a) sont des rayonnements non ionisants b) sont à la base de la radiologie conventionnelle et le scanner c) sont contre indiqués chez les patients porteurs d’un pace Maker d) S’atténuent lors de la traversée de l’organe en fonction de la densité de celui-ci e) se propagent en mode sinusoïdal 2. Les rayons x a) Traversent le corps humain b) Sont à la base de l’IRM c) Sont contre indiques chez la femme enceinte d) Sont à la base de la mammographie e) Nécessitent tjrs un produit de contraste 3. Les rayons X a) Se propagent selon une ligne droite b) Ne traversent pas le corps humain c) Subissent une atténuation en fonction de l’épaisseur traversée d) Sont d’autant plus pénétrants que la tension est élevée ???? e) N’entrainent pas d’effet biologique 4. L’echographie est une technique qui a) Peut générer des complications b) Est gêné par l’obésité c) Est basée sur la propagation d’un champ magnétique d) Permet une bonne étude des voies biliaires e) Est contre indiquée au premier trimestre de la grossesse 5. l’échographie est une technique a) Irradiante b) Indolore c) Couteuse d) Utilisant un produit de contraste iodé e) Utilisant les ultrasons 6. le scanner a) N’est pas irradiant b) Est contre indiqué chez la femme enceinte en début de grossesse c) Repose sur la mesure densité radiologique d) Utilise des détecteurs e) Peut nécessiter l’injection de produit de contraste 7. Le scanner est une technique d’imagerie qui a) Utilise un tube à rayons X et des détecteurs b) Permet une étude fiable des densités c) Peut nécessiter un produit de contraste d) Ne permet pas l’étude de l’os e) Est contre indiqué chez le porteur de pace maker 8. L’entero scanner a) Est une technique d’imagerie en coupe b) Ne nécessite pas de jeun c) Est mieux réalisé après enteroclyse d) Est indiqué pour l’étude de l’intestin grêle e) Permet une navigation virtuelle au sein du colon 9. l’IRM utilise a) Des ultrasons b) Des rayons X c) Des rayons gamma d) Un champ magnétique e) Des antennes réceptrices 10. l’IRM est une technique d’imagerie contre indiquée chez a) Patient porteur de corps étranger intra dentaire b) Femme enceinte c) Insuffisant rénal d) Patient ayant une allergie à l’iode comme insuffisants rénal e) Jeune enfant f) pacemaker 11. En radiographie conventionnelle, le terme d’opacité a) est une image qui peut être de tonalité hydrique ou calcique b) correspond soit à du tissu mu soit à des calcifications c) présente toujours des limites nettes d) est exclusivement utilisé en pathologie thoracique e) est une formation de forte densité 12. la radiologie conventionnelle peut être suffisante sans avoir recours aux techniques d’imagerie ou autres techniques d’imagerie en cas de a) Fracture osseuse b) Tumeur cérébrale c) Pneumothorax de grande abondance d) Masse hépatique e) Hernie discale 13.Le doppler : * est un examen avec injection du produit de contraste. * permet l’exploration des vaisseaux et des cavités cardiaques. * Est l’exam de 1ère intention dans le diagnostic des thrombophlébites. * est sans risque pour le patient. 14.Le scanner est g Une technique irradiante Une technique où on mesure le signal(densité) Une technique où les densités varies de -1000 à + 1000 UH.V Utilise les produits de contraste iodés 15.L’IRM est g A base d un champ magnétique Ci au 2 trimestre de la grossesse Permet des coupes dans les differents plans Une tech qui peut etre utilisée sans risque pour le patient 2. imagerie du syndrome obstructif urinaire 1.Patient de 65 ans, ancien tabagique qui se présente pour une hématurie totale. Quel(s) bilan(s) indiquerez-vous en première intension g A/Un scanner abdominal B/ un uroscanner (à confirmer ? ) C/ une cystoscopie ( bilan de 1ère inten° chez une pers ac hématurie totale) D/ un abdomen sans préparation pour chercher une lithiase 2.Patient de 72 ans présentant une dysurie. Quel est votre attitude? g A/ faire une échographie endo-rectale B/ faire une cystoscopie. C/ faire un TR. D/ indiquer un dosage de la PSA. 3.Chez un patient présentant un cancer de prostate. Quel est l’examen approprié pour un bilan d’extension loco-régionale g A/ une échographie endo-cavitaire B/ une radiographie du bassin C/ une IRM pelvienne. D/ une TDM thoraco-abdomino-pelvienne. 4.Quelles sont les indications de l’imagerie dans le bilan d’une infection urinaire g A/ des douleurs lombaires fébriles chez une patiente diabétique. B/ une cystite isolée? (craindre l’abcès et pyéonephrite) C/ rechercher une malformation des voies urinaires. D/ rechercher des complications. 5.Dans l’étude de l’appareil urinaire : g * L’ASP permet une étude morphologique des structures urinaires * L’échographie permet une étude fonctionnelle de la sécrétion urinaire * Le scanner permet une étude morphologique et fonctionnelle * L’IRM est l’examen de 2e intention à la recherche d’un obstacle lithiasique 6.Dans le syndrome obstructif urinaire aigu : g * L’obstacle est souvent d’origine lithiasique. * LA lithiase est toujours radio opaque sur l’ASP * L’uroscanner est l’examen de choix pour le diagnostic étiologique. * La TDM abdomino pelvienne est souvent suffisante pour le diagnostic. ??? 