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17 mai 2021

TOUR COMMANDO UROLOGIE

Pr Gregoire ROBERT
Dr Maxime DESLANDES
Louis GOBINET (gobinetlouis@gmail.com)

Les éléments suivants doivent faire évoquer le diagnostic de


tumeur de vessie chez un patient qui vient de présenter une
hématurie :

a. présence de caillots
b. renforcement terminal
c. impériosité mictionnelle
d. antécédent de radiothérapie pour cancer de prostate
e. antécédent de néphro-urétérectomie pour tumeur
urothéliale du haut appareil

Les éléments suivants doivent faire évoquer le diagnostic de


tumeur de vessie chez un patient qui vient de présenter une
hématurie :

a. présence de caillots
b. renforcement terminal
c. impériosité mictionnelle
d. antécédent de radiothérapie pour cancer de prostate
e. antécédent de néphro-urétérectomie pour tumeur
urothéliale du haut appareil

Un patient de 56 ans, fumeur à 25 PA, est adressé à votre consultation d’urologie


pour un épisode d’hématurie macroscopique .
Quel(s) examen(s) sont à réaliser en première intention chez ce patient ?

a. Cytologies urinaires
b. ECBU
c. UroTDM
d. Cystoscopie
e. RTUV

Un patient de 56 ans, fumeur à 25 PA, est adressé à votre consultation d’urologie


pour un épisode d’hématurie macroscopique .
Quel(s) examen(s) sont à réaliser en première intention chez ce patient ?

a. Cytologies urinaires
b. ECBU
c. UroTDM
d. Cystoscopie
e. RTUV

Un patient de 56 ans, fumeur à 25 PA, est adressé à votre consultation d’urologie pour un épisode d’hématurie
macroscopique .
La RTUV a mis en évidence un carcinome urothélial de stade pT1.
Quelle est votre prise en charge?

a. Réalisation d’un uroTDM


b. Réalisation d’une scintigraphie osseuse
c. RTUV de second look à 4-6 semaines
d. Cystectomie
e. Instillations endovésicales (BCG, Mitomycine)

Un patient de 56 ans, fumeur à 25 PA, est adressé à votre consultation d’urologie pour un épisode d’hématurie
macroscopique .
La RTUV a mis en évidence un carcinome urothélial de stade pT1.
Quelle est votre prise en charge?

a. Réalisation d’un uroTDM


b. Réalisation d’une scintigraphie osseuse
c. RTUV de second look à 4-6 semaines
d. Cystectomie
e. Instillations endovésicales (BCG, Mitomycine)

Indications de resection de second look :

- Stade pT1
- Résection incomplete
- Absence de muscle sur les copeaux de résection

Tumeurs vésicales

Clinique : hématurie ++ (terminale)


FDR : tabac +++, expositions Pollakiurie, impériosité
professionnelles, cyclophosfamide, LYNCH,
bilharzioze (carcinome épidermoide) EC : 1. Cytologies urinaires, cystoscopie
2. RTUV

TVNIM : TVIM :

Bilan d’extension : UroTDM Bilan d’extension : TDM TAP

TTT : RTUV + Second look si haut grade ou T1 TTT : CPT/ Pelvectomie antérieure
Instillations endovésicales +/- Chimiothérapie

Suivi : Cytologies, cystoscopies Suivi : Cytologies, cystoscopies


Uro TDM TDM TAP

La classification de D’Amico a pour objectif de définir des groupes de risque dans une
population de patients porteurs d’un cancer de prostate. Elle prend en compte les éléments
suivants :

a. le taux de PSA initial


b. les signes fonctionnels urinaires
c. le score de Gleason des biopsies
d. les données du toucher rectal
e. la présence de métastases

La classification de D’Amico a pour objectif de définir des groupes de risque dans une
population de patients porteurs d’un cancer de prostate. Elle prend en compte les éléments
suivants :

a. le taux de PSA initial


b. les signes fonctionnels urinaires
c. le score de Gleason des biopsies
d. les données du toucher rectal
e. la présence de métastases

Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son
médecin traitant pour une élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome
Gleason 7 (4+3)

Quels sont les examens complémentaires recommandés chez ce patient ?

a. Aucun examen systématique


b. IRM pelvienne
c. TDM TAP
d. Scintigraphie osseuse
e. TEP Choline

Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son
médecin traitant pour une élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises.
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome
Gleason 7 (4+3)

Quels sont les examens complémentaires recommandés chez ce patient ?

a. Aucun examen systématique


b. IRM pelvienne
c. TDM TAP
d. Scintigraphie osseuse
e. TEP Choline

Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son médecin traitant pour une
élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises.
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome Gleason 7 (4+3)
L’IRM pelvienne ne retrouve pas d’adénomégalie suspecte ou d’envahissement des organes de voisinage. La scintigraphie osseuse
est normale.

Quels traitements sont envisageables chez ce patient ?

a. Surveillance active
b. Prostatectomie totale
c. Radio-hormonothérapie
d. Abstension-surveillance
e. Curithérapie

Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son médecin traitant
pour une élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises.
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome Gleason 7 (4+3)
L’IRM pelvienne ne retrouve pas d’adénomégalie suspecte ou d’envahissement des organes de voisinage. La scintigraphie
osseuse est normale.

Quels traitements sont envisageables chez ce patient ?

a. Surveillance active
b. Prostatectomie totale
c. Radio-hormonothérapie
d. Abstension-surveillance
e. Curithérapie

Vous suivez depuis plusieurs années un patient de 73 ans, pour un cancer de prostate, traité initialement
par prostatectomie totale, actuellement métastatique sous hormonothérapie.

Lors de la derniere consultation de suivi, le patient se plaint de douleurs lombaires. Le PSA était à 25 ng/
mL. Vous confirmez cette valeur par un deuxieme dosage. La testostéronémie est à 35 ng/dL (N < 50 ng/
dL)

Quelles sont les options thérapeutiques possibles ?

a. Poursuite de l’hormonothérapie seule


b. Adjonction d’une chimiothérapie à l’hormonothérapie
c. Remplacer l’hormonothérapie par une chimiothérapie
d. Remplacer l’hormonoTTT de 1ere génération par une
hormonoTTT de deuxieme génération
e. Adjonction d’une hormonoTTT de 2eme génération à
l’hormonoTTT de première génération

Vous suivez depuis plusieurs années un patient de 73 ans, pour un cancer de prostate, traité initialement
par prostatectomie totale, actuellement métastatique sous hormonothérapie.

Lors de la derniere consultation de suivi, le patient se plaint de douleurs lombaires. Le PSA était à 25 ng/
mL. Vous confirmez cette valeur par un deuxieme dosage. La testostéronémie est à 35 ng/dL (N < 50 ng/
dL)

Quelles sont les options thérapeutiques possibles ?

a. Poursuite de l’hormonothérapie seule


b. Adjonction d’une chimiothérapie à l’hormonothérapie
c. Remplacer l’hormonothérapie par une chimiothérapie
d. Remplacer l’hormonoTTT de 1ere génération par une
hormonoTTT de deuxieme génération
e. Adjonction d’une hormonoTTT de 2eme génération à
l’hormonoTTT de première génération

Prise en charge du KP métastatique :

TTT de référence : Hormonothérapie au long cours.

Résistance à la castration :

progression clinique/biochimique/radiologique + Testostérone < 50 ng/dL

Adjonction à l’hormonothérapie d’une

- Chimiothérapie : docetaxel + corticoides

OU

- Hormonothérapie de 2eme génération : Acétate d’abiratérone + corticoides, enzalutamide.


