur les techniques de modélisation des données et les algorithmes de traitement
a vu le jour. Les bases de données constituent donc une discipline s’appuyant sur une théorie
solide et offrant de nombreux débouchés pratiques. Utilisation de moyens informatiques pour
répondre à un besoin déterminé en faisant appel de manière importante à une ou plusieurs
bases de données à travers un système de gestion de bases de données (SGBD) (Database
application). Il existe plusieurs types de BD :
Historiquement, le premier système de base de données a été conçu pour la gestion des
données du programme Apollo de la NASA. Les données étaient structurées dans des
hiérarchies, comparables à l'organisation des répertoires sur un PC. Une base de données
hiérarchique est une base de données dont le système de gestion lie les enregistrements dans
une structure arborescente où chaque enregistrement n'a qu'un seul possesseur. Les structures
de données hiérarchiques ont été largement utilisées dans les premiers systèmes de gestion de
23
base de données. Elles ont toutefois montré des limites pour décrire des structures complexes,
répondre aux besoins réels et suivre l'évolution des systèmes d'information.
Ce modèle de base de données a été inventé par Charles.W. Bachmann pour lequel il
reçut en 1973 le prix Turing. Le modèle réseau est une manière de représenter les données
dans le cadre d'une base de données. Ce modèle est en mesure de lever de nombreuses
difficultés du modèle hiérarchique grâce à la possibilité d'établir des liaisons de type 1-N en
définissant des associations entre tous les types d'enregistrements. Ce modèle est une
extension du modèle précédent (hiérarchique), les liens entre objets peuvent exister sans
restriction. Pour retrouver une donnée dans une telle modélisation, il faut connaître son
chemin d'accès (les liens). Ceci rend cependant les programmes encore dépendants de la
structure de données.
En 1970, au moment où les systèmes basés sur le modèle hiérarchique ou le modèle en réseau
étaient en plein développement, CODD proposa de stocker des données hétérogènes dans des
tables, permettant d’établir des relations entre elles. De nos jours, ce modèle est extrêmement
répandu mais en 1970, cette idée était considérée comme une curiosité intellectuelle. On
doutait alors que des tables puissent être jamais gérées de manière efficace par un ordinateur.
Ce scepticisme n’a cependant pas empêché CODD de poursuivre ses recherches, et IBM
construira rapidement un premier prototype de Système de Gestion de Base de Données
Relationnelles (SGBDR). Ce mode d’organisation des données a donné naissance à une
pléthore de SGBD relationnels commerciaux et non commerciaux dont DB2 d’IBM,
Oracle10, Microsoft Access, MySQL pour ne nommer que les mieux connus Les SGBD
relationnels sont de deuxième génération et ils ont tous en commun intrinsèquement un
langage appelé SQL (Structured Query Language) SQL agissant à la fois comme langage de
définition et langage de manipulation de données.
II.2 MICROCONTROLEUR3
III.2.1. INTRODUCTION
Figure 6: microcontrôleur
La plus grande partie des systèmes électroniques complexes utilisés de nos jours
sont des systèmes embarqués : téléphones mobiles, horloges, baladeurs, récepteurs GPS,
électroménager, automobile, transport aérien/maritime/fluvial. Les systèmes embarqués se
démarquent des systèmes informatiques traditionnels selon plusieurs aspects :
une horloge pour le cadencer (en général à quartz ou Boucle à verrouillage de phase
(PLL : Phase-Locked Loop)) ;
de la mémoire pour stocker les variables durant l’exécution du programme (mémoire vive
RAM) et le programme d’une mise sous tension à l’autre (mémoire morte ROM). Si l'on
conçoit un système affecté à une tâche bien particulière (ce qui est généralement le cas
des systèmes embarqués), le programme n'est pas amené à changer. Il peut donc être
stocké dans une mémoire morte (ROM) ;
des périphériques (pour interagir avec le monde extérieur).
Ces éléments sont reliés par 3 bus :
les contrôleurs de bus de communication (UART, I2C, SSP, CAN, FlexRay, USB,
etc.).
Le fonctionnement des périphériques peut être paramétré et commandé par le programme
et/ou les entrées-sorties. Les périphériques peuvent générer une interruption qui contraint le
processeur à quitter le programme en cours pour effectuer une routine de traitement de
l’interruption, lorsque l’événement qui la déclenche survient.
Les microcontrôleurs peuvent généralement se placer dans un état de sommeil, dans lequel ils
présentent une très faible consommation électrique. Un signal envoyé par l'un de leurs
périphériques (timer, broche d'entrée-sortie, watchdog, etc.) permet de les faire sortir de cet
état de sommeil.
