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Selon Aaron Beck, l’un des pionniers de la thérapie cognitive, la dépression est principalement

caractérisée par des schémas de pensée négatifs et des distorsions cognitives. Il a développé la
théorie selon laquelle les personnes souffrant de dépression ont tendance à interpréter de manière
automatique et souvent erronée les événements de leur vie. Ces interprétations négatives
conduisent à des émotions telles que la tristesse, le désespoir et la perte d’intérêt pour les activités
habituelles.

De pensée négatifs et les distorsions cognitives influencent les émotions et les comportements des
individus.

Sigmund Freud ont contribué à définir la névrose comme un trouble mental résultant de conflits
internes, souvent en lien avec des expériences précoces et des mécanismes de défense. Pour Freud,
les névroses étaient liées à des compromis entre les désirs inconscients et les exigences de la réalité.

La névrose peut être définie d’une manière profonde comme un trouble mental caractérisé par des
conflits internes, des angoisses refoulées et des mécanismes de défense inconscients.

- JuEugen Bleuler : Il a introduit le terme « schizophrénie » pour décrire un groupe de troubles


mentaux caractérisés par une dissociation des processus mentaux, des altérations de la
pensée, des émotions perturbées et des difficultés relationnelles. Sa conceptualisation de la
schizophrénie a mis l’accent sur la fragmentation de l’activité psychique.

La schizophrénie, de manière innovante, peut être définie comme un trouble mental complexe qui
résulte de l’interaction dynamique entre des facteurs génétiques, neurobiologiques, psychologiques
et environnementaux

Karl Leonhard, un psychiatre allemand, a joué un rôle important dans la définition et la classification
du trouble bipolaire. En 1957, il a introduit le terme « trouble bipolaire » pour décrire une condition
caractérisée par des variations extrêmes de l’humeur, comprenant à la fois des épisodes de manie et
des épisodes de dépression.

Le trouble bipolaire, d’une manière profonde, est une condition psychiatrique complexe qui se
caractérise par des fluctuations extrêmes de l’humeur, allant des épisodes de dépression profonde à
des périodes de manie intense.
Pierre Janet a défini les obsessions comme des idées, des images ou des impulsions récurrentes et
envahissantes qui s’imposent à la conscience de manière incontrôlable. Ces obsessions sont souvent
ressenties comme intrusives et indésirables, provoquant une anxiété significative chez l’individu qui
en souffre. En ce qui concerne les compulsions, Janet les a décrites comme des comportements
répétitifs ou des actes mentaux que la personne se sent obligée d’accomplir en réponse à ses
obsessions, dans le but de réduire l’anxiété ou de prévenir une catastrophe. Ces comportements
compulsifs peuvent être ritualisés et consommer beaucoup de temps dans la journée de la personne.

Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) est une condition psychiatrique complexe caractérisée par
la présence d’obsessions et de compulsions.

Albert Bandura, un éminent psychologue canadien il a développé des concepts importants tels que
l'apprentissage par observation, qui suggère que les individus peuvent acquérir des peurs et des
phobies en observant le comportement de modèles significatifs dans leur environnement. Par
exemple, un enfant pourrait développer une phobie des chiens s'il observe la réaction extrême de
peur de ses parents face à ces animaux.

Le trouble phobique peut être défini de manière innovante en le considérant comme une réaction de
survie excessive dans un environnement moderne. En d’autres termes, les phobies pourraient être
interprétées comme des réponses hyperactives et inadaptées héritées de nos ancêtres pour faire
face à des menaces potentielles, mais qui sont mal ajustées aux réalités actuelles.

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