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Testez vos connaissances

Session préparée par


A Aeschlimann et B Duquesnoy
Congrès de la Société française de
Rhumatologie
PARIS 2005
Question 1 : les thérapeutiques anti-TNF ont pour
action :

A – Inhibition des T-lymphocytes


B – Inhibition des B-lymphocytes
C – Inhibition de l’interaction entre la cellule
présentatrice de l’antigène et le macrophage
D – Inhibition de la présentation de l’antigène par le T-
lymphocyte
E – Blocage de cytokines pro-inflammatoires
Question 1 : les thérapeutiques anti-TNF ont pour
action :

A – Inhibition des T-lymphocytes


B – Inhibition des B-lymphocytes
C – Inhibition de l’interaction entre la cellule
présentatrice de l’antigène et le macrophage
D – Inhibition de la présentation de l’antigène par le T-
lymphocyte
E – Blocage de cytokines pro-inflammatoires
Question 2 :
Quel marqueur biologique reflète l’activité
ostéoclastique ? :

A – calcémie
B – phosphorémie
C – calciurie
D – pyridinolines CTX
E – ostéocalcine sérique
Question 2 :
Quel marqueur biologique reflète l’activité
ostéoclastique ? :

A – calcémie
B – phosphorémie
C – calciurie
D – pyridinolines CTX
E – ostéocalcine sérique
Question 3 : parmi les propositions concernant le
métabolisme de l’acide urique, l’une est fausse :

A – les causes d’hyperuricémie peuvent être liées aux


cytolyses au cours des hémopathies
B – l’acide urique est issu de la dégradation de la xanthine
par la xanthine oxydase
C – l’augmentation du cycle de la purino synthèse se fait
par une augmentation enzymatique de l’ HGPRT
D – la formation de nucléotides sert à la constitution
d’acide nucléïque cellulaire
E – l’élimination d’urate éliminé par 24 heures est de l’ordre
de 405 mg ± 150 mg/jour
Question 3 : parmi les propositions concernant le
métabolisme de l’acide urique, l’une est fausse :

A – les causes d’hyperuricémie peuvent être liées aux


cytolyses au cours des hémopathies
B – l’acide urique est issu de la dégradation de la xanthine
par la xanthine oxydase
C – l’augmentation du cycle de la purino synthèse se fait
par une augmentation enzymatique de l’ HGPRT
D – la formation de nucléotides sert à la constitution
d’acide nucléïque cellulaire
E – l’élimination d’urate éliminé par 24 heures est de l’ordre
de 405 mg ± 150 mg/jour
Question 4 : parmi ces propositions concernant les
auto- anticorps, quelle est la propositon fausse ?

A – les anticorps anti-tissu caractérisent généralement des


maladies auto-immunes spécifiques d’organes
B – les anticorps anti-IgG sont par définition les facteurs
rhumatoïdes
C – les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires se
voient essentiellement dans la granulomatose de
Wegener
D – les anticorps antinucléaires mouchetés ou ponctués
sont des anticorps anti-centromère
E – les anticorps antinucléaires de fluorescence homogène
sont spécifiques de la maladie lupique
Question 4 : parmi ces propositions concernant les
auto- anticorps, quelle est la propositon fausse ?

A – les anticorps anti-tissu caractérisent généralement des


maladies auto-immunes spécifiques d’organes
B – les anticorps anti-IgG sont par définition les facteurs
rhumatoïdes
C – les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires se
voient essentiellement dans la granulomatose de
Wegener
D – les anticorps antinucléaires mouchetés ou ponctués
sont des anticorps anti-centromère
E – les anticorps antinucléaires de fluorescence homogène
sont spécifiques de la maladie lupique
Question 5 : dans l’anatomie de l’épaule, l’une des
propositions est fausse :

A - le tendon supra-épineux (sus-épineux) s’insère sur le


trochiter
B – le tendon du long biceps a une insertion proximale sur
la région sus-glénoïdienne
C - le tendon du sub-scapulaire (sous scapulaire) a une
insertion distale sur la berge bicipitale, humérale
D – le tendon de l’infra épineux (sous-épineux) a une
insertion distale sur la partie antérieure de la gouttière
bicipitale
E – le tendon du cours biceps s’insère sur l’apophyse
coracoïde
Question 5 : dans l’anatomie de l’épaule, l’une des
propositions est fausse :

A - le tendon supra-épineux (sus-épineux) s’insère sur le


trochiter
B – le tendon du long biceps a une insertion proximale sur
la région sus-glénoïdienne
C - le tendon du sub-scapulaire (sous scapulaire) a une
insertion distale sur la berge bicipitale, humérale
D – le tendon de l’infra épineux (sous-épineux) a une
insertion distale sur la partie antérieure de la gouttière
bicipitale
E – le tendon du cours biceps s’insère sur l’apophyse
coracoïde
Question 6 : quel est le diagnostic le plus
vraisemblable ?