Certains microcontrôleurs ont un nombre très restreint de broches, si bien qu'une broche
donnée peut correspondre à plusieurs périphériques internes. La fonction choisie doit alors
être sélectionnée par logiciel.
Le choix des périphériques à intégrer dans un microcontrôleur est délicat. Les fabricants
doivent réaliser un compromis entre des besoins contradictoires : utiliser des fréquences
élevées, réduire la taille du circuit, apporter des fonctionnalités nombreuses, élaborer une
architecture flexible, assurer des coûts modérés, etc.
III.2.6. ARCHITECTURE
5
l'instruction BTFSS (« bit test file, skip if set ») sur PIC permet d'ignorer l'instruction suivante si un certain bit
d'un registre est à 1
28
De façon générale, les instructions et modes d'adressage disponibles varient fort selon les
familles de microcontrôleurs.
Certains microcontrôleurs suivent une architecture Harvard6 : ils possèdent des bus séparés
pour la mémoire de programme et la mémoire de données, ce qui permet aux accès d'avoir
lieu en même temps (on parle d'accès concurrent). Lorsqu'on utilise une architecture Harvard,
les mots de programme peuvent avoir une largeur (nombre de bits) différente de celle des
mots de la mémoire de données et des registres. Par exemple, il peut y avoir des instructions
de 12 bits et des registres de données de 8 bits.
Les microcontrôleurs sont très utilisés dans tous les systèmes embarqués évoqués en
introduction. Ils sont également très prisés en robotique amateur (robots autonomes) et en
modélisme (automatismes des maquettes de réseaux ferroviaires par exemple).
Les microcontrôleurs représentent la plus grosse partie des ventes dans le marché
des microprocesseurs. En effet, un foyer moyen d'un pays développé est susceptible d'être
équipé de seulement un ou deux microprocesseurs généralistes (ordinateurs), mais d'une ou
deux douzaines de microcontrôleurs (appareils électroménagers). Une automobile de milieu
de gamme est équipée d'au moins 50 microcontrôleurs.
Les fabricants proposent souvent des versions spéciales de leurs microcontrôleurs pour
faciliter le développement matériel et logiciel des applications. Par exemple, lorsque les
mémoires mortes utilisées étaient des EPROM, il existait des variantes des microcontrôleurs
équipées de fenêtres sur le dessus, qui permettaient d'effacer le programme grâce à de la
lumière ultraviolette. Ceci permettait de recommencer une programmation après un cycle
programmation-test.
Pour de petites séries (quelques milliers d'unités ou moins), les
microcontrôleurs programmables une seule fois (OTP, one-time programmable) sont
économiques. Ils sont basés sur la même puce que la version UV-EPROM, se programment
avec le même matériel, mais le boîtier n'est pas équipé de la fenêtre qui permet l'effacement
(et qui est onéreuse).
Il peut exister des versions de microcontrôleurs dépourvus de mémoire morte interne. La
mémoire morte est alors située dans un boîtier extérieur, par exemple une EPROM. Il suffit
alors d'un simple programmateur d'EPROM pour réaliser la programmation, mais des broches
du microcontrôleur sont requises pour la communication avec la mémoire externe, et ne
peuvent donc pas être utilisées pour les entrées-sorties. Ces versions sont plus coûteuses, mais
peuvent se révéler intéressantes si les quantités visées sont faibles.
Plus rarement, on rencontre une variante de l'approche précédente, le piggy back. Le
microcontrôleur ne dispose pas non plus de mémoire morte interne, mais la communication
avec l’EPROM se fait non pas par des broches d'entrée-sortie, mais par des broches spéciales
situées sur le dessus du boîtier. L’EPROM se fixe alors au-dessus du microcontrôleur, et ne
monopolise pas de port d'entrée-sortie. Ces versions sont souvent onéreuses et peu pratiques,
sauf pour les phases de développement et les très petites séries.
6
PIC et les AVR.
29
Le recours à la programmation sur place, dans le circuit applicatif, permet de mettre à jour le
programme après la fabrication du produit. On parle alors de flashage. Cette opération peut
être effectuée via un programme situé en ROM, ou passer par l'utilisation d'un connecteur
physique particulier. Dans tous les cas, on évite ainsi un retour en usine pour effectuer la mise
à jour.
Lorsqu'il s'agit de produire de plus grandes séries (plusieurs milliers et plus), le coût de
réalisation d'un masque pour la fabrication de mémoire morte non programmable est
facilement amorti sur tous les exemplaires produits. On peut alors fixer le contenu de la
mémoire morte lors de la réalisation du circuit intégré, et non plus lors du montage du produit.
