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M1 CONFERENCE UROLOGIE 08.04.

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DCP - M1 - UROLOGIE 2020 bis


Une femme de 30 ans, enceinte de 26 SA, se présente aux urgences pour une douleur lombaire droite. Cette douleur est apparue
brutalement 3 heures auparavant.
En dehors d’une douleur à l’ébranlement lombaire droit, votre examen clinique et obstétrical est normal.
Elle a actuellement une EVA à 9/10 malgré un traitement morphinique.
Le bilan biologique est normal en dehors de GB à 12000.
La bandelette urinaire retrouve GB 2+, sang 2+, nit -.

 Question 1 Question à réponses


multiples

Question 1 – Quel(s) examen(s) complémentaire(s) allez-vous prescrire à cette patiente ?

A- Aucun

B- ASP seul

C- ASP + échographie réno-vésicale

D- Echographie réno-vésicale seule

E- TDM abdomino-pelvien sans injection

 Question 2 Question à réponses


multiples

Voici le résultat de l’échographie rénale.


Question 2 – Quelle(s) est(sont) l’(les) affirmation(s) vraie(s) ?

A- L’échographie rénale droite est normale

B- L’échographie rénale droite retrouve une dilatation des cavités pyélocalicielles droites

C- L’échographie rénale droite retrouve des lithiases rénales

D- L’échographie rénale droite retrouve une tumeur du rein

E- L’échographie rénale droite retrouve du sang dans les cavités pyéliques

 Question 3 Question à réponses


multiples
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Vous décidez de monter une sonde urétéro-vésicale à droite et de revoir cette patiente à distance de son accouchement.
Vous lui prescrivez un scanner en prévision de cette prochaine consultation.
Question 3 – Quelle est votre interprétation ?

A- Il existe une lithiase complexe du rein droit

B- Il s’agit d’un scanner abdomino-pelvien injecté au temps artériel

C- Il s’agit d’un scanner abdomino-pelvien injecté au temps postal


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D- Il s’agit d’un scanner abdomino-pelvien injecté au temps excrétoire

E- Il s’agit d’un scanner abdomino-pelvien sans injection

 Question 4 Question à réponses


multiples

Lorsque vous la revoyez, elle vous demande quelles sont les possibilités thérapeutiques pour traiter sa pathologie rénale
droite.
Question 4 – Que lui répondez-vous ?

A- Alcalinisation des urines

B- Fragmentation laser de lithiases au cours d’une cystoscopie

C- Fragmentation laser de lithiases au cours d’une urétéroscopie semi-rigide

D- Fragmentation laser de lithiases au cours d’une urétéroscopie souple

E- Néphrolithotomie percutanée pour fragmentation de lithiases

F- Lithotripsie extra-corporelle

 Question 5 Question à réponses


multiples

30 ans après votre première rencontre, vous la retrouvez de nouveau à votre consultation. Elle a été adressée par son
médecin traitant pour la découverte d’une tumeur du rein gauche suite à une échographie faite pour un bilan d’exploration
de douleur abdominale.
Dans le courrier qu’il vous adresse, vous apprenez qu’elle a une HTA, et un diabète de type II. Sur le plan chirurgical, elle a
eu une néphrectomie droite suite à un accident de la route 15 ans auparavant.
Elle apporte avec elle son dernier bilan sanguin.
Question 5 – Quel(s) examen(s) complémentaire(s) allez-vous lui prescrire pour explorer cette tumeur rénale ?

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A- Aucun

B- ASP seul

C- ASP + échographie réno-vésicale

D- Echographie réno-vésicale seule

E- IRM abdomino-pelvienne

F- TDM abdomino-pelvien sans injection

G- TDM thoracique sans injection

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 Question 6 Question à réponse ouverte et courte

Voici le résultat de l’IRM rénale.


Question 6 – De quelle séquence IRM s’agit-il ?

Réponse :

 Question 7 Question à réponse unique

Le radiologue décrit une tumeur du pôle supérieur du rein gauche classée Bosniak IV et mesurant 6 cm de grand axe. Il
n’existe pas d’envahissement des vaisseaux hilaires, ni du fascia de Gérota.
Le scanner thoracique ne retrouve pas de lésion secondaire.

Question 7 – Quel est le stade clinique de la tumeur rénale gauche ?