A – Maladie de Paget
B – Ostéosarcome
C – Métastase osseuse
D – Angiome
E - Lymphome
Question 6 : quel est le diagnostic le plus
vraisemblable ?

A – Maladie de Paget
B – Ostéosarcome
C – Métastase osseuse
D – Angiome
E - Lymphome
Question 7 : une patiente de 65 ans poly-
arthrosique sans autre antécédent, consulte pour
des cervicalgies : Quel est le diagnostic le plus
vraisemblable ?

A – lymphome
B – amylose localisée
C – chondrocalcinose
D – métastase
E - plasmocytome
Question 7 : une patiente de 65 ans poly-
arthrosique sans autre antécédent, consulte pour
des cervicalgies : Quel est le diagnostic le plus
vraisemblable ?

A – lymphome
B – amylose localisée
C – chondrocalcinose
D – métastase
E - plasmocytome
Question 8 :
Devant cette radiographie de mains, quel est le
diagnostic le plus vraisemblable ?

A – polyarthrite rhumatoïde
B – spondylarthrite ankylosante à
forme périphérique
C – rhumatisme psoriasique
D – ostéodystrophie rénale
E - chondrocalcinose
Question 8 :
Devant cette radiographie de mains, quel est le
diagnostic le plus vraisemblable ?

A – polyarthrite rhumatoïde
B – spondylarthrite ankylosante à
forme périphérique
C – rhumatisme psoriasique
D – ostéodystrophie rénale
E - chondrocalcinose
Question 9 : quel est le diagnostic le plus
vraisemblable devant cette radiologie de hanche ?

A – coxarthrose à
destruction rapide
B – coxite septique
C – coxopathie de
chondrocalcinose
D – coxite d’une maladie de
Still
E – hanche hyperostosique
Question 9 : quel est le diagnostic le plus
vraisemblable devant cette radiologie de hanche ?

A – coxarthrose à
destruction rapide
B – coxite septique
C – coxopathie de
chondrocalcinose
D – coxite d’une maladie de
Still
E – hanche hyperostosique
Question 10 : devant ces clichés radiographiques,
quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?

A – maladie de Paget
B – métastases d’un cancer de
prostate
C – ostéofluorose
D – métastases d’un cancer du
sein
E – ostéopathie condensante
d’origine génétique
Question 10 : devant ces clichés radiographiques,
quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?

A – maladie de Paget
B – métastases d’un cancer de
prostate
C – ostéofluorose
D – métastases d’un cancer du
sein
E – ostéopathie condensante
d’origine génétique
Question 11 : parmi les manifestations viscérales
suivantes associées à la spondylarthrite
ankylosante, quelle est la plus fréquente ?

A – insuffisance aortique
B – l’uvéite
C – la fibrose interstitielle pulmonaire
D – la néphropathie à IgA
E – l’amyloïdose
Question 11 : parmi les manifestations viscérales
suivantes associées à la spondylarthrite
ankylosante, quelle est la plus fréquente ?

A – insuffisance aortique
B – l’uvéite
C – la fibrose interstitielle pulmonaire
D – la néphropathie à IgA
E – l’amyloïdose
Question 12 : Quelle anomalie biologique doit faire
rechercher un myélome associé à un syndrome de
Raynaud ?

A – une thrombopénie
B – un anticoagulant circulant
C – une cryoglobulinémie
D – une anémie
E – une coagulation intravasculaire disséminée
Question 12 : Quelle anomalie biologique doit faire
rechercher un myélome associé à un syndrome de
Raynaud ?