La prostatectomie totale pour cancer peut avoir pour


conséquence :

a. une dysfonction érectile


b. une éjaculation rétrograde
c. une éjaculation précoce
d. une azoospermie
e. une anéjaculation

La prostatectomie totale pour cancer peut avoir pour


conséquence :

a. une dysfonction érectile


b. une éjaculation rétrograde
c. une éjaculation précoce
d. une azoospermie
e. une anéjaculation

Le blocage androgénique en traitement de première intention du


cancer de prostate métastatique peut être initié selon les modalités
suivantes :

a. orchidectomie bilatérale
b. pulpectomie bilatérale
c. analogue de LH-RH seuls
d. antagonistes de LH-RH seuls
e. œstrogénothérapie

Le blocage androgénique en traitement de première intention du


cancer de prostate métastatique peut être initié selon les modalités
suivantes :

a. orchidectomie bilatérale
b. pulpectomie bilatérale
c. analogues de LH-RH seuls
d. antagonistes de LH-RH seuls
e. œstrogénothérapie

CANCER DE LA PROSTATE
FDR : age, ATCD familial, afro-antillais, BRCA

Dépistage individuel: TR + PSA / 2 ans -> 45 ans si FDR / 50 ans sans FDR , jusqu’a 75 ans

Clinique : Asympto +++ (élévation PSA), troubles urinaires, hématurie, hémospermie, signes d’extension.

Diagnostic : Biopsies : 12, Anesthésie locale, ATB pré op par FQ (C3G si CI).
-> Complications : RAU, hémorragie, douleurs, hypoTA, prostatite.

Rechute après traitement local:


Apres PT : PSA > 0,2 ng/dL
Apres RadioTTT : PSA > nadir + 2

Les carcinomes à cellules rénales regroupent les sous-types


histologiques suivants :

a. carcinome à cellules claires


b. carcinome tubulo-papillaire
c. adénocarcinome lieberkuhnien
d. carcinome épidermoïde
e. carcinome chromophobe

Les carcinomes à cellules rénales regroupent les sous-types


histologiques suivants :

a. carcinome à cellules claires


b. carcinome tubulo-papillaire
c. adénocarcinome lieberkuhnien
d. carcinome épidermoïde
e. carcinome chromophobe

Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des facteurs de risque


de tumeur rénale ?

a. Insuffisance rénale chronique


b. Tabac
c. ATCD de tumeur de la voie excrétrice supérieure
d. HTA
e. Obésité

Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des facteurs de risque


de tumeur rénale ?

a. Insuffisance rénale chronique


b. Tabac
c. ATCD de tumeur de la voie excrétrice supérieure
d. HTA
e. Obésité

+ Syndromes héréditaires :

VHL,
Leiomyomatose,
Birt Hogg Dube,
Sclerose tubereuse de Bourneville,
cancer papillaire hereditaire (MET)

Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des facteurs


pronostiques des tumeurs rénales ?

a. TNM
b. Grade de Fuhrman (ISUP)
c. L’altération de la fonction rénale
d. Stade OMS
e. Obésité

Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des facteurs


pronostiques des tumeurs rénales ?

a. TNM
b. Grade de Fuhrman (ISUP)
c. L’altération de la fonction rénale
d. Stade OMS
e. Obésité

TUMEURS RENALES

Clinique : Asympto +++, hématurie totale, anémie/polyglobulie, hyperCa, Varicocèle gauche


Sd de Stauffer : hépatomégalie + cholestase, sans métastase hépatique

Diagnostic : Echographie, uroTDM

Extension : TDM TAP

Une des seules tumeurs ou une anapath pré thérapeutique n’est pas systématique !

Biopsie : Doute diagnostique, ATCD d’autre cancer, Métastatique

TTT : - Localisé : néphrectomie partielle (T1/T2) Vs totale (T3/T4)


- Métastatique : Antiangiogéniques, inhibiteurs de mTor, imunothérapie
-> jamais de chimio
Lésions kystiques : Bosniak I/II : 0 Lésions bénignes (femmes++):
Bosniak II F : Surveillance
Bosniak III/IV : chirurgie -Oncocytome
-Angiomyolipome (Bourneville)

Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des facteurs de risque


de tumeur testiculaire ?

a. Cryptorchidie
b. Infertilité
c. Trisomie 21
d. Syndrome de l’X fragile
e. Microlithiases testiculaires

Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des facteurs de risque


de tumeur testiculaire ?

a. Cryptorchidie
b. Infertilité
c. Trisomie 21
d. Syndrome de l’X fragile
e. Microlithiases testiculaires

+ Syndrome de Klinefelter, hypospadia, atrophie testiculaire


Vous recevez un patient de 36ans en consultation pour apparition d’une masse testiculaire
droite, indolore, augmentant de volume. Le signe de Chevassu est positif. Vous suspectez un
cancer du testicule.