7.Dans le syndrome obstructif urinaire chronique : g * l’UIV peut objectiver un aplatissement des calices. * La gravité est proportionnelle avec l’épaisseur du cortex rénal. * On note un retard de sécrétion et d’excrétion urinaires. * L’uro IRM peut montrer l’obstacle sans recourir à l’injec° du PC. 8. L’exploration de l’appareil urinaire par TDM présente un ou plusieurs des intérêts suivants a) Renseignements morphologiques b) Renseignements fonctionnels c) Etude de la contractilité urétérale d) Etude du résidu post mictionnel e) Renseignements densitométriques 9. Dans le syndrome obstructif urinaire aigu du haut appareil urinaire, l’echo montre un ou plusieurs signes suivants : pas sure juste réponses fichier a) Reins de taille réduite b) Cavités pyélo-calicielles dilatées c) Importante réduction de l’index parenchymateux d) Une vessie distendue e) Une prostate augmentée de volume 10. Parmi les signes radiologiques du SOU chronique du bas appareil sur UIV ou sur uroscanner, propositions justes : pas sure juste réponses fichier a) Rein de petite taille b) Cavités pyélo-calicielles fines c) Néphrographie retardée d) Retard d’excrétion urinaire e) Uretères sinueux 11. Parmi les signes d’un syndrome obstructif urinaire, on note : a) Kyste rénal b) Retard d’opacification des voies urinaires c) Néphrographie retardée croissante d) Dilatation de l’uretère e) Calcifications rénales 12. Quels sont les signes radio de la tuberculose de l’appareil urinaire a) Rein mastic b) Calcifications fines de la paroi et de la vessie c) Sténose urétérale d) Caverne tuberculeuse rénale e) Petite vessie ronde f) Lithiase urinaire g) Hypertrophie prostatique h) Rétraction du bassinet i) Image d’addition parenchymateux –calicielle j) Urétérocèle 13. La lithiase urinaire (calculs) composée d’acide urique et d’urates a) Hyperéchogène suivie d’un cône d’ombre b) A contours hérissés c) Lacunaire à l’UIV d) Radio opaque e) Peut simuler une tumeur pyélique à l’UIV 14. Un garçon de 5 ans présente une infection urinaire .la cystographie ne montre pas de reflux. L’UIV montre une dilatation des cavités pyélo calicielles droites avec un uretère droit normal. Quelle est la cause de l’hydronéphrose a) Tuberculose urinaire b) Syndrome de la jonction pyélo urétrale c) Lithiase radio transparente d) Cancer du bassinet e) Kyste cortical exorénal 3. Imagerie du syndrome de masse rénale 1.Une échographie rénale chez une patiente trouve une masse rénale kystique transonique, à paroi fine et régulière g A/ c’est un kyste atypique. B/ c’est une lésion bénigne. C/ on évoque un kyste séreux typique. D/ on complète obligatoirt par un scanner. F echo est suffisante pr retenir le Dc ????? 2.Quels sont les signes sémiologique décrits dans le syndrome de masse rénale g Des effets de masse sur les voies excrétrices Un déplacement rénal Un reins à contours bosselés Des lésions lacunaires intra-cavitaires 3.Ces lésions sont considérés comme des tumeurs rénales A/ un kyste atypique. B/ un abcès rénal C/ tumeur végétante intra-pyélique D/ un néphroblastome Si on a une masse on peut cocher kyste et abcès 4. Une patiente de 30 ans, sans antécédent qui consulte pour une crise de colique néphrétique droite La distension urinaire est à l’origine de la douleur Le cliché de l’ASP montre toujours une lithiase L’echo est demandée à la recherche d’une dilatation des cavités excrétrices La TDM abdomino pelvienne montre l’obstacle lithiasique : taille, siège et densité L’urographie intra veineuse peut être réalisée à la recherche d’un retard de sécrétion et d’excrétion urinaire 5. Le patient Ahmed, âgé de 55 ans, se présente pour une douleur lombaire droite chronique avec apparition récente d’une hématurie Quel examen indiquerez-vous en premier lieu ? a. UIV b. Uroscanner c. Echo endorectale d. Echo abdominale e. Rien, tt et laissez partir 6. L’examen radio du mm patient Ahmed vous montre une lésion tissulaire avec une nécrose centrale au niveau du rein droit. Quel diagnostic vous évoquez en 1er lieu a. Kyste rénale atypique b. Cancer rénal droit c. Abcès rénal d. Pseudotumeur rénale droite e. Kyste rénal simple 7. Chez ce mm patient Ahmed, quel examen indiquerez-vous en 2eme intention a. Une IRM rénale b. Une TDM thoraco abdomino pelvienne c. Angiographie diagnostique d. Echo doppler veineux abdominal e. Echo abdominale 8. Une echo rénale chez une patiente trouve une masse rénale kystique transsonique, bien limitée, à paroi fine et régulière a) C’est un kyste rénal atypique b) C’est une lésion bénigne c) C’est un kyste séreux typique d) Abcès du rein e) Hydronéphrose 9. Chez un sujet présentant un cancer rénal, la quelle ou les quels des réponses sont justes a) Il faut rechercher des signes d’extension vers la VCI b) Il faut rechercher des signes d’extension extra capsulaire c) Echo doppler est suffisant pour le bilan d’extension d) Il faut rechercher une extension tumorale à distance vers la vessie e) L’urographie intra veineuse est indispensable au diagnostic ???? 10. Une masse tissulaire du rein gauche hypo échogène hétérogène à l’echo évoque en premier a) Adénocarcinome rénal b) Angiomyolipome (hyperéchogène) c) Abcès rénal d) Anévrysme rénal thrombosé e) Tuberculose rénale 11. Les critères d’un kyste simple à l’echographie sont a) L’absence de la paroi kystique identifiable b) L’existence d’un renforcement postérieur c) L’existence de cloisons d) Une plage anéchogène pure e) Limites régulières 12. Les critères d’un kyste rénal compliqué à l’echographie a) L’absence de paroi kystique identifiable b) Existence des cloisons c) Existence d’un renforcement postérieur d) Contenu impur à liquide épais e) Limites régulières 13. Un jeune patient consulte pour une colique néphrétique avec hématurie. L’echographie réalisée montre une image hyper échogène intra pyélique suivie de cône d’ombre postérieure Quel est le diagnostic le plus probable ? a) Caillot sanguin b) Lithiase pyélique = calcul c) Tumeur sessile du bassinet d) Tuberculose urinaire e) Syndrome de jonction pyélo urétéral 14. La découverte fortuite en échographie d’une masse rénale tissulaire impose la réalisation d’un scanner pour a) Affirmer le caractère vascularisé ou non de la lésion b) Etudier l’extension de la graisse péri rénale c) Chercher des adénopathies