A – une thrombopénie
B – un anticoagulant circulant
C – une cryoglobulinémie
D – une anémie
E – une coagulation intravasculaire disséminée
Question 13 : Lors de polyarthrite rhumatoïde, les
nodules rhumatoïdes sous-cutanés se trouvent
situés le plus souvent :

A – sur la paroi thoracique


B – au dos du poignet
C – le long de la crête cubitale près du coude
D – au milieu du bras
E – sur le gros orteil
Question 13 : Lors de polyarthrite rhumatoïde, les
nodules rhumatoïdes sous-cutanés se trouvent
situés le plus souvent :

A – sur la paroi thoracique


B – au dos du poignet
C – le long de la crête cubitale près du coude
D – au milieu du bras
E – sur le gros orteil
Question 14 : un garçon âgé de 10 ans se plaint de
douleurs abdominales et est atteint d’un exanthème
pourpre aux fesses, aux jambes et à la surface des
extenseurs de ses avant-bras. La créatinine sérique est de
237.6 mmol/l (2.7 mg/dl). L’analyse urinaire décèle une
protéinurie ++ et une hématurie microscopique. Quel est le
diagnostic le plus vraisemblable ?

A – une polymyosite
B – une nephropathie sur analgésiques et un purpura
thrombopénique
C – un lupus érythémateux systémique
D – une périartérite noueuse
E – un purpura rhumatoïde de Schoenlein-Henoch
Question 14 : un garçon âgé de 10 ans se plaint de
douleurs abdominales et est atteint d’un exanthème
pourpre aux fesses, aux jambes et à la surface des
extenseurs de ses avant-bras. La créatinine sérique est de
237.6 mmol/l (2.7 mg/dl). L’analyse urinaire décèle une
protéinurie ++ et une hématurie microscopique. Quel est le
diagnostic le plus vraisemblable ?

A – une polymyosite
B – une nephropathie sur analgésiques et un purpura
thrombopénique
C – un lupus érythémateux systémique
D – une périartérite noueuse
E – un purpura rhumatoïde de Schoenlein-Henoch
Question 15 : Un homme âgé de 42 ans souffre depuis 2
jours d’un gonflement aigu et douloureux du coude. Le
patient est obèse et à une légère fièvre. Son coude est
enflé, chaud et douloureux. Quelle est la première mesure
à prendre ?

A – aspiration et examen microscopique du liquide


articulaire
B – détermination de l’acide urique dans le sérum
C – hémocultures
D – numération-formule sanguine
E – détermination de la protéine C-réactive
Question 15 : Un homme âgé de 42 ans souffre depuis 2
jours d’un gonflement aigu et douloureux du coude. Le
patient est obèse et à une légère fièvre. Son coude est
enflé, chaud et douloureux. Quelle est la première mesure
à prendre ?

A – aspiration et examen microscopique du liquide


articulaire
B – détermination de l’acide urique dans le sérum
C – hémocultures
D – numération-formule sanguine
E – détermination de la protéine C-réactive
Question 16 : Un jour après une opération abdominale
élective, une patiente de 82 ans développe subitement un
gonflement très douloureux du genou accompagné de fièvre
jusqu’à 39 degrés. La vitesse de sédimentation est à 90
mm/h, l’état général diminué.
Vous réalisez une ponction diagnostique du genou.
Quel résultat attendez-vous de l’analyse du liquide
synovial?
A – un liquide trouble avec abondance de leucocytes à majorité
de polynucléaires et présence de germes gram-positifs
B – un liquide synovial clair avec moins de 200 éléments / microl
C – un liquide synovial modérément trouble avec environ 15 000
leucocytes par microl (surtout des polynucléaires) et des
germes gram-négatif
D – un liquide trouble avec environ 15 000 leucocytes / microl et
des cristaux de pyrophosphate de calcium
E – un liquide synovial très hémorragique avec abondance
d’érythrocytes
Question 16 : Un jour après une opération abdominale
élective, une patiente de 82 ans développe subitement un
gonflement très douloureux du genou accompagné de fièvre
jusqu’à 39 degrés. La vitesse de sédimentation est à 90
mm/h, l’état général diminué.
Vous planifiez une ponction diagnostique du genou.
Quel résultat attendez-vous de l’analyse du liquidesynovial?

A – un liquide trouble avec abondance de leucocytes à majorité


polynucléaires et présence de germes gram-positifs
B – un liquide synovial clair avec moins de 200 ets / microl
C – un liquide synovial modérément trouble avec environ 15’000
leucocytes par microl (surtout des polynucléaires) et des
germes gram-négatifs
D – un liquide trouble avec environ 15 000 leucocytes / microl et
des cristaux de pyrophosphate de calcium
E – un liquide synovial très hémorragique avec abondance
d’érythrocytes
Question 17 : une femme de 62 ans se plaint de
douleurs au côté externe de la hanche, surtout la
nuit quand elle est couchée sur le côté atteint. Quel
est le diagnostic le plus probable ?