A- T1 N0 M0

B- T2 N0 M0

C- T3 N0 M0

D- T4 N0 M0

E- T5 N0 M0

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 Question 8 Question à réponses
multiples

Question 8 – Quelle prise en charge allez-vous discuter en RCP ?

A- Biopsie rénale

B- Cryothérapie

C- Néphrectomie élargie gauche

D- Néphrectomie partielle gauche

E- Radiofréquence

F- Surveillance avec une nouvelle IRM dans 6 mois

 Question 9 Question à réponse ouverte et courte

Vous pratiquez une néphrectomie polaire supérieure gauche.


48 heures après l’intervention, la patiente décrit une douleur abdominale accompagnée de vomissements. L’abdomen est
souple. Elle a des troubles de la conscience, malheureusement, en tant qu’urologue, vous ne savez pas calculer le score de
Glasgow. Vous notez cependant, qu’elle a la langue rôtie.
Le bilan sanguin de la veille retrouvait Na 125, K 5.5 ; créatinémie 280 µmol/L.
Question 9 – Quel diagnostic suspectez-vous ?

Réponse :

 Question 10 Question à réponses


multiples

Question 10 – Quel bilan complémentaire allez-vous pratiquer avant de débuter le traitement ?

A- ACTH

B- Aldostéronémie

C- Aucun

D- Cortisolémie

E- Rénine

F- Test au Synacthène

DCP-M1-UROLOGIE-2020
Monsieur C., 72 ans, consulte car il vient d’assister à une conférence sur le dépistage du cancer de la prostate et vous interroge
sur le bien-fondé d’un tel dépistage chez lui. Il est d’autant plus sensibilisé à ce problème que son frère aîné vient de décéder d’un
cancer de la prostate. Vous le suivez depuis plusieurs années pour un rétrécissement aortique, opéré l’année dernière, avec mise
en place d’une prothèse mécanique, d’une fibrillation auriculaire, responsable de plusieurs accidents vasculaires cérébraux, dont il
ne garde aucune séquelle. C’est un ancien directeur de société, très actif. Il a comme autres antécédents significatifs un adénome
de la prostate, une hypercholestérolémie modéré, et une dépression réactionnelle au décès de son frère (il rentre d’un voyage en
Martinique, pour les obsèques de son frère, « sur la terre de leurs ancêtres »). Il a enfin réussi son sevrage tabagique. Son
traitement habituel associe fluindione, bisoprolol, atorvastatine, finastéride, substituts nicotiniques et citalopram.

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 Question 1 Question à réponses
multiples

Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque présents chez Monsieur C. qui renforcent l’intérêt de ce dépistage ?

A- cancer de la prostate chez au moins deux parents proches

B- hypercholestérolémie

C- hypertrophie bénigne de prostate

D- patient afro-antillais

E- tabagisme

 Question 2 Question à réponses


multiples

Quelles sont les modalités du dépistage du cancer de la prostate ?

A- dépistage annuel

B- dépistage individuel

C- dosage du PSA sanguin + toucher rectal

D- dosage du PSA urinaire + toucher rectal

E- patient de 50 à 74 ans si espérance de vie > 10 ans

 Question 3 Question à réponse ouverte et courte

Le taux de PSA est à 11 ng/ml. Le toucher rectal est normal. Que proposez-vous à Monsieur C. ?

Réponse :

 Question 4 Question à réponses


multiples

Monsieur C. profite de la consultation pour vous demander si l’on ne pourrait pas remplacer sa fluindione par un de ces
nouveaux anticoagulants oraux dont on parle sur les forums. Quelle(s) molécule(s) pourriez-vous utiliser en remplacement de
la fluindione ?

A- apixaban

B- dabigatran

C- fondaparinux

D- rivaroxaban

E- aucune de ces molécules

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 Question 5 Question à réponses
multiples

Le traitement par fluindione est donc poursuivi et Monsieur C. va effectuer ses ponctions biopsies prostatiques. Quelles en
sont les modalités, à lui préciser ?

A- biopsies réalisées par voie sus-pubienne

B- biopsies réalisées par voie trans-rectale

C- échoguidées

D- lavement rectal nécessaire avant le geste

E- sous anesthésie générale obligatoire

 Question 6 Question à réponses


multiples

Quelle(s) précaution(s) devrez-vous prendre spécifiquement chez Monsieur C. ?

