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EPISODE 1

Ir Augustin BANYAY
PRESENTATION DE L’ORATEUR
Il va de soi que l’institution supérieure et universitaire constitue le thème central de notre
partage. Ces établissements poursuivent traditionnellement trois objectifs : la transmission
du savoir, l’initiation à la recherche scientifique et la formation professionnelle des étudiants.
Aujourd’hui on y ajoute un autre objectif : la formation permanente des professionnels avec
des cours de mise en niveau.
Une considération rapide de ces quatre objectifs assignés aujourd’hui à l’institution
supérieure et universitaire conduirait à les considérer comme lieu de formation. Et ce qu’elle
devrait être.
Digne de mentionner que ce rappel fort utile ne constitue pas la raison qui m’a poussé à
partager cette réflexion. Par contre, depuis le début de cette année académique lors de culte
de dédicace tenue au Temple ville /AOG, les propos sages de Directeur Général de l’ISC-
ISIRO, le recteur de l’UPI et le Prof. KADONI m’avaient fort interpellé la conscience.
Dans ses propos, le Directeur Général de l’ISC-ISIRO a pu révéler qu’ « aujourd’hui, ceux qui
mettent le monde en mal ce sont les universitaires ou les personnes qui ont fréquenté
les milieux universitaires ».
Pour nous, la question était de « pourquoi », pourquoi cet établissement qui a
vocation d’outiller les personnes à des éléments des solutions afin de palier ou
répondre aux besoins de la société, puisse se transformer à une ressource des
produits qui deviennent de bombes à retardement pour la société elle-même.
Dans la démarche de la recherche d’une réponse ou un argument justifiant l’idée de
notre « mator », en appliquant les méthodes d’observation, documentaire et
d’expérimentation, nous avons vite compris l’institution supérieur et universitaire
joue désormais deux rôle : la formation, déformation.
Voilà, d’où nait l’idée de cet intitulé : l’institution supérieure et universitaire, lieux de
formation et/ou de déformation.
La présence de ces deux connecteurs logiques donne lieu à deux propositions qui
s’opposent et qui s’unissent par la suite.
 institution supérieure et universitaire, lieu de formation et
déformation :

cela veut dire tout simplement que les établissements de


l’enseignement supérieur et universitaire sont considérer comme lieu
de formation (inculquer les nouvelles connaissances et expériences
dans la transmission du savoir) et de déformation (lutter contre les
mauvais manières qui œuvrent dans son sein).

 institution supérieure et universitaire lieu de formation et


déformation :
institution supérieure et universitaire, lieu de formation ou
déformation : ici la notion d’exclusion (si l’université est un lieu de
formation, alors elle ne serait plus le lieu de déformation).
Bref, la formulation « Institutions supérieures et universitaires, lieux
de formation et/ou de déformation…
 Université : parmi plusieurs sources mettant en exergue la définition
De ce concept, j’épouse celle de Milano, selon lequel il mentionne que
le concept « Université » est un mot composé de « univers » qui se définit
comme ensemble de tout ce qui existe dans l’espace et dans le
temps et du suffixe « té » qui indique le caractère d’une chose, le
trait propre à…
 formation : (dictionnaire Larousse) Action de former quelqu'un
intellectuellement ou moralement ; Action de donner à quelqu'un, à un
groupe, les connaissances nécessaires à l'exercice d'une activité : La
formation des cadres.
SYNONYMES : apprentissage - éducation

 déformation : (dictionnaire Larousse) Fait d'altérer quelque chose


en lui faisant perdre sa justesse, sa nature réelle, son
sens : Déformation de la réalité.
SYNONYME : altération
A. L’institution supérieur et université comme lieu de formation