A – une coxarthrose
B – une claudication par canal étroit
C – une bursite trochantérienne
D – une méralgie paresthésique
E – un syndrome de Leriche
Question 17 : une femme de 62 ans se plaint de
douleurs au côté externe de la hanche, surtout la
nuit quand elle est couchée sur le côté atteint. Quel
est le diagnostic le plus probable ?

A – une coxarthrose
B – une claudication par canal étroit
C – une bursite trochantérienne
D – une méralgie paresthésique
E – un syndrome de Leriche
Question 18 : une infiltration de l’espace sous-
acromial fait disparaître les douleurs en cas de :

A – capsulite rétractile
B – impingement (coincement) du tendon du sus-épineux
C – arthrose gléno-humérale
D – instabilité de l’épaule
E – tendinite du long chef du biceps
Question 18 : une infiltration de l’espace sous-
acromial fait disparaître les douleurs en cas de :

A – capsulite rétractile
B – impingement (coincement) du tendon du sus-épineux
C – arthrose gléno-humérale
D – instabilité de l’épaule
E – tendinite du long chef du biceps
Question 19 : un homme de 65 ans présente une
fracture pathologique du col fémoral ; sur la
radiographie on constate en plus de la fracture,
une tumeur hétérogène. Le premier diagnostic à
évoquer est :

A – une métastase
B – un myélome
C – un ostéosarcome
D – une tumeur à cellules géantes
E - une dysplasie fibreuse des os
Question 19 : un homme de 65 ans présente une
fracture pathologique du col fémoral ; sur la
radiographie on constate en plus de la fracture,
une tumeur hétérogène. Le premier diagnostic à
évoquer est :

A – une métastase
B – un myélome
C – un ostéosarcome
D – une tumeur à cellules géantes
E - une dysplasie fibreuse des os
Question 20 : un patient souffrant d’un myélome
multiple présente les signes d’un syndrome
d’hyperviscosité accompagné de troubles neuro-
sensoriels et de complications hémorragiques
sans thrombopénie.
Quel traitement (en dehors des substances
alkylantes) est indiqué ?

A - perfusion de glucose en grandes quantités


B - transfusion de sang
C - alpha-Interféron
D - plasmaphérèse
E - radiothérapie
Question 20 : un patient souffrant d’un myélome
multiple présente les signes d’un syndrome
d’hyperviscosité accompagné de troubles neuro-
sensoriels et de complications hémorragiques
sans thrombopénie.
Quel traitement (en dehors des substances
alkylantes) est indiqué ?

A - perfusion de glucose en grandes quantités


B - transfusion de sang
C - alpha-Interféron
D - plasmaphérèse
E - radiothérapie
Question 21 : les arthropathies suivantes sont
HLA-B27 associées, excepté :

A – maladie de Whipple
B – maladie de Crohn
C – rectocolite hémorragique
D – arthrite psoriasique
E – arthrite réactionnelle induite par
Chlamydia
Question 21 : les arthropathies suivantes sont
HLA-B27 associées, excepté :

A – maladie de Whipple
B – maladie de Crohn
C – rectocolite hémorragique
D – arthrite psoriasique
E – arthrite réactionnelle induite par
Chlamydia
Question 22 : les causes suivantes d’une
coxarthrose sont typiques sauf :

A – une dysplasie de la hanche


B – une ostéonécrose de la tête fémorale
C – une algoneurodystrophie
D – une coxa vara
E – une protrusion acétabulaire
Question 22 : les causes suivantes d’une
coxarthrose sont typiques sauf :

A – une dysplasie de la hanche


B – une ostéonécrose de la tête fémorale
C – une algoneurodystrophie
D – une coxa vara
E – une protrusion acétabulaire
Question 23 : parmi les affections suivantes, quelle
est celle qui n’est pas à l’origine d’une
algodystrophie ?

A – fracture de Pouteau-Colles
B – hémiplégie
C – diabète
D – infarctus du myocarde
E - ostéoporose
Question 23 : parmi les affections suivantes, quelle
est celle qui n’est pas à l’origine d’une
algodystrophie ?

