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Correction de l'examen des enseignants cadres des

académies 2023
Matière : Physique et Chimie
Nous avons déjà vu n, le nombre quantique principal qui définit le numéro de la couche sur laquelle
se trouve l’électron ainsi que son énergie. n est un entier naturel : n = 1 ; 2 ; 3…
- l, le nombre quantique secondaire qui définit la sous-couche électronique et décrit la forme de
l’orbitale dans laquelle se trouve l’électron 0<l<n-1
Dans ce cas on a alors n=4 et l=2 et nombre de spin ms=+1/2 et le nombre magnétique ml=+2
Alors
N 1 2 3 4 …
L

0 1𝒔𝟐 2𝒔𝟐 3𝒔𝟐 4𝒔𝟐

2𝒑𝟔 3𝒑𝟔 4𝒑𝟔


1

3𝒅𝟏𝟎 4𝒅𝟏𝟎
2

Nous arrêté dans 4𝒅𝟏𝟎


Donc on a 46 électrons si on a seulement n=4 et l=2
Ms dans ce cas one le nombre magnétique ml=+2 et le nombre de spin =+1/2 indique qu’il y a
seulement 9 électrons sur la couch 4𝒅𝟗
Donc le numéro atomique et 45 réponse D
Q2/

Pour la réponse A :
Non, les halogènes ne sont pas des réducteurs. En fait, les halogènes, tels que le chlore, le brome
et l'iode, sont des éléments chimiques hautement réactifs qui ont tendance à gagner des électrons
lors des réactions chimiques
Pour la réponse B :
Non, les alcanes ne forment pas facilement des oxydants. Les alcanes sont des hydrocarbures
saturés constitués uniquement d'atomes de carbone liés à des atomes d'hydrogène. Ils sont
caractérisés par des liaisons simples entre les atomes de carbone et ne contiennent pas d'atomes
d'oxygène.
Les oxydants sont des substances qui ont tendance à accepter des électrons lors des réactions
chimiques, ce qui entraîne une oxydation d'autres substances. Les alcanes, en raison de leur nature
non polaire et de l'absence d'atomes d'oxygène, ont une faible affinité pour donner ou accepter des
électrons, ce qui les rend moins réactifs en tant qu'oxydants.
Pour la réponse C :
Non, en général, les éléments alcalino-terreux ne captent pas facilement d'électrons au cours d'une
réaction chimique. Les éléments alcalino-terreux ont tendance à perdre des électrons plutôt qu'à en
gagner, en raison de leur configuration électronique externe et de leur faible affinité électronique.
Ils ont deux électrons dans leur couche de valence et ont tendance à les perdre pour former des
cations avec une charge de +2.
Pour la réponse D :
Oui, les métaux de transition de même structure électronique de valence. Les métaux de transition
sont caractérisés par leurs électrons de valence, qui se trouvent dans leurs orbitales d
4
Q4/

On a
(4𝑅)2 = 2𝑎2
4𝑅
𝑎=
√2

Alors la réponse A correcte


Q5/
Dans cette question en peut utiliser la relation suivante
1 1
Z=8 𝑛 + 2s avec n le nombre des atomes dans la sommets et n pour faces

Pour la compose (1)


Cu :
1 1
Z=8 ∗ 8 + 2*2=2

Au
Z=4/2=2
Alors Cu2Au2 = CuAu
Pour la compose (2)
Au
1
Z=8 ∗ 8=2

Cu
1
Z=2*6=3

Alors AuCu3
Alors la réponse B correcte
La réponse c et correcte
La réponse D et correcte

La déshydratation du butan-2-ol est une réaction chimique dans laquelle le butan-2-ol perd une
molécule d'eau (H2O) pour former un produit insaturé, en l'occurrence le but-2-ène.
L’équation chimique représentant la déshydratation du butan-2-ol:

CH3-CH(OH)-CH2-CH3 -> CH3-CH=CH-CH3 + H2O


La réponse A correcte

L'acide nitrique (HNO3) est un oxydant puissant et il réagit avec les groupes alcool pour former
des groupes nitro (NO2), conduisant à la formation de produits nitrosés.
Alors que la réponse A correcte
L'enthalpie molaire standard de formation (∆H°f) du méthanol peut être calculée en utilisant
l'équation de Hess:

ΔHf°(CH3OH) = ΣnΔHf°(produits) - ΣnΔHf°(réactifs)

ΔHf°(CH3OH) = [ΔHf°(CO2) + 2ΔHf°(H2O)] - [ΔHf°(CH3OH) + (3/2)ΔHf°(O2)]

ΔHf°(CH3OH) = [-393.5 kJ/mol + 2(-285.2kJ/mol)] - [-725.2 kJ/mol ]

ΔHf°(CH3OH) = -393.5 kJ/mol + 2(-285.2 kJ/mol)+ 725.2 kJ/mol

ΔHf°(CH3OH) = -393.5 kJ/mol - 571.6 kJ/mol+725.2 kJ/mol

ΔHf°(CH3OH) = -238.7 kJ/mol

Donc, l'enthalpie molaire standard de formation du méthanol liquide (CH3OH) est de -238.7
kJ/mol.
Alors réponse C et correcte

Pour calculer l'enthalpie de la réaction à une température différente de la température standard


(25°C), nous pouvons utiliser l'équation suivante:
ΔH(T2) = ΔH(T1) + ∫[Cp(T) - Cp(T1)]dT

où ΔH(T2) est l'enthalpie à la température T2, ΔH(T1) est l'enthalpie standard à la température T1
(25°C dans ce cas), Cp(T) est la chaleur molaire à pression constante à la température T, et ∫[Cp(T)
- Cp(T1)]dT est l'intégrale de la différence de chaleur molaire entre les deux températures.

Dans notre cas, nous voulons calculer l'enthalpie à 60°C. Nous avons les données suivantes:

Cp(H2O) = 75.2 J/mol.K


Cp(O2) = 34.7 J/mol.K
Cp(CH3OH) = 81.6 J/mol.K
Cp(CO2) = 36.4 J/mol.K

Nous devons également tenir compte du fait que les coefficients stœchiométriques de la réaction
sont 1 pour CH3OH et CO2, et 2 pour H2O. Par conséquent, nous multiplions les valeurs de
Cp(H2O) et Cp(CO2) par 2.

Calculons maintenant l'enthalpie de la réaction à 60°C:

ΔH(60°C) = ΔH(25°C) + ∫[Cp(T) - Cp(25°C)]dT

ΔH(60°C) = -725.2 kJ/mol + ∫[(2Cp(H2O) + Cp(CO2)) - (2Cp(25°C) + Cp(25°C))]dT

ΔH(60°C) = -725.2 kJ/mol + ∫[(275.2 + 36.4) - (275.2 + 36.4)]dT

ΔH(60°C) = -725.2 kJ/mol

Ainsi, la valeur de l'enthalpie de la réaction à 60°C est -725.2 kJ/mol.