A- antibioprophylaxie par amoxicilline-acide clavulanique

B- arrêt de la fluindione et relais par aspirine avant biopsies

C- arrêt de la fluindione et relais par clopidogrel avant biopsies

D- arrêt de la fluindione et relais par énoxaparine avant biopsies

E- arrêt de la fluindione et relais par flurbiprofène avant biopsies

 Question 7 Question à réponse unique

Monsieur C. revient vous voir en urgence le lendemain des biopsies car il n’arrive plus à uriner depuis la veille au soir. Il a de
vives douleurs dans le bas ventre actuellement.
A l’interrogatoire, il vous apprend que ses urines ont été très rouges lorsqu’il arrivait encore à uriner après les biopsies. Il a
par ailleurs des douleurs lombaires bilatérales depuis quelques heures.
A l’examen clinique, il existe une matité sus-pubienne très douloureuse et la percussion bilatérale des fosses lombaires est
douloureuse.
Quel est le diagnostic le plus probable ?

A- une hernie inguinale étranglée

B- une crise de colique néphrétique bilatérale

C- une prostatite

D- une rétention aigue d’urine sur hématurie caillottante

E- une torsion du cordon spermatique droit

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 Question 8 Question à réponse unique

Vous avez sondé le patient. Tout se passe bien par la suite, vous désondez le patient et vous le revoyez ultérieurement pour
ses résultats. Une biopsie sur les 12 se révèle positive pour un adénocarcinome prostatique avec un score de Gleason à 7
(3+4). Selon la classification de D’Amico, quel est le risque de progression de ce patient ?

A- aucun risque

B- risque faible

C- risque intermédiaire

D- risque élevé

E- ne peut pas être classé

 Question 9 Question à réponses


multiples

Votre patient a donc un risque intermédiaire de progression selon la classification de D’Amico. Quel est votre bilan
d’extension ?

A- IRM corps entier

B- scanner abdomino-pelvien

C- scanner cérébral

D- scintigraphie osseuse corps entier

E- aucun bilan d’extension nécessaire

 Question 10 Question à réponse ouverte et courte

Votre bilan d’extension est négatif tant sur le plan loco régional qu’à distance. Quel est le stade cTNM de ce cancer ?

Réponse :

 Question 11 Question à réponses


multiples

Quelles sont les thérapeutiques envisageables ici ?

A- curiethérapie

B- prostatectomie radicale avec curage ganglionnaire

C- radiothérapie externe avec hormonothérapie courte (6 mois)

D- radiothérapie externe conformationnelle

E- surveillance active

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 Question 12 Question à réponses
multiples

Après RCP, une prostatectomie radicale associée à un curage ganglionnaire est proposée. Quelles sont les complications
possibles de cette chirurgie dont vous devez informer Monsieur C. ?

A- dysfonction érectile

B- éjaculation rétrograde

C- incontinence anale

D- incontinence urinaire

E- sténose de l’anastomose vésico-urétrale

 Question 13 Question à réponse unique

Vous avez instauré un traitement par radio-hormonothérapie courte avec agoniste de la LHRH type leuproréline
Quelle est la proposition exacte concernant cette hormonothérapie ?

A- le mécanisme d’action est identique à celui des antagonistes de la LHRH

B- il n’y a pas d’effet flare-up

il est nécessaire d’instaurer un traitement par androgène dans les jours qui précèdent la mise en route
C-
de l’agoniste pour éviter un effet flare-up

D- la suppression androgénique est réversible à l’arrêt du traitement

E- elle est systématiquement associée à l’acétate d’abiratérone

 Question 14 Question à réponses


multiples

Vous perdez le patient de vue après le traitement initial.


Monsieur C. revient vous voir en consultation 5 ans plus tard pour une lombosciatique L5 droite qui ne cède pas malgré les
antalgiques de palier 1 et 2. Un léger déficit sensitif est de plus apparu dans le même territoire.
Vous apprenez à l’interrogatoire qu’il n’a pas suivi le traitement hormonal et que seule la première injection avait été
réalisée.
Que faites-vous comme examens complémentaires ?

A- une IRM médullaire à la recherche d’une compression tumorale

B- une scintigraphie osseuse

C- un PSA sérique total

D- un TEP-TDM au 18 Flurodeoxyglucose

E- une IRM cérébrale

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 Question 15 Question à réponses
multiples

Vous avez réalisé une IRM médullaire, une scintigraphie osseuse et un dosage de PSA total.
Le PSA sérique total est à 829 ng/ml. Les résultats de la scintigraphie osseuse sont les suivants :
Que pensez-vous de la scintigraphie osseuse ?

