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Cours de droit social et sur les entreprises en di cultés

Créanciers superprivilégiés et domaine d’application

Dé nition droit social :

Une indemnité de licenciement : est une somme à laquelle une entreprise qui emploi du
personnel prend l’initiative de rompre le contrat peut être condamné à verser a son futur
ex-salarié en réparation du préjudice issu de cette rupture uniquement. Cette indemnité
varie selon la convention collective de la branche d’activité dont relève l’entreprise. Et le
code du travail ainsi que le contrat de travail lui même. Le juge saisi peut faire jouer la
théorie des avantages comparatif c’est a dire allouer au salarier licencié soit une
indemnité conventionnel, soit une indemnité légal, ou encore contractuel.

Fiche d’analyse d’arrêt :

Rappel des faits :

En cas d’espèce, M. X avait signé un contrat de travail avec la société Céder. Cependant
cette entreprise a du avoir recours à des licenciement. Le liquidateur avait de son compté
procédé à l’inventaire des salaires et autre somme, issu et du au autre salarié.
Concernant M. X, le liquidateur n’avait pris en compte que son indemnité de licenciement
pour motif économique. Ainsi M. X à demander à mme Y, liquidateur de prendre en
compte ses salaires non payer au moment du dépôt de bilan de son employeur. Mme Y
ayant refusé, un litige est alors né entre M. X et mme Y.

Rappel de la procédure :

M. X a saisi la cours d’appel de Versailles après le conseil de prud’homme en demandant


la condamnation de mme Y à lui payer 2 sommes respectivement au titre de sa créance
indemnitaire pour la rupture du contrat de travail pour motif économique, et des salaires
échu et du que la société Céder santé n’avait pas payer à bonne date. Mais la cours
d’appel de Versailles à rejeter la demande de M. X concernant son indemnité de
licenciement. Non satisfait de la décision de la cours d’appel de Versailles qui ne lui était
favorable qu’en partie. M. X à demander un pourvoi en cassation en annulant la décision
des juges versaillais.

Thèse en présence :

Selon le pourvoi, c’est à dire M. X, toute somme du à un salarié licencié pour motif
économique obéit au même régime que celui des salaires en tant que créance
superprivilégiés c’est à dire une créance qui doit être. Payer en priorité selon les autres
créanciers de l’entreprise defaiante. Or, la cour de Versailles n’as pas appliquer le
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superprivilèges de M. X. C’est ainsi qu’il à demander l’annulation de cette décision. Pour
les salaires. Du et echu à mr. X. Le superprivilège à été pris en compte selon la décision
attaquer c’est a dire l ‘arrêt de la cour de Versailles. Mr. X n’avait pas déclarer en son
temps sa créance sur des salaires échu et du, il n’avait donc pas le droit de faire jouer le
superprivilège prévu par la loi au pro t des salariés d’une entreprise en di culté ayant
déposer le bilan

La question de droit :

Dans quelle condition un salarié licencié pour motif économique peut-il faire jouer le
superprivilège accordé par le législateur en cas de dépôt de bilan de l’employeur?

Rappel de la décision :

La cours de cassation a rendu un arrêt de rejet c’est a dire qu’elle à donner raison à Mme
Y qui avait refuser de payer les salaires et les indemnité de licenciement réclamé par M. X

Plan de 2 points bonus :

I/ Conditions de mise en oeuvre du superprivilège des salariés d’une entreprise en


di cultés.

A/ Contrat de travail en cours

B/ Déclaration de la créance salariale

II/ Conséquence du superprivilège

A/ Envers les autres créanciers superprivilégiés

B/ Envers les créanciers privilégiés et créanciers chirographaires


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Le comité économique et social et son droit d’alerte sur les di cultés d’une
entreprise

Fiche d’analyse d’arrêt

Rappel des faits :

Au cas d’espèce, société mère d’un groupe de société l’entreprise MGI Coutier détenait une liale
dénommer société Avon Automobile. Cette dernière société avait sa propre liale. C’est a dire la
société avant polymères France. Soupçonnant des di culté nancières de l’entreprise avant
polymères France. Le comité d’entreprise de cette entreprise a demander en assembler générale
la désignation d’un expert comptable pour pouvoir audit l’ensemble des entreprises du groupe.
Mais la société polymères France a refuser l’audit. C’est ainsi qui litige est née entre Avon
Polymères France et le groupe MGI Coutier.