Q/12

[𝑁𝑂] [𝑂2]1/2 [𝑁𝑂]


𝑘1 = [𝑁𝐻3] 𝐾2 =
[𝑂2]5/4 [𝑁𝑂2]

[𝑁𝐻2]2 𝐾1
𝑘3 = [𝑁𝐻3]2[𝑂2]7/2 K3= (𝐾2)^2

La reponse C correcte

Q13/
𝑽 = 𝑲[𝑭𝒆𝟑+ ]𝜶 . [𝑺𝒏𝟐+ ]𝜷
Avec [𝑭𝒆𝟑+ ] = 𝟏
Alors que

𝑽 = 𝑲. [𝑺𝒏𝟐+ ]𝜷 Donc 𝜷 = 𝟏 car concentration en excès


Et [𝑺𝒏𝟐+ ] Independent a la concentration.
Q14/

𝟏 𝒅[𝑭𝒆+𝟑 ]
− = 𝑲[𝑭𝒆𝟑+ ]𝜶 . [𝑺𝒏𝟐+ ]𝟏
𝟐 𝒅𝒕
[𝑭𝒆+𝟑 ]
Mélange stœchiométrique = [𝑺𝒏𝟐+ ]𝟏
𝟐

𝒅[𝑭𝒆+𝟑 ]
= 𝒌𝒅𝒕
[𝑭𝒆𝟑+ ]𝜶+𝟏

𝟏
[ ]𝒕 = 𝒌[𝒕]𝒕𝟎
[𝑭𝒆𝟑+ ]𝜶 𝟎
𝟏 𝟏
𝟑+ 𝜶 − [𝑭𝒆𝟑+ ]𝜶 = 𝒌𝜶𝒕
[𝑭𝒆 ]𝒕 𝟎

Pour 𝒕𝟏/𝟐
𝟏 𝟏
𝑪𝒐 -(𝑪𝒐)𝜶=k𝜶𝒕𝟏/𝟐
( )𝜶
𝟐

𝟐𝜶 − 𝟏
= 𝑲 ∝ 𝒕𝟏/𝟐
𝑪∝𝟎
Donc
𝟐𝜶 − 𝟏
𝒕𝟏/𝟐 =
𝒌𝜶𝑪∝𝟎
15-

𝒕𝟏
𝟐 𝟐𝜶 − 𝟏
=
𝟒 𝒌𝜶(𝟐𝑪𝟎 )∝

𝒕𝟏
𝟐 𝟐𝜶 − 𝟏
=
𝟒 𝒌𝜶𝟐∝ 𝑪𝟎 ∝
𝒕𝟏 𝒕𝟏
𝟐 𝟐
=
𝟒 𝟐∝
4= 𝟐∝ ∝= 𝟐

Chimie solution :
Reaction 1 :
𝑯𝟑 𝑶+ + 𝑯𝑺− 𝑯𝟐 𝑶 + 𝑯𝟐 S

[𝑯 𝐒] 𝟏 𝟏
𝟐
𝑲 = [𝑯𝑺] [𝑯 =𝑲 = 𝟏𝟎−𝟕 = 𝟏𝟎𝟕
𝟑 𝑶+ ] 𝒂𝟏
D’après le tableau d’avancement à l’instant t
𝑯𝟑 𝑶+ + 𝑯𝑺− 𝑯𝟐 𝑶 + 𝑯𝟐 S
0,15-𝜺𝟏 0,1-𝜺𝟏 execs 𝜺𝟏

Reaction 2:
𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶−
𝟐 + 𝑯𝟑 𝑶
+
𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶𝟐 𝑯 + 𝑯𝟐 𝑶
[𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶𝟐 𝑯] 𝟏
𝑲𝟐 = [𝑪𝑯 − +
=𝑲 = 𝟔, 𝟑 × 𝟏𝟎𝟒
𝟑 𝑪𝑶𝟐 ] [𝑯𝟑 𝑶 ] 𝒂𝟐

Les deux réactions sont successives


𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶−
𝟐 + 𝑯𝟑 𝑶
+
𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶𝟐 𝑯 + 𝑯𝟐 𝑶
0,15-𝜺𝟐 𝜺𝟐

[𝑯𝟐 𝐒] = 𝟎, 𝟏 𝒎𝒐𝒍/𝑳
[𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶𝟐 𝑯] = 𝟎, 𝟎𝟓𝒎𝒐𝒍/𝑳
[𝑪𝑯𝟑 𝑪𝑶−
𝟐 ] = 𝟎, 𝟏𝟓 − 𝟎, 𝟎𝟓 = 𝟎, 𝟏 𝒎𝒐𝒍/𝑳

17-
𝑪𝟔 𝑯𝟓 𝑪𝑶𝟐 𝑯(𝒔) 𝑪𝟔 𝑯𝟓 𝑪𝑶𝟐 𝑯(𝒂𝒒)

𝑲𝑺 = [𝑪𝟔 𝑯𝟓 𝑪𝑶𝟐 𝑯(𝒂𝒒) ]= S

S=3,16 × 𝟏𝟎−𝟔 𝒎𝒐𝒍/𝑳


21-
Condition d’équilibre : ∆𝒓 𝑮° + 𝑹 𝑻 𝑳𝒏𝑲𝟎 = 𝟎

𝑰𝑶−
𝟑 /𝑰

Ln 10= 2,3
∆𝒓 𝑮° + 𝑹 𝑻𝟐, 𝟑 𝑳𝒐𝒈𝑲𝟎 = 𝟎
∆𝒓 𝑮°
𝑳𝒐𝒈𝑲𝟎 =
𝟐, 𝟑𝑹 𝑻
𝟏
𝑰 + 𝟑𝑯𝟐 𝑶 𝑰𝑶− +
𝟑 +6𝑯 + 𝟓𝒆

𝟐 𝟐

∆𝒓 𝑮° = −∆𝒓 𝑮° = −(−𝟓 × 𝑭 − 𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰− )


𝟏
(𝟐 𝑰𝟐 + 𝒆− 𝑰− )× 5 ∆𝒓 𝑮°′ °
𝟐 = 𝟓 × ∆𝒓 𝑮𝟐

𝟑 𝑰𝟐 + 𝟑𝑯𝟐 𝑶 𝟓𝑰− + 𝑰𝑶−


𝟑 +6𝑯
+

°
∆𝒓 𝑮°𝟑 = ∆𝒓 𝑮°′ °′
𝟏 +∆𝒓 𝑮𝟐 = 5 F 𝑬𝑰𝑶−
𝟑 /𝑰
°
− -5 F 𝑬𝑰 /𝑰−
𝟐

∆𝒓 𝑮°𝟑 = 𝟓 − 𝑭(𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰𝟐 -𝑬°𝑰𝟐 /𝑰− )

(-)× (−𝑹𝑻 𝟐, 𝟑 𝒍𝒐𝒈 𝑲𝟎𝟑 = 𝟓𝑭(𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰𝟐 -𝑬°𝑰𝟐 /𝑰− ))


𝟓
(𝟎,𝟔𝟐𝟏−𝟏,𝟐𝟎)
𝑲𝟎 = 𝟏𝟎𝟎,𝟎𝟔
𝑲𝟎 = 𝟓, 𝟔𝟐 × 𝟏𝟎−𝟒𝟗
Q22)
𝑲𝟏 = 𝑲𝟐 × [𝑯+ ]𝟔
𝟏
𝑲 𝟏 𝑲
[𝑯+ ] = ( 𝟏 )𝟔 -Log( [𝑯+ ])=- 𝟔Log(𝑲𝟏 )
𝑲 𝟐 𝟐

