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Imagerie du foie

1. Un patient de 90 ans, suivi en cardiologie pour des troubles de


rythme cardiaque porteur d’un pace maker et qui consulte pour des
douleurs de l’hypochondre droit avec fièvre faisant suspecter un
abcès hépatique
a) L’écho abdominale est l’examen de1ére intention
b) L’IRM peut être réalisé vu son caractère non irradiant
c) Le scanner peut mettre en évidence des lésions hypo denses qui
se rehaussent en périphérie
d) Le diagnostic différentiel peut parfois se poser avec une tumeur
e) Le tt peut être guidé par l’imagerie (drainage percutané)

2. Le foie est un organe


a) Qui peut être exploré que par le scanner
b) Organe d’exploration facile par écho
c) Peut-être exploré par IRM

3. Le kyste hydatique du foie s


a) Peut-être hypo iso échogène ou an échogène
b) Peut contenir des calcifications
c) Peut-être exploré par TDM hépatique

4. Le kyste hydatique du foie se traduit en écho par


a )Une image an échogène ds stade 1
b) Image an échogène ac décollement membranaire ds
stade 5
c) Une image kystique multi vésiculaire ds stade 3
d) Lésion calcifiée ds stade 2
e) Image pseudo tumorale ds stade 4
5. L’angiome hépatique est une tumeur bénigne du foie qui se
traduit par
a) Aspect an échogène ac renforcement postérieur
b) Aspect hypo dense qui rehausse en couronne périphérique
c) Prise de contraste en motte au tps artériel
d) Prise de contraste de la périphérie vers le centre
e) Remplissage complet au temps tardif
f) Se rehausse de façon centrifuge
6. Les métastases hépatiques sont les tumeurs malignes hépatiques
les plus fréquentes caractérises par
a) Lésion hyperéchogène entourée d’un halo hypo échogène
b) Lésion iso dense qui se rehausse en motte discontinue
c) Lésion an échogène
d) Lésion infiltrant mal limitée au scanner
e) Lésion totalement calcifiée
7. Une patiente de 80 ans, suivie pour une hépatite virale C lors
d’une écho de contrôle, on note un nodule hépatique
hyperéchogène
a) La 1ére hypothèse est un kyste hydatique pseudo tumoral
b) Echo est un examen très sensible pour un diagnostic étiologique
c) Le scanner et l’IRM examens de choix de caractérisation lésionnelle
d) Si le nodule est hyper vascularisé au tps artériel au scanner , le
diagnostic d’un carcinome hépato cellulaire est fort probable
e) L’IRM peut être réalisée pour un diagnostic de nature mm en cas
d’insuffisance rénale

Imagerie des vb

1. La cholécystite aigue s
a) Souvent d’origine lithiasique
b) Diagnostic facile par écho
c) Se manifeste par une paroi vésiculaire fine
d) Se manifeste par des lithiases vésiculaires
2. Le diagnostic échographique d’une cholécystite aigue repose sur l’un ou
plusieurs des signes suivants
a) Présence d’un calcul intravasculaire
b) Epaississement de la paroi vésiculaire au delà de 4 mm
c) Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques
d) Epaississement des voies biliaires intra hépatiques
e) Présence d’une image hyperéchogène avec cône d’ombre au niveau
du bas cholédoque
3. Dans l’exploration des voies biliaires laquelle ou lesquelles des
propositions sont justes
a) Asp est première intention
b) Echo est méthode non invasive est facile
c) Bili IRM est plus sensible que scanner
d) Opacification des voies biliaires est obligatoire avant tt acte
chirurgical
e) L’imagerie peut guider la mise en place d’une prothèse biliaire
4. Une patiente de 50 ans, opérée il y’a une semaine pour une lithiase
vésiculaire et qui consulte aux urgences pour une dyspnée d’installation
aigue
a) Le premier diagnostic a évoquer est la dissection vésiculaire
b) La scintigraphie pulmonaire est à réaliser en urgence
c) L’angioscanner peut montrer l’aspect en rail du thrombus au niveau
des artères pulmonaires
d) Une bili IRM est indispensable au diagnostic
5. Une patiente de 45 ans connue porteuse d’une lithiase vésiculaire de
20mm découverte de façon fortuite à l’occasion d’un écho et qui consulte en
urgence pour une douleur de l’hypochondre d avec fièvre
a) La BILI IRM est l’examen à demander en urgence
b) L’écho peut montrer une image hyperéchogène ac cone d’ombre
postérieur
c) La présence d’un épaississement de la paroi vésiculaire à l’écho
signe le diagnostic d’une cholécystite aigue lithiasique
d) Le scanner montre tjrs une lithiase vésiculaire dense
e) Le scanner est d’un grand intérêt si on suspecte des complications
6.Une patiente de 40 ans , présente des lithiases vésiculaires à l’echo abdo ,
complications
a) cholecystite aigue
b) cholecystite chronique
c) cancer VBP
d) Angiocholite
E) Pancréatite aigue
Pancréas

