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Casus n°1
Art 134 il s’agit de fermeture individuelle alors que l’acte visé dans le casus est un acte réglementaire
Le conseil communal peut prendre l’ordonnance vu que c’est une des compétences des communes
article 135 §2
Casus n°2
Bourgmestre prend la décision mais le conseil communal doit ratifier. Pour respecter le principe audi
alteram paterm on doit entendre le propriétaire du débit de boisson éventuellement (bonus) en
vertu du principe de bon administration on peut entendre le voisinage
Casus n° 3
Réaffectation
Retirer un acte se fait dans un délai de 60 jour mais s’il y a un recours, le délai est allongé jusqu’à la
clôture des débats, jusqu’a la prise en délibéré. Point de départ du délai (acte de la signature de
l’acte) 22 décembre 2012. Pendant le délai la légalité de l’acte est incertaine jusqu’à ce que le conseil
d’Etat se prononce après celui-ci l’acte est devenu définitif. Le conseil d’Etat a été saisi
régulièrement. L’administration peut retirer son acte.
Casus n° 4
Casus n°5
Décision antérieur
Casus n° 6
La Région Wallonne ne peut prendre un acte réglementaire mais en vertu de la loi du changement
l’autorité administrative peut être amenée à modifier cela. Une telle convention est frappée de
nullité absolue. La mutabilité des actes réglementaires est d’ordre public. (comparer avec convention
environnemental = surplus)
5 ans à partir du 1er janvier de l’année ou le payement a été exécuté. Le délai est écoulé. La base
légale art 106 des lois coordonnées sur le conseil d’Etat, loi du 16 mai 2003 art 16, loi du 22 mai 2003
art 117
Conseil communal agit comme une juridiction administrative, on ne va donc pas devant le CE. Art 16
des lois coordonné recours de pleine juridiction le conseil d’Etat joue le rôle d’un juge d’appel. Il
statut en deuxième degré et dernier ressort. Soit il va confirmer ou réformer la décision du premier
juge.