On a 𝒌𝟐 = 𝟏 pH= 8

Q23)-
La demi reaction
𝑰𝑶−
𝟑 + 𝟔𝑯
+
𝑰− + 𝟑𝑯𝟐 𝑶
1+6+x = -1 x=-6
D’où
𝑰𝑶− +
𝟑 + 𝟔𝑯 + 𝟔𝒆

𝑰− + 𝟑𝑯𝟐 𝑶
𝟎,𝟎𝟔 [𝑰𝑶− +
𝟑 ] [𝑯 ]
E=𝑬°𝑰𝑶−𝟑 + log [𝑰− ]
𝟔
𝟎,𝟎𝟔 [𝑰𝑶−
𝟑]
E=𝑬°𝑰𝑶−𝟑 + log [𝑰− ]
− 𝟎, 𝟎𝟔𝒑𝑯
𝟔

𝟏
∆𝒓 𝑮°𝟏 𝑰𝑶− +
𝟑 + 𝟔𝑯 + 𝟓𝒆

𝑰 + 𝟑𝑯𝟐 𝑶
𝟐 𝟐
𝟏
∆𝒓 𝑮°𝟐 𝑰 + 𝒆− 𝑰−
𝟐 𝟐
∆𝒓 𝑮°𝟑 𝑰𝑶− +
𝟑 + 𝟔𝑯 + 𝟔𝒆

𝑰− + 𝟑𝑯𝟐 𝑶

∆𝒓 𝑮°𝟑 = ∆𝒓 𝑮°𝟏 + ∆𝒓 𝑮°𝟐

∆𝒓 𝑮°𝟏 = −𝟓𝑭 × 𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰𝟐

∆𝒓 𝑮°𝟐 =-1F𝑬°𝑰𝟐 /𝑰−

∆𝒓 𝑮°𝟑 = −𝟔𝑭𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰−

𝟔𝑭𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰− = 𝟓𝑭 × 𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰𝟐 +1F𝑬°𝑰𝟐 /𝑰−

𝟏
𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰− = 𝟔 (𝟓𝑬°𝑰𝑶−𝟑 /𝑰𝟐 +1F𝑬°𝑰𝟐 /𝑰− )
Anode (oxydation) : Zn -> Zn(CN)4^2- + 2e^- Potentiel standard de réduction : E°(Zn^2+ / Zn) =
-0.76 V

Cathode (réduction) : 2Fe(CN)6^3- + 4e^- -> 2Fe(CN)6^4- Potentiel standard de réduction :


E°(Fe(CN)6^4- / Fe(CN)6^3-) = 0.36 V

fem. = E° (cathode) - E° (anode) = 0.36 V - (-1.26 V) = 1.62 V

° [𝐹𝑒 3+ ]
On a 𝐸(𝐹𝑒 3+ /𝐹𝑒 2+ ) = 𝐸(𝐹𝑒 3+ /𝐹𝑒 2+ ) + 0,059 log
[𝐹𝑒 2+ ]

𝐸−𝐸°
[𝐹𝑒 3+ ] 𝐸−𝐸° [𝐹𝑒 3+ ]
log[𝐹𝑒 2+] = 0,059 [𝐹𝑒 2+ ]
= 100,059

[𝐹𝑒 3+ ]
=7
[𝐹𝑒 2+ ]
Chimie des solutions
Q-10 :

𝑪𝒍𝑶− + 𝑪𝒍− + 𝟐𝑯+ ⇄ 𝑪𝒍𝟐 + 𝑯𝟐 𝑶


On a : 𝒏𝑪𝒍𝑶− = 𝒏𝑪𝒍𝟐 = [𝑪𝒍𝑶− ]𝒇 . 𝑽 et on a V=1 L

Et on sait que la solution est dilué 10 fois [𝑪𝒍𝑶− ]𝒇 = 𝟏𝟎 × [𝑪𝒍𝑶− ]


𝒅𝒄𝒉𝒍 .𝑽𝒔𝒐𝒍 𝒅𝒄𝒉𝒍
Donc 𝒏𝑪𝒍𝑶− = 𝒏𝑪𝒍𝟐 = ➔ [𝑪𝒍𝑶− ]𝒇 × 𝟏 =
𝑽𝒎 𝑽𝒎
Réponse C
c.-à-d. : 𝒅𝒄𝒉𝒍 = [𝑪𝒍𝑶− ] 𝒇 . 𝑽𝒎
−𝟏
= 𝟓, 𝟑. 𝟏𝟎 . 𝟐𝟐, 𝟒 = 𝟏𝟏, 𝟗°𝒄𝒉𝒍
Partie 2 : Acide phosphorique :
Acide phosphorique 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 triacide caractérisé par :
𝒑𝑲𝑨𝟏 = 𝟐, 𝟐 ; 𝒑𝑲𝑨𝟐 = 𝟕, 𝟐 ; 𝒑𝑲𝑨𝟑 = 𝟏𝟐, 𝟐
+1
Q-11 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 + 𝑯𝟐 𝑶 ⇌ 𝑯𝟐 𝑷𝑶−
𝟒 + 𝑯𝟑 𝑶
+2
𝑯𝟐 𝑷𝑶− 𝟐−
𝟒 + 𝑯𝟐 𝑶 ⇌ 𝑯 𝑷𝑶𝟒 + 𝑯𝟑 𝑶
𝟑−
𝑯 𝑷𝑶𝟐−
𝟒 + 𝑯𝟐 𝑶 ⇌ 𝑷𝑶𝟒 + 𝑯𝟑 𝑶
+
3
Réponse C
Donc la bonne affirmations est : 𝑯𝑷𝑶𝟐−
𝟒 est un ampholyte ,

car il joue le rôle d’un acide dans l’équation 2 et le rôle d’une base dans l’équation 1.
Q-12 Lorsque 𝒑𝑯 = 𝟕, 𝟐

On a l’équation bilan est 1 + 2+3 : 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 + 𝟑𝑯𝟐 𝑶 ⇌ 𝑷𝑶𝟑−


𝟒 + 𝟑𝑯𝟑 𝑶
+

[𝑯𝟑 𝟎+ ]𝟑 ×[𝑷𝑶𝟑−
𝟒 ]
➔ 𝑲𝑻 = 𝑲𝑨𝟏 𝑲𝑨𝟐 𝑲𝑨𝟑 = [ 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 ]

[ 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 ]
➔[𝑯𝟑 𝟎+ ]𝟑 = 𝑲𝑨𝟏 𝑲𝑨𝟐 𝑲𝑨𝟑 × [𝑷𝑶𝟑−
𝟒 ]
𝟏⁄
[ 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 ] 𝟑
➔ [𝑯𝟑 𝟎+ ] = (𝑲𝑨𝟏 𝑲𝑨𝟐 𝑲𝑨𝟑 × )
[𝑷𝑶𝟑−
𝟒 ]
𝟏 [ 𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 ]
𝒑𝑯 = 𝟑 (𝒑𝑲𝑨𝟏 +𝒑𝑲𝑨𝟐 + 𝒑𝑲𝑨𝟑 − 𝒍𝒐𝒈 ( [𝑷𝑶𝟑−
))
𝟒 ]

𝒑𝑲𝑨𝟏 +𝒑𝑲𝑨𝟐 + 𝒑𝑲𝑨𝟑 = 𝟐𝟏, 𝟔

Donc pour que 𝒑𝑯 = 𝟕, 𝟐 il faut que ;


[𝑯𝟑 𝑷𝑶𝟒 ] = [𝑷𝑶𝟑−
𝟒 ]
[𝑯𝟑 𝟎+ ][𝑯 𝑷𝑶𝟐−
𝟒 ] [𝑯 𝑷𝑶𝟐−
𝟒 ]
Et on a 𝑲𝑨𝟐 = [𝑯𝟐 𝑷𝑶−
➔ 𝒑𝑲𝑨𝟐 = 𝒑𝑯 − 𝒍𝒐𝒈 ( [𝑯 − ) = 𝟕, 𝟐
𝟒] 𝟐 𝑷𝑶𝟒 ]
[𝑯 𝑷𝑶𝟐−
𝟒 ]
➔ 𝒍𝒐𝒈 ( [𝑯 − )=𝟎
𝟐 𝑷𝑶𝟒 ]
 Alors
[𝑯𝟐 𝑷𝑶− 𝟐−
𝟒 ] = [𝑯 𝑷𝑶𝟒 ]
Réponse D

Q-13
𝑷𝑶𝟑− 𝟐−
𝟒 + 𝑯𝟐 𝑶 ⇌ 𝑯𝑷𝑶𝟒 + 𝑶𝑯

𝑪𝟎 0 0
𝑪𝟎 (𝟏 𝜶𝑪𝟎 𝜶𝑪𝟎
− 𝜶)
[𝑯𝑷𝑶𝟐− −
𝟒 ][𝑶𝑯 ] (𝜶𝑪𝟎 )𝟐 𝑪𝟎 𝜶𝟐
On a 𝑲𝒃 = [𝑷𝑶𝟑−
=𝑪 =
𝟒 ] 𝟎 (𝟏−𝜶) 𝟏−𝜶

−𝑲𝒃 +√𝚫
➔𝑪𝟎 𝜶𝟐 + 𝜶𝑲𝒃 − 𝑲𝒃 = 𝟎 𝜶𝟏 = A.N : 𝜶𝟏 = 𝟎, 𝟑𝟐𝟔𝟔𝟕 ≈ 𝟎, 𝟑𝟑
𝟐𝑪𝟎
𝚫 = 𝑲𝒃 𝟐 + 𝟒𝑪𝟎 𝑲𝒃 𝒑𝑲𝒃 + 𝒑𝑲𝑨𝟑 = 𝟏𝟒
Réponse B
[𝑯𝑷𝑶𝟐− − −𝟐
𝟒 ] = [𝑶𝑯 ] = 𝟎, 𝟑𝟑 × 𝟎, 𝟏 = 𝟑, 𝟑 × 𝟏𝟎 𝒎𝒐𝒍. 𝒍
−𝟏

[𝑷𝑶𝟑− −𝟐
𝟒 ] = 𝟎, 𝟏 × (𝟏 − 𝟎, 𝟑𝟑) = 𝟔, 𝟕 × 𝟏𝟎 𝒎𝒐𝒍. 𝒍
−𝟏

Partie 3 : pile électrochimique


Q-14 𝑴𝒏(𝒔) /𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) //𝑪𝒖𝟐+ /𝑪𝒖(𝒔)
𝑬𝟎𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖 = 𝟎. 𝟑𝟒𝑽 et 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) = −𝟏. 𝟓𝟔𝑽
(𝒔)

la valeur de la solubilité 𝑲𝒔 de 𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) :


𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) → 𝑴𝒏𝟐+ + 𝟐𝑶𝑯−
On a
𝑲𝒔 = 𝒔 × (𝟐𝒔)𝟐 = 𝟒𝒔𝟑

[𝑶𝑯− ] 𝑲𝒆
[𝑶𝑯− ] = 𝟐𝒔 ➔ 𝒔= avec 𝑲𝒆 = [𝑶𝑯− ]. [𝑯𝟑 𝑶+ ] ➔ [𝑶𝑯− ] = [𝑯 +]
=
𝟐 𝟑𝑶
𝑲𝒆
)
𝟏𝟎−𝒑𝑯
𝟑 Réponse C
[𝑶𝑯− ] 𝟏 𝑲𝒆
𝑲𝒔 = 𝟒 ( ) = × ( −𝒑𝑯 ) 𝟑 = 𝟏. 𝟗 × 𝟏𝟎−𝟏𝟑
𝟐 𝟐 𝟏𝟎

Q-15
On a : 𝑬𝟎𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖 = 𝟎. 𝟑𝟒𝑽 et 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) = −𝟏. 𝟓𝟔𝑽
(𝒔)

• Pour 𝑪𝒖𝟐+ /𝑪𝒖(𝒔) : 𝑪𝒖 ⇆ 𝑪𝒖𝟐+ + 𝟐𝒆−


𝟎. 𝟎𝟔
𝑬𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖(𝒔) = 𝑬𝟎𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖 + 𝒍𝒐𝒈([𝑪𝒖𝟐+ ]) = 𝟎. 𝟐𝟖𝑽
(𝒔) 𝟐

Réponse C
• Pour 𝑴𝒏(𝒔) /𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) : 𝑴𝒏(𝒔) + 𝟐𝑶𝑯− ⇄ 𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) + 𝟐𝒆−
𝟎.𝟎𝟔 𝟏
𝑬𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) = 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) + 𝒍𝒐𝒈 [𝑶𝑯−]𝟐 = −𝟏. 𝟑𝟏𝑽
𝟐

Q-16
• Pour 𝑴𝒏𝟐+ /𝑴𝒏 : 𝑴𝒏𝟐+ + 𝟐𝒆− ⇆ 𝑴𝒏 ➔ 𝑬𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 = 𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 +
𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈[𝑴𝒏𝟐+ ]
• Pour 𝑴𝒏(𝒔) /𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) : 𝑴𝒏(𝒔) + 𝟐𝑶𝑯− ⇄ 𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) + 𝟐𝒆−
𝟎.𝟎𝟔 𝟏
➔𝑬𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) = 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) + 𝒍𝒐𝒈 [𝑶𝑯−]𝟐
𝟐
A l’équilibre on a : 𝑬𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 = 𝑬𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔)
𝟎.𝟎𝟔 𝟏
Donc : 𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 + 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈[𝑴𝒏𝟐+ ] = 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) + 𝒍𝒐𝒈 [𝑶𝑯− ]𝟐
𝟐
𝟏
𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 = 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) + 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈 − 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈[𝑴𝒏𝟐+ ]
[𝑶𝑯− ]𝟐

𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 = 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) − 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈[𝑶𝑯− ]𝟐 . [𝑴𝒏𝟐+ ]

𝑲𝒔 = [𝑶𝑯− ]𝟐 . [𝑴𝒏𝟐+ ]
𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 = 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) − 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈𝑲𝒔 Réponse A

Q-17
la force électromotrice : 𝐸 = 𝐸𝐶𝑢2+/𝐶𝑢(𝑠) − 𝐸𝑀𝑛(𝑠)/𝑀𝑛(𝑂𝐻)2(𝑠)
On remplace chaque terme par son expression :
𝟏
𝑬 = 𝑬𝟎𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖 + 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈([𝑪𝒖𝟐+ ]) − 𝑬𝟎𝑴𝒏(𝒔)/𝑴𝒏(𝑶𝑯)𝟐(𝒔) − 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈 [𝑶𝑯−]𝟐
(𝒔)

𝑬 = 𝑬𝟎𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖 + 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈([𝑪𝒖𝟐+ ]. [𝑶𝑯− ]𝟐 ) − 𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 − 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈𝑲𝒔


(𝒔)

[𝑪𝒖𝟐+ ]. [𝑶𝑯− ]𝟐
𝑬= 𝑬𝟎𝑪𝒖𝟐+/𝑪𝒖 − 𝑬𝟎𝑴𝒏𝟐+/𝑴𝒏 + 𝟎. 𝟎𝟑𝒍𝒐𝒈 Réponse A
(𝒔) 𝑲𝒔

Cinétique chimique :

Q-18
𝑪𝟔 𝑯𝟏𝟎 + 𝑯𝑪𝒍 → 𝑪𝟔 𝑯𝟏𝟏 𝑪𝒍
La loi de la vitesse initiale de cette réaction en fonction de p et q :

𝑣 = 𝑘[𝑪𝟔 𝑯𝟏𝟎 ]𝑝 [𝑯𝑪𝒍]𝑞 Réponse D

Thermodynamique :
Un moteur thermique fonctionne réversiblement entre deux sources de températures variables au
cours du temps ou pseudo-sources:
la température de la source chaude est notée TC(t)
la température de la source froide est notée TF (t).
Les sources ont la même capacité thermique C et leurs températures initiales sont respectivement
TC0 et TF0 .
Le moteur fonctionne entre l'instant t0=0 et un instant tI , où l'équilibre est atteint.
QC QF
Source Moteur Source
chaude thermiqu froide

Milieu externe

Q-40 :
D’après la 2émé loi de la thermodynamique : d𝑆 = 𝛿𝑆𝑒𝑐ℎ + 𝛿𝑆𝑐𝑟é𝑒 = 0
𝛿𝑄𝐶 𝛿𝑄𝐹 𝑑𝑇 𝑑𝑇
+ =0 avec 𝛿𝑄𝐹 = 𝐶𝑑𝑇 𝑒𝑡 𝛿𝑄𝐶 = 𝐶𝑑𝑇 ; c.-à-d. : + 𝑇 =0
𝑇𝐶 𝑇𝐹 𝑇𝐶 𝐹

𝑇𝐶 (𝑡) 𝑇𝐹 (𝑡) 𝑇𝐶 (𝑡) 𝑇


On intègre sur la durée de fonctionnement : 𝑙𝑛 + 𝑙𝑛 =0 c.-à-d. = 𝑇 𝐹0
𝑇𝐶0 𝑇𝐹0 𝑇𝐶0 𝐹(𝑡)

Donc : 𝑇𝑐 (𝑡) × 𝑇𝐹 (𝑡) = 𝑇𝐹0 𝑇𝐶0 Réponse B

Q-41 :
Maintenant on a : 𝑇𝑐 (𝑡) = 𝑇𝐹 (𝑡) = 𝑇𝑓 c.-à-d. 𝑇𝑓2 = 𝑇𝐹0 × 𝑇𝐶0 Alors : 𝑇𝑓 = Réponse A
√𝑇𝐹0 × 𝑇𝐶0
Q-42 : D’après la 1ere loi de la thermodynamique :
ΔU = δW + δ𝑄𝐶 + δ𝑄𝐹 = 0
δW = −δ𝑄𝐶 − δ𝑄𝐹
δW = −Cd𝑇𝐶 − 𝐶𝑑𝑇𝐹 puis intégrer : 𝑊 = −𝐶(2𝑇𝑓 − 𝑇𝐶0 − 𝑇𝐹0 ) c.-à-d. Réponse A

𝑊 = 𝐶(−2√𝑇𝐹0 × 𝑇𝐶0 + 𝑇𝐶0 + 𝑇𝐹0 ) Alors


𝑊 = 𝐶(√𝑇𝐶0 − √𝑇𝐹0 )2

2
(√𝑇𝐶0−√𝑇𝐹0 ) 2
𝑊 𝐶 (√𝑇𝐶0 −√𝑇𝐹0 )
Q-43 : 𝑒𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 = |𝑄 | = =
𝐶 𝐶(𝑇𝑓 −𝑇𝐶0 ) √𝑇𝐹0 ×𝑇𝐶0 −𝑇𝐶0

√𝑇𝐶0 − √𝑇𝐹0
𝑒𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 = Réponse D
√𝑇𝐶0
Electricité et électromagnétique :
Partie 1 : interaction électromagnétique entre deux solénoïdes :
Deux solénoïdes de même longueur L possédant le même nombre N de spires mais de rayons
différents R1 et R2. sont disposés et maintenus comme indiqué sur la figure ci-dessous Ils sont
parcourus respectivement par des courants d'intensités I1 et I2.
Q-44 :
L’expression du flux total crée par le grand solénoïde à travers le petit solénoïde est :
On a : 𝐵 = 𝐵(𝑟)𝑒⃗⃗⃗𝑥
𝑁×𝜇0 ×𝐼1 ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙⋀ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑃𝑀
Pour le petit solénoïde 𝑑𝐵1 = × et pour le grand solénoïde 𝑑𝐵2 =
𝐿×4𝜋 𝑃𝑀3
𝑁×𝜇0 ×𝐼2 ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙 ⋀ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑃𝑀
×
𝐿×4𝜋 𝑃𝑀3
𝜇0 ×𝐼1 ×𝑁 1 1 𝜇0 ×𝐼2 ×𝑁 2 2
Donc :𝐵1 = (cos(𝜃𝑚𝑖𝑛 − 𝜃𝑚𝑎𝑥 )) et 𝐵2 = (cos(𝜃𝑚𝑖𝑛 − 𝜃𝑚𝑎𝑥 )) dans
2𝐿 2𝐿
1 2 1 2
l’approximation de solénoïdes infinis (𝜃min 𝑒𝑡 𝜃𝑚𝑖𝑛 →0 𝜃𝑚𝑎𝑥 𝑒𝑡 𝜃𝑚𝑎𝑥 →𝜋)
𝜇0 ×𝐼1 ×𝑁 𝜇0 ×𝐼2 ×𝑁
• on aura : 𝐵1 = et 𝐵2 =
𝐿 𝐿
𝑁
Pour le flux 𝑑𝜙 = 𝑑𝑁 ∬𝑆 𝐵2 × 𝑑𝑆1 avec . 𝑑𝑁 = 𝐿 𝑑𝑥
1

𝑁 𝜇0 ×𝐼2 ×𝑁 𝑁 𝜇0 ×𝐼2 ×𝑁
Alors :𝑑𝜙 = 𝑑𝑥 × ∬𝑆 × 𝑟𝑑𝑟𝑑𝜃 = 𝑑𝑥 × × 𝑅12 × 𝜋
𝐿 1 𝐿 𝐿 𝐿

c.-à-d.
𝜇0 × 𝑥 × 𝜋 × 𝐼2 × 𝑁 2 × 𝑅12 Réponse B
𝜙=
𝐿2

Q-45 : la résultante des forces exercé sur le petit solénoïde :


𝜇0 ×𝐼2 ×𝑁
𝑑𝐹 = 𝐼1 × 𝑛𝑑𝑙1 ⋀𝐵2 = 𝐼1 × 𝑟𝑑𝑟 × 𝑑𝜃𝑒⃗⃗⃗⃗𝜃 ⋀ 𝑒𝑥
⃗⃗⃗ Réponse A
𝐿

𝑁 𝜇0 × 𝐼2 × 𝑁 𝜇0 𝜋 × 𝐼2 × 𝐼1 × 𝑁 2 × 𝑅12
𝐹 = 𝐼1 × × 𝑅12 𝜋 × 𝑒𝑟 =
⃗⃗⃗
𝐿 𝐿 𝐿2

Q-46 : L’expression de l’énergie potentielle d’interaction du petit solénoïde est :


On a par définition : 𝑊 = −𝐼. 𝜙 c.-à-d.
𝜇0 × 𝑥 × 𝜋 × 𝐼2 × 𝑁 2 × 𝑅12 𝜇0 𝑥𝜋𝐼1 𝐼2 𝑁 2 𝑅12 Réponse D
𝑊𝑥 = −𝐼1 . = −
𝐿2 𝐿2
Q-47 : 𝑥=𝐿
𝜇0 × 𝐿 × 𝜋 × 𝐼2 × 𝑁 × 2
𝑅12 𝜇0 𝜋𝐼1 𝐼2 𝑁 2
𝑅12
𝑊𝑓 = −𝐼1 . =−
𝐿2 𝐿 Réponse A

Q-48 : On suppose x’ est la distance de déplacement : 𝑥′ = 𝑥 − 𝐿

𝜇0 𝑥′𝜋𝐼1 𝐼2 𝑁 2 𝑅12 𝜇0 𝜋𝐼1 𝐼2 𝑁 2 𝑅12


avec 𝑊=− c.-à-d. 𝑊 = − (𝑥 − 𝐿) donc 𝑊=
𝐿2 𝐿2
𝜇0 𝜋𝐼1 𝐼2 𝑁 2 𝑅12 𝑥
(1 − 𝐿 )
𝐿
Réponse A
Partie II lame diélectrique
Q49 : expression du champ 𝐸⃗ a l’intérieure du diélectrique
Soit 𝐸⃗ , ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 les champs dans deux diélectriques de permittivité 𝜀0 𝑒𝑡 𝜀 les lames sont parallèles aux plateaux.
Les champs sont toujours diriges suivant les normales aux surfaces de séparation les conditions aux limites
sur ces surfaces s’écrivent :
⃗⃗⃗⃗0 = 𝐷
𝐷 ⃗ ⟹ ℰ0 𝐸 ⃗⃗⃗⃗0 = ℰ𝐸⃗ Donc 𝐸⃗ = ℰ0 𝐸
⃗⃗⃗⃗0

La réponse est B
Q50 : l’expression de la polarisation 𝑃⃗ du diélectrique est :
On sait que 𝐷⃗ = ℰ0 𝐸⃗ + 𝑃⃗ ⟹ ℰ𝐸⃗ = ℰ0 𝐸⃗ + 𝑃⃗ ⟹ 𝑃⃗ = ℰ𝐸⃗ − ℰ0 𝐸⃗ et d’après la question précédente 𝐸⃗ =
ℰ0
⃗⃗⃗⃗0
𝐸

ℰ0 ℰ0 ℰ0 ℰ0
𝑃⃗ = ℰ ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 − ℰ0 ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 = ℰ0 ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 − ℰ0 ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 = ℰ0 (1 − )𝐸⃗⃗⃗⃗
ℰ ℰ ℰ ℰ 0
La réponse est C
Q51 : l’expression du champ dépolarisant ⃗⃗⃗⃗
𝐸𝑝
ℰ ℰ
ℰ ℰ ℰ0 ( 0 −1)𝐸
⃗⃗⃗⃗0 −ℰ0 (1− 0 )𝐸
⃗⃗⃗⃗0
On sait que ⃗⃗⃗⃗
𝐸𝑃 = 𝐸⃗ − ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 = ℰ0 ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 − ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 = ( ℰ0 − 1) ⃗⃗⃗⃗
𝐸0 = ℰ
= ℰ
ℰ0 ℰ0
−𝑃⃗
⃗⃗⃗⃗
𝐸𝑃 =
ℰ0
La réponse est D
Electronique analogique
Q52 : expression de 𝐼𝐵 𝑒𝑡 𝑉𝐶𝐸
On a 𝑉𝐶𝐶 = 𝑅𝐶 𝐼𝐶 + 𝑉𝐶𝐸 + 𝑅𝐸 𝐼𝐸
Et on a 𝐼𝐸 = 𝐼𝐶 + 𝐼𝐵 = 𝛽𝐼𝐵 + 𝐼𝐵 = (𝛽 + 1)𝐼𝐵
Alors 𝑉𝐶𝐶 = 𝑅𝐶 𝛽𝐼𝐵 + 𝑉𝐶𝐸 + 𝑅𝐸 (𝛽 + 1)𝐼𝐵
⟹ 𝑉𝐶𝐸 = 𝑉𝐶𝐶 − 𝑅𝐶 𝛽𝐼𝐵 − 𝑅𝐸 𝛽𝐼𝐵 − 𝑅𝐸 𝐼𝐵 = 𝑉𝐶𝐶 − 𝛽(𝑅𝐶 + 𝑅𝐸 )𝐼𝐵 − 𝑅𝐸 𝐼𝐵
⟹ 𝑉𝐶𝐸 = 𝑉𝐶𝐶 − (𝛽𝑅𝐶 + (𝛽 + 1)𝑅𝐸 )𝐼𝐵
Et d’après le théorème de Thevnin :
𝑅2
On a 𝑅𝐵 = 𝑅1 //𝑅2 et 𝐸𝑡ℎ = 𝑅 +𝑅 𝑉𝐶𝐶
2 1
𝐸𝑡ℎ = 𝑅𝐵 𝐼𝐵 + 𝑉𝐵𝐸 + 𝑅𝐸 (𝛽 + 1)𝐼𝐵
𝑅2
𝑉 = 𝐼𝐵 (𝑅𝐵 + 𝑅𝐸 (𝛽 + 1)) + 𝑉𝐵𝐸
𝑅2 + 𝑅1 𝐶𝐶
𝑅2
𝑅2 + 𝑅1 𝑉𝐶𝐶 − 𝑉𝐵𝐸
𝐼𝐵 =
𝑅𝐵 + 𝑅𝐸 (𝛽 + 1)
𝑅𝐵
𝑅1 𝑉𝐶𝐶 − 𝑉𝐵𝐸
𝐼𝐵 =
𝑅𝐵 + 𝑅𝐸 (𝛽 + 1)
La réponse A
Q53 : l’expression du gain en tension
𝑉𝑠 −𝑅𝐶 𝑅𝐿 ℎ21 𝑖𝐵
𝐴= 𝑒𝑡 𝑉𝑆 = ; 𝑉𝑒 = ℎ21 𝑖𝐵 + 𝑅𝐸 (ℎ21 + 1)𝑖𝐵
𝑉𝑒 𝑅𝐶 + 𝑅𝐿
𝑉𝑠 −𝑅𝐶 𝑅𝐿 ℎ21 𝑖𝐵
𝐴= =
𝑉𝑒 (𝑅𝐶 + 𝑅𝐿 )(ℎ21 + 𝑅𝐸 (ℎ21 + 1))𝑖𝐵
La réponse D
Q54 : l’expression de l’impédance de sortie 𝑍𝑠
𝑉 𝑅 𝑅
𝑍𝑠 = 𝑖 𝑠 = 𝑅 𝐶+𝑅𝐿
𝑠 𝐶 𝐿
La réponse A
Optique et ondes
Partie I : interférences lumineuse
Q55 : l’expression de l’ordre d’interférence 𝑝𝑘 de la 𝑘 𝑖𝑒𝑚𝑒 frange est :
2𝜋𝛿
D’après la relation d’interférences : + 𝜋 = 2𝑝𝜋
𝜆
1
⇒ 2𝑛𝑒 cos 𝑟𝑘 = (𝑝 − ) 𝜆
2
2𝑛𝑒 cos 𝑟𝑘 1
⇒ =𝑝−
𝜆 2
2𝑛𝑒 cos 𝑟𝑘 1
⟹𝑝= +
𝜆 2
La réponse est A
Q56 : l’expression du rayon de la 𝑘 𝑖𝑒𝑚𝑒 frange sombre est :
𝑘𝜆𝑛𝑓′2
On sait que 𝑥𝑝2 = 𝐶 − 𝑒
Et on pose que 𝑘 = 𝑝0 − 𝑝 et le centre sombre et les angles d’incidences 𝑖𝑘 très faibles donc
𝜆 𝑟2
cos 𝑟𝑝 = 4𝑛𝑒 (2𝑝 − 1) et cos 𝑟 ≈ 1 − 2
𝜆𝑛𝑓′ 𝜆𝑛
Alors 𝑥𝑘2 = 𝑘 ⟹ 𝑥𝑘 = 𝑓 ′ √𝑘 ∗ √ 𝑒
𝑒
La réponse est C
Q57 : le rayon de la deuxième frange. La valeur de l’épaisseur e
On a 𝑓 ′ = 30 𝑐𝑚 , 𝑘 = 2 , 𝑥𝑘 = 9𝑚𝑚 , 𝜆 = 0.75𝜇𝑚 𝑒𝑡 𝑛 = 1.5
𝜆𝑛
D’après la question précèdent 𝑥𝑘 = 𝑓 ′ √𝑘 ∗ √ 𝑒
𝜆𝑛
⟹ 𝑒 = 𝑓 ′2 ∗ 𝑘 ∗
𝑥𝑘2
1.5∗0.75∗10−6
AN 𝑒 = (30 ∗ 10−2 )2 ∗ 2 ∗ (9∗10−3 )2
= 2.5 ∗ 10−3 𝑚
La réponse est B
Partie II : propagation d’une onde électromagnétique dans le vide
Q58 : la relation qui lies a,b,𝜔 et c s’écrit :
On a 𝐸⃗ (𝑀) = 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗
𝑒𝑧 avec 𝑘⃗ = 𝑘𝑢 ⃗ = (𝑎 + 𝑏)𝑢

𝜔2 𝜔
Et 𝑘 2 = ⟹𝑘= = √𝑎2 + 𝑏 2
𝑐2 𝑐
La réponse est A
Q59 : la direction de propagation de l’onde est donnée par
On a 𝐸⃗ (𝑀) = 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗
𝑒𝑧
𝑎 𝑏
cos 𝜃 = ; sin 𝜃 =
√𝑎2 + 𝑏 2 √𝑎2 + 𝑏 2
La réponse est B
Q60 : l’expression du vecteur champ magnétique 𝐵 ⃗

On a 𝐵⃗ = 𝑘 ∧ 𝐸⃗ = (𝑎𝑒𝑥 +𝑏𝑒𝑦 ) ∧ 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗
𝑒𝑧
𝜔 𝜔
−𝑎 𝑏
= 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗⃗
𝑒𝑦 + 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗
𝑒𝑥
𝜔 𝜔
𝑏 𝑎
= 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗ 𝑒𝑥 − 𝐸0 𝑒 𝑗(𝜔𝑡−𝑎𝑥−𝑏𝑦) ⃗⃗⃗⃗
𝑒𝑦
𝜔 𝜔
La réponse est D
Didactique physique chimie

Q1)- Lorsqu'on définit un objectif, on doit indiquer :


Ce que le professeur fera pendant la séquence de cours
Ce que l'élève réalisera après la séquence de cours
Ce que le professeur fera avant la séquence de cours
Ce que l'élève fera pendant la séquence de cours

La réponse correcte est : ce que l'élève fera pendant la séquence de cours.

Q2) Un scénario pédagogique se fait selon les étapes successives suivantes :


Conception - réalisation - interprétation - évaluation
Conception - préparation - réalisation - interprétation - évaluation conception - préparation -
réalisation - analyse - évaluation
analyse-conception - préparation - réalisation – évaluation

La réponse correcte est :

Conception - préparation - réalisation - évaluation.

Q3)- parmi les propriétés de la compétence :


la simplicité et l'évaluabilité
la simplicité et la transférabilité
la complexité et la non évaluabilité
la transférabilité et l'évaluabilité

La réponse correcte est : la simplicité et la transférabilité.

Q4)- Parmi les règles de sélection d'un support lié aux nouvelles technologies d'information et de
communications (TIC) dans l'enseignement de la physique chimie :
- Sa convenabilité aux objectifs et aux exigences
-Son utilisation à tout moment de la leçon
-L’évaluation de sa pertinence et sa qualité
-Sa complexité

La réponse correcte est : sa convenabilité aux objectifs et aux exigences.

Q5)- Une ressource didactique est utilisée dans le cadre :


D’un processus de gestion.
D’un processus administratif de développement professionnel.
D’un processus de soutien
D’un processus d'apprentissage
La réponse correcte est : d'un processus d'apprentissage.

Q6)- Parmi les principes de base de l'approche qui favorise un apprentissage actif en physique
chimie, on cite:
-déterminer et installer des compétences à travers des tâches simples touchant les aspects
cognitifs pour résolution d'un problème en sciences, ou pour préparation d'un projet
-orienter les apprentissages vers la réalisation d'activités prédéfinies simples répondant à des
objectifs en vue de développer certaines habiletés
-orienter les apprentissages vers des tâches simples et les faire acquérir de façon séparée,
cloisonnée ou juxtaposée

-intégrer les apprentissages et mobiliser des ressources tout en les rendant interdépendants pour
la résolution d'un problème en sciences, ou pour la préparation d'un projet

La réponse correcte est : intégrer les apprentissages et mobiliser des ressources tout en les
rendant interdépendants pour la résolution d'un problème en sciences, ou pour la préparation
d'un projet.

Q7)- Les éléments qui constituent des ressources didactiques sont : - -le matériel scientifique -
le manuel scolaire - le guide de l'enseignant
-le laboratoire - le tableau - les cartes géologiques et géographiques - -le terrain de sport - le
laboratoire - la salle multimédia
-le laboratoire - l'ordinateur - la bibliothèque

La réponse correcte est : A- le matériel scientifique, le manuel scolaire, le guide de l'enseignant.

Q8)- Pour réaliser l'expérience sur le principe d'inertie, on utilise un dispositif EXAO comportant :
-Une sonde, un capteur force une interface,
-Une sonde et deux capteurs force une interface,
-Une sonde et un capteur de mouvement (position) une interface, -- -une sonde, un capteur
tension et un capteur force
La réponse correcte est : une interface, une sonde et un capteur de mouvement (position).

Q9)- Une démarche active dans l'enseignement - apprentissage peut être définie comme :
-Une méthode d'action pour réaliser une action d'enseignement avec succès, sans préparation à
l'avance d'étapes à entretenir, et ce afin de décrire et de comprendre le monde réel qui nous
entoure. Elle renvoie à un tâtonnement
-Une méthode d'enseignement qui vise à préparer les apprenants et à les engager dans
l'apprentissage par le biais d'activités pré-planifiées et la réalisation de tâches, afin de décrire et
de comprendre le monde réel
-Des méthodes adaptées à la discipline pour maitriser des savoirs, savoir-faire et savoir être en
vue d'atteindre des objectifs d'apprentissage. Elle vise des processus mentaux et tient compte du
mode et type d'enseignement
-Une action, une pratique, mise en œuvre par un enseignant, visant à transmettre des savoir.
Savoir-faire et savoir-être à un apprenant ou tout autre public dans le cadre d'une institution
éducative

La réponse correcte est : une méthode d'enseignement qui vise à préparer les apprenants et à les
engager dans l'apprentissage par le biais d'activités pré-planifiées et la réalisation de tâches, afin
de décrire et de comprendre le monde réel.

Q10)- La démarche expérimentale est une démarche qui :


-se caractérise par des activités pratiques mises en œuvre et qui ont pour objet de réaliser, de
mettre en œuvre dans un contexte d'usage contraignant, de maintenir, d'améliorer, avec la
préoccupation de produire sans défaut
-se caractérise par un mode de raisonnement fait de transpositions, de similitudes de G
problématiques et d'analogies. Elle a pour objets essentiels, soit de réaliser, soit de mettre en
évidence et/ou de vérifier la pertinence de modèles, soit d'établir les relations entre des
paramètres
-est fondé sur l'observation, elle consiste à concevoir et appliquer un protocole expérimental,
proposer des hypothèses, expérimenter. Manipuler, dégager des principes et des règles générales
et tenter de construire des modèles théoriques en utilisant des outils appropriés
-est fondé sur la formulation d'un problème, d'hypothèses et sur l'analyse de données et
d'informations, pour dégager des principes et des règles générales et les structurer
La réponse correcte est :

Est fondée sur l'observation, elle consiste à concevoir et appliquer un protocole expérimental,
proposer des hypothèses, expérimenter, manipuler, dégager des principes et des règles générales
et tenter de construire des modèles théoriques en utilisant des outils appropriés.

Q11)- L'importance des nouvelles technologies d'information et de communications (TIC) dans le


processus d'apprentissage en physique chimie réside en :
-L’élaboration d'un contrôle continu
-La simulation d'un phénomène naturel
-La préparation d'une fiche pédagogique
-Le contrôle des absences

La réponse correcte est :

La simulation d'un phénomène naturel.

Q12)- Une démarche par projet comporte les phases :


-planification, sélection, réalisation
- Planification, réalisation, adaptation, évaluation
-réalisation, adaptation, évaluation
- planification, réalisation, évaluation

La réponse correcte est :

Planification, réalisation, évaluation.

Une démarche par projet se déroule généralement en plusieurs phases. La planification est la
première phase, où les objectifs, les ressources nécessaires et les étapes du projet sont définis.
Ensuite, vient la phase de réalisation, où les activités prévues sont mises en œuvre. Enfin, la phase
d'évaluation permet de mesurer les résultats et les apprentissages obtenus grâce au projet.

Q-37 Lors d'une démarche de résolution de problèmes, la situation problème doit être liée à :
➔D : un objectif.
Q-38 L'un des critères de choix d'un outil didactique pour une séquence d'apprentissage donnée
est :
➔D : répond aux objectifs de la séquence d'apprentissage.
Q-39 La démarche par projet permet :
➔A : De faire participer activement l'apprenant à travers un projet avec des tâches organisées
et planifiée.
Q-40 Une des fonctions principales de la situation-problème :
➔B : apprendre à intégrer.
Q-41 L’un des rôles de l’apprenant dans une démarche d’investigation est :
➔C : s'engager dans des activités et dans des travaux collectifs ou de groupe.
Q-42 L'importance des ressources didactiques dans une approche qui favorise une démarche
active est due au fait qu'elles sont :
➔ B :des sources aidant à l'explication pour réaliser la compréhension C. des déclencheurs pour
la construction des apprentissages.
Q-43 La démarche de résolution de problèmes consiste à
➔D : confronter un problème contextualisée significatif et en trouver des solutions en
mobilisant des savoirs, savoir-faire et savoir-être.
Q-44 L'un des rôles de l'enseignant dans une démarche d'investigation est :
➔A : susciter la curiosité des apprenants envers la découverte du savoir
Q-45 Le processus en vue d'un traitement d'une situation -problème selon une démarche de
résolution de problèmes se fait comme suit :
➔ D : équilibre-perturbation de la structure cognitive- nouvel équilibre.
Q-46 La présentation des concepts et notions en physique chimie dans les cycles collégial et
qualifiant selon une démarche favorisant l'apprentissage actif se fait à travers:
➔ B : des activités pédagogiques de construction lors du cours.
Q-47 La démarche d'investigation en physique chimie consiste en:
➔ B : Une méthode pour préparer et engager les apprenants à acquérir des connaissances, des
habiletés et des compétences par le biais d'activités construites, structurées et planifiées.
Q-48 Une situation-problème se comporte selon Deketele des éléments suivants :
➔B : Le contexte et les taches .
Q49 : la démarche expérimentale se fait selon les étapes
Observation -problème -hypothèse -expérience -résultats -interprétation- conclusion
La réponse D
Q50 : une démarche de résolution de problème comporte
Situation problème – formulation des hypothèses – vérifié et validation des hypothèses - évaluer les résultats
attendus donc quatre étape.
La réponse B
Q51 : Dans une démarche d’investigation l’étape qui permet de conclure est : la structuration des
connaissances
La réponse B
Q52 : l’un des rôles de l’enseignant dans une démarche de résolution de problème est : conforter les
représentations.
La réponse A
Q53 : la démarche d’investigation comporte : six étapes sont : situation de départ – la question
d’investigation – élaboration – investigation – partage –conclure.
La réponse C
Q54 : l’utilisation du logiciel Regressi en physique chimie permet de traiter les résultats des mesures et
modéliser des courbes .
La réponse B
Q55 : la proposition qui correspond à un questionnement lie au problème
Comment mettre en évidence les types d’actions mécaniques lors du mouvement ?
La réponse B
Q56 : la représentation de la notion de molécule : développer la structuration
La réponse C
Q57 les étapes d’une démarche de résolution de problème sont
Identification du problème – formulation d’hypothèse – vérification – structuration.
La réponse D
Q58 : une situation déclenchant est Stimulante et pose un défi cognitif pour enseignant.
La réponse C
Q59 : Dans les programmes de physique chimie en 3 années collège est : le traitement de déchets.
La réponse A
Q60 : une investigation organisée est une investigation ou : Seuls le problème et les procédures sont définis
par l’apprenant
La réponse B

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