1. En matière de pancréatite aigue, le scanner est un examen


radiologique qui présente un intérêt ds les situations suivantes
a) Doit être réalisé dans les 48 à 72 h après le début
de la symptomatologie
b) Participe au score de gravité
c) Inferieur à l’échographie ds la mesure du
pourcentage de nécrose pancréatique
d) Permet de détecter les complications
e) Permet de guider les gestes de radio
interventionnelle
2. Parmi les signes radio de la pancréatite chronique
a) Hypertrophie globale du corps de pancréas
b) Coulées péri pancréatique
c) Dilatation du canal pancréatique principal
d) Lithiase bas cholédoque
e) Pseudo kyste retentionnel d’amont
3.Une patiente de 50 ans, suivie pour vésicule biliaire multi micro
lithiasique qui consulte en urgence pour une douleur épigastrique
transfixiante faisant suspecter une pancréatite aigue
a) Le 1er examen complémentaire pour confirmer le diagnostic est
bili IRM
b) Bilan biologique signe le diagnostic
c) Cliché de l’ASP peut être réalisé à la recherche de niveaux hydro
aériques
d) L’écho doit être réalisé en urgence pour chercher les lithiases
biliaires
e) Le scanner est d’un grand intérêt pour la stadifiation et si on
suspecte des complications
3. Pr Mahi
1. Exploration tube digestif
1. Dans l’exploration du tube digestif gh
a.echoendoscopie est l’examen de 1ére intention (endoscopie)
b.echoendoscopie permet un bilan d’extension à distance ( peri
digestif)
c.le but des examens radio est essentiellement un bilan d’extension
dans la patho tumorale
d.l’écho Trans pariétale peut être utile
2. Un patient de 65 ans, ancien tabagique et alcoolique qui consulte
pour des dysphagies d’installation progressive. On suspecte un
cancer de l’œsophage
a) L’examen para clinique à réaliser en premier est le
transit oeso-gastroduodénal
b) L’endoscopie digestive haute permet un bilan
d’extension précis
c) Le scanner thoraco abdominal permet un bilan
d’extension précis
d) Le scanner peut montrer un épaississement
circonférentiel de la paroi de l’œsophage
e) Le scanner peut mettre en évidence des images en
cocarde au niveau du foie
3 .Dans le cadre du cancer de l’œsophage s
a) L’endoscopie est un examen de 2eme intention
b) L’endoscopie permet un bilan d’extension à distance
c) Echoendoscopie permet un bilan d’extension pariétal
d) TOGD permet un bilan d’extension à distance
4 .Dans la maladie de Cohn s
a) L’entero IRM objective un épaississement régulier de la dernière
anse iléale
b) L’enteroscanner peut être utilisé dans le cadre du diagnostic
c) Le transit du grêle est l’examen de choix
d) L’échographie Trans pariétale peut être utile pour le diagnostic
5 .Dans le cancer du colon
a) L’entero IRM est l’examen de choix (colo)
b) La colo virtuelle peut être proposée pour un dépistage
c) Le scanner est la technique de choix du bilan d’extension de la
maladie
d) Le scanner montre mieux le processus tumoral et son
extension
6 .Dans l’appendicite aigue s
a) l‘echo permet souvent un diagnostic chez le sujet obèse (scanner)
b) Permet de rechercher l’épaississement de la paroi
appendiculaire= diagnostic appendicite + douleur o moment
d’introduire sonde
c) Le scanner est adapté aux situations de diagnostic difficile
d) L’IRM est l’examen de 1ere intention
7 .Dans les occlusions intestinales s
a) L’echo est l’examen de 1ere intention à la recherche d’un
épanchement (scanner)