rétro péritonéales d) Chercher un calcul de l’uretère pelvien ???? e) Evaluer le volume prostatique 15. Chez un patient présentant à l’échographie une massé rénale échogène hétérogène, le scanner est réalisé pour : a)Guider une biopsie b)Chercher des adénopathies rétro péritonéales c)Etudier la perméabilité de la VCI d)Affirmer le diagnostic d’une lésion tumorale e)Chercher des métastases hépatiques 4. Imagerie des masses pelviennes chez la femme 1. Dans l’exploration du pelvis en radiologie a) L’echo est l’examen de 1ére intention b) L’IRM est l’examen de choix dans la patho pelvienne c) Le scanner est réalisé pour le bilan d’extension des patho tumorales d) L’IRM est moins performante que le scanner pour établir le bilan d’extension ou cancer du col utérin e) L’hystérosalpingographie comprend un risque infectieux 2. Une femme de 55 ans consulte pour des métrorragies. L’echographie endovaginale montre une hypertrophie de l’endomètre utérin hétérogène et mal limitée. Quel est votre diagnostic ? ???? a) Fibrome sous muqueux b) Cancer de l’endomètre c) Tuberculose utérine d) Endométriome utérine e) Métastase utérine 3.L’anévrysme de l’aorte abdominale : a) * est de diagnostic échographique.V * Nécessite un angioscanner pour un bilan pré chirurgical.V * Peut nécessiter le recours à l’angio IRM en cas d’insuffisance rénale.V * Peut être traité exclusivement par voie chirurgicale.F 2. Prof Nasser 1.Imagerie du thorax 1. La radiographie thoracique de: Réalisée en antéro –post Doit être réalisée en inspiration profonde Est réalisée les bras au dessus de la tête Est le premier examen à demander en pathologie respiratoire 2. Les critères de qualité d’une radio thrx : Equidistance des bords internes des clavicules par rapport aux épineuses Une bonne visibilité du thymus Présence de calcifications chondro costales Visibilité de la poche à air gastrique .V 3. Nodule pulmonaire : Lésion claire Peut présenter des contours nets ou flous A une taille moins de 3 cm Peut-être d origine infectieuse ou tumorale 4. La TDM thrx : Basée sur un champ magnétique Permet une coupe axiale et des reconstructions multiples A une meilleure sensibilité que la radio standard Est examen non irradiant 5. Le médiastin est un espace anatomique : * divisé en 3 compartiments * ne peut être étudié qu’au scanner. * Composé de structures hydriques et aériques * sans communication avec le cou. 6. Une opacité médiastinale :g * Est de tonalité calcique. (hydrique). * Présente une limite interne nette. * Présente une limite externe flou. * peut être étudiée à la radiographie standard, au scanner et même en IRM 7. Le signe de la silhouette : g * permet de distinguer une grosse artère pulmonaire d’une ADP hilaire * Permet de localiser une opacité médiastinale / r aux stt cardiovasculaires * indique qu’une masse médiastinale est de siège thoraco-abdominal * Permet une orientation vers la nature de la masse médiastinale ? 8. Sur une radiographie thoracique de face, les images pièges à connaitre sont a) Les mamelons b) Les calcifications chondro-costales c) Le thymus chez l’enfant d) La scissure azygos e) Les muscles pectoraux chez les sportifs 9. Une opacité médiastinale a) Est une masse médiastinale de tonalité hydrique b) Présente une limite interne nette c) Présente une limite externe floue d) Nécessite le recours au scanner comme examen de 2eme intention pour une meilleure étude topographique et une orientation étiologique e) Est de siège au niveau du compartiment post quand elle efface l’arc inferieur droit du médiastin (signe de la silhouette) 10. Quels sont les signes radiologiques d’une opacité de type alvéolaire a) Limites sont floues b) Caractère systématisé c) L’aspect non évolutif sur des clichés successifs d) Broncho gramme aérique constant e) Confluence des lésions 11. Quels sont les signes faisant partie du syndrome interstitiel a) Des micronodules à limites floues b) Des microkystes réalisant l’aspect en rayon de miel c) Une opacité rétractile d) Un verre dépoli e) Un épaississement péri broncho-vasculaire ?? 12. Dans le cadre de la tuberculose pulmonaire , quelles sont les propositions exactes a) La localisation est au niveau des lobes supérieurs (surtt) b) L’agent pathogène est de type viral c) La caverne est fréquente au cours de la primo infection d) Le tuberculome est une lésion calcifiée séquellaire e) L’existence d’une spondylodiscite associée est possible 13. Dans l’atélectasie pulmonaire, quelles sont les propositions exactes a) N’intéresse jamais un poumon entier b) La radio thoracique montre une opacité triangulaire à sommet hilaire et à base périphérique c) Le caractère non rétractile est en faveur du diagnostic d) Le signe de Golden est pathognomonique d’un cancer pulmonaire associé e) La TDM thoracique permet le diagnostic étiologique 14. Dans l’épanchement liquidien pleural de moyenne abondance, quelles sont les propositions exactes a) La radio thoracique montre une opacité basale dense et homogéne b) La limite supérieure est convexe vers le haut (concave) c) L’opacité n’est pas systématisée d) Un bronchogramme aérique est possible e) Il est mobile avec les changements de position 15 .Dans les métastases pulmonaires, quelles sont les propositions exactes a) La voie de dissémination hématogène est la plus fréquente b) La radio thoracique est supérieure à la TDM dans leur analyse c) La miliaire métastatique correspond à de gros nodules épars d) Le lâcher de ballon est évocateur du diagnostic e) La lymphangite carcinomateuse est l’un des aspects classiques 16 .Sur une radio thoracique de face, quels sont les critères de qualité à connaitre a) Equidistance entre les bords internes des clavicules et apophyses épineuses