Cependant, ces mémoires présentent l'inconvénient de ne pouvoir être mises à jour. Si l'on
envisage néanmoins de telles mises à jour, on peut prévoir de monter le microcontrôleur sur
un support, ce qui permet de le faire remplacer par un technicien en cas de nécessité.
7
Voir : Host/Target specific installation notes for GCC
30
peut ainsi afficher les états des entrées et sorties des différents composants au cours de
l'exécution d'un programme.
Une fois le programme compilé, le fichier binaire doit être envoyé au microcontrôleur. On
utilise soit :
Goma par ailleurs la direction provinciale dispose des centres à Beni, Butembo et Walikale.
La REGIDESO est une abréviation flamande qui signifie Régie de distribution d’eau et
d’Electricité, Elle a été créée par les belges collons à l’époque colonial dans le souci de
l’amélioration de l’état de santé des populations indigène.
La création de service d’approvisionnement en eau potable est née de l’initiative privée telle
que les grandes sociétés industrielles dans les luttes avec notamment la création de la société
de contribution de Léopold ville actuelle Kinshasa, le 18 Novembre 1928/PRSCRL avec siège
BUKAVU.
Les petites et moyennes entreprises les confessions religieuses vous les particuliers
en milieu rural (pouvoir publique) s’est très vite implique en créant une entreprise dépurations
d’eau, d’où l’idée de la REGIDESO, siège de distribution d’eau et de l’activité du Congo et
du Ruanda-Urundi sans le décret royal du 31 Décembre 1939 cette instruction publique
autonome revêtue de la personnalité civile avait comme objectif l’instauration au CONGO
BELGE et au Ruanda-Urundi des services de distribution d’eau et d’électricité
Les études et travaux nécessaires à l’établissement de ces services en 1960, les
évènements de l’indépendance ont attiré des difficultés a la REGIDESO sur le plan technique
et de gestion à cause du part massif des cadres Europe en 1965 la REGIDESO a la mer une
politique d’extension de ses activité par plusieurs investissement NO66/46/6 obtient le statut
d’une entreprise publique et de la REGIDESO en particulier ce vide difficilement comble
plongeant la société dans des difficultés avec des conséquences néfastes l’administrations
centrale, mise en place pour le conseil de gestion repartie, la forme en trois zone :
La zone d’Ouest englobant la région du Bas-Congo, Equateur et de la ville de
Kinshasa ou le situe le siège
La zone Nord-Est avec siège social à Bukavu et Maniema
La zone sud-Est avec siège social à Lubumbashi dans la province du Katanga qui
renferme aussi bien que le Katanga et Kasaï.
Le 1ere Janvier 1977 sur décision du conseil exécutif l’exploitation de l’eau et celle de
l’électricité fut scinde cette dernière fut cédée à la société Nationale d’Electricité (SNEL) et la
remise et reprise a eu lieur 24/01/1977. Il faut note qu’avant 1960 la REGIDESO exploitait 39
stations à travers le pays dont trios se trouvent au Nord-Kivu à Goma, Butembo et à Rutshuru
aux cœurs de la période 1960-1978, la REGIDESO a presque ouvert des décennies
internationales d’exploitation s’est élevé à 73 stations le Nord-Kivu avait enregistré au cours
32
Le prélèvement de l’index sur chaque compteur de chaque ménage permet aux sociétés
de distribution d’eau d’avoir une main mise sur la consommation de chaque abonné. C’est
grâce à ce prélèvement que ces sociétés élaborent les factures chaque fin du mois,
malheureusement c’est dans l’exécution de cette tâche que plusieurs problèmes interviennent
comme :
- Absence des abonnés à leurs domiciles le jour du prélèvement, y a souvent des cas
pareils les abonnes s’absente si les jours de prélèvement arrivent, pour éviter les agents
sachant qu’à leur absence ils ne peuvent pas entrée chez eux.
- Certains clients n’ont pas des compteurs des fois on trouve deux, trois ménages qui
utilisent tous un seul compteur ou pas de compteur du tout.
33
- Corruption entre agent et abonné, dans le cas où ils doivent couper l’eau par manque
de payement les agents se font corrompre par les abonnes et ne vont plus faire leur devoir.
- Conspiration des agents, souvent les agents vendent et installent des compteurs dans le
dos de leur société ce qui entraine la perte de pièce et du mal à suivre un compteur dont ils
ignorent l’existence.
II.4.3. CAPTEUR
Un capteur est un dispositif ayant pour tâche de transformer une mesure physique
observée en une mesure généralement électrique qui sera à son tour traduite en une donnée
binaire exploitable et compréhensible par un système d'information.