b) Le scanner est l’examen de choix
c) Le scanner permet un diagnostic positif et étiologique
d) L’ASP est plus sensible que le scanner (ASP aucun intérêt)
8 .L’angiocholite
a) Un enclavement de calcul au niveau du siphon vésiculaire ( v b
principale)
b) Le diagnostic est purement radiologique (biologie juste pour
orienter) ?? ???faux
La TDM permet de localiser le calcul au niveau de la VBP ( IRM) ??G
juste
c) La bili IRM est l’examen de choix pour le diagnostic
(Cholécystite echo ---- angiocholite IRM)
8 .L’ischémie mésentérique d’origine veineuse s
d) Se traduit par une occlusion de la veine mésentérique inferieure
(supérieure)
e) Se traduit par une paroi digestive fine et non rehaussée ( épaisse
spontocarte)
f) Est une urgence diagnostique
g) Se traduit par un aspect en cible des parois du grêle
9 .Dans le cadre de la maladie de crohn
a) Le transit grêle permet une étude de la lumière intestinale, de la
paroi digestive et de la graisse péritonéale
b) L’enteroscanner est un examen sensible mais irradiant
c) L’entero IRM peut montrer un épaississement de la paroi grelique
d) Les fistules et les abcès sont des complications redoutables
e) L’entero IRM est une technique non irradiante qui permet
d’assurer une sur surveillance de la maladie sous tt médical
10 .Un patient de 76 ans, suivi pour constipation chronique et qui
consulte pour des rectorragies. Le toucher rectal est normal
a) Le premier diagnostic à évoquer est le cancer colique
b) L’examen radio de choix à demander est le lavement baryté
c) La coloscopie optique est indiquée permettant une étude de la
lumières colique et de réaliser d’éventuelles biopsies
d) Le bilan d’extension loco régional est mieux étudié par echo
abdominale en cas de patho tumorale
e) L’entero IRM peut être indiquée
11 .Une patiente de 65 ans, consulte en urgence pour une douleur
de la fosse iliaque droite avec fièvre. Le bilan biologique est
subnormal
Une appendicite aigue est suspectée
a) Le cliché de l’ASP doit être réalisé à la recherche d’un
stercolithe
b) L’echo peut montrer un épaississement de la paroi
appendiculaire dépassant 6 mm
c) L’echo peut montrer une appendice apéristaltique
d) Le scanner est indiqué dans tous les cas pour confirmer le
diagnostic
e) Le scanner est d’un grand intérêt si on suspecte des
complications à type d’abcès ou de perforation
12 .Un patient de 50 ans, opéré il y’a 20 ans pour un ulcère
duodénal et consulte aux urgences pour des douleurs abdominales
avec arrêt des matières et des gaz
a) Le 1er diagnostic à évoquer est une occlusion intestinale
b) Le cliché de l’ASP est plus sensible que le scanner pour
une orientation diagnostique
c) Le scanner peut objectiver une distension des anses
digestives avec niveaux hydro aériques
d) Le scanner peut montrer un obstacle colique tumoral
e) L’échographie est moins sensible que le scanner dans la
recherche étiologique
13 .L’entero IRM est une technique d’exploration de l’intestin grêle
qui présente une ou plusieurs des caractéristiques suivantes
a) Technique irradiante
b) Technique qui présente une bonne résolution en
contraste
c) C’est un examen qui permet une étude de la
paroi de l’intestin grêle et de la graisse
péritonéale
d) C’est un examen qui montre une amputation du
bas fond caecal avec fistules dans les
tuberculoses intestinale
e) C’est une technique qui montre un
épaississement de la dernière anse iléale avec