Plusieurs voies s’offrent au chercheur pour présenter ces


établissements comme lieu de formation.
Le quadruple objectifs lui assigné en dit long, à savoir : la
transmission du savoir, l’initiation à la recherche scientifique,
la formation professionnelle des étudiants, la formation
permanente des professionnels.
Je voudrais insister sur ces objectifs considérés comme identité et
mission de l’institution supérieure et université.
a. la transmission du savoir
Ce rôle de transmission du savoir est dévolue
principalement aux enseignants, qui, dans l’exercice
de leur métiers, se rappelleront régulièrement de
conseil du pédagogue et philosophe français
Montaigne selon lequel « mieux vaut une tête bien
faite que bien pleine » Il s’agit d’aider l’étudiant à ne
pas se contenter d’emmagasiner des connaissances à
la manière de perroquet (là je penses à mon préfet des
études secondaires et humanitaires), mais à les
assimiler en privilégiant la qualité à la laquelle doit
être subordonnée la quantité. les enseignants ne
doivent pas considérer les étudiants comme un
récipient vide à remplir, mais comme un vase Montaigne
contenant déjà quelque chose de précieux à prendre
au sérieux et améliorer. (insérer l’image de Montaigne)
De ce fait, il est fort utile de rappeler les qualités d’un
bon enseignant :
Ici, l’insistance sur l’enseignement participatif rendu possible grâce au
nouveau système LMD ne devrait pas se réduire et se limiter à un
simple slogan : « Etudiant au centre de sa formation ».
Comprenant ce slogan, parallèlement à notre thématique, nous
pouvons ainsi le reformuler de la minière suivante : étudiant au centre
de sa formation et/ou de sa déformation.
Chers collègues, la transmission du savoir ne peut être fais accès
seulement si nous nous transformions à une terre fertile, prête à
recevoir la semence déjà préparée par les agronomes que sons nos
honorables enseignants. C’est delà que nous porterons les fruits selon
les ententes de l’institution supérieure et universitaire.
Refuser d’être une terre fertile, n’ayant pas en nous le désir
d’apprendre, oubliant les devoirs d’un étudiant, la transmission du
savoir qui est destinée à notre formation n’aura pas de ce sens. ça ne
sera qu’un passetemps et un gaspillage de nos fortunes pour le
paiement de grosses sommes en titre de frais académiques. Au lieu
d’être formé, nous sortirons d’ici bien sûr avec un papier qui nous
colle les divers titres mais qui ne seront pas défendus par nous-même.

Quelle déception pour la famille et la société !!!