8
(Samison, Gaya et al. 2021)
9
(Klopfert and Wallenborn 2010)
34
Un capteur est un dispositif qui transforme l'état d'une grandeur physique observée en une
grandeur utilisable. En d'autres termes, les capteurs prélèvent une information sur le
comportement de la partie opérative et la transforment en une information exploitable par la
partie commande (donc sous une forme électrique). Le but étant de faire évoluer le système
aux caractéristiques de l’environnement extérieur. 10
Si l'on s'intéresse aux phénomènes physiques mis en jeux dans les capteurs, on peut classer
ces derniers en deux catégories.
10
(Challal 2008)
35
Est un microcontrôleur avec un module Wifi intègre. Très simple d’utilisation il est
léger et possède une capacité de mémoire et de calcul supérieur aux Arduino. L’ESP8266 est
idéal pour vos projets connectes et pilotes à l’aide d’une interface web. La base, pour créer
des objets connectes, est de les connecte à un réseau comme le réseau Wifi. L’émetteur et
l’antenne Wifi intégrés au microcontrôleur permettent la connexion à Internet. Grâce à cela, il
est possible de créer un serveur qui héberge une page Web permettant de piloter le
microcontrôleur à distance. Cette page peut servir à afficher des valeurs mesurées par le
NodeMCU ou bien piloter des entrées/sorties du microcontrôleur.(Hanene and Lilia 2021)
a. Fonctionnement du NodeMcu
Le NodeMcu est un shield équipé de la version 12 du module wifi ESP8266 ce qui lui
permet de se connecter à un routeur via wifi, ainsi il peut échanger des données via internet
avec un autre équipement comme un téléphone ou encore un Pc. Le NodeMcu se programme
via l’IDE ARDUINO avec le même langage de programmation qu’utilise ARDUINO UNO
sauf que pour lui on ajoute quelques notions du HTML et du XML qui sont des langages de
programmation WEB qui nous aident à créer le serveur web et la page web qui nous permet
d’interagir avec NodeMcu via un navigateur (Google Chrome, Opéra mini, …). Pour accéder
à cette page web on tapera http://suivi de l’adresse IP du NodeMcu qui sera affichée dans le
moniteur série de l’IDE Arduino.
b. Quelques caractéristiques
Microcontrôleur : ESP-8266EX
Tension de fonctionnement : 3.3V
Courant max GPIO : 250mA pour les digitales et 12mA pour les analogs
Tension d’alimentation : 5V via micro USB
Entrée/sorties digitales : 11 broches, 3.3V max.
Entrée analogique : 1 (Max : 3.2V)
c. Fonctions complémentaires :
PWM : sur toutes les broches sauf D0
Interruption : sur toutes les broches sauf D0
I2C : par émulation logicielle. Sur toutes les broches sauf D0.
One-Wire : sur toutes les broches sauf D0.
SPI : bus SPI matériel
Vitesse d’horloge : 80MHz/160MH
11
(Lamia, Wafa et al. 2022)
36
NodeMcu donne accès aux GPIO (General Purpose Input/Output) et il est nécessaire de se
référer à la table de correspondance ci-dessous pour les développements.
1 GPIO5 8 GPIO15
2 GPIO4 9 GPIO3
3 GPIO0 10 GPIO1
4 GPIO2 11 GPIO9
5 GPIO14 12 GPIO10
6 GPIO12
Le brochage d’un écran LCD est ‘normalise’ avec 14 broche (ou 16 si l’écran
est rétro éclaire) pour le ‘petits formats.
II.4.8. UN DEBITMETRE
Ce capteur de débit d’eau est composé d’un corps en plastique, d’un rotor actionné par le
passage de l’eau et d’un capteur à effet hall. La vitesse de rotation du rotor varie en fonction
du débit d’eau et est mesurée par le capteur à effet hall qui sort le signal correspond sous la
forme d’un train d’impulsion dont il suffit de mesurer la fréquence.
Principe de fonctionnement
12
(Grini, LECONTE et al. 2012)
39
A : Arrivée
B : Diaphragme
C : Chambre de
pression
D : Conduit
Figure 16 : Electrovanne
Types d’électrovanne
Pour ce type d’électrovanne l’état change suivant qu’elle soit alimentée électriquement ou non
c’est pour cela qu’il y a des électrovannes qui sont normalement ouvertes c-à-d entièrement
ouvertes à l’absence d’un signal électrique et qui se ferment lorsqu’elles sont alimentées
électriquement. D’autre sont normalement fermées c-à-d à l’absence d’un signal électrique
elles sont entièrement fermées et s’ouvrent lorsqu’elles sont alimentées.
b) Electrovanne proportionnelle
L’électrovanne proportionnelle peut être ouverte avec plus ou moins d’amplitude selon le
signal électrique de commande.