prise de contraste dans la maladie de crohn
14 .Le bilan d’extension du cancer de l’estomac est réalisé par le ou
les examens suivants
a) L’echoendoscopie gastrique
b) La scintigraphie osseuse
c) L’echo abdominale
d) Le transit oesogastro duodénal
e) La TDM thoraco abdominale
15 .Parmi les signes radio de la tuberculose intestinale sur
l’enteroscanner ou l’entero IRM, on note le ou les signes suivants
a) Epaississement de la valvule iléo caecale
b) Des images de rétrécissement et de
dilatation des dernières anses iléales
c) Des adénomégalies à centre nécrosé ?????
d) Un épaississement diffus du colon
e) Des fistules
16 .Quels sont les signes caractéristiques de la sténose
hypertrophique du pylore à l’echo
a) Une ouverture du canal pylorique avec passage
duodénal
b) Une image en cocarde sur la coupe transversale
c) Un épaississement hypo échogène du muscle pylorique
d) Un diamètre de l’olive pylorique inférieur à 10 mm
e) Une épaisseur du muscle pylorique >3mm
17 .Les signes échographiques d’une appendicite chez l’enfant
sont :
a) Un appendice d’épaisseur >3 mm
b) Un épaississement de la dernière
anse iléale
c) Une hypo vascularisation de
l’appendice au doppler
d) Une collection appendiculaire à
conteu impur
e) Un épanchement péritonéal
échogène
18 .Pancréatite : clinique, biologie et étiologie
Clinique : douleur épigastrique brutale, nausée, vomissements
Biologie : hyperamylasémie – hyperlypasémie
Etiologie : migration lithiase vésiculaire
Intoxication alcoolique
19 .Pancréatite : scanner = exam de référence, grades
A : 0 pancréas normal
B : élargissement glandulaire
C : infiltration graisse
D : 1 collection nécrotique
E : plusieurs collections nécrotiques
20 .Devant un syndrome occlusif, quels sont les éléments à
rechercher en imagerie
a) Confirmation du diagnostic d’occlusion
b) Lithiase vésiculaire
c) Siège de l’occlusion
d) Globe vésical
e) le caractère organique de l’occlusion ???
21 .Quels sont les signes écho de la cholécystite aigue ?
a) Abcès hématique
b) Dilatation des VBIH (angiocholite)
c) Paroi vésiculaire épaissie
d) Une vésicule biliaire distendue >4cm
e) Présence de calculs
f) Douleur au passage de la sonde
g) Présence de lithiase vésiculaire
h) Présence de stéatose hépatique
i) Une vésicule à contenu transonore
22 .Quelle est la principale indication actuelle du transit oeso gastro
duodénal à la baryte
a) L’ingestion de corps étranger
b) Sténoses infranchissables par fibro
c) Œsophagite caustique ???
d) Patho tumorale de l’estomac
e) Perforation de l’ulcère gastrique
23. Quelle est la principale indication actuelle de l’angiographie
coelio mésentérique
a) Tumeurs du grêle
b) Thromboses portales
c) Occlusions digestives
d) Crohn
e) Hémorragie digestive abondante
24 .Quel est l’examen radio à prescrire en 1 er chez un patient
suspect d’occlusion digestive ?
a) Radio thorax de face
b) Radio de l’abdomen sans préparation de face couché
c) Radio thoracique de face debout prenant les coupoles
d) Radio de l’abdomen sans préparation de face debout
e) Lavement baryté
25 .Dans les pancréatites aigues, les buts de l’imagerie sont ???
a) Préciser la gravité
b) Rechercher une étiologie, en particulier la lithiase biliaire
c) Suivi évolutif
d) Guetter des complications
e) Guider d’éventuels gestes interventionnels (ponction d’abcès…

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