A – fracture de Pouteau-Colles
B – hémiplégie
C – diabète
D – infarctus du myocarde
E - ostéoporose
Question 24 : Sont des complications de la
maladie de Paget, sauf :

A – la surdité
B – la compression médullaire
C – l’insuffisance rénale
D – l’insuffisance cardiaque
E – le sarcome
Question 24 : Sont des complications de la
maladie de Paget, sauf :

A – la surdité
B – la compression médullaire
C – l’insuffisance rénale
D – l’insuffisance cardiaque
E – le sarcome
Question 25 : un spondylolisthésis :

A – est secondaire en règle à une lyse isthmique


B – peut se développer lors de la croissance
C – peut être associé à des troubles dégénératifs
articulaires postérieurs
D – évolue en général défavorablement avec le temps
E – ses conséquences neurologiques sont liées à la
fermeture des foramens
Question 25 : un spondylolisthésis :

A – est secondaire en règle à une lyse isthmique


B – peut se développer lors de la croissance
C – peut être associé à des troubles dégénératifs
articulaires postérieurs
D – évolue en général défavorablement avec le temps
E – ses conséquences neurologiques sont liées à la
fermeture des foramens
Question 26 : une patiente âgée de 60 ans, consulte pour
des lombalgies. Vous retrouvez dans ses antécédents un
épisode de lombalgie aiguë il y a quelques années. Les
radiographies systématiques objectivent un tassement
cunéiforme du plateau de L1. La densitométrie vous montre
un résultat à moins 2 écarts-types en déviation standard par
rapport au T-score.
Parmi ces propositiions, quelles sont celles que vous
pouvez proposer ? (plusieurs solutions possibles)

A – traitement hormonal substitutif


B – bisphosphonates
C - SERM
D – tériparatide
E – vitamine D, calcium
Question 26 : une patiente âgée de 60 ans, consulte pour
des lombalgies. Vous retrouvez dans ses antécédents un
épisode de lombalgie aiguë il y a quelques années. Les
radiographies systématiques objectivent un tassement
cunéiforme du plateau de L1. La densitométrie vous montre
un résultat à moins 2 écarts-types en déviation standard par
rapport au T-score.
Parmi ces propositiions, quelles sont celles que vous
pouvez proposerer ? (plusieurs solutions possibles)

A – traitement hormonal substitutif


B – bisphosphonates
C - SERM
D – tériparatide
E – vitamine D, calcium
Question 27 : une femme de 80 ans, est hospitalisée
en gériatrie pour une décompensation cardio-
respiratoire. Elle présente brutalement un gonflement
douloureux du poignet droit. Celui-ci est le siège d’un
œdème avec épanchemenet intra-articulaire. La
numération formule montre 12 000 globules blancs
dont 70 % de polynucléaires. La VS est à 80 à la
première heure.
Quels traitements proposez-vous (plusieurs réponses
sont possibles) ?
A – anti-inflammatoires non stéroïdiens
B – inhibiteurs de pompe à protons
C – antalgiques
D – colchicine
E – dérivés morphiniques
Question 27 : une femme de 80 ans, est hospitalisée
en gériatrie pour une décompensation cardio-
respiratoire. Elle présente brutalement un gonflement
douloureux du poignet droit. Celui-ci est le siège d’un
œdème avec épanchemenet intra-articulaire. La
numération formule montre 12 000 globules blancs
dont 70 % de polynucléaires. La VS est à 80 à la
première heure.
Quels traitements proposez-vous (plusieurs réponses
sont possibles) ?
A – anti-inflammatoires non stéroïdiens
B – inhibiteurs de pompe à protons
C – antalgiques
D – colchicine
E – dérivés morphiniques
Question 27 : une femme de 80 ans, est hospitalisée
en gériatrie pour une décompensation cardio-
respiratoire. Elle présente brutalement un gonflemente
douloureux du poignet droit. Celui-ci est le siège d’un
œdème avec épanchemenet intra-articulaire. La
numération formule montre 12 000 globules blancs
dont 70 % de polynucléaires. La VS est à 80 à la
première heure.
Quels traitements proposez-vous (plusieurs réponses
sont possibles) ?
A – anti-inflammatoires non stéroïdiens
B – inhibiteurs de pompe à protons
C – antalgiques
D – colchicine
E – dérivés morphiniques
Question 28 : une femme de 48 ans présente une polyarthrite
rhumatoïde. Elle présente des douleurs articulaires sur 6
articulations des mains avec gonflement modéré des doigts. Son
DAS 28 est à 4,1.
Elle prend un anti-inflammatoire de type coxib régulièrement. Elle
est sous léflunomide 20 mg/jour qui est bien toléré. Elle ne prend
pas de corticothérapie.
Cette polyarthrite évolue depuis 2 ans. Sur les radiographies des
mains et des pieds vous avez constaté l’apparition d’érosions sur
les 6 derniers mois 5 articulations.
Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous formulez
chez cette patiente ? (plusieurs propositions sont acceptées)