b) Le sommet de la coupole diaphragmatique droite au niveau du 4e arc costal c) Une visibilité des vx jusqu’à 1.5 cm de la paroi thoracique d) La présence de la scissure azygos e) Une bonne visibilité du thymus 17 .Sur une radio thoracique de face, comment connaitre une masse médiastinale a) Une opacité dont la limite externe et nette b) Opacité contenant un broncho gramme aérique c) Opacité à limites internes noyés dans le médiastin d) Lésion radio claire e) Opacité responsable d’une attraction des structures médiastinales 18 .Parmi les étiologies des masses médiastinales ant, on peut citer a) Tumeurs neurogènes b) Meningocles c) Teratomes d) Goitres thyroïdiens e) Lymphomes 19. Parmi les signes radio de l’œdème aigu du poumon sur une radio thoracique de face , on peut citer a) Opacités alvéolaires bilatérales en ailes du papillon b) Opacité excavée apicale c) Epanchement pleural d) Cardiomégalie e) Adénopathies médiastinales 20.L’œdème aigu du poumon : * la radiographie thoracique est l’examen de première intention.V * Le diagnostic est basé sur la coronarographie * Le diagnostic est basé sur le doppler veineux. * La radiographie peut montre un aspect en aile de papillon.V 21 .Dans le cancer broncho pulmonaire, quelles sont les propositions exactes a) Radio standard est l’examen de base dans le diagnostic positif et le bilan d’extension b) L’IRM est indiquée pour les tumeurs de siège apical à la recherche d’une extension nerveuse c) Une opacité alvéolaire trainante est une des manifestations particulières d) Le pet scan montre une hypofixation tumorale (hyperfixation) e) Métastases ganglionnaires exceptionnelles 22 .Dans le pneumothorax, quelles sont les propositions exactes a) Radio standard est suffisant pour diagnostic b) Radio standard montre une opacité ronde c) Aspect radio est une hyper clarté périphériques et externe d) Hyper clarté contient des vx e) Un cliché en expiration est indiqué si le pneumothorax est minime 23 .Quels sont les signes qui font partie du syndrome interstitiel a) Epanchement pleural liquidien b) Epaississement péri bronchovasculaire c) Aspect en verre dépoli d) Dilatation des bronches e) Des fines micro nodulations réalisant une miliaire 24 .Dans le syndrome alvéolaire quelles sont les propositions exactes a) Radio standard montre hyper clarté b) Radio standard montre opacité systématisée c) Lésions évolutives sur clichés successifs d) Pneumonie franche lobaire aigue en est l’une des étiologies e) L’IRM est un exam indispensable au diagnostic 25 .Dans la tuberculose pulmonaire, propositions exactes a) Séquelles rares b) Radio standard peut être normal au cours de 1ere infection c) Caverne fréquence au cours de la phase d’état d) Adénopathies médiastinales possibles e) Lésions siègent surtt au niveau des lobes inf 26. Dans l’hyatidose pulmonaire, quelles sont les propositions justes a) Kyste hydatique peut être rompu ou nn b) Radio thoracique peut montrer une opacité ronde bien limitée c) Une image en nénuphar est en faveur d’un kyste non rompu d) La TDM thoracique montre une masse de densité tissulaire e) L’echo peut montrer une formation an échogène 3.Imagerie du foie 1. Un patient de 90 ans, suivi en cardiologie pour des troubles de rythme cardiaque porteur d’un pace maker et qui consulte pour des douleurs de l’hypochondre droit avec fièvre faisant suspecter un abcès hépatique a) L’echo abdominale est l’examen de1ére intention b) L’IRM peut être réalisé vu son caractère non irradiant c) Le scanner peut mettre en évidence des lésions hypo denses qui se rehaussent en périphérie d) Le diagnostic différentiel peut parfois se poser avec une tumeur e) Le tt peut être guidé par l’imagerie (drainage percutané) 2. Le foie est un organe a) Qui peut être exploré que par le scanner b) Organe d’exploration facile par écho c) Peut-être exploré par IRM 3. Le kyste hydatique du foie s a) Peut-être hypo iso échogène ou an échogène b) Peut contenir des calcifications c) Peut-être exploré par TDM hépatique 4. Le kyste hydatique du foie se traduit en écho par a )Une image an échogène ds stade 1 b) Image an échogène ac décollement membranaire ds stade 5 c) Une image kystique multi vésiculaire ds stade 3 d) Lésion calcifiée ds stade 2 e) Image pseudo tumorale ds stade 4 5. L’angiome hépatique est une tumeur bénigne du foie qui se traduit par a) Aspect an échogène ac renforcement postérieur (hyperehogene) b) Aspect hypo dense qui rehausse en couronne périphérique c) Prise de contraste en motte au tps artériel d) Prise de contraste de la périphérie vers le centre e) Remplissage complet au temps tardif f) Se rehausse de façon centrifuge (centripète de peripherie vers centre) 6. Les métastases hépatiques sont les tumeurs malignes hépatiques les plus fréquentes caractérises par a) Lésion hyperéchogène entourée d’un halo hypo échogène b) Lésion iso dense qui se rehausse en motte discontinue ( hypo dense) c) Lésion an échogène d) Lésion infiltrant mal limitée au scanner e) Lésion totalement calcifiée 7. Une patiente de 80 ans, suivie pour une hépatite virale C lors d’une écho de contrôle, on note un nodule hépatique hyperéchogène a) La 1ére hypothèse est un kyste hydatique pseudo tumoral b) Echo est un examen très sensible pour un diagnostic étiologique c) Le scanner et l’IRM examens de choix de caractérisation lésionnelle d) Si le nodule est hyper vascularisé au tps artériel au scanner , le diagnostic d’un carcinome hépato cellulaire est fort probable e) L’IRM peut être réalisée pour un diagnostic de nature mm en cas d’insuffisance rénale 4.Imagerie des vb 1. La cholécystite aigue s a) Souvent d’origine lithiasique b) Diagnostic facile par écho c) Se manifeste par une paroi vésiculaire