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Pr Gregoire ROBERT
Dr Maxime DESLANDES
Louis GOBINET (gobinetlouis@gmail.com)
a. présence de caillots
b. renforcement terminal
c. impériosité mictionnelle
d. antécédent de radiothérapie pour cancer de prostate
e. antécédent de néphro-urétérectomie pour tumeur
urothéliale du haut appareil
a. présence de caillots
b. renforcement terminal
c. impériosité mictionnelle
d. antécédent de radiothérapie pour cancer de prostate
e. antécédent de néphro-urétérectomie pour tumeur
urothéliale du haut appareil
a. Cytologies urinaires
b. ECBU
c. UroTDM
d. Cystoscopie
e. RTUV
a. Cytologies urinaires
b. ECBU
c. UroTDM
d. Cystoscopie
e. RTUV
Un patient de 56 ans, fumeur à 25 PA, est adressé à votre consultation d’urologie pour un épisode d’hématurie
macroscopique .
La RTUV a mis en évidence un carcinome urothélial de stade pT1.
Quelle est votre prise en charge?
Un patient de 56 ans, fumeur à 25 PA, est adressé à votre consultation d’urologie pour un épisode d’hématurie
macroscopique .
La RTUV a mis en évidence un carcinome urothélial de stade pT1.
Quelle est votre prise en charge?
- Stade pT1
- Résection incomplete
- Absence de muscle sur les copeaux de résection
Tumeurs vésicales
TVNIM : TVIM :
TTT : RTUV + Second look si haut grade ou T1 TTT : CPT/ Pelvectomie antérieure
Instillations endovésicales +/- Chimiothérapie
La classification de D’Amico a pour objectif de définir des groupes de risque dans une
population de patients porteurs d’un cancer de prostate. Elle prend en compte les éléments
suivants :
La classification de D’Amico a pour objectif de définir des groupes de risque dans une
population de patients porteurs d’un cancer de prostate. Elle prend en compte les éléments
suivants :
Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son
médecin traitant pour une élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome
Gleason 7 (4+3)
Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son
médecin traitant pour une élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises.
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome
Gleason 7 (4+3)
Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son médecin traitant pour une
élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises.
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome Gleason 7 (4+3)
L’IRM pelvienne ne retrouve pas d’adénomégalie suspecte ou d’envahissement des organes de voisinage. La scintigraphie osseuse
est normale.
a. Surveillance active
b. Prostatectomie totale
c. Radio-hormonothérapie
d. Abstension-surveillance
e. Curithérapie
Vous recevez à votre consultation d’urologie un patient de 61 ans, sans antécédent, adressé par son médecin traitant
pour une élévation du PSA à 8 ng/mL controlé à deux reprises.
Le toucher rectal retrouve un nodule pierreux de la partie inférieure du lobe droit.
Vous décidez de réaliser des biopsies prostatiques qui reviennent positives pour un adénocarcinome Gleason 7 (4+3)
L’IRM pelvienne ne retrouve pas d’adénomégalie suspecte ou d’envahissement des organes de voisinage. La scintigraphie
osseuse est normale.
a. Surveillance active
b. Prostatectomie totale
c. Radio-hormonothérapie
d. Abstension-surveillance
e. Curithérapie
Vous suivez depuis plusieurs années un patient de 73 ans, pour un cancer de prostate, traité initialement
par prostatectomie totale, actuellement métastatique sous hormonothérapie.
Lors de la derniere consultation de suivi, le patient se plaint de douleurs lombaires. Le PSA était à 25 ng/
mL. Vous confirmez cette valeur par un deuxieme dosage. La testostéronémie est à 35 ng/dL (N < 50 ng/
dL)
Vous suivez depuis plusieurs années un patient de 73 ans, pour un cancer de prostate, traité initialement
par prostatectomie totale, actuellement métastatique sous hormonothérapie.
Lors de la derniere consultation de suivi, le patient se plaint de douleurs lombaires. Le PSA était à 25 ng/
mL. Vous confirmez cette valeur par un deuxieme dosage. La testostéronémie est à 35 ng/dL (N < 50 ng/
dL)
Résistance à la castration :
OU
a. orchidectomie bilatérale
b. pulpectomie bilatérale
c. analogue de LH-RH seuls
d. antagonistes de LH-RH seuls
e. œstrogénothérapie
a. orchidectomie bilatérale
b. pulpectomie bilatérale
c. analogues de LH-RH seuls
d. antagonistes de LH-RH seuls
e. œstrogénothérapie
CANCER DE LA PROSTATE
FDR : age, ATCD familial, afro-antillais, BRCA
Dépistage individuel: TR + PSA / 2 ans -> 45 ans si FDR / 50 ans sans FDR , jusqu’a 75 ans
Clinique : Asympto +++ (élévation PSA), troubles urinaires, hématurie, hémospermie, signes d’extension.