 Initiation à la recherche scientifique

La recherche scientifique est peut être une des choses qui distingue
davantage un étudiant d’un écolier.
L’initiation à la recherche scientifique occupe une place non négligeable
dans le cursus de l’étudiant car les cours ne donnent pas tout.
Les recherches scientifiques personnelles permettent à l’étudiant
d’appliquer les théories apprises, de découvrir lui-même ce que les
enseignements ne fournissent pas.
A l’institution supérieur et universitaire, l’on sait que les recherchent
scientifiques passent par l’internet, les enquêtes sur terrain, la
documentation.
Il sied de rappeler que l’initiation à la recherche scientifique au niveau
universitaire ne se réduit pas au cours qui porte le même intitulé. c’est
toute l’institution qui est concernée. dans ce sens l’étudiant acquiert un
cadre qui lui permet de s’enquérir de l’esprit scientifique et de pouvoir
continuer dans la mesure du possible les recherches même après avoir
achevé un cours ou même après avoir fini les études.
Cependant, aussi bien les institutions supérieures et universitaires que
l’Etat devraient-ils favoriser la recherche scientifique en octroyant dans
ce sens des bourses d’étude à certains étudiants élites, en enrichissant
les bibliothèques et en mettre sur pied toues autres instruments qui
aideraient à atteindre cette mission de l’initiation à la recherche
scientifique comme les visites guidées, les activités culturelles
multiformes.
dans ce même ordre d’idée, quelques articles de la constitution
apostolique Véritatis gaudium donnent des lignes de conduite sur ce
point :
 formation des étudiants professionnels
Cet objectifs de l’institution supérieure et universitaire n’est pas des
moindres et mérite le soin nécessaire de la part de tous ceux qui sont
impliqués directement ou indirectement dans cette formation.
que l’on forme des ingénieurs informaticiens ou des comptables, que l’on
forme des médecins ou infirmiers, que l’on forme des pilotes ou des
techniciens de tous genre, que l’on forme des enseignants, que l’on forme
des artistes ou d’autres spécialistes en des métiers divers, la formation
professionnelle devrait être de qualité.
Si les institutions supérieures et universitaires devraient rivaliser entre
elles que ce soit en termes de qualité des produits livrés à la société.
Quand la formation professionnelle échoue, c’est la société qui paye le pot
cassé.
Quel avantage de laisser une bourrique de passer à l’auditoire supérieur au
nom de l’humanisme, ou pour conserver d’autres liens ?
Une nation comme la nôtre ne peut pas se construire avec des licenciés
dans des domaines où ils prétendent posséder des titres ou spécialisation
mais que l’on s’assiste à rien comme changement. Que sert à un pays
d’avoir une pléthore de soi-disant spécialistes d’ingénieurs, de juristes et
d’autres personnes aux multiples grades si la nation ne cesse de croupir
dans la misère et la dépendance extérieure.
Je me suis posé mille et une
question de savoir : pourquoi
seulement appeler un petit chinois
pour l’asphaltage d’une route ou
pour la construction d’un pont
alors qu’il y a des génies civiles et
les instituts de Bâtiments et
Travaux Publics chez nous; de
donner à un coréen la tâche de
concevoir un logiciel de gestion de
processus électoral alors que mon
pays a des universités et
institutions supérieures qui
organisent les facultés et
département qui peuvent répondre
à ce besoin ?
Quand bien même Roberto Angioli interpelle spécialement les
enseignants à la charité intellectuelle, c’est-à-dire transmettre le
savoir avec volonté, amour et souci d’avoir des remplaçant.
Helas ! tout le soin apporté à la formation professionnelle de
l’étudiant ne remplace pas son effort personnel et décisif qui
demeure le premier protagoniste de sa propre formation.
L’association des professeurs de Montréal rappelle cet effort réel et
déterminant exclut le recours à la corruption, à la loi du moindre
effort. Ce n’est qu’au prix de l’esprit d’abnégation et d’une discipline
sans cesse grandissante que l’étudiant réussira, en certains cas, à
être non seulement chercheur d’emploi, mais aussi créateur d’emploi
après avoir fini sans démériter ses études supérieures ou
universitaires. Un tel ressortissant ne vient pas augmenter le
nombre d’universitaires qui font la honte des études supérieures et
universitaires, mais augmenter le nombre d’intellectuels capable de
se prendre honnêtement en charge et d’être vraiment utiles à la
société.

Ce que l’ISC-ISIRO veut que nous devenions !


 formation permanente des professionnels

La formation permanente des professionnels constitue des cours à mise


à niveau. Elle permet selon le cas de se rappeler de notions oubliées,
voire même d’assimiler des notions et tactiques mal apprises pendant la
formation normale, mais ces cours permettent également au
professionnel d’intégrer les nouvelles méthodes.
I. RISQUES DE DEFORMATION PAR LES INSTITUTIONS
SUPERIEURES ET UNIVERSITAIRES