fine d) Se manifeste par des lithiases vésiculaires 2. Le diagnostic échographique d’une cholécystite aigue repose sur l’un ou plusieurs des signes suivants a) Présence d’un calcul intravasculaire b) Epaississement de la paroi vésiculaire au delà de 4 mm c) Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques d) Epaississement des voies biliaires intra hépatiques ???? e) Présence d’une image hyperéchogène avec cône d’ombre au niveau du bas cholédoque 3. Dans l’exploration des voies biliaires laquelle ou lesquelles des propositions sont justes a) Asp est première intention b) Echo est méthode non invasive est facile c) Bili IRM est plus sensible que scanner d) Opacification des voies biliaires est obligatoire avant tt acte chirurgical e) L’imagerie peut guider la mise en place d’une prothèse biliaire 4. Une patiente de 50 ans, opérée il y’a une semaine pour une lithiase vésiculaire et qui consulte aux urgences pour une dyspnée d’installation aigue a) Le premier diagnostic a évoquer est la dissection vésiculaire b) La scintigraphie pulmonaire est à réaliser en urgence c) L’angioscanner peut montrer l’aspect en rail du thrombus au niveau des artères pulmonaires d) Une bili IRM est indispensable au diagnostic 5. Une patiente de 45 ans connue porteuse d’une lithiase vésiculaire de 20mm découverte de façon fortuite à l’occasion d’un écho et qui consulte en urgence pour une douleur de l’hypochondre d avec fièvre a) La BILI IRM est l’examen à demander en urgence b) L’écho peut montrer une image hyperéchogène ac cone d’ombre postérieur c) La présence d’un épaississement de la paroi vésiculaire à l’écho signe le diagnostic d’une cholécystite aigue lithiasique d) Le scanner montre tjrs une lithiase vésiculaire dense e) Le scanner est d’un grand intérêt si on suspecte des complications 6.Une patiente de 40 ans , présente des lithiases vésiculaires à l’echo abdo , complications a) cholecystite aigue b) cholecystite chronique c) cancer VBP d) Angiocholite E) Pancréatite aigue 2. pancréas 1. En matière de pancréatite aigue, le scanner est un examen radiologique qui présente un intérêt ds les situations suivantes a) Doit être réalisé dans les 48 à 72 h après le début de la symptomatologie b) Participe au score de gravité c) Inferieur à l’échographie ds la mesure du pourcentage de nécrose pancréatique d) Permet de détecter les complications e) Permet de guider les gestes de radio interventionnelle 2. Parmi les signes radio de la pancréatite chronique a) Hypertrophie globale du corps de pancréas b) Coulées péri pancréatique c) Dilatation du canal pancréatique principal d) Lithiase bas cholédoque e) Pseudo kyste retentionnel d’amont 3.Une patiente de 50 ans, suivie pour vésicule biliaire multi micro lithiasique qui consulte en urgence pour une douleur épigastrique transfixiante faisant suspecter une pancréatite aigue a) Le 1er examen complémentaire pour confirmer le diagnostic est bili IRM b) Bilan biologique signe le diagnostic c) Cliché de l’ASP peut être réalisé à la recherche de niveaux hydro aériques d) L’écho doit être réalisé en urgence pour chercher les lithiases biliaires e) Le scanner est d’un grand intérêt pour la stadifiation et si on suspecte des complications 3. Pr Mahi 1. Exploration tube digestif 1. Dans l’exploration du tube digestif gh a.echoendoscopie est l’examen de 1ére intention (endoscopie) b.echoendoscopie permet un bilan d’extension à distance ( peri digestif) c.le but des examens radio est essentiellement un bilan d’extension dans la patho tumorale d.l’écho Trans pariétale peut être utile 2. Un patient de 65 ans, ancien tabagique et alcoolique qui consulte pour des dysphagies d’installation progressive. On suspecte un cancer de l’œsophage a) L’examen para clinique à réaliser en premier est le transit oeso-gastroduodénal b) L’endoscopie digestive haute permet un bilan d’extension précis c) Le scanner thoraco abdominal permet un bilan d’extension précis d) Le scanner peut montrer un épaississement circonférentiel de la paroi de l’œsophage e) Le scanner peut mettre en évidence des images en cocarde au niveau du foie 3 .Dans le cadre du cancer de l’œsophage s a) L’endoscopie est un examen de 2eme intention b) L’endoscopie permet un bilan d’extension à distance c) Echoendoscopie permet un bilan d’extension pariétal d) TOGD permet un bilan d’extension à distance 4 .Dans la maladie de Cohn s a) L’entero IRM objective un épaississement régulier de la dernière anse iléale b) L’enteroscanner peut être utilisé dans le cadre du diagnostic c) Le transit du grêle est l’examen de choix d) L’échographie Trans pariétale peut être utile pour le diagnostic 5 .Dans le cancer du colon a) L’entero IRM est l’examen de choix (colo) b) La colo virtuelle peut être proposée pour un dépistage c) Le scanner est la technique de choix du bilan d’extension de la maladie d) Le scanner montre mieux le processus tumoral et son extension 6 .Dans l’appendicite aigue s a) l‘echo permet souvent un diagnostic chez le sujet obèse (scanner) b) Permet de rechercher l’épaississement de la paroi appendiculaire= diagnostic appendicite + douleur o moment d’introduire sonde c) Le scanner est adapté aux situations de diagnostic difficile d) L’IRM est l’examen de 1ere intention 7 .Dans les occlusions intestinales s a) L’echo est l’examen de 1ere intention à la recherche d’un épanchement (scanner) b) Le scanner est l’examen de choix c) Le scanner permet un diagnostic positif et étiologique d) L’ASP est plus sensible que le scanner (ASP aucun intérêt) 8 .L’angiocholite a) Un enclavement de calcul au niveau du siphon vésiculaire ( v b principale) b) Le diagnostic est purement radiologique (biologie juste pour orienter) ?? ???faux La TDM