Diagnostic : Biopsies : 12, Anesthésie locale, ATB pré op par FQ (C3G si CI).
-> Complications : RAU, hémorragie, douleurs, hypoTA, prostatite.
+ Syndromes héréditaires :
VHL,
Leiomyomatose,
Birt Hogg Dube,
Sclerose tubereuse de Bourneville,
cancer papillaire hereditaire (MET)
a. TNM
b. Grade de Fuhrman (ISUP)
c. L’altération de la fonction rénale
d. Stade OMS
e. Obésité
a. TNM
b. Grade de Fuhrman (ISUP)
c. L’altération de la fonction rénale
d. Stade OMS
e. Obésité
TUMEURS RENALES
Une des seules tumeurs ou une anapath pré thérapeutique n’est pas systématique !
a. Cryptorchidie
b. Infertilité
c. Trisomie 21
d. Syndrome de l’X fragile
e. Microlithiases testiculaires
a. Cryptorchidie
b. Infertilité
c. Trisomie 21
d. Syndrome de l’X fragile
e. Microlithiases testiculaires
Vous recevez un patient de 36ans en consultation pour apparition d’une masse testiculaire
droite, indolore, augmentant de volume. Le signe de Chevassu est positif. Vous suspectez un
cancer du testicule.
Parmi les éléments de prise en charge suivant, lesquels sont à réaliser en première intention?
a. CECOS
b. Dosage des marqueurs testiculaires
c. Orchidectomie par voie scrotale
d. TDM TAP
e. Biopsie testculaire percutanée
Vous recevez un patient de 36ans en consultation pour apparition d’une masse testiculaire droite,
indolore, augmentant de volume.Le signe de Chevassu est positif. Vous suspectez un cancer du testicule.
Parmi les éléments de prise en charge suivant, lesquels sont à réaliser en première intention?
a. CECOS
b. Dosage des marqueurs testiculaires
c. Orchidectomie par voie scrotale -> INGUINALE !
d. TDM TAP
e. Biopsie testiculaire percutanée
Histologie :
Les stades localisés sont définis par des marqueurs post orchidectomie et un TDM TAP
normaux
a. PSA
b. Créatinine
c. Echographie des voies urinaires
d. ECBU
e. Aucun examen systématique
Quels examens sont systématiques dans le bilan initial d’une HBP ?
a. PSA
b. Créatinine
c. Echographie des voies urinaires
d. ECBU
e. Aucun examen systématique
Les risques évolutifs de l’HBP sur le long terme sont représentés par :
a. la distension vésicale
b. le retentissement sur le haut appareil urinaire
c. la compression du rectum
d. Hernie inguinale
e. l’insuffisance rénale chronique obstructive
Les risques évolutifs de l’HBP sur le long terme sont représentés par :
a. la distension vésicale
b. le retentissement sur le haut appareil urinaire
c. la compression du rectum
d. Hernie inguinale
e. l’insuffisance rénale chronique obstructive
a. hypotension orthostatique
b. troubles de l’accommodation
c. sécheresse buccale
d. dysfonction érectile
e. éjaculation rétrograde
Dans le cadre de l’HBP les traitements alpha-bloquants peuvent avoir
pour conséquence les effets indésirables suivants :
a. hypotension orthostatique
b. troubles de l’accommodation
c. sécheresse buccale -> anticholinergiques
d. dysfonction érectile -> Inhibiteurs 5 alpha reductase
e. éjaculation rétrograde
HBP
PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE
I5AR : efficacité lente, dimiution du PSA par 2, diminution volume prostatique 20%
EI : baisse de libido, trouble d’éjaculation, gynécomastie
Phytothérapie, IPDE5
Quelles sont les contre indications absolues à la pose d’un catheter sus pubien ?
a. Cicatrices de laparotomie
b. Pontage fémoro-fémoral croisé
c. Patient sous anticoagulant
d. Absence de globe vésical
e. Hématurie
Quelles sont les contre indications absolues à la pose d’un catheter sus pubien ?
