Vous êtes sur la page 1sur 4

Frederick Winslow Taylor

Frederick Winslow Taylor, né le 20 mars 1856 à Germantown (Pennsylvanie) et mort le


21 mars 1915 à Philadelphie, est un ingénieur américain, promoteur le plus connu de l'organisation
1, 2
Frederick Winslow Taylor
scientifique du travail. Il est aussi l'inventeur de l'acier rapide en 1898 .

Il applique ses méthodes et ses principes à partir de 1890 à la Bethlehem Steel.

Sa brochure The Principles of Scientific Management parait en 1911, est traduite en français en 1912
et fut une source d'inspiration pour Henri Fayol.

Sommaire
Biographie
Une expérience acquise sur le terrain
Vers l'organisation scientifique du travail
L’invention du « taylorisme »
Le travail à la chaîne : Ford, dix ans plus tard
Diffusion de ses idées
The Principles of Scientific Management
Postérité
Le travail à la chaîne
Sport
Bibliographie
Notes et références
Articles connexes Frederick Taylor dans les années 1900.

Voir aussi
Naissance 20 mars 1856
Liens externes
Philadelphie, Pennsylvanie,
États-Unis

Biographie Décès 21 mars 1915


Philadelphie, Pennsylvanie,
Frederick Winslow Taylor est né en 1856 à Germantown près de Philadelphie, dans une famille États-Unis
bourgeoise d'origine quaker. Son père, Franklin Taylor, Juriste de formation à l'Université de Nationalité Américaine
Princeton, a fait fortune dans les prêts hypothécaires. Sa mère, Emiliy Annette Taylor, née Winslow, Profession Consultant en management et
était une ardente abolitionniste. L'un des ancêtres de son père, Samuel Taylor, s'était installé à en efficience
Burlington, dans le New-Jersey, en 1677. L'un des ancêtres de sa mère, Edward Winslow, était l'un
des quinze « Pilgrim fathers » du Mayflower ayant amené des enfants et des serviteurs à bord du Autres activités Membre de la Société
navire. Il fut pendant plusieurs années le Gouverneur de la colonie de Plymouth. américaine de philosophie et de
l'Académie américaine des arts
Après de bonnes études secondaires à la Phillips Exeter Academy, son père, un juriste réputé, le et des sciences
pousse à se présenter au concours d'entrée de l'université Harvard. Mais il doit finalement y renoncer Formation Phillips Exeter Academy (1872-
à cause de sa mauvaise vue. 1874)
Stevens Institute of Technology
Une expérience acquise sur le terrain (jusqu'en 1883)
Distinctions Médaille Elliott Cresson (1902)
Orienté vers la mécanique, il fait, de 1874 à 1878, un apprentissage d'ouvrier modeleur à Doctorat honoris causa (1906)
Philadelphie. Embauché en 1878 par une aciérie, la Midvale Steel Co., il va gravir les échelons : Ascendants Franklin Taylor et Emily Annette
d'abord simple manœuvre, puis chef d'atelier, il devient finalement, en 1884, ingénieur en chef, après
Winslow
avoir obtenu son diplôme en suivant des cours du soir.
Conjoint Louise M. Spooner
Son expérience d'ouvrier lui est particulièrement utile pour comprendre les raisons pour lesquelles la Descendants Kempton, Robert et Elizabeth
productivité progresse lentement dans les usines. Il dénonce ce qu'il appelle « la flânerie
systématique » de l'ouvrier, due selon lui à deux facteurs : la passivité de la direction qui laisse
prospérer les mauvaises traditions héritées des métiers et d'autre part la conviction ancrée dans l'esprit de l'ouvrier qu'un effort de travail supplémentaire ne lui
3 4
apportera rien , cela à cause du système de paiement à la pièce, selon Taylor lui-même .

Ayant lui-même été ouvrier, Taylor est au courant des ententes qui existent entre les ouvriers. En effet, les travailleurs se mettent d'accord sur une production
journalière et ne la dépassent pas même s'ils en sont capables. Selon Michel Beaud, c'est là une des formes de résistance mise en œuvre par les ouvriers à
l'oppression et à l'exploitation des capitalistes. Il s'agit donc de se fixer un objectif de revenu satisfaisant sans s'épuiser au travail pour gagner un peu plus (sans
certitudes). Si les ouvriers produisent plus de pièce, le prix payé par le patron par pièce diminue avec la loi de l'offre et de la demande : les ouvriers avaient
soit le choix d'être en concurrence ou de former une entente pour contrôler la quantité (et ainsi contrôler le prix) comme peuvent le faire des firmes en
oligopole (voir Cartel (économie)).