- Le microcontrôleur
C’est le cerveau de la carte. Il va recevoir le programme que nous allons créer et va le stocker
dans sa mémoire avant de l’exécuter. Grâce à ce programme, il va savoir faire des choses, qui
peuvent être : faire clignoter une LED, afficher des caractères sur un écran, envoyer des
données à un ordinateur...etc.
Figure 17 microcontrôleur
- La connectique
La carte Arduino ne possédant pas de composants (résistances, diodes, moteurs...) qui peuvent
être utilisés pour un programme, il est nécessaire de les rajouter. Mais pour ce faire, il faut les
connecter à la carte. C'est là qu'interviennent les connecteurs de la carte. Sur les Arduino et
sur beaucoup de cartes compatibles Arduino, les connecteurs se trouvent au même endroit.
Cela permet de fixer des cartes d’extension, appelée Shield.
43
Les différents éléments de la carte de commande sont regroupés dans le Tableau ci-dessous :
Tension de fonctionnement 5V
Tension d'alimentation (recommandée) 7-16 V
Tension d'alimentation (limites) 6-20 V
Broches E/S numériques 14(dont 6 disposent d'une sortie PWM).
Broches d'entrées analogiques 6 (utilisables en broches E/S numériques).
Intensité maxi disponible par broche E/S (5 40 mA (attention : 200 mA cumulé pour
V) l'ensemble des broches E/S).
Intensité maxi disponible pour la sortie 3.3 50Ma
V
Intensité maxi disponible pour la sortie 5 V Fonction de l'alimentation utilisée - 500 mA
max si port USB utilisée seul
Mémoire programmer flash 32 KB (ATmega328) dont 0.5 KB sont
utilisés par le boot loader (programme de
base préprogrammé conçu pour établir la
communication entre l’ATM Ega et le
logiciel Arduino).
Mémoire SRAM (mémoire volatile) 2 KB (ATM Ega).
Mémoire EEPROM (mémoire non volatile) 1 KB (ATM Ega).
Vitesse d'horloge 16 MHz
Tableau 3 éléments de la carte de commande
II.5.3 TRANSISTOR
Le transistor est un composant électronique qui est utilisé dans la plupart des circuits
électroniques (circuits logiques, amplificateur, stabilisateur tension, modulation de signal,
etc.) aussi bien en baisse qu'en haute tension.
Un transistor est un dispositif semi-conducteur à trois électrodes actives, qui permet de
contrôler un courant ou une tension sur l'électrode de sortie (le collecteur pour le transistor
44
bipolaire et le drain sur un transistor à effet de champ) grâce à une électrode d'entrée (la base
sur un transistor bipolaire et la grille pour un transistor à effet de champ).
Il est le composant fondamental des appareils électroniques et des circuits logiques.
Figure 19 transistor
II.5.4. DIODE
La diode (du grec di deux, double ; odos voie, chemin) est un composant
électronique. C'est un dipôle non-linéaire et polarisé (ou non-symétrique). Le sens de
branchement d'une diode a donc une importance sur le fonctionnement du circuit électronique
dans lequel elle est placée.
Sans précision ce mot désigne un dipôle qui ne laisse passer le courant électrique que dans
un sens. Ce dipôle est appelé diode de redressement lorsqu'il est utilisé pour réaliser les
redresseurs qui permettent de transformer le courant alternatif en courant unidirectionnel.
Figure 20:Diode
II.5.5. RESISTANCE
C'est par métonymie que le mot « résistance », qui désigne avant tout une propriété physique,
en est venu à désigner aussi un type de composant que certains préfèrent appeler un « dipôle
résistant ». On utilise également, pour l'enseignement de la physique, le terme « résisteur » ou
l'anglicisme « résistor » (du mot resistor qui, en anglais, désigne ce type de composant), ou
encore l'expression « conducteur ohmique », de façon à éviter d'utiliser le même terme pour
l'objet et sa caractéristique.
45
Figure 21 Résistance
Le module est un lecteur de la puce RFID basé sur le circuit MFRC522 à faible coût
est facile à utiliser. Il peut être utilisé dans une large gamme d’application. Le MFRC522 est
un circuit intégré de lecture / écriture hautement intégré pour la communication sans contact à
13,56 MHz. Ci-dessous les caractéristiques du module :
II.5.7.Badge RFID(http://google.com)
Est une carte munie d’une puce électronique et d’une antenne qui utilise la
technologie de radio-identification pour lire à distance les données inscrites dans un
transpondeur RFID, communément appelé étiquette ou tag RFID.