a. Cicatrices de laparotomie
b. Pontage fémoro-fémoral croisé
c. Patient sous anticoagulant
d. Absence de globe vésical
e. Hématurie
a. agitation
b. douleur transfixiante
c. bilatéralité
d. irradiation à la face interne de la cuisse
e. hématurie microscopique à la bandelette
a. agitation
b. douleur transfixiante
c. bilatéralité
d. irradiation à la face interne de la cuisse
e. hématurie microscopique à la bandelette
a. Cystine
b. Phosphocalcique
c. Phosphoamoniacomagnésien (struvite)
d. Urique
e. Oxalocalcique
a. Cystine
b. Phosphocalcique
c. Phosphoamoniacomagnésien (struvite)
d. Urique
e. Oxalocalcique
a. IRA
b. Patient toujours algique malgré AINS intra veineux
c. Fièvre
d. Oligoanurie
e. Hématurie macroscopie
a. IRA
b. Patient toujours algique malgré AINS intra veineux
c. Fièvre
d. Oligoanurie
e. Hématurie macroscopie
-> CN hyper algique : Persistance des douleurs malgré une titration morphinique
a. hospitalisation
b. C3G probabiliste par voie intraveineuse
c. aminoside par voie intraveineuse
d. drainage de la voie excrétrice
e. extraction du calcul par urétéroscopie
La survenue d’une pyélonéphrite aigüe en rapport avec l’enclavement
d’un calcul urétéral de 9 mm chez une patiente de 40 ans sans
antécédent notable nécessite en urgence les décisions suivantes :
a. hospitalisation
b. C3G probabiliste par voie intraveineuse
c. aminoside par voie intraveineuse
d. drainage de la voie excrétrice
e. extraction du calcul par urétéroscopie
Prise en charge des calculs
• En urgence :
• Sonde JJ
• Sonde urétérale
• Néphrostomie percutanée
=/=
• A distance :
• Ureteroscopie
• Lithotritie extracorporelle
• Nephrolithotomie percutanée (NLPC)
Les éléments suivants sont en faveur d’une torsion du cordon spermatique en cas de
bourse douloureuse sur le mode aigu apparue deux heures auparavant :
Les éléments suivants sont en faveur d’une torsion du cordon spermatique en cas de
bourse douloureuse sur le mode aigu apparue deux heures auparavant :
Les éléments suivants sont compatibles avec le diagnostic d’incontinence urinaire par insuffisance sphinctérienne :
Les éléments suivants sont compatibles avec le diagnostic d’incontinence urinaire par insuffisance sphinctérienne :
Vous suivez une patiente paraplégique post traumatique pour un problème d’incontinence
urinaire par hyperactivité vésicale. Les traitements médicamenteux sont inefficaces. Quelles
options thérapeutiques pourriez-vous envisager?
Vous suivez une patiente paraplégique post traumatique pour un problème d’incontinence
urinaire par hyperactivité vésicale. Les traitements médicamenteux sont inefficaces. Quelles
options thérapeutiques pourriez-vous envisager?
INCONTINENCE URINAIRE
Anti cholinergiques
Agonistes B3
Manoeuvres Ulmstem/Bonney Manoeuvre Ulmstem/Bonney
positives négatives
TTT chirurgical :
TTT : Sphincter artificiel,
TTT : bandelettes ballonets péri urétraux, Neuromodulation sacrée
sous urétrales agents comblants Injections de Botox
Les éléments suivants définissent un ganglion suspect au niveau rétro péritonéal chez
un patient qui présente une tumeur de l’appareil urinaire :
Les éléments suivants définissent un ganglion suspect au niveau rétro péritonéal chez
un patient qui présente une tumeur de l’appareil urinaire :
Un patient de 65 ans consulte pour des troubles à type de diminution de la force du jet.
Les affections suivantes peuvent entraîner des symptômes de la phase mictionnelle :
a. Hypocontractilité vésicale
b. Hyperactivité détrusorienne
c. Diverticule vésical de gros volume
d. Hypertrophie bénigne de prostate
e. Rétrécissement urétral
Un patient de 65 ans consulte pour des troubles à type de diminution de la force du jet.
Les affections suivantes peuvent entraîner des symptômes de la phase mictionnelle :
a. Hypocontractilité vésicale
b. Hyperactivité détrusorienne
c. Diverticule vésical de gros volume
d. Hypertrophie bénigne de prostate
e. Rétrécissement urétral
Chez un patient consultant pour une dysfonction érectile, quels éléments
parmi les suivants sont en faveur d’une cause organique ?
Chez un patient consultant pour une dysfonction érectile, quels éléments
parmi les suivants sont en faveur d’une cause organique ?
La prescription d’un IPDE5 dans la prise en charge de la dysfonction
érectile :