Parmi les éléments de prise en charge suivant, lesquels sont à réaliser en première intention?

a. CECOS
b. Dosage des marqueurs testiculaires
c. Orchidectomie par voie scrotale
d. TDM TAP
e. Biopsie testculaire percutanée

Vous recevez un patient de 36ans en consultation pour apparition d’une masse testiculaire droite,
indolore, augmentant de volume.Le signe de Chevassu est positif. Vous suspectez un cancer du testicule.

Parmi les éléments de prise en charge suivant, lesquels sont à réaliser en première intention?

a. CECOS
b. Dosage des marqueurs testiculaires
c. Orchidectomie par voie scrotale -> INGUINALE !
d. TDM TAP
e. Biopsie testiculaire percutanée

Marqueurs : HCG total (choriocarnicome, 10-20% des séminomes),


AFP (carcinome embryonnaire, tumeurs vitellines),
LDH

A réaliser en pré ET post opératoire !


C’est la valeur post opératoire qui fait foi pour les classifications.

Un patient de 26 ans vient de subir une orchidectomie avec un diagnostic de tumeur


germinale non séminomateuse affirmé par l’anatomo-pathologie. Le scanner ne montre
aucune image anormale, ni au niveau abdominal, ni au niveau thoracique. A J7 post-
opératoire, l’alpha-foeto-protéine (AFP) est encore à 122 ng/ml (Normale > 10) alors qu’elle
était à 390 ng/ml lors du bilan initial.
Quelle est votre attitude ?

a. Radiothérapie externe lombo-aortique


b. TEP-FdG
c. Chimiothérapie par BEP
d. Curage ganglionnaire rétro péritonéal
e. Nouveau dosage d’AFP à J14 et J21

Un patient de 26 ans vient de subir une orchidectomie avec un diagnostic de tumeur


germinale non séminomateuse affirmé par l’anatomo-pathologie. Le scanner ne montre
aucune image anormale, ni au niveau abdominal, ni au niveau thoracique. A J7 post-
opératoire, l’alpha-foeto-protéine (AFP) est encore à 122 ng/ml (Normale > 10) alors qu’elle
était à 390 ng/ml lors du bilan initial.
Quelle est votre attitude ?

a. Radiothérapie externe lombo-aortique


b. TEP-FdG
c. Chimiothérapie par BEP
d. Curage ganglionnaire rétro péritonéal
e. Nouveau dosage d’AFP à J14 et J21

Tumeurs du testicule Survie 5 ans > 95 %

Histologie :

Germinale (90%) : séminomateuse (45%) / non séminomateuse (55%) : choriocarcinome,tératome


carcinome embryonnaire, tumeur vitelline
Non germinale (10%): leydig, sertoli, lymphome,

Clinique : grosse bourse, indolore, signe de Chevassu positif,

Examens de 1ere intention : TTT : Orchidectomie


- Echo scrotale
- CECOS Si M+ : chimiothérapie BEP (bléomycine,
- Marqueurs pré et post orchidectomie étoposide, Platine)
- Orchidectomie voie inguinale -> Radio thorax, EFR
- TDM TAP

Les stades localisés sont définis par des marqueurs post orchidectomie et un TDM TAP
normaux

Quels examens sont systématiques dans le bilan initial d’une HBP ?

a. PSA
b. Créatinine
c. Echographie des voies urinaires
d. ECBU
e. Aucun examen systématique


Quels examens sont systématiques dans le bilan initial d’une HBP ?