Dans ce chapitre, nous venons de parler en long et en large sur les équipements qui
vont intervenir dans notre réalisation Badge RFID, carte RFID, résistance, diode, carte
arduino nano, débitmètre, carte NodeMCU, Capteur, les microcontrôleurs, les bases de
données et enfin nous avons aussi parlé de notre contexte d’étude.
Dans le Troisième chapitre et qui est le dernier nous présenterons notre application
Android ainsi que le schéma bloc de notre compteur commandé.
CHAPITRE III : REALISATION D’UN
COMPTEUR D'EAU COMMANDE PAR
UNE APPLICATION ANDROID
III.1. LES APPROCHES DE DEVELOPPEMENT
Une approche du développement peut se définir comme une théorie liée aux objectifs
du développement (ex : croissance durable, distribution plus équitable des actifs, entre autres)
et aux moyens les plus efficaces pour les atteindre (méthode)
- L'approche orientée objet : Cette approche peut être utile pour la modélisation des
différents composants du sous-compteur intelligent de surveillance de la
consommation d’eau connectée, tels que les dispositifs de traitement des données. Les
objets peuvent être utilisés pour représenter les différents aspects du système et pour
définir les attributs et les méthodes nécessaires.
- L'approche basée sur les services : Cette approche peut être utile pour la mise en
place d'un système distribué où les différents composants peuvent communiquer entre
eux à l'aide de services web. Les différents services peuvent être utilisés pour collecter
et analyser les données.
- L'approche basée sur les modèles : Cette approche peut être utile pour créer des
modèles abstraits qui représentent les aspects clés du système de pisciculture
connectée, tels que les exigences, les flux de données, les comportements et les
contraintes. Les modèles peuvent être utilisés pour communiquer les exigences,
concevoir des solutions et générer du code.
- L'approche basée sur les événements : Cette approche peut être utile pour la gestion
des événements qui se produisent dans le système d’identification. Les événements
peuvent être utilisés pour déclencher des actions spécifiques dans le système.
Dans cette section, nous allons présenter les différents diagrammes UML de notre
projet. UML (Unified Modelisation Language) est un langage de modélisation des systèmes
d’information orienté objet et plus couramment utilisé dans la conception des logiciels. Les
différents diagrammes que nous allons présenter dans cette section sont basées sur
l’architecture de notre application.
Ces sont des diagrammes UML utilisés pour donner une vision globale du
comportement fonctionnel d'un système logiciel. Les cas d’utilisations permettent de :
- Un acteur : est une entité externe qui agit sur le système. Un acteur a toujours le même
comportement vis-à-vis du système. Il n’est pas forcément une personne physique, il peut
aussi être un système externe qui interagit avec notre système. Un acteur est représenté par un
bonhomme et est identifié par son nom ou par une classe stéréotypé « acteur » ;
- Un cas d’utilisation : est le nombre d’actions que le système devra exécuter en réponse aux
différents besoins des acteurs. Il doit produire un résultat observable pour un ou plusieurs
acteurs ;
- Interaction : permet de décrire les différents échanges entre l’acteur et le système. Ainsi
notre diagramme de cas d’utilisation se présente comme suis :
Figure 25: Cas d'utilisation
Acteur Superviseur
But Superviser le fonctionnement du système à distance
Information Le superviseur se connecte sur le réseau Wifi du système à l’aide de son
ordinateur, il accède au système grâce à l’adresse IP du microcontrôleur. Il
va avoir accès à l’interface qui permettra d’actionner le système.