Rappel de la procédure :

Face au refus du comité d’entreprise, la société Avon polymères France a saisi le tribunal de
Rennes d’une demande d’annulation de la décision de désignation d’un expert comptable. Mais
ce tribunal a donné raison au comité d’entreprise et a donc rejeter la décision de l’entreprise.Non
satisfaite de ce jugement elle a saisit la cours d’appel de rennes en sollicitant la cours de
cassation.
Mais cette cours d’appel a jugé cette décision. C’est dans ces conditions que la société Avon
polymères France à former un pourvoi en cassation.
Il ne faut surtout pas donner la décision

Thèse en présence :

Selon le pourvoi, c’est a dire la société APF. Le droit d’alerte dont béné cie le comité social et
économique groupe de société en ayant donner raison au comité sociale et eco qui demandait un
Audit nancier de tout les entreprise du groupe MGI routier, les juges rennais aurait violé la loi
selon la société APF.
En outre la même société a prétendu que demander un audit nancier sur des entreprises du
groupe serait une ingérence dans la gestion de ces entreprises ce qui est illégal des lors la société
APF a demandé a la cours de cassation d’annuler la décision attaquer, celle de la cours d’appel
de rennes.
Selon, précisément la décision de la cours d’appel de rennes. Le comité sociale et eco était dans
son bon droit en ayant demander l’ouverture d’un audit sur l’ensemble des entité du groupe.
Puisque ce comité soupçonnait un dépôt de bilan imminent. Il s’agit d’un droit que ce comité tient
de la loi.

Rappel de la question de droit :

Quel est le domaine d’application du droit d’alerte du comité sociale et économique d’une
entreprise?

Rappel de la décision :

La cours de cassation a rendu un arrêt de rejet. C’est a dire qu’elle a con rmé la décision des
juges rennais qui avait donner raison au comité sociale et eco ayant engager un audit sur les
di culté eco et nancière sur les entreprises du groupe MGI routières
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Plan : pour le point bonus

I/ Conditions d’application du droit d’alerte du CSE

A) Existence de situations économique préoccupante

B) Contrôle de liale par la société mère

II/ Conséquences du droit d’alerte

A) Audit

B) Modalités du droit d’alerte AG, Noti cation de la décision de l’audit à l’entreprise

Cours :

Le CSE : obligation légal d’en utiliser un pour une entreprise employant 11 salariés à l’année

Cours de cassation, civile, Chambre commerciale, 7 février 2024, 22-21.052,


Publié au bulletin

Fiche d’analyse d’arrêt

Rappel des faits :

Au cas d’espèce l’entreprise Quality voyage est une agence de voyage. Avant de
commencer son exploitation, elle a du avoir besoin d’une garantie nancière, et cette garantie lui
a été o erte par l’association professionnel de solidarité du tourisme APST.
Mais cette entreprise ayant été confronté a des di culté nancières ces clients ont demande a
l’APST de rembourser les fonds qu’ils avaient verser a l’agence de voyage sans avoir pu e ectuer
leurs voyage. C’est ainsi que l’entreprise Quality voyage à déposer le bilan. Comme le mandataire
de cette entreprise avait refusé de prendre en compte la créance de l ‘APST, un litige est alors née
entre l’APST et le mandataire.

Rappel de la procédure :

Face au refus du mandataire l’APST à saisi la cours d’appel de Reims en demandant la


condamnation du mandataire à payer sa créance au titre de la garantie qu’elle avait fourni à
Quality Voyage. Mais la cours d’appel de Reims a rejeter cette demande. Non satisfaite de cette
décision rendu par la cours d’appel elle a former un pourvoi en cassation en demandant
l’annulation et la cassation de la décision attaqué.

Rappel des thèses :

Selon le pourvoi, c’et a dire l’APST, l’entreprise Quality voyage était en procédure de sauvegarde,
il n’était pas en état de cessation de payement par conséquent la créance de l’association était
recevable. En ayant décider le contraire les juge rémois ont, selon l’APST, violé la loi. Selon cette
décision précisément, l’APST a fait un déclaration tardive de créance, des lors sa créance était
irrecevable.
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Question de droit :

Dans quelles conditions une créance de garantie nancière peut-elle être admise et payé?

Rappel de la décision :

La cours de cassation a rendu un arrêt de rejet c’est a dire qu’elle a donner raison au mandataire
qui avait refuser de payer l’APST en sa qualité de garant.

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