A- elle est strictement normale

B- les métastases rachidiennes expliquent très probablement les lombosciatalgies

C- il s’agit d’une récidive métastatique du cancer de la prostate

D- il manque un troisième cliché de profil pour conclure

E- l’hyperfixation se porte essentiellement sur le squelette périphérique et non axial

Questions isolées

 Question 1 Question à réponses


multiples

Concernant une douleur scrotale unilatérale de survenue brutale: quelle(s) réponse(s) est (sont) vraie(s) ?

A- peut révéler une orchi-épididymite

B- peut imposer une exploration scrotale même en cas d’échographie doppler normale

C- est le mode de révélation le plus fréquent du cancer du testicule

D- peut correspondre à une douleur projetée de colique néphrétique homolatérale

E- la bandelette urinaire est nécessaire au bilan diagnostique

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 Question 2 Question à réponses
multiples

Quelle(s) est(sont) l'(les) affirmation(s) vraie(s) concernant la fibroscopie vésicale ?

A- elle est toujours réalisée au bloc opératoire sous anesthésie générale

B- elle permet de diagnostiquer une sténose de l’urètre

C- elle permet de diagnostiquer une tumeur de vessie

D- elle permet de diagnostiquer une tumeur de l’uretère iliaque

E- elle fait partie du bilan à réaliser devant une hématurie macroscopique

 Question 3 Question à réponses


multiples

Devant une hématurie macroscopique, quel(s) facteur(s) oriente(ent) vers une cause urologique ?

A- hématurie totale

B- présence de cellules dysplasiques en cytologie urinaire

C- présence de cylindres hématiques

D- présence de caillots

E- œdème des membres inférieurs

 Question 4 Question à réponses


multiples

Quel(s) est(sont) le(les) facteur(s) de risque de progression d’une tumeur de vessie n’infiltrant pas le muscle (TVNIM) ?

A- hématurie macroscopique

B- âge

C- grade cellulaire

D- taille de la tumeur

E- stade tumoral

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 Question 5 Question à réponses
multiples

Concernant les métastases ganglionnaires du cancer du testicule :

A- elles sont exceptionnelles.

elles sont de localisation principalement rétro-péritonéales (latéro-cave, latéro-aortique, inter-aortico-


B-
cave)

elles nécessitent une résection des masses résiduelles systématique en cas de séminome avec atteinte
C-
ganglionnaire

elles ne sont pas curables


D-

E- elles doivent être réévaluées par TEP-TDM en cas de tumeur non séminomateuse

 Question 6 Question à réponses


multiples

Quel(s) est(sont) le(les) argument(s) pouvant faire évoquer une tumeur de la voie excrétrice urinaire supérieure ?

A- hématurie macroscopique totale

B- HTA

C- colique néphrétique


D- albuminurie

E- lacune urétérale au temps tardif de l ́uro-TDM

 Question 7 Question à réponses


multiples

Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant la chirurgie du cancer du rein ?

A- il n ́est pas possible de proposer une chirurgie conservatrice pour les tumeurs de plus de 4cm (>T1a)

B- elle est contre-indiquée en cas de rein unique

C- elle est contre indiquée en cas d ́insuffisance rénale

D- elle est réalisable en cas de tumeurs bilatérales

E- toutes les propositions sont fausses

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 Question 8 Question à réponses
multiples

Quel(s) est(sont) parmi ces facteurs de risque celui(ceux) qui concerne(nt) le carcinome rénal à cellules claires ?

A- le tabac


B- l’exposition à certains colorants

C- le syndrome de von Hippel-Lindau

D- l’obésité

E- l’insuffisance rénale chronique

 Question 9 Question à réponses


multiples

Concernant les prostatites aigues infectieuses communautaires quelles sont les réponses exactes ?