Tableau 4 cas d'utilisation superviser
Début
Ouverture de
l’électrovanne
NON OUI
Dis
Ouverture du Robinet
Comptage par le
débitmètre de la
quantité par jour
Enregistrement de
l’index par le
microcontrôleur
Légende
Figure 29 adresse IP
Figure 30 Connexion Utilisateur
Pour l’identification du nouveau client nous avons besoin de son nom, post-nom, prénom et
son numéro de téléphone mais son nom doit contenir 6 lettres
Figure 35: confirmation du nouveau compteur
Le client lorsqu’il créer un compte doit obligatoirement créer c’est compte avec le code du
compteur par exemple pour notre cas le code client du compteur est 0001
Qui nous a conduit à concevoir et à réaliser un prototype qui consiste à faire le calibrage d’eau
du robinet dans le but d’éliminer le surpassement de l’eau dans le bidon en vue de diminuer
au pertes des litres d’eau lors de l’ouverture et la fermeture du robinet. Tout au début de notre
travail, nous nous sommes fixés des objectifs de faire une étude et la conception d’une
application Android pour le calibrage d’eau du robinet. Pour y arriver nous avons d’abord
essayé d’unir toutes les notions possibles indispensables pour la connaissance entière et
parfaite de notre système dont on a amorcé la notion sur le débitmètre précisément son
principe de fonctionnement, la carte NodeMCU ESP8266 précisément comment faire son
branchement et comment faire la transmission de donnée, en fin sur la conception d’une
application Android par ce que ce bien lui le pilote de notre système
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TABLES DES FIGURE
Figure 1 compteur à turbine .................................................................................................................. 12
Figure 2:Le compteur à jet unique ........................................................................................................ 12
Figure 3: Un compteur d'eau à jet multiple ........................................................................................... 13
Figure 4: Compteur d'eau chaude .......................................................................................................... 14
Figure 5: Architecture logicielle de l'Android. ..................................................................................... 21
Figure 6: microcontrôleur...................................................................................................................... 24
Figure 7:Structure d'un système à microprocesseur .............................................................................. 25
Figure 8 schémas d'un capteur............................................................................................................... 34
Figure 9 constitution d'un capteur ......................................................................................................... 34
Figure 10: brochage du NodeMcu ......................................................................................................... 36
Figure 11 : écran LCD ........................................................................................................................... 37
Figure 12 : brochage de l'écran LCD 16x2............................................................................................ 37
Figure 13 : Capteur de débit d'eau ......................................................................................................... 38
Figure 14 : débitmètre à turbine ............................................................................................................ 39
Figure 15 schéma électrovanne ............................................................................................................. 39
Figure 16 : Electrovanne ....................................................................................................................... 40
Figure 17 microcontrôleur .................................................................................................................... 41
Figure 18: Connectique de la carte Arduino.......................................................................................... 43
Figure 19 transistor................................................................................................................................ 44
Figure 20:Diode..................................................................................................................................... 44
Figure 21 Résistance ............................................................................................................................. 45
Figure 22: fonctionnement Carte Rfid................................................................................................... 45
Figure 23: Carte RFID........................................................................................................................... 46
Figure 24: Badge RFID ......................................................................................................................... 46
Figure 25: Cas d'utilisation .................................................................................................................... 49
Figure 26: Diagramme d'activité ........................................................................................................... 51
Figure 27 Interconnexion des composants ............................................................................................ 52
Figure 28 Architecture électronique dans Proteus................................................................................. 53
Figure 29: Connexion de l'ordinateur au réseau .................................................................................... 53
Figure 30 allumage du compteur ........................................................................................................... 54
Figure 31 recherche du réseau par le compteur ..................................................................................... 54
Figure 32: interface gestionnaire consomation...................................................................................... 55
Figure 33: configuration compteur nouveau client ............................................................................... 56
Figure 34 creation nouveau client pour le nouveau compteur............................................................... 56
Figure 35: confirmation du nouveau compteur ..................................................................................... 57
Figure 36:Confirmation de l'enregistrement du nouveau compteur ...................................................... 57
Figure 37: ouverture de l'application ..................................................................................................... 58
Figure 38: creation du compte client dans l'application ........................................................................ 58
Figure 39: interface compte client ......................................................................................................... 59
TABLE DES TABLEAUX
Tableau 1: travaux similaires études liées ............................................................................................. 10
Tableau 2:Brochage du NodeMcu ......................................................................................................... 36
Tableau 3 éléments de la carte de commande ....................................................................................... 43
Tableau 6 cas d'utilisation superviser .................................................................................................... 49
Tableau 7 cas d'utilisation traitement de l'information .......................................................................... 49
Tableau 8 cas d'utilisation ouverture/fermeture .................................................................................... 50
Tableau 9 cas d'utilisation demande de l'index ..................................................................................... 50
Tableau 10 cas d'utilisation prélèvement de l'inde ................................................................................ 50
TABLE DE MATIERE
EPIGRAPHE ..................................................................................................................... i
DEDICACE ...................................................................................................................... ii
0. INTRODUCTION .................................................................................................. 1
0.1. ETAT DE LA QUESTION ...................................................................................... 1
0.2. PROBLEMATIQUE ................................................................................................ 2
0.3. QUESTIONS DE RECHERCHE ............................................................................. 2
0.4. HYPOTHESES ........................................................................................................ 2
0.5. OBJECTIF DU TRAVAIL ...................................................................................... 3
0.6. CHOIX ET INTERET DU SUJET .......................................................................... 3
0.7. METHODOLOGIE DU TRAVAIL ......................................................................... 3
0.7.1. METHODE ............................................................................................................ 3
0.7.2 TECHNIQUES ....................................................................................................... 4
0.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL ............................................................................... 4
BIBLIOGRAPHIE ......................................................................................................... 62
#include <SPI.h>
#include <RFID.h>
#include <ESP8266WiFi.h>
#include <ESP8266HTTPClient.h>
#include <WiFiClient.h>
#include <LiquidCrystal_I2C.h>
#include <Wire.h>
#define SS_PIN D2
#define RST_PIN D1
#define pompesysteme D0
float dataconsommationfloat;
String dataconsommationfloatstring;
// Setup variables:
int serNum0;
int serNum1;
int serNum2;
int serNum3;
int serNum4;
String num0 ;
String num1 ;
String num2 ;
String num3 ;
String num4 ;
String data;
int ouverture;
String datapost ;
float tempsdebuteau;
float tempsfineau;
float tempsconsommationeau;
float consommationreel ;
String consommationreelenstring ;
WiFiClient client01;
HTTPClient httpClient01;
void setup()
Wire.begin(D4 , D3);
lcd.begin();
lcd.setCursor(0,0);
lcd.setCursor(0,1);
lcd.print("CHARGEMENT");
for(int i=0;i<7;i++) {
lcd.setCursor(10+i,1);
lcd.print(".");
delay(400);
lcd.clear();
lcd.setCursor(0,0);
Serial.begin(9600);
pinMode(pompesysteme , OUTPUT);
digitalWrite(pompesysteme , LOW);
WiFi.begin(ssid , password);
lcd.setCursor(0,1);
lcd.print("NON CONNECTER");
Serial.print(".");
delay(500);
lcd.clear();
lcd.setCursor(0,0);
lcd.setCursor(0,1);
lcd.print("IP:");
lcd.setCursor(3,1);
lcd.print(WiFi.localIP());
delay (5000);
Serial.println(WiFi.localIP());
lcd.clear();
Serial.println();
Serial.println(WiFi.localIP());
SPI.begin();
rfid.init();
lcd.setCursor(0,0);
float eautempsreel;
float eautempsreelcontrol;
void loop() {
lcd.setCursor(0,1);
lcd.print("Q(l):");
lcd.setCursor(5,1);
lcd.print(dataconsommationfloat);
lcd.print(" ");
// envoiedata(infoconsommation);
if(puise == true) {
//puise = false;
Serial.println();
Serial.println();
Serial.println();
Serial.println(eautempsreelcontrol);
Serial.println();
Serial.println();
Serial.println();
eautempsreelcontrol=0;
dataconsommationfloatstring = dataconsommationfloat;
digitalWrite(pompesysteme , LOW);
envoiedata(dataconsommationfloatstring);
ouverture =0;
puise = false;
}
if ((WiFi.status() == WL_CONNECTED)) {
HTTPClient client;
// client.begin("http://jsonplaceholder.typicode.com/comments?id="+String(rnd));
client.begin("http://192.168.43.172:5000/compteur/0001");
if (httpCode > 0) {
String payloaddatadata;
Serial.println();
Serial.print (payload);
dataconsommationfloat = payloaddatadata.toFloat();
Serial.println(dataconsommationfloat);
Serial.println(dataconsommationfloat-1);
} else {
Serial.println ("Error httprequest");
if (dataconsommationfloat <= 0) {
digitalWrite(pompesysteme , LOW);
if (eautempsreelcontrol <= 0) {
digitalWrite(pompesysteme , LOW);
//
} else {
Serial.println("connexion lost");
if (rfid.isCard()) {
if (rfid.readCardSerial()) {
if (1) {
ouverture = ouverture + 1;
serNum0 = rfid.serNum[0];
serNum1 = rfid.serNum[1];
serNum2 = rfid.serNum[2];
serNum3 = rfid.serNum[3];
serNum4 = rfid.serNum[4];
num0 = serNum0;
num1 = serNum1;
num2 = serNum2;
num3 = serNum3;
num4 = serNum4;
Serial.print("data:");
Serial.println(data);
delay(2000);
if (dataconsommationfloat > 0) {
if ( ouverture == 1 ) {
digitalWrite(pompesysteme , HIGH);
puise = true;
tempsdebuteau = millis();
eautempsreel = tempsdebuteau;
if ( ouverture == 2 ) {
digitalWrite(pompesysteme , LOW);
puise = false;
ouverture = 0;
tempsfineau = millis();
consommationreel = tempsconsommationeau;
consommationreelenstring = consommationreel;
Serial.println();
Serial.println();
Serial.println(tempsconsommationeau);
envoiedata(consommationreelenstring);
delay(5000);
} else {
rfid.halt();
Serial.println(datapost);
httpClient01.begin(client01 , URL);
httpClient01.addHeader("Content-Type" , "application/x-www-form-urlencoded");
httpClient01.POST(datapost);
Serial.println(httpcodeerreur01);
if (httpcodeerreur01 > 0) {
Serial.println (content01);
Serial.println();
httpClient01.end();
Serial.println(content01);
Serial.println("data data");