Les institutions supérieures et universitaires jouent un rôle essentiel


dans la formation et le développement des individus. Cependant, il est
important de reconnaître qu'elles peuvent être à la fois des lieux de
déformation, en fonction de divers facteurs.
Parmi ses facteurs favorisant la déformation des étudiants, ou peut
énumérer : la dépravation des mœurs, l’idéologisation, la politisation.
1) Institution supérieure et universitaire et le risque de dépravation
des mœurs
Même si la dépravation des mœurs ne figure point dans les statuts et
règlements des universités, ce milieu abouti souvent à corrompre
certains étudiants qui en sortent plus détruits qu’édifiés. Ce que les
étudiants apprennent et vivent pendant leurs études supérieures et
universitaires risque d’impacter négativement leur vie post universitaire
(proverbe : ce qu’on voit, ce qu’on vit, ce qu’on écoute nous
transformation…). Malgré les éléments constructifs énumérés plus
précédemment, du moins idéalement dans chaque université, Paul Y.
TAGUCHI dans la « pastorale des étudiants d’université en Asie » (p.53),
rappelle que celle-ci véhicule souvent des antivaleurs dont les
conséquences se révèlent très destructrices surtout chez l’étudiant
sans forte personnalité ni encadrement approprié.
Marcous BINDUNGWA Ibanda, affirme dans son récit « Réussir son
passage des humanités à l’universités », qu'«une observation
attentionnée des réflexes actuels des étudiants, fait état de la naissance
de plusieurs défauts dont il faut prévenir les débutants universitaires.
Par la suite il recense et commente six de ces défauts : les "resto-
malewa" universitaires, une mendicité malhonnête, les relations
amoureuses académiques basées sur les intentions de lucre,
l'habillement sexy et recherchée des filles, une certaine prostitution des
étudiantes, le banditisme universitaire. Ce banditisme, à en croire
Bindungwa, s'observe de trois manières : dans une mauvaise gestion de
la mentalité démocratique ne sachant guère respecter les règles d'une
bonne revendication, dans les transports publics dans les échanges
d'injures opposant étudiants des universités et instituts supérieurs
différents, entre étudiants et élèves.
Le Père François GBAKU quand à lui, signale que, du témoignage de
quelques aumôniers et des étudiants, il ressort « quelques faits négatifs
observés en milieu universitaire : la systématisation de corruption dans
les classes de recrutement et tout au long du parcours universitaire, la
montée des associations tribales tant chez les professeurs que chez les
étudiants, les abus commis par les professeurs et étudiants auprès des
étudiants en échange des notes pour passer de promotion ». On entend
ainsi parler des points achetés, du tristement célèbre phénomène "des
points sexuellement transmissibles" qui ne concernent pas seulement
les filles qui se donnent aux professeurs et aux assistants, mais aussi
des étudiants garçons qui acceptent de pratiquer l'homosexualité avec
certains professeurs pour obtenir de (gros) points aux examens. À noter
également que «les milieux universitaires sont infectés aujourd'hui des
sectes et des mouvements ésotériques et occultistes (notamment la
Rose-croix, la franc-maçonnerie, le maï-cary) qui récupèrent à la fois des
jeunes, ceux qui sont dans l'impossibilité de payer leurs études, ou
encore ceux dont n’ayant pas une foi ferme en Christ.

CONFÉRENCE ÉPISCOPALE NATIONALE DU CONGO, Orientations pastorales en milieu universitaire et dans les
instituts supérieurs en RD Congo, Kinshasa-Gombe 2013, p. 6.
Ces faits négatifs susmentionnés et d'autres non relevés devraient
renforcer les structures d'encadrement dont la présence des aumôneries
dans les institutions supérieures et universitaires ainsi que l'importance
à accorder au cours de civisme et environnement, sans oublier, bien sûr,
la nécessité et l'urgence non seulement des statuts et des règlements
intérieurs impeccables au double point de la forme et du fond, mais
surtout dans la mise en marche effective des mécanismes d'application
et de suivi de ces normatives académiques. Les instances aussi bien
politiques que religieuses ne peuvent point au nom de l'autonomie de
l'université60 se désengager par rapport à leurs missions respectives qui
ont au centre l'homme et son bien-être holistique.
 Université et le risque de l’idéologisation

L'université est naturellement au service de la vérité et non des


idéologies et intérêts partisans. Certains lobbies peuvent profiter d'une
université ou des universités pour faire passer leur idéologie en
finançant telle recherche, en exigeant tel comportement en contrepartie
de l'argent débloqué. Les multinationales avec leur influence mondiale
jouent un rôle non négligeable dans l'orientation de certaines
universités.
 Institution supérieure et universitaire risque de la politisation