L'objectif de Taylor sera donc de mettre en place une autre organisation des tâches et un autre système de paiement pour produire davantage avec le moins de
main d'œuvre possible.
Vers l'organisation scientifique du travail

Malgré le boom industriel des années 1880, et le fait que de plus en plus d'ingénieurs s'intéressent à l'organisation de la production, les progrès restent
modestes. Taylor cherche à sortir de cette situation inconfortable en proposant une analyse qu'il souhaite la plus incontestable possible et à laquelle il entend
donner un statut « scientifique ». Taylor s'engage donc dans des expériences d'organisation du travail entièrement nouvelles. Il s'inspire du système de
classification inventé par Melvil Dewey en 1872 (classification décimale de Dewey) qu'il avait découvert à la Phillips Exeter Academy.

Il entreprend une analyse du déroulement des tâches sur la base de la Time and motion study créée par Frank B. et Lillian M. Gilbreth. Son idée est de
déterminer par des études la meilleure façon de faire un travail en décomposant les phases successives de ce travail, en cherchant les gestes les plus efficaces,
en adaptant les outils. Ces conceptions fondent l'organisation scientifique du travail (OST).

De telles études demandent beaucoup de temps et de travail : Il faut observer les ouvriers, décomposer leurs gestes, les chronométrer, afin de trouver comment
réduire leurs mouvements au minimum. Mais les résultats sont spectaculaires. Par exemple, les manutentionnaires des gueuses de fontes vont manipuler sans
effort supplémentaire 48 tonnes par jour contre 12,7 tonnes auparavant.

Les gains de productivité sont importants : les salaires sont augmentés de 60 % (pour une hausse du travail accomplie de 369 %) et l'effectif employé passe de
140 à 600 ouvriers.

En 1883, toujours en suivant des cours du soir, Taylor obtient un diplôme du Stevens Institute of Technology, situé à Hoboken, dans le New Jersey.

L’invention du « taylorisme »

Constatant que la vision traditionnelle et artisanale du « métier » ne peut que favoriser les comportements individualistes et ruiner l'efficacité collective, Taylor
en vient à la conclusion qu'il faut revoir complètement la philosophie et les principes concrets de collaboration et d'organisation du travail en atelier. En
étudiant les conditions nécessaires pour améliorer la productivité des ouvriers, il aboutit à la conclusion qu'une approche méthodique s'impose : ce qu'il décrit
comme étant l'organisation scientifique du travail (en abrégé l'OST).

Le principe fondateur de la démarche réside dans une double division du travail:

Une division verticale du travail, soit la stricte séparation entre la conception des tâches par les ingénieurs et leur exécution par les
ouvriers.

Avant Taylor, les ouvriers conçoivent eux-mêmes leurs méthodes de travail, ce qui se traduit par un climat de « flânerie
systématique » et une productivité très médiocre.
Pour Taylor, le rôle de l'encadrement doit consister à indiquer aux employés la meilleure manière de réaliser une tâche, de leur
fournir les outils et formations appropriés, et de leur délivrer des objectifs et incitations en vue d'atteindre la performance.

Une division horizontale du travail, soit une répartition optimale entre postes de travail, de façon à minimiser les doublons et les
ambigüités.

Avec l'application du taylorisme survient l'obtention de gains notables de productivité. Les ouvriers voient leur rémunération fortement augmenter, alors que
les prix des produits industriels baissent : un plus grand nombre de clients sont en mesure de les acquérir. Cependant, la contrepartie de ces progrès pour les
ouvriers consiste en la dépossession de leur expertise, désormais réservée aux ingénieurs.

Selon ses détracteurs, Taylor introduit dans le monde du travail une séparation radicale entre ceux qui conçoivent et ceux qui produisent : l’ouvrier n’est pas là
pour penser, mais pour exécuter des gestes savamment calculés pour lui. Il est encouragé à être performant par un système de primes. Tout travail intellectuel
doit être éliminé de l’atelier pