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I. Définitions :
Questions de cours :
Module 2 : famille
L’objet de ce chapitre est de vous permettre d’énumérer les membres d’une
famille, de regrouper les membres suivant les liens, de déterminer les différents
types de relation entre les membres, d’identifier une famille élargie ou
traditionnelle et une famille restreinte ou nucléaire, de définir une famille enfin
de déterminer les fonctions de la famille.
La famille constitue un élément essentiel de la vie en société. Il s’agit du premier
groupe dans lequel les individus apprennent à vivre. Elle est constituée
notamment des parents et de leurs enfants. On peut croire que la famille est un
phénomène naturel et biologique. Pourtant l’observation des modèles familiaux
dans le monde montre que la famille est un fait avant tout social, chaque société
construit sa propre représentation de la famille. Les règles de fonctionnement et
les manières de nommer ses membres diffèrent selon les pays, les cultures et
les traditions.
Questions de cours :
1/ Définir une famille avec un père et son fils unique.
2/ Définir une famille avec un père et ses fils mariés.
3/ Définir une famille avec un père, une mère et ses enfants.
4/ Définir la fonction consommation d’une famille.
5/ Quelle est la déférence entre une famille traditionnelle et une famille
moderne ?
Module 3 : Le besoin
Les sujets économiques ont des désirs qui se diversifient et se renouvellent sans
cesse. Les désirs qui peuvent être considérés comme illimités. Ces désirs sont
ressentis comme des besoins qui constituent la raison et le but de l’activité
économique.
1 - Définition :
Un besoin est une exigence née de la nature ou de la vie sociale dont la
satisfaction se heurte à la rareté.
- les biens semi-durables dont l’usage s’étale sur une longue période mais
qu’il est nécessaire de remplacer périodiquement (automobiles, les
machines).
- les biens durables dont l’existence peut se prolonger pendant de
nombreuses années (installations fixes).
Exemple :
Préciser la nature de la production des entreprises par une croix
Entreprises Production des
Biens Services
SONATAM
BDM. SA
ORANGE MALI
MALITEL
SOTELMA
TRANSRAIL
GGB
BITTAR - TRANS
BANI – TRANSPORT
NBB
ECICA
BIM.SA
SALON DE COIFFURE
LUXE BEAUTE
Une famille, un garage, la sécurité sociale, une banque sont des acteurs de l’économie.
Ils sont considérés comme des agents économiques.
Un agent économique est un individu, un groupe d’individu ou un organisme qui
participe à l’activité économique. On les classe en cinq catégories suivant leur activité
principale dans l’économie.
3.- Les administrations : les administrations sont soit publiques, par exemple la mairie,
la préfecture, la gendarmerie, soit privées comme une association, un syndicat, une
ONG. Leur rôle est de rendre des services non payants ou quasiment non payants à la
collectivité.
4.- Les institutions financières : les banques, les assurances, les organismes de crédits
sont des institutions financières. Celles-ci reçoivent l’épargne des ménages et la
prêtent aux entreprises qui en ont besoin pour financer leurs activités. Elles reçoivent
aussi l’argent des entreprises et le prêtent aux ménages.
5.- Le reste du monde ou l’extérieur : il désigne les ménages, les entreprises et les
institutions financières qui résident à l’étrangers et avec lesquels les biens et les services
sont échangés par les agents économiques qui résident sur le territoire national. Sa
fonction économique est d’exporter et d’importer des biens et des services.
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Les ressources sont l’ensemble des moyens monétaires et matériels. Elles permettent de
pérenniser l’existence de certains agents économiques.
2.- Les entreprises : La ressource principale des entreprises est le bénéfice (gain
financier réalisé par une entreprise).
3.- Les administrations : Les impôts, les taxes et les cotisations constituent les
ressources principales des administrations.
4.- Les institutions financières : Les intérêts et les primes constituent les ressources
principales des institutions financières.
L’économie est organisée comme un circuit ou’ chaque catégorie d’agent dépend des
autres. Les agents sont liés entre eux par leurs échanges, c’est-à-dire ce qu’ils apportent
aux autres et ce qu’ils en reçoivent. Ces échanges sont matérialisés par des flux.
Les flux représentent les mouvements de biens et services et les mouvements de
monnaie entre les différents agents économiques.
Le circuit économique est une représentation imagée et simplifiée de l’activité
économique qui permet de décrire, au moyen des flux, les relations essentielles entre les
différents agents.
Le circuit économique simplifié représente les flux existants ou pouvant exister entre
deux agents économiques.
Chaque flux est caractérisé par sa nature et le sens du mouvement, représenté, par
convention, au moyen d’une flèche orientée.
Dans une économie simplifiée composée d’agents qui produisent (les entreprises) et
d’agents qui consomment (les ménages), on peut schématiser la circulation entre eux de
la façon suivante :
Les ménages fournissent aux entreprises des services et des biens productifs et ces
dernières leur livrent des biens et services ce sont les flux réels ou matériels.
Ménages ------------------ Travail ---------- Entreprises
La contrepartie de ces flux réels est constituée par les flux monétaires ou financiers
qui représentent les échanges d’argent, revenus et dépenses des ménages.
Ménages ---------------- Salaire ------------ Entreprises
Les flux sont en général, réciproques et à un flux réel, le travail par exemple, correspond,
en contrepartie, un flux monétaire, le salaire.
Cependant, certains flux sont unilatéraux et n’ont donc pas de contrepartie. Il peut
s’agir, par exemple, d’un flux réel qui n’a pas de contrepartie monétaire, comme le
service gratuit d’une administration publique ou le travail d’un bénévole pour une
association. A l’inverse, un flux monétaire peut ne pas donner lieu, en retour, à un flux
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réel ou un flux monétaire : ce sera le cas, par exemple, pour un don effectué par un
ménage à la Croix Rouge qui est une administration privée.
Le circuit économique complet représente les flux existants ou pouvant exister entre
l’ensemble des agents économiques.
Pour représenter les flux réels ou monétaires qui circulent entre les agents, il est
commode d’utiliser la notion de marché. Un marché est le lieu réel ou fictif de rencontre
entre des offres et des demandes. L’offre correspond à la vente de biens et de services
et la demande correspond à un achat de biens et de services.
Flux monétaires
Flux matériels
L’intérêt du circuit économique est de mettre en évidence l’interdépendance des agents et des
opérations : toute modification en un point du circuit se répercute sur l’ensemble des autres.
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Quelques définitions
L'agent économique est une personne physique ou morale prenant des
décisions d'ordre économique. L'agent économique peut être un individu,
un ménage, une entreprise, un pays, une collectivité territoriale ou encore
une instance internationale... Chaque agent économique est caractérisé
par ses fonctions dans l'économie (consommation, investissement etc.).
L'agent économique est à la base de l'analyse microéconomique, et aussi
de la macroéconomie agrégée.
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𝑃𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒
𝑇𝑎𝑢𝑥 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡é = ∗ 100
𝑃𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒
𝑃𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑐ℎô𝑚𝑎𝑔𝑒
𝑇𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐ℎô𝑚𝑎𝑔𝑒 = ∗ 100
𝑃𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒
Application :
Les données de la population d’un pays A sont :
13
Solution :
Population active = population en âge de travail (15 ans et +) – les inactives
Population active en 2013 = 2 125 000 – 532 000 = 1 593 000
Population active en 2014 = 2 642 033 – 548 000 = 2 094 033
Population en chômage = Population active – population au travail
Population en chômage en 2013 = 1 593 000 – 1 022 423 = 570 577
Population en chômage en 2014 = 2 094 033 – 1 466 777 = 627 256
Sujet d’examen
Les données de la population d’un pays B sont :
Population active
Population en chômage
Taux d’activité
Taux de chômage
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2- la scolarisation :
3- la retraite :
III. - Le chômage :
Définition :
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2019
Population totale 12 000 000
Population de 15 ans et + 5 800 000
Les invalides 1 200 000
Population active inoccupée (chômage) 2 400 000
Population active
Taux d’activité
Taux de chômage
Complétez le tableau
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a.-) La production marchande concerne les biens et les services destinés à être
vendus sur le marché.
Le mot capital, qui vient du latin caput, c'est-à-dire tête ou chef, est un terme
employé dans des acceptions très différentes
Le capital désigne l’ensemble des éléments dont l’individu dispose pour
produire des biens et services.
Le capital est formé du capital technique et du capital juridique.
On parle de capital technique pour désigner l’ensemble des biens nécessaires
à la production.
Le capital technique est un facteur de production qui se décompose en :
- Capital fixe, c'est-à-dire, des biens d’équipements restant dans
l’entreprise et utilisés au cours de plusieurs cycles de production
(terrains, bâtiments, machines, outillages, installations).
- Capital circulant, c'est-à-dire, des biens utilisés une seule fois au cours
d’un cycle de production, soit détruit, soit incorporés dans le produit fini
(matières premières, énergie….). Le capital circulant est le terme utilisé
pour désigner les consommations intermédiaires.
C’est la durée de vie du capital qui permet de distinguer le capital fixe du capital
circulant. Le capital fixe désigne les biens qui participent à plusieurs processus
de production. A contrario, le capital circulant recouvre les éléments qui
disparaissent au cours du processus de production, parce qu’ils sont absorbés
dans le cycle productif.
On parle de capital juridique d’une entreprise qui est l’ensemble des apports
des individus à l’entreprise (propriétaires, associés…). Il représente les droits,
en particulier de propriété, que peut exercer un individu détenteur de ce capital
et duquel il va tirer un revenu sans contrepartie en travail.
La mesure des facteurs de production : la productivité :
On appelle productivité horaire du travail, la quantité de biens ou de services
produits par un travailleur pendant une heure de travail.
Productivités moyennes
La productivité moyenne du facteur x est le rapport de sa productivité totale à
𝑄
sa quantité. 𝑃𝑀𝑥 =
𝑋
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑄
La productivité moyenne du travail 𝑃𝑀𝐿 = =
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝐿
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑄
La productivité moyenne du capital 𝑃𝑀𝐾 = =
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑑𝑢 𝐶𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙 𝐾
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Productivités marginales
La productivité marginale du facteur x correspond au supplément d'output
résultant de l'utilisation d'une unité supplémentaire de ce facteur.
La productivité marginale du travail
𝑉𝑎𝑟𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 ∆𝑄 𝑄2 − 𝑄1
𝑃𝑚𝐿 = = =
𝑉𝑎𝑟𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 ∆𝐿 𝐿2 − 𝐿1
Application :
Une entreprise a produit 2 500 000 à partir de 500 000 de facteur travail et 600 000
de facteur capital.
Calculer la productivité moyenne du travail et du capital.
Solution :
PML = Q / L = 2 500 000 / 500 000 = 5
PMK = Q / K = 2 500 000 / 600 000 = 4,17
Application :
En 2019, une entreprise a produit 2 500 000 à partir de 500 000 de facteur travail
et 600 000 de facteur capital. En 2020, elle a produit 3 600 000 à partir de 800 000
de facteur travail et 700 000 de facteur capital.
Calculer la productivité marginale du travail et du capital.
Solution :
La productivité marginale du
Q Q2 Q1 3600000 2500000
travail PmL ......
L L2 L1 800000 500000
La productivité marginale du capital
Q Q2 Q1 3600000 2500000
PmK .....
K K 2 K1 700000 600000
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B- Le Revenu
I.- Origine des revenus : D’où viennent les revenus ?
1.-) Les revenus primaires : sont ceux qui résultent d’une contribution à
l’activité économique.
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Ce sont des revenus perçus par les entrepreneurs individuels et les membres
des professions libérales qui apportent à leur activité à la fois le facteur travail
et le facteur capital (bénéfice des entrepreneurs individuels, honoraires des
professions libérales…).
De ce fait, contrairement aux salaires, ils ne sont pas entièrement disponibles
pour l’épargne et la consommation parce qu’une partie doit être consacrée à
l’entretien et au remplacement du matériel.
4.-) Les revenus de la propriété :
5.-) Les revenus secondaires : Ils sont encore appelés revenus de transfert.
Les revenus de transfert sont des revenus perçus par les ménages à l’occasion
d’opérations de redistribution effectuées par l’Etat, les Collectivités locales ou
les organismes de sécurité sociale.
La redistribution est constituée de l’ensemble des opérations qui visent à
modifier la répartition des revenus primaires en prélevant une partie des
revenus de certains agents économiques et en redistribuant les sommes
collectées à d’autres agents économiques ou aux mêmes.
Les prélèvements obligatoires sont constitués par l’ensemble des impôts et des
cotisations sociales qui sont perçus par l’Etat, les Collectivités locales et les
organismes de sécurité sociale, dans le but d’assurer la production de services
collectifs, la régulation de l’activité économique et le financement des
opérations de redistribution.
Les impôts sont perçus par l’Etat et les Collectivités locales. Selon le mode de
paiement, on distingue :
- Les impôts directs (impôt sur le revenu, impôt de solidarité sur la fortune,
impôt sur les sociétés, taxe foncière…) qui sont versés directement par les
contribuables au percepteur ;
- Les impôts indirects (taxe sur la valeur ajoutée, taxe intérieure sur les
produits pétroliers.. .) qui sont payés par le consommateur et versés au
Trésor par le vendeur de biens et services.
Les cotisations sociales sont perçues par les organismes de Sécurité sociale pour
assurer le versement de prestations sociales destinées à couvrir les risques
maladie-maternité-accident du travail, famille, vieillesse, chômage.
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Le revenu disponible est celui dont disposent les ménages après paiement des
prélèvements obligatoires et perception des revenus de transferts.
RDB = R primaires – prélèvements obligatoires + Versements (Revenus de
transferts)
Exercice :
Les revenus dont dispose un ménage sont les suivants :
- Salaire du chef de famille : 60000F/semaine ; impôt sur salaire 18%.
- Le fils ainé est actionnaire à la société Malitel sa et possède une part d’action
estimée à 4000000F, son dividende à 300000F/an, impôts sur dividende 25%,
indemnités d’assurances reçues 62500F/mois.
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TAF :
1.-) Calculer le revenu disponible annuel de ce ménage.
Solution :
23
C. Consommation
La consommation est l’emploi d’un bien ou d’un service en vue soit de sa
transformation dans la production (consommation intermédiaire) soit de
la satisfaction d’un besoin (consommation finale) impliquant la
destruction immédiate ou progressive du bien.
La consommation des ménages et de l’administration est appelée
consommation finale et celle des entreprises est l’investissement.
Par exemple un particulier qui achète un véhicule, c’est une
consommation finale. Une entreprise qui achète un véhicule, c’est un
investissement. La consommation des matières, d’eau, d’électricité, des
fournitures… des entreprises est la consommation intermédiaire.
1. – Définition :
Au sens économique la consommation est tout acte de destruction d’un
bien ou d’utilisation d’un service destiné à satisfaire un besoin.
Exemple :
Je regarde la Télé : ce qui veut dire que je consomme la télé
Je roule la Moto : ce qui veut dire que je consomme la Moto ;
J’écris avec un bic dans un cahier : ce qui veut dire que je consomme le
cahier et le bic.
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justices, enseignement, transports publics) leur prix est nul voire inférieur
au coût de revient.
- La consommation individuelle et la consommation collective :
La consommation individuelle : en fonction de ses besoins et de ses
moyens, chaque ménage décide du moment et de la quantité à
consommer ;
La consommation collective : elle correspond aux services collectifs non
marchands fournis par des administrations publiques (justice, police,
enseignement, santé publique). Ils sont généralement gratuits ou offert à
un prix inférieur à leur coût de revient.
3- Budget de consommation
Le budget de consommation est l’ensemble des dépenses consacrées à
l’achat des biens et services. Le pouvoir d’achat, définit comme la quantité
de biens et de services que l’on peut acquérir avec une certaine quantité
de monnaie, est un bon indicateur d’appréciation du budget de
consommation. Le coefficient budgétaire sert à mesurer les postes du
budget.
a. Les coefficients budgétaires
Le coefficient budgétaire mesure la part d’un type de dépense d’un
individu ou d’une catégorie de personne dans l’ensemble de leurs
revenus.
Ainsi, le coefficient budgétaire des dépenses alimentaires mesure la part
du revenu consacrée aux achats alimentaires.
Exemple : une famille gagnant par mois 100 000 F pourra avoir les
structures de consommation suivantes :
Somme consacrée Coefficient budgétaire
Alimentation 40 000 40 000 / 100 000 = 40%
Logement 20 000 20 000 / 100 000 = 20%
Vêtement 10 000 10 000 / 100 000 = 10%
Transport 10 000 10 000 / 100 000 = 10%
Divers 20 000 20 000 / 100 000 = 20%
Total 100 000 100 000 / 100 000 = 100%
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Exemple :
En 200, un ouvrier touchait 800 000F par an et dépensait 700 000 F par an.
En 2001, son revenu est passé de 950 000F et sa consommation de 830.000F.
Calculer l’élasticité de la consommation par rapport au revenu.
C 830.000700.000
C 700.000
EC/R = R 950.000800.000
R 800.000
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27
Application 1 :
Moussa touche 200 000F par mois, il consomme 150 000F.
Calculer :
Le montant épargné ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Solution :
Le revenu R= 200 000, la consommation C = 150 000 alors l’épargne E = R
– C = 200 000 – 150 000 = 50 000
Rappelons que l’épargne est la partie du revenu non consommée.
PMC = C / R = 150 000 / 200 000 = 0,75 ou 75%
PME = E / R = 50 000 / 200 000 = 0,25 ou 25%
Application 2 :
Ali touche 120 000F par mois, il épargne 20 000F.
Calculer :
Le montant consommé ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Solution :
Le revenu R= 120 000, l’épargne E = 20 000 alors la consommation C = R –
E = 120 000 – 20 000 = 100 000
PMC = C / R = 100 000 / 120 000 = 0,833 ou 83,3%
PME = E / R = 20 000 / 120 000 = 0,167 ou 16,7%
Application 3 :
Dans le mois, Toumani consomme 140 000F et épargne 60 000 F.
Calculer :
Le montant touché ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Solution :
L’épargne E = 60 000, la consommation C = 140 000 alors le revenu R = C
+ E = 140 000 + 60 000 = 200 000
PMC = C / R = 140 000 / 200 000 = 0,70 ou 70%
PME = E / R = 60 000 / 200 000 = 0,30 ou 30%
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Application 4 :
En 2019, Moussa touchait 200 000F par mois, il consommait 155 000F.
En 2020, Moussa touchait 250 000Fpar mois, il consommait 170 000F.
Calculer :
1/ Les montants épargnés de 2019 et 2020;
2/ La propension moyenne à consommer de 2019 et 2020;
La propension moyenne à épargner de 2019 et 2020 ;
3/ La propension marginale à consommer;
La propension marginale à épargner.
Solution :
1/
2019 : L’épargne E = R – C = 200 000 – 155 000 = 45 000
2020 : L’épargne E = R – C = 250 000 – 170 000 = 80 000
2/
2019 : PMC = 155 000 / 200 000 = 0,775
PME = 45 000 / 200 000 = 0,225
2020 : PMC = 170 000 / 250 000 = 0,68
PME = 80 000 / 250 000 = 0,32
3/ Propension marginale : PmC et PmE
2019 2020
Consommation 155 000 170 000 ∆C = 170 000 – 155 000 = 15 000
Epargne 45 000 80 000 ∆E = 80 000 – 45 000 = 35 000
Revenu 200 000 250 000 ∆R = 250 000 – 200 000 = 50 000
PmC =∆C / ∆R = 15 000 / 50 000 = 0,30
PmE =∆E / ∆R = 35 000 / 50 000 = 0,70
Application 5 :
Moussa touche 200 000F par mois, sa propension moyenne à consommer
est de 3/5.
Calculer :
Le montant épargné ; le montant consommé ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Solution : testez votre niveau
Application 6 :
Moussa touche 200 000F par mois, sa propension moyenne à épargner est
de 1/5.
Calculer :
Le montant épargné ; le montant consommé ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
29
30
Application 1:
Soit une personne qui a gagné 100.000 Francs après avoir effectué une
activité physique. Il a dépensé cet argent de la manière suivante :
Dépenses Montants
Alimentation 49 000
Transport 18 000
Loisirs 17 000
Cigarette ………
Total ………..
Calculer le coefficient budgétaire des différents postes.
Solution : testez votre niveau
Application 2:
Soit une personne qui a gagné 250.000 Francs après avoir effectué une
activité physique. Il a dépensé cet argent de la manière suivante :
Dépenses Coefficients budgétaires
Alimentation 60%
Transport ……
Loisirs 20%
Cigarette 12%
Total ………..
Calculer le montant des différents postes.
Solution : testez votre niveau
C R 50.000 190.000
EC / R x x 0,928
R C 10.000 100.000
31
Définitions
Méthode d'observation
32
TAF
Réponses 1
1) Le caractère régime matrimonial est qualitatif
2)
Régime dépouillement Effectif ni Fréquence fi Angle :
matrimoni 360°fréquence
al
C 25 0,5 180°
M 16 0,32 115,2°
D 4 0,08 28,8°
V 5 0,10 36°
Total 50 1,00 360°
Effectif ni
a) fréquence = ; fi
Effectif total N
ni
La fréquence peut être exprimée en % dans ce cas f i 100
N
La somme des fréquences est toujours égale à 1 ou 100%
ni N
fi
N
N
1
33
Marié D
Célibataire
Réponses 2:
1) La variable statistique est discrète.
2)
Nombre Dépouillement effectif fréquence Fréquences Fréquences
d'enfant cumulées cumulées
croissantes décroissantes
0 23 28,75% 28,75% 100%
1 27 33,75% 62,50% 71,25%
2 16 20% 82,50% 37,5%
3 14 17,50% 100% 17,50%
Total 80 100%
ni
a) fréquence = effectif / effectif total fi elle peut être exprimée en
N
pourcentage
ni 23 100
fi 100 Exemple f 1 28 ,75%
N 80
b)
Fréquences cumulées croissantes sont obtenues en effectuant la somme
des fréquences du 1er chiffre au dernier. En fait, la somme de fréquence du
haut en bas.
Fréquences cumulées décroissantes sont obtenues en effectuant la somme
des fréquences du dernier chiffre au 1er chiffre. En fait, la somme de fréquence
du bas en bas.
3°) Diagramme en bâtons
Dans un repère rectangulaire on représente chaque valeur du caractère par un
bâton vertical dont la hauteur est proportionnelle à l'effectif de la valeur.
On appelle polygone de fréquence la ligne brisée qui joint les sommets des
bâtons.
0 1 2 3 nbre d'enfants
35
1
0,90
0,80
0,70
0,60
0,50
0,40
0,30
0,20
0,10
0 1 2 3 nombre d'enfants
Réponse 3:
N.B.: Dans le cas des variables continues, les valeurs du caractère sont des
intervalles de classes [a, b[ où a est inclus et b est exclus. La différence entre
les deux bornes s'appelle amplitude.
Par exemple [50, 60[Amplitude est 60 - 50 = 10.
37
4) Histogramme
Cas d'amplitude égale
On porte en abscisse les bornes des intervalles de classes. On construit des
rectangles juxtaposés ayant pour largeur l'amplitude de la classe et pour
hauteur une longueur proportionnelle à l'effectif (ou fréquence) de la classe.
L'histogramme est la ligne polygonale entourant les rectangles. Les aires des
rectangles sont proportionnelles aux effectifs.
0,40
0,36
0,62
0,28
0,24
0,20 polygone statistique
0,16
0,12
0,08
0,04
50 60 70 80 90 100
5) Courbe cumulative: (cas des variables continue)
C'est la fonction de répartition continue non décroissante de
[0, 1]
x F(x) = f1 + f2 + f3 + ……….. + fi
x < 50 F(x) = 0
x = 60 F(x) = 0,18
x = 70 F(x) = 0,44
x = 80 F(x) = 0,82
x = 90 F(x) = 0,96
x 100 F(x) = 1,00
38
1,00
0,9
0,8
0,7
0,6
0,5
0,4
0,3
0,2
0,1
50 60 70 80 90 100 poids kg
39
0,2500
0,125
0,06250
20 25 30 35 40 45 50 55 60
1,00
0,9
0,8
0,7
0,6
0,5
0,4
0,3
0,2
0,1
20 25 30 35 40 45 50 55 60 âges
40
La Courbe de LORENTZ
On appelle courbe de LORENTZ, la courbe continue q = (p) qui passe par les
points Mi (pi ;qi). « pi "fréquences cumulées en %" » et « qi "effectif total
cumulés en %" ».
Exemple :
Classes Centre Effectif Fréquence Fréq Effectif Effectif Effectif
xi ni Fi en % cumulées total xini total xini total
En % en % cumulés
en %
0 -10 5 16 20 20 80 4 4
10 – 20 15 30 37,5 57,5 450 21 25
20 – 40 30 18 22,5 80 540 25 50
40 – 70 55 10 12,5 92,5 550 26 76
70 - 100 85 6 7,5 100 510 24 100
Total 80 100 XXXX 2130 100 XXXX
Construisons un carré dont la base servira d’axe des abscisses (fréquences cumulées
croissantes en %), et la hauteur d’axe des ordonnées (effectif total en %), les deux axes
étant gradués de 0 à 100.
On trace la première bissectrice puis on trace la courbe à partir des points : (20 ;4) ;
(57,5 ;25) ; (80 ; 50) ; (92,5 ; 76) ; (100 ; 100).
C
Effectifs 100
Total cumulés 90
en % 80
70 @
60
50
40
30
20
10
0
A 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 B
Fréquences cumulées en %
Indice de GINI :
Dans le cas d’une distribution égalitaire, la courbe de LORENTZ est confondue avec la
première bissectrice. La surface @ est donc un bon indicateur de concentration. Le
statisticien GINI a donc proposé comme indice de concentration, l’indice i tel que : i = aire
@ / aire du triangle A, BC = @ / ½ = 2@
1
Si on connaît q ( p) on peut calculer @ 0 ( p ( p)dp
Si i 0 on a une distribution égalitaire, la concentration est faible.
Si i 1 on a une distribution inégalitaire, la concentration est forte.
41
Travaux dirigés
TD sur la population active
La population active se définit comme l'ensemble des personnes en âge de travailler qui sont
disponibles sur le marché du travail, qu'elles aient un emploi (population active occupée) ou
qu'elles soient au chômage (population active inoccupée).
La population active est la population en âge de travailler c’est-à-dire de 15 ans à 65 ans. Celles
qui travaillent sont des occupées et celles qui ne travaillent pas sont au chômage.
- Population active : population en âge de travail (de 15 ans à 65 ans) – population inactive
- Les inactives = celles ne cherchant pas d'emploi, comme les personnes au foyer, étudiants,
personnes en incapacité de travailler, rentiers (élèves, étudiants, retraités, invalides, les services
militaires).
Population totale = population en âge de travailler + autres (moins de 15 ans + plus de 65 ans)
Population en âge de travailler = population active + population inactive
Population active = population active occupée + chômeurs
𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅′ 𝒂𝒄𝒕𝒊𝒇𝒔 (𝒂𝒄𝒕𝒊𝒇𝒔 𝒐𝒄𝒄𝒖𝒑é𝒔 + 𝒄𝒉ô𝒎𝒆𝒖𝒓𝒔)
𝑻𝒂𝒖𝒙 𝒅′ 𝒂𝒄𝒕𝒊𝒗𝒊𝒕é = 𝒙𝟏𝟎𝟎
𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍 𝒅′𝒊𝒏𝒅𝒊𝒗𝒊𝒅𝒖
𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅′ 𝒂𝒄𝒕𝒊𝒇𝒔 𝒐𝒄𝒄𝒖𝒑é𝒔 (𝒊𝒏𝒅𝒊𝒗𝒊𝒅𝒖𝒔 𝒂𝒚𝒂𝒏𝒕 𝒖𝒏 𝒆𝒎𝒑𝒍𝒐𝒊)
𝑻𝒂𝒖𝒙 𝒅′ 𝒆𝒎𝒑𝒍𝒐𝒊 = 𝒙𝟏𝟎𝟎
𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍 𝒅′𝒊𝒏𝒅𝒊𝒗𝒊𝒅𝒖
𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒉ô𝒎𝒆𝒖𝒓𝒔 (𝒊𝒏𝒅𝒊𝒗𝒊𝒅𝒖𝒔 𝒏′ 𝒂𝒚𝒂𝒏𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒅′𝒆𝒎𝒑𝒍𝒐𝒊)
𝑻𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒄𝒉ô𝒎𝒂𝒈𝒆 = 𝒙𝟏𝟎𝟎
𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅′𝒂𝒄𝒕𝒊𝒇𝒔
43
Complétez le tableau
Questions de compréhension
Q1 : Dans une population de 10 millions d’individus le taux d’activité est de 20%. Quel
est l’effectif des actifs ? Réponse :
………………………………………………………………………
44
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑄
La productivité moyenne du capital 𝑃𝑀𝐾 = =
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑑𝑢 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙 𝐾
Productivités marginales
𝑉𝑎𝑟𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 ∆𝑄
La productivité marginale du travail 𝑃𝑚𝐿 = =
𝑣𝑎𝑟𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 ∆𝐿
45
3/
∆𝑄 𝑄′ −𝑄 3 000 000−2 500 000
La productivité marginale du travail 𝑃𝑚𝐿 = = = = ⋯…
∆𝐿 𝐿′ −𝐿 520 000−500 000
∆𝑄 𝑄′ −𝑄 3 000 000−2 500 000
La productivité marginale du capital 𝑃𝑚𝐾 = ∆𝐾 = 𝐾′ −𝐾 = = ⋯…
610 000−600 000
Exercice 2 :
En 2019, une entreprise a produit 2 800 000 à partir de 570 000 de facteur travail et
680 000 de facteur capital.
En 2020, elle a produit 3 900 000 à partir de 890 000 de facteur travail et 750 000 de
facteur capital.
Calculer la productivité marginale du travail et du capital.
Solution :
1/ Calculer la productivité moyenne du travail et du capital en 2019 ;
2/ Calculer la productivité moyenne du travail et du capital en 2020 ;
3/ Calculer la productivité marginale du travail et du capital entre le 2019 et 2021.
Exercice 4 :
Le tableau suivant nous donne le niveau de production Q réalisé en fonction du
nombre d’unités de travail utilisées :
L 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Unité produite 0 10 30 55 69 80 88 93 93 92 87
Q
L « unités de travail » ;
1/ Calculez les productivités moyennes et marginales. Faites un tableau.
2/ Tracer sur un même graphique les courbes représentatives de productivités
totales, moyennes et marginales.
Exercice 5 :
Le tableau suivant nous donne le niveau de production Q réalisé en fonction du nombre
d’unités de travail utilisées :
L 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Unité produite Q 0 5 7 11 17 25 27 28 28 26 20
L « unités de travail » ;
1/ Calculez les productivités moyennes et marginales. Faites un tableau.
2/ Tracer sur un même graphique les courbes représentatives de productivités totales,
moyennes et marginales.
TD sur la consommation
Revenu R = Consommation + Epargne
𝑷𝒂𝒓𝒕 𝒅𝒖 𝒓𝒆𝒗𝒆𝒏𝒖 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓é à 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒐𝒎𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝑿
Coefficient budgétaire de X =
𝒓𝒆𝒗𝒆𝒏𝒖
𝑪𝒐𝒏𝒔𝒐𝒎𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏
La propension moyenne à consommer PMC =
𝑹𝒆𝒗𝒆𝒏𝒖
𝑬𝒑𝒂𝒓𝒈𝒏𝒆
La propension moyenne à épargner PME = 𝒙𝟏𝟎𝟎 𝒐𝒖 𝟏𝟎𝟎% − 𝑷𝑴𝑪
𝑹𝒆𝒗𝒆𝒏𝒖
𝑽𝒂𝒓𝒊𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝑪𝒐𝒏𝒔𝒐𝒎𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏
La propension marginale à consommer PmC =
𝒗𝒂𝒓𝒊𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝑹𝒆𝒗𝒆𝒏𝒖
𝒗𝒂𝒓𝒊𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅′ é𝒑𝒂𝒓𝒈𝒏𝒆
La propension marginale à épargner PmE = 𝑽𝒂𝒓𝒊𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝑹𝒆𝒗𝒆𝒏𝒖 𝒙𝟏𝟎𝟎 𝒐𝒖 𝟏𝟎𝟎% − 𝑷𝑴𝑪
46
47
Exercice 10 : Zeïna épargne 25% de son revenu. Quelle est la propension moyenne à
consommer ?
Exercice 11 : la variation du revenu et de la consommation de Mr X
Au mois de février : Mr X touche un revenu de 500 00F il consomme 400 000F et épargne
100 000F ;
Au mois de mars : Mr X touche un revenu de 600 000F il consomme 420 000F et épargne
le reste.
Quelles sont les propensions moyennes à consommer et épargner du mois de février?
Quelles sont les propensions moyennes à consommer et épargner du mois de mars?
Quelles sont les propensions marginales à consommer et épargner du mois de mars?
Exercice 12 : la variation du revenu et de la consommation de Mr Y
Au mois de Sept : Mr Y touche un revenu de 200 00F il consomme 70% et épargne le
reste;
Au mois d’octo : Mr Y touche un revenu de 190 000F il épargne 20% et consomme le reste.
Quelles sont les propensions marginales à consommer et épargner du mois d’octobre?
Exercice 13 :
En 2000, un ouvrier touchait 1 200 000F par an et dépensait 800 000 F par an. En 2001, son revenu est
passé de 1 500 000F et sa consommation de 870.000F.
Calculer l’élasticité de la consommation par rapport au revenu.
C C'C
C C
Rappels de formule : EC/R = R R'R
R R
EC/R = a%, veut dire que si le revenu augmente de 100% la consommation augmente de a%.
Exercice 14 :
En 2000, un ouvrier touchait 1 500 000F par an et dépensait 60% par an. En 2001, son revenu a augmenté
de 10% ainsi que sa consommation de 6%.
Calculer l’élasticité de la consommation par rapport au revenu.
C C'C
C C
Rappels de formule : EC/R = R R'R
R R
EC/R = a%, veut dire que si le revenu augmente de 100% la consommation augmente de a%.
Exercice 15 :
48
Exercice 17 :
Dans le mois, Toumani consomme 140 000F et épargne 60 000 F.
Calculer :
Le montant touché ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Exercice 18 :
En 2009, Moussa touchait 200 000F par mois, il consommait 155 000F.
En 2010, Moussa touchait 250 000Fpar mois, il consommait 170 000F.
Calculer :
1/ Les montants épargnés de 2009 et 2010;
2/ La propension moyenne à consommer de 2009 et 2010;
La propension moyenne à épargner de 2009 et 2010 ;
3/ La propension marginale à consommer;
La propension marginale à épargner.
Exercice 19 :
Moussa touche 200 000F par mois, sa propension moyenne à consommer est de 3/5.
Calculer :
Le montant épargné ; le montant consommé ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Exercice 20 :
Moussa touche 200 000F par mois, sa propension moyenne à épargner est de 1/5.
Calculer :
Le montant épargné ; le montant consommé ;
La propension moyenne à consommer ;
La propension moyenne à épargner.
Exercice 21 :
En 2019, Moussa touchait 150 000F par mois, il épargnait 20 000F.
En 2020, Moussa touchait 180 000Fpar mois, il épargnait 22 000F.
Calculer :
1/ Les montants consommés de 2019 et 2020;
2/ La propension moyenne à consommer de 2019 et 2020;
La propension moyenne à épargner de 2019 et 2020 ;
3/ La propension marginale à consommer;
La propension marginale à épargner.
49