a. PSA
b. Créatinine
c. Echographie des voies urinaires
d. ECBU
e. Aucun examen systématique


Les risques évolutifs de l’HBP sur le long terme sont représentés par :

a. la distension vésicale
b. le retentissement sur le haut appareil urinaire
c. la compression du rectum
d. Hernie inguinale
e. l’insuffisance rénale chronique obstructive


Les risques évolutifs de l’HBP sur le long terme sont représentés par :

a. la distension vésicale
b. le retentissement sur le haut appareil urinaire
c. la compression du rectum
d. Hernie inguinale
e. l’insuffisance rénale chronique obstructive

Complications aigues : RAU, infection urinaire, hématurie, IRA obstructive

Complications chroniques : Rétention chronique, lithiase de stase, hernie, IRC


Dans le cadre de l’HBP les traitements alpha-bloquants peuvent avoir


pour conséquence les effets indésirables suivants :

a. hypotension orthostatique
b. troubles de l’accommodation
c. sécheresse buccale
d. dysfonction érectile
e. éjaculation rétrograde


Dans le cadre de l’HBP les traitements alpha-bloquants peuvent avoir
pour conséquence les effets indésirables suivants :

a. hypotension orthostatique
b. troubles de l’accommodation
c. sécheresse buccale -> anticholinergiques
d. dysfonction érectile -> Inhibiteurs 5 alpha reductase
e. éjaculation rétrograde

HBP
PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE

Abstenstion surveillance : HBP non compliquée + SBAU minimes


Diminution des apports hydriques apres 18h, diminution des excitants (café, OH), TTT d’une
constipation éventuelle

TTT médical : SBAU modérés/sévères

Alphabloquant : efficacité rapide


EI : hypotension orthostatique, troubles de l’accomodation, Ejaculation rétrograde

I5AR : efficacité lente, dimiution du PSA par 2, diminution volume prostatique 20%
EI : baisse de libido, trouble d’éjaculation, gynécomastie

Phytothérapie, IPDE5

TTT chirurgical : SBAU résistant au TTT médical, HBP compliquée


EI : Ejaculation rétrograde, hématurie, infection, RAU, sténose uretre

Un premier épisode de RAU (avec sevrage de sonde réussi), d’hématurie ou d’infection


urinaire n’est pas une indication a un traitement chirurgical.

Quelles sont les contre indications absolues à la pose d’un catheter sus pubien ?

a. Cicatrices de laparotomie
b. Pontage fémoro-fémoral croisé
c. Patient sous anticoagulant
d. Absence de globe vésical
e. Hématurie

Quelles sont les contre indications absolues à la pose d’un catheter sus pubien ?

a. Cicatrices de laparotomie
b. Pontage fémoro-fémoral croisé
c. Patient sous anticoagulant
d. Absence de globe vésical
e. Hématurie

Une contre indication au sondage urétral : fracture du bassin chez un


polytraumatisé avec uretrorragie

Concernant la vasectomie à visée contraceptive :

a. Le délai de réflexion réglementaire est de quatre mois


b. Une cryoconservation du sperme doit être proposée au
préalable
c. La vasectomie consiste à sectionner l’artère du canal
déférent
d. La vasectomie ne modifie pas le volume de l'éjaculation
e. La stérilisation est effective au terme d’un délai de 1
mois

Concernant la vasectomie à visée contraceptive :

a. Le délai de réflexion réglementaire est de quatre mois


b. Une cryoconservation du sperme doit être proposée au
préalable
c. La vasectomie consiste à sectionner l’artère du canal
déférent
d. La vasectomie ne modifie pas le volume de l'éjaculation
e. La stérilisation est effective au terme d’un délai de 1
mois -> 3 mois (contrôle spermogramme)

En présence d’un syndrome douloureux abdominal, les éléments


suivants sont en faveur du diagnostic de colique néphrétique :

a. agitation
b. douleur transfixiante
c. bilatéralité
d. irradiation à la face interne de la cuisse
e. hématurie microscopique à la bandelette