A – maintien de la thérapeutique
B – changement du traitement de fond pour le Méthotrexate
C – changement du traitement de fond pour la Salazopyrine
D – apport d’un anti-TNf
E - apport d’un anti-IL1
Question 28 : une femme de 48 ans présente une polyarthrite
rhumatoïde. Elle présente des douleurs articulaires sur 6
articulations des mains avec gonflement modéré des doigts. Son
DAS 28 est à 4,1.
Elle prend un anti-inflammatoire de type coxib régulièrement. Elle
est sous léflunomide 20 mg/jour qui est bien toléré. Elle ne prend
pas de corticothérapie.
Cette polyarthrite évolue
depuis 2 ans. Sur les radiographies des mains et des pieds vous
avez constaté l’apparition d’érosions sur les 6 derniers mois sur
5 articulations.
Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous formulez
chez cette patiente ? (plusieurs propositions sont acceptées)
A – maintien de la thérapeutique
B – changement du traitement de fond pour le Méthotrexate
C – changement du traitement de fond pour la Salazopyrine
D – apport d’un anti-TNf
E - apport d’un anti-IL1
Question 29 : un homme de 45 ans consulte pour des
lombalgies évoluant depuis 48 heures survenues à la
suite d’un effort déclenchant (travaux de terrassement).
Ces lombalgies sont sans irradiation. Il n’y a aucun
syndrome inflammatoire ni signe d’alerte. L’examen
neurologique est normal. parmi ces propositions, quelles
sont celles que vous formulez (plusieurs réponses
possibles) ?

A – mise en place d’antalgiques


B – instauration d’anti-inflammatoires
C – infiltration épidurale
D – repos au lit 48 heures
E – mise en place d’un patch morphinique
Question 29 : un homme de 45 ans consulte pour des
lombalgies évoluant depuis 48 heures survenues à la
suite d’un effort déclenchant (travaux de terrassement).
Ces lombalgies sont sans irradiation. Il n’y a aucun
syndrome inflammatoire ni signe d’alerte. L’examen
neurologique est normal. parmi ces propositions, quelles
sont celles que vous formulez (plusieurs réponses
possibles) ?

A – mise en place d’antalgiques


B – instauration d’anti-inflammatoires
C – infiltration épidurale
D – repos au lit 48 heures
E – mise en place d’un patch morphinique
Question 30 : un homme de 54 ans consulte pour des
douleurs de l’épaule droite apparue depuis 4 semaines.
Il présente une limitation douloureuse des mobilités en
élévation-abduction, est gêné pour s’habiller et saisir
des objets. Il ne peut plus dormir sur le côté droit en
raison des douleurs.
Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous
formulez (plusieurs réponses possibles) ?

A – prescription d’un traitement antalgique symptomatique


B – prescription d’un anti-inflammatoire
C – infiltration d’un dérivé corticoïde
D – rééducation visant à renforcer les muscles abaisseurs
et stabilisateurs de la tête humérale
E – infiltration intra-articulaire d’un dérivé d’acide
hyaluronique
Question 30 : un homme de 54 ans consulte pour des
douleurs de l’épaule droite apparue depuis 4 semaines.
Il présente une limitation douloureuse des mobilités en
élévation-abduction, est gêné pour s’habiller et saisir
des objets. Il ne peut plus dormir sur le côté droit en
raison des douleurs.
Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous
formulez (plusieurs réponses possibles) ?

A – prescription d’un traitement antalgique symptomatique


B – prescription d’un anti-inflammatoire
C – infiltration d’un dérivé corticoïde
D – rééducation visant à renforcer les muscles abaisseurs
et stabilisateurs de la tête humérale
E – infiltration intra-articulaire d’un dérivé d’acide
hyaluronique

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