En certaines situations et en certains endroits, des universités ne


réussissent pas souvent à maintenir intact le caractère apolitique d'une
université. La politisation de l'université peut consister en la mainmise
de l'État sur cette institution en empêchant celle-ci d'exercer librement
sa vocation de recherche de la vérité, de remise en question, de
formation intégrale. La politique cherche, dans un tel contexte, à dicter
les lignes de la recherche scientifique, à édicter les orientations
comportementales à même de favoriser le régime en place. Parfois, des
espions de l'État peuvent s'infiltrer aussi bien dans le corps enseignant
que dans le corps estudiantin.
Quand la politisation est trop visible et intransigeante, les conséquences
peuvent aller du refus d'exprimer librement son opinion à la création de la
pensée unique en passant par une série d'interpellations, de menaces,
d'exactions ... Le caractère apolitique de l'université se trouve diminué,
voire supprimé.
Parfois, pour asseoir la politisation des universités et/ou des instituts
supérieurs, le pouvoir politique crée des universités d'État avec des objectifs
clairement définis dans le sens de pérenniser les partis au pouvoir, pour
bien enraciner l'idéologie du parti. Le risque de politisation des universités
guette davantage les régimes à partis (politiques) uniques.
Le risque de la politisation de l'université est étroitement lié au risque de
l'idéologisation de la même institution ; soit que l'idéologisation fonde la
politisation de l'université, soit que la politisation de l'université fait asseoir
l'idéologie d'une certaine politique de l'État, des partis politiques, des
lobbies, des loges, etc. L'université devient, quand elle tombe dans la
politisation et l'idéologisation outrées, un véritable lieu de propagande des
antivaleurs, un lieu idéal pour inoculer des théories que seuls les
défenseurs savent ce qu'elles comportent de positif. Parmi ces théories
figurent le mariage pour tous, le gender69 cité plusieurs fois dans ce livre.
Ce terme définit la théorie selon laquelle la différence sexuelle entre femmes
et hommes ne serait pas fixée par la nature, mais serait seulement fruit
d'une construction culturelle.
Avis et Suggestions

1. Choisir avec soin : Avant de choisir une institution, les étudiants


devraient examiner attentivement les programmes académiques, les
coûts et les taux de réussite des diplômés. Ils devraient également
considérer leurs propres intérêts et objectifs de carrière.

2. Ces faits négatifs susmentionnés et d'autres non relevés devraient


renforcer les structures d'encadrement dont la présence des
aumôneries dans les institutions supérieures et universitaires ainsi
que l'importance à accorder au cours de civisme et environnement,
sans oublier, bien sûr, la nécessité et l'urgence non seulement des
statuts et des règlements intérieurs impeccables au double point de la
forme et du fond, mais surtout dans la mise en marche effective des
mécanismes d'application et de suivi de ces normatives académiques.
3. L’implication permanente de l’Etat dans la formation
universitaire vivement recommandée et doter les institutions de
l’enseignement supérieur et universitaires des moyens possibles
qui leur permettront d’atteindre les objectifs.
4. Chers collègues, la transmission du savoir ne peut être fais accès
seulement si nous nous transformions à une terre fertile, prête à recevoir
la semence déjà préparée par les agronomes que sons nos honorables
enseignants. C’est delà que nous porterons les fruits selon les ententes
de l’institution supérieure et universitaire.

5. Quand à la dépravation des mœurs, rappelons nous toujours du


conseil de Marcous, ne transformons pas les milieux universitaires en
école de beauté plus que ça demeure l’école d’intelligence, cela
épargnerait centaines demoiselles d’emprunter des voies immorales pour
se procurer.

En fin de compte, le succès dans l'enseignement supérieur dépend en


grande partie des choix individuels et des efforts des étudiants. Il est
essentiel de prendre des décisions éclairées et de s'engager activement
dans son propre développement académique et personnel pour tirer le
meilleur parti de l'expérience universitaire.

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