En présence d’un syndrome douloureux abdominal, les éléments


suivants sont en faveur du diagnostic de colique néphrétique :

a. agitation
b. douleur transfixiante
c. bilatéralité
d. irradiation à la face interne de la cuisse
e. hématurie microscopique à la bandelette

Parmi les types de calculs suivants, lesquels sont favorisés par un


pH urinaire acide?

a. Cystine
b. Phosphocalcique
c. Phosphoamoniacomagnésien (struvite)
d. Urique
e. Oxalocalcique

Parmi les types de calculs suivants, lesquels sont favorisés par un


pH urinaire acide?

a. Cystine
b. Phosphocalcique
c. Phosphoamoniacomagnésien (struvite)
d. Urique
e. Oxalocalcique

Parmi les éléments suivants, lesquels doivent motiver une


hospitalisation dans un contexte de colique néphrétique ?

a. IRA
b. Patient toujours algique malgré AINS intra veineux
c. Fièvre
d. Oligoanurie
e. Hématurie macroscopie

Parmi les éléments suivants, lesquels doivent motiver une


hospitalisation dans un contexte de colique néphrétique ?

a. IRA
b. Patient toujours algique malgré AINS intra veineux
c. Fièvre
d. Oligoanurie
e. Hématurie macroscopie

-> CN hyper algique : Persistance des douleurs malgré une titration morphinique

La survenue d’une pyélonéphrite aigüe en rapport avec l’enclavement


d’un calcul urétéral de 9 mm chez une patiente de 40 ans sans
antécédent notable nécessite en urgence les décisions suivantes :

a. hospitalisation
b. C3G probabiliste par voie intraveineuse
c. aminoside par voie intraveineuse
d. drainage de la voie excrétrice
e. extraction du calcul par urétéroscopie


La survenue d’une pyélonéphrite aigüe en rapport avec l’enclavement
d’un calcul urétéral de 9 mm chez une patiente de 40 ans sans
antécédent notable nécessite en urgence les décisions suivantes :

a. hospitalisation
b. C3G probabiliste par voie intraveineuse
c. aminoside par voie intraveineuse
d. drainage de la voie excrétrice
e. extraction du calcul par urétéroscopie


Prise en charge des calculs
• En urgence :

• Sonde JJ
• Sonde urétérale
• Néphrostomie percutanée

=/=

• A distance :

• Ureteroscopie
• Lithotritie extracorporelle
• Nephrolithotomie percutanée (NLPC)

Les éléments suivants sont en faveur d’une torsion du cordon spermatique en cas de
bourse douloureuse sur le mode aigu apparue deux heures auparavant :

a. bourse trans illuminable


b. testicule ascensionné
c. côté opposé normal
d. température normale
e. signe de Prehn positif


Les éléments suivants sont en faveur d’une torsion du cordon spermatique en cas de
bourse douloureuse sur le mode aigu apparue deux heures auparavant :

a. bourse trans illuminable


b. testicule ascensionné (+++)
c. côté opposé normal
d. température normale
e. signe de Prehn positif


Les éléments suivants sont compatibles avec le diagnostic d’incontinence urinaire par insuffisance sphinctérienne :

a. fuites en goutte à goutte permanent


b. fuites à l’effort
c. fuites sur impériosité mictionnelle
d. sensibilisation au bruit ou à la vue de l‘eau qui coule
e. abaissement de la pression de clôture urétrale au bilan
urodynamique


Les éléments suivants sont compatibles avec le diagnostic d’incontinence urinaire par insuffisance sphinctérienne :

a. fuites en goutte à goutte permanent


b. fuites à l’effort
c. fuites sur impériosité mictionnelle
d. sensibilisation au bruit ou à la vue de l‘eau qui coule
e. abaissement de la pression de clôture urétrale au bilan
urodynamique


Vous suivez une patiente paraplégique post traumatique pour un problème d’incontinence
urinaire par hyperactivité vésicale. Les traitements médicamenteux sont inefficaces. Quelles
options thérapeutiques pourriez-vous envisager?