A- il s’agit d’une infection sexuellement transmissible

B- elles peuvent entrainer une rétention aigue d’urines

C- leur traitement peut comporter la mise en place d’une endoprothèse urétérale (sonde JJ)

D- Elles représentent une contre-indication à la mise en place d’une sonde vésicale

E- Elle sont associées à un risque accru de cancer de la prostate

 Question 10 Question à réponses


multiples

M. T, 54 ans, se présente aux urgences pour une 5ème crise de colique néphrétique droite fébrile. En effet, un TDM AP sans
injection retrouve une lithiase de 9 mm de l'uretère iliaque droit.
Examen : 38,6°C, bien calmé par les antalgiques.
Le bilan retrouve : GB : 17G/L, CRP : 45mg/L, BU : Nitrites +, Sang: +, Leuco : ++.
Quelle est votre prise en charge ?

A- aucune dérivation des urines mais antibiothérapie probabiliste

B- dérivation des urines par sonde vésicale seule

C- dérivation des urines en urgence par cystocathéter seul et antibiothérapie probabiliste

dérivation des urines en urgence par endoprothèse urétérale droite (sonde JJ) + sonde vésicale et
D-
antibiothérapie probabiliste

dérivation des urines en urgence par endoprothèse urétérale (sonde JJ) + cystocathéter et
E-
antibiothérapie probabiliste

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 Question 11 Question à réponses
multiples

Quelle(s) est(sont) la(les) complication(s) potentielle (s) de la réséction trans-urétrale de prostate ?

A- impuissance

B- éjaculation rétrograde

C- TURP syndrome

D- rectite

E- vessie de lutte

 Question 12 Question à réponses


multiples

Quel(s) est(sont) les examen(s) de 1ère intention dans le bilan d'une HBP ?

A- NFS

B- créatininémie

C- CRP

D- PSA

E- échographie réno-vésico-prostatique

 Question 13 Question à réponses


multiples

Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque reconnu(s) de l' HBP ?

immunodépression
A-

B- antécédents familiaux d'HBP

C- antécédents personnels ou familiaux de cancer de prostate

D- âge

E- obésité

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 Question 14 Question à réponses
multiples

M. P, 22 ans, se présente aux urgences pour écoulement urétral, purulent, spontané en dehors des mictions, associé à des
brulures mictionnelles. Parmi ces antibiothérapies la(les)quelle(s) sont recommandée(s) ?

A- ceftriaxone + azithromycine

B- ceftriaxone + métronidazole

C- ceftriaxone + gentamicine

D- ceftriaxone + doxycycline

E- cefixime + azithromycine

 Question 15 Question à réponses


multiples

Quel(s) est(sont) la(les) caractéristique(s) les plus fréquentes de la prostate retrouvée(s) au toucher rectal d'une HBP ?

A- irrégulière

B- souple

C- disparition du sillon médian

D- homogène

E- douloureuse

 Question 16 Question à réponses


multiples

Quelle(s) est(sont) le(les) contre-indication(s) absolue(s) / relative(s) du cathéter sus-pubien ?

A- antécédent de sténose de l'urètre

B- absence de globe urinaire

C- prostatite

D- tumeur de vessie connue

E- prise d' AVK

16/18
 Question 17 Question à réponses
multiples

Quelle(s) est (sont) la(les) complications(s) aigue(s)/ chronique(s) possible de l'HBP ?

A- lithiases vésicales

B- urétrite

C- insuffisance rénale chronique

D- prostatite

E- tumeurs superficielles de vessie

 Question 18 Question à réponses


multiples

Concernant l'HBP citez la(les) réponse(s) vraie(s):

A- il existe un parallélisme entre le volume de l'adénome et les symptômes cliniques

B- il est rarement associé à une dysfonction érectile

C- le toucher rectal permet de mesurer le volume de la prostate

D- il touche généralement les hommes à partir de 30 ans

E- il y a un risque de transformation en cancer de prostate

 Question 19 Question à réponses


multiples

Mr T, 19 ans, se présente aux urgences pour une douleur du testicule droit d’apparition brutale il y a 1 heure alors qu’il
révisait ses examens. Quel(s) signe(s) cliniques en faveur d’une torsion du cordon spermatique allez-vous rechercher ?

A- testicule droit verticalisé

B- testicule droit ascensionné

C- conservation reflexes crémastérien

D- température > 38,5°C

E- toucher rectal douloureux

17/18
 Question 20 Question à réponses
multiples

Quel(s) traitement(s) proposez-vous à un patient porteur d’un cancer de prostate localisé de risque intermédiaire de d’Amico
?

A- prostatectomie totale avec curage ganglionnaire

B- prostatectomie totale

C- radiothérapie externe +/- hormonothérapie

D- curiethérapie exclusive

E- surveillance active

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