permet de localiser le calcul au niveau de la VBP ( IRM) ??G juste c) La bili IRM est l’examen de choix pour le diagnostic (Cholécystite echo ---- angiocholite IRM) 8 .L’ischémie mésentérique d’origine veineuse s d) Se traduit par une occlusion de la veine mésentérique inferieure (supérieure) e) Se traduit par une paroi digestive fine et non rehaussée ( épaisse spontocarte) f) Est une urgence diagnostique g) Se traduit par un aspect en cible des parois du grêle 9 .Dans le cadre de la maladie de crohn a) Le transit grêle permet une étude de la lumière intestinale, de la paroi digestive et de la graisse péritonéale b) L’enteroscanner est un examen sensible mais irradiant c) L’entero IRM peut montrer un épaississement de la paroi grelique d) Les fistules et les abcès sont des complications redoutables e) L’entero IRM est une technique non irradiante qui permet d’assurer une sur surveillance de la maladie sous tt médical 10 .Un patient de 76 ans, suivi pour constipation chronique et qui consulte pour des rectorragies. Le toucher rectal est normal a) Le premier diagnostic à évoquer est le cancer colique b) L’examen radio de choix à demander est le lavement baryté c) La coloscopie optique est indiquée permettant une étude de la lumières colique et de réaliser d’éventuelles biopsies d) Le bilan d’extension loco régional est mieux étudié par echo abdominale en cas de patho tumorale e) L’entero IRM peut être indiquée 11 .Une patiente de 65 ans, consulte en urgence pour une douleur de la fosse iliaque droite avec fièvre. Le bilan biologique est subnormal Une appendicite aigue est suspectée a) Le cliché de l’ASP doit être réalisé à la recherche d’un stercolithe b) L’echo peut montrer un épaississement de la paroi appendiculaire dépassant 6 mm c) L’echo peut montrer une appendice apéristaltique d) Le scanner est indiqué dans tous les cas pour confirmer le diagnostic e) Le scanner est d’un grand intérêt si on suspecte des complications à type d’abcès ou de perforation 12 .Un patient de 50 ans, opéré il y’a 20 ans pour un ulcère duodénal et consulte aux urgences pour des douleurs abdominales avec arrêt des matières et des gaz a) Le 1er diagnostic à évoquer est une occlusion intestinale b) Le cliché de l’ASP est plus sensible que le scanner pour une orientation diagnostique c) Le scanner peut objectiver une distension des anses digestives avec niveaux hydro aériques d) Le scanner peut montrer un obstacle colique tumoral e) L’échographie est moins sensible que le scanner dans la recherche étiologique 13 .L’entero IRM est une technique d’exploration de l’intestin grêle qui présente une ou plusieurs des caractéristiques suivantes a) Technique irradiante b) Technique qui présente une bonne résolution en contraste c) C’est un examen qui permet une étude de la paroi de l’intestin grêle et de la graisse péritonéale d) C’est un examen qui montre une amputation du bas fond caecal avec fistules dans les tuberculoses intestinale e) C’est une technique qui montre un épaississement de la dernière anse iléale avec prise de contraste dans la maladie de crohn 14 .Le bilan d’extension du cancer de l’estomac est réalisé par le ou les examens suivants a) L’echoendoscopie gastrique b) La scintigraphie osseuse c) L’echo abdominale d) Le transit oesogastro duodénal e) La TDM thoraco abdominale 15 .Parmi les signes radio de la tuberculose intestinale sur l’enteroscanner ou l’entero IRM, on note le ou les signes suivants a) Epaississement de la valvule iléo caecale b) Des images de rétrécissement et de dilatation des dernières anses iléales c) Des adénomégalies à centre nécrosé ????? d) Un épaississement diffus du colon e) Des fistules 16 .Quels sont les signes caractéristiques de la sténose hypertrophique du pylore à l’echo a) Une ouverture du canal pylorique avec passage duodénal b) Une image en cocarde sur la coupe transversale c) Un épaississement hypo échogène du muscle pylorique d) Un diamètre de l’olive pylorique inférieur à 10 mm e) Une épaisseur du muscle pylorique >3mm 17 .Les signes échographiques d’une appendicite chez l’enfant sont : a) Un appendice d’épaisseur >3 mm b) Un épaississement de la dernière anse iléale c) Une hypo vascularisation de l’appendice au doppler d) Une collection appendiculaire à conteu impur e) Un épanchement péritonéal échogène 18 .Pancréatite : clinique, biologie et étiologie Clinique : douleur épigastrique brutale, nausée, vomissements Biologie : hyperamylasémie – hyperlypasémie Etiologie : migration lithiase vésiculaire Intoxication alcoolique 19 .Pancréatite : scanner = exam de référence, grades A : 0 pancréas normal B : élargissement glandulaire C : infiltration graisse D : 1 collection nécrotique E : plusieurs collections nécrotiques 20 .Devant un syndrome occlusif, quels sont les éléments à rechercher en imagerie a) Confirmation du diagnostic d’occlusion b) Lithiase vésiculaire c) Siège de l’occlusion d) Globe vésical e) le caractère organique de l’occlusion ??? 21 .Quels sont les signes écho de la cholécystite aigue ? a) Abcès hématique b) Dilatation des VBIH (angiocholite) c) Paroi vésiculaire épaissie d) Une vésicule biliaire distendue >4cm e) Présence de calculs f) Douleur au passage de la sonde g) Présence de lithiase vésiculaire h) Présence de stéatose hépatique i) Une vésicule à contenu transonore 22 .Quelle est la principale indication actuelle du transit oeso gastro duodénal à la baryte a) L’ingestion de corps étranger b) Sténoses infranchissables par fibro c) Œsophagite caustique ??? d) Patho tumorale de l’estomac e) Perforation de l’ulcère gastrique 23. Quelle est la principale indication actuelle de l’angiographie coelio mésentérique a) Tumeurs du grêle b) Thromboses portales c) Occlusions digestives d) Crohn e) Hémorragie digestive abondante 24 .Quel est l’examen radio à prescrire en 1 er chez un patient suspect d’occlusion digestive ? a) Radio thorax de face b) Radio de l’abdomen sans préparation de face couché c) Radio thoracique de face debout prenant les coupoles d) Radio de l’abdomen sans préparation de face debout e) Lavement baryté 25 .Dans les pancréatites aigues, les buts de l’imagerie sont ??? a) Préciser la gravité b) Rechercher une étiologie, en particulier la lithiase biliaire c) Suivi évolutif d) Guetter des complications e) Guider d’éventuels gestes interventionnels (ponction d’abcès…) 4.Radio osseuse 1.Une lésion osseuse se traduit radiologiquement sous forme g 1. Une lésion destructrice ostéolytique. 2. Une lésion constructrice osteocondensante. 3. Toujours une lésion mixte osteolytique et osteocondensante. 2.Un femme de 75 ans consulte pr des gonalgies de type mécanique déclenchées par les mvt calmées par le repos . La radiographie objective un pincement articulaire avec condensation sous chondrale et ostéophytes marginales. Quel est votre diagnostic g ➔PR 1 .L’abcès de Brodie a) Est une forme clinique d’une ostéomyélite aigue b) Est une forme clinique d’une ostéomyélite chronique c) Se traduit radiologiquement sous forme d’une lacune ovalaire, bien limitée, cernée par un liseré d’ostéocondensation et contenant des petits séquestres d) Siège préférentiellement au niveau métaphysaire e) Pose le diagnostic différentiel avec l’ostéome ostéoide 2 .L’abcès de Brodie a) Est souvent de siège diaphysaire ( metaphysaire) b) Donne une lacune ovalaire bien limitée c) Est bien vu en IRM ( non en TDM) d) Peut s’accompagner d’une réaction periostée en « feu d’herbe » e) Peut simuler un ostéome osteide 3 .Parmi les signes radio, cochez ceux qui correspondent à un mal de pott a) Pincement discal b) Lacune intra – somatiques ou géodes en miroir c) Déminéralisation des corps vertébraux sus et sousjacents d) Abcès para vertébraux en fuseau e) Réaction périoste f) Ostéophytose marginale 4 .L’ostéomyélite aigue a) Est due essentiellement à une contamination par voie hématogène b) Donne des signes radio visibles à partir de 48 heures ( 10j) c) Se traduit par des foyers d’hyperfixation en scintigraphie d) Est détecté précocement par l’ IRM e) Peut donner des appositions persistées floues au delà du 10 éme j 5 .Les signes radio d’une ostéomyélite chronique sont a) Séquestre osseux b) Réaction periostée c) Abcès sous périoste d) Radio normale 6 .L’ostéomyélite chronique d’un os long peut se traduire à la radio par a) Une radio normale b) Remodelage de l’os c) Une réaction periostée en « bulbe d’oignon » d) Séquestres osseux e) Ostéolyse mitée 1 .Une tumeur osseuse bénigne a) Peut souffler la corticale b) Rompt la corticale c) Envahit les parties molles ( ds malignes) d) Donne une réaction periostée fine, lamellaire (reac perio ds malignes) e) A des contours nets ( ou floues) f) Parfois calcifications g) osteocondensation 2 .L’ostéo chondrome (exostose) a) Tjrs unique b) Présente une coiffe cartilagineuse c) Peut-être sessile ou pédiculé d) Peut siéger au niveau des os longs e) Ne dégénère jamais ( au contraire) 3. L’ostéosarcome a) Est une tumeur de l’enfant et de l’adolescent b) Peut se traduire par une ostéolyse c) Est de localisation epiphysaire ( métaphyse os longs) d) Peut donner des métastases pulmonaires ???? e) Est exploré au mieux sur le plan loco régional par le scanner f)Tumeur osseuse maligne la plus fréquente des tumeurs osseuses primitives g)Se présente à la radio standard sous forme d’une ostéolyse mal limitée parfois sous forme de condensante ou mixte h)Peut contenir des calcifications i)Présente une réaction périostée souvent avec éperon de Codman j)Siège souvent au niveau des métaphyses des os longs « pré du genou loin du coude » 4.Le sarcome d’Ewing a) Peut prêter à confusion avec une ostéomyélite aigue b) Souffle la corticale sans la rompre (rompue) c) Touche surtt l’adolescent ( 10/20 ans) d) S’accompagne d’une atteinte très importante des parties molles 5 .Le sarcome d’Ewing a) Est une tumeur du sujet âgé b) Touche exclusivement les os longs ( ou plats du tronc) c) De siège métaphysaire (et diaphysaire) d) Donne une réaction périoste en feu d’herbe e) Se traduit surtt par une ostéocondensation (parfois) 6 .Quel est le meilleur examen pour réaliser un bilan d’extension locale d’une tumeur maligne primitive d’un os long ? a) Echo b) Scanner c) Scintigraphie d) IRM e) Rx standard 7. Les métastases osseuses a) Envahissement des parties molles ?? b) Donnent une réaction periostée ?? c) Peuvent être soufflantes dans le cancer de la thyroïde d) Sont le plus souvent lytiques dans le cancer de la prostate e) Peuvent être détectées à la scintigraphie osseuse 1.Un jeune patient de 30 ans consulte pour des dl fessières d’horaire inflammatoire. Le bilan biologique objective un sd inflammatoire et la radio du bassin objective un flou, une irrégularité des berges articulaires et une condensation périarticulaire des deux sacroiliaques. Quel est votre diagnostic g ➔Une spondylarthrite ankylosante 2.Parmi les signes radiologiques suivants, cocher ceux qui correspondent à la phase de debut d’une polyarthrite rhumatoïde g 1. Gonflement des parties molles péri-articulaires 2. Minimes érosions de 1 à 2 mm péri et sous chondrales 3. Atteinte des métacarpo-phalangiennes et des IPP en premier 4. Condensation osseuse sous chondrales 5. Osteophytoses marginales 3 .Une vertèbre grillagée est caractéristique a) Spondylite b) Angiome vertébrale c) Métastase vertébrale d) Arthrose e) Ostéochondrome 4 .Devant une suspicion de spondylodiscite avec clichés radio conventionnels normaux, quel est l’examen qu’il faut réaliser pour le diagnostic ? a) Echo b) Scanner c) IRM d) Artériographie 4.Pr Fikri 1. l’hématome extra dural a) Correspond à une lésion d’origine veineuse (artérielle) b) Présente un intervalle libre c) Est hypo dense en TDM (hyperdense) d) Se présente en TDM sous forme d’une lentille biconvexe e) Se présente en TDM sous forme d’une lésion en croissant 2. Comment se traduit en TDM un hématome extradural a) Hyperdensité des sillons corticaux b) Diminution de la taille des ventricules c) Elargissement des sillons d) Hyperdensité en croissant à limite interne concave e) Hyperdensité en lentille biconvexe 3 .Un jeune patient de 30 ans présente des céphalées intenses avec vomissements et photophobie. Le scanner cérébral révèle une hyperdensité spontanée au niveau des citernes de la base a) C’est une hémorragie méningée b) AVC ischémique du territoire de l’artère cérébrale postérieure c) C’est une méningite d) c’est une hémorragie ventriculaire e) Aucune de ces propositions n’est juste 4. Sur un scanner cérébral une hémorragie méningée se traduit par ????? a) Hypodensité des espaces sous arachnoïdiens b) Hyperdensité spontanneé des espaces sous arachnoïdiens c) Hyperdensité des espaces sous arachnoïdiens visibles uniquement après injection de produit de contraste d) Hyperdensité spontanée des citernes de la base e) Hypodensité de la faux du cerveau 5 .La tuberculose encéphalique, en TDM a) Les tuberculomes ont un aspect en cocarde b) Les tuberculomes ne présentent jamais d’œdème péri lésionnel c) Les tuberculomes peuvent être multiples et coalescents d) La méningite tuberculeuse siège au niveau de la tente du cervelet e) La méningite tuberculeuse siège au niveau de la base du crane 6 .Les signes TDM d’un accident vasculaire cérébral ischémique à la phase aigüe sont ??? a) Artère cérébrale moyenne hyperdense b) Perte de la différenciation substance blanche et substance grise c) Effacement du noyau lenticulaire d) Elargissement des sillons corticaux e) Hyperdensité intra parenchymateuse ( hypodensité) 7 .Dans un AVC ischémique a) L’obstruction artérielle est due à de l’athérome ou à une embolie cardiaque b) La TDM peut être normale les 6 premières heures c) La lésion, quand elle est bien installée et hyperdense en TDM (hypo dense) d) L’IRM permet un diagnostic très précoce e) L’IRM n’a aucun intérêt sur le plan pronostique 8 .Dans la thrombophlébite cérébrale a) Le post partum constitue l’une des principales étiologies b) En TDM sans injection intraveineuse du produit de contraste, les plages intra parenchymateuses sont hypo denses c) En TDM les lésions sont systématisées ( non systématisées) d) En TDM après injection intraveineuse du pdt de contraste ; le signe du delta vide est objectivé e) L’angio TDM recherche une thrombose du sinus ?? 9 .Dans l’AVC hémorragique a) L’hématome parenchymateux est hypo dense en TDM ( hyperdense) b) L’hémorragie méningée est due à une rupture anévrysmale c) L’hémorragie méningée est spontanément hyperdense en TDM d) L’hémorragie méningée nécessite la réalisation d’une angio TDM e) Il n’existe jamais d’inondation intra ventriculaire 1 .Dans les traumatismes vertebro médullaires a) Si polytraumatisé : faire seulement TDM du rachis ( bodyscanner) b) Si traumatisme rachidien sans signes neuro : faire TDM spiralée d’emblée c) Si déficit neuro : l’IRM d’emblée étudie la moelle épinière d) Si déficit neuro : la TDM fait le bilan de la moelle épinière e) Si déficit neuro : la TDM fait le bilan osseux 2 .Les compressions médullaires a) Constituent une urgence b) La TDM constitue l’examen de choix c) L’IRM constitue l’examen de choix d) L’IRM précise le siège de la compression e) Les causes intra durales sont les plus fréquentes 3 .Parmi les causes vertébrales des compressions médullaires, il existe a) Les fragments osseux intra canalaires b) Les métastases vertébrales c) La spondylodiscite tuberculeuse d) Les volumineuses hernies discales compressives e) Les neurinomes 4 .Dans les tumeurs vertebro médullaires, les signes radio orientent vers la malignité sont a) La lyse osseuse b) Le tassement vertébral non traumatique c) L’epidurite d) La hernie discale e) Le respect des parties molles 5 . hyperdensité spontanée des ventricules et des sillons corticaux en TDM évoque a) Une méningite b) Une métastase méningée c) Une hémorragie méningée d) Une hémorragie intra ventriculaire e) Un œdème cérébral 6 .Quels sont les signes TDM de malignité d’un processus tumoral cérébral a) Un œdème péri lésionnel b) Un engagement amygdalien c) Un élargissement des sillons corticaux d) Une prise de contraste hétérogène de la tumeur e) Des contours flous de la tumeur 17 .Dans les traumatismes du rachis a) La TDM est l’examen de 1ére intention b) Les clichés standards sont inutiles c) On peut noter un tassement vertébral d) Le mur post peut être analysé sur le cliché de profil e) La TDM est le meilleur examen pour rechercher l’atteinte médullaire 8 .Une jeune patiente est victime d’une chute d’un lieu élevé. Le scanner cérébral révèle des hypodensités du lobe frontal gauche Quel est votre diagnostic ? a) Hématome sous dural aigu (hyper) b) Hématome extradural (hyper) c) Hémorragie méningée avec contusion hémorragique (hyper) d) Cisaillement axonal e) Contusion œdémateuse cérébrale 9 .Devant un traumatisme crânien avec un score de Glasgow bas , des lésions de cisaillement axonaux sont suspectées devant ??????? a) Un scanner normal b) Une collection per hémisphérique à limite interne concave en dedans c) Une collection per hémisphérique à limite interne convexe en dedans d) Une hyperdensité des espaces sous arachnoïdiens e) Une hyperdensité spontanée intra ventriculaire