a. Injection intradétrusorienne de toxine botulique


b. Implantation d’un sphincter urinaire artificiel
c. Neuromodulation sacrée
d. Pose d’une bandelette sous urétrale
e. Mise en place de ballonets périurétraux

Vous suivez une patiente paraplégique post traumatique pour un problème d’incontinence
urinaire par hyperactivité vésicale. Les traitements médicamenteux sont inefficaces. Quelles
options thérapeutiques pourriez-vous envisager?

a. Injection intradétrusorienne de toxine botulique


b. Implantation d’un sphincter urinaire artificiel
c. Neuromodulation sacrée
d. Pose d’une bandelette sous urétrale
e. Mise en place de ballonets périurétraux

INCONTINENCE URINAIRE

IU d’effort IU par hyperactivité vésicale


(pas d’urgenturie) (urgenturie)
NB : Pas de TTT médicamenteux efficace

Hyper mobilité Insuffisance


urétrale sphinctérienne
TTT médicamenteux 1ere intention :

Anti cholinergiques
Agonistes B3
Manoeuvres Ulmstem/Bonney Manoeuvre Ulmstem/Bonney
positives négatives

TTT chirurgical :
TTT : Sphincter artificiel,
TTT : bandelettes ballonets péri urétraux, Neuromodulation sacrée
sous urétrales agents comblants Injections de Botox

Les éléments suivants définissent un ganglion suspect au niveau rétro péritonéal chez
un patient qui présente une tumeur de l’appareil urinaire :

a. grand axe > 1cm


b. petit axe > 1cm
c. densité tissulaire
d. forme polylobée
e. augmentation de taille aux contrôles successifs


Les éléments suivants définissent un ganglion suspect au niveau rétro péritonéal chez
un patient qui présente une tumeur de l’appareil urinaire :

a. grand axe > 1cm


b. petit axe > 1cm
c. densité tissulaire
d. forme polylobée
e. augmentation de taille aux contrôles successifs


Un patient de 65 ans consulte pour des troubles à type de diminution de la force du jet.
Les affections suivantes peuvent entraîner des symptômes de la phase mictionnelle :

a. Hypocontractilité vésicale
b. Hyperactivité détrusorienne
c. Diverticule vésical de gros volume
d. Hypertrophie bénigne de prostate
e. Rétrécissement urétral



Un patient de 65 ans consulte pour des troubles à type de diminution de la force du jet.
Les affections suivantes peuvent entraîner des symptômes de la phase mictionnelle :

a. Hypocontractilité vésicale
b. Hyperactivité détrusorienne
c. Diverticule vésical de gros volume
d. Hypertrophie bénigne de prostate
e. Rétrécissement urétral



Chez un patient consultant pour une dysfonction érectile, quels éléments
parmi les suivants sont en faveur d’une cause organique ?

a. Disparition des érections nocturnes


b. Début brutal
c. Conservation de la libido
d. Conflits conjugaux
e. Absence d’éjaculation


Chez un patient consultant pour une dysfonction érectile, quels éléments
parmi les suivants sont en faveur d’une cause organique ?

a. Disparition des érections nocturnes


b. Début brutal
c. Conservation de la libido
d. Conflits conjugaux
e. Absence d’éjaculation


La prescription d’un IPDE5 dans la prise en charge de la dysfonction
érectile :

a. nécessite toujours un avis cardiologique au préalable


b. peut être associée à un traitement anti hypertenseur
c. peut être associée à un vasodilatateur coronarien
d. est possible en première intention quelle que soit l’étiologie
e. est susceptible d’améliorer les troubles mictionnels du
patient

La prescription d’un IPDE5 dans la prise en charge de la dysfonction


érectile :

a. nécessite toujours un avis cardiologique au préalable


b. peut être associée à un traitement anti hypertenseur
c. peut être associée à un vasodilatateur coronarien
d. est possible en première intention quelle que soit l’étiologie
e. est susceptible d’améliorer les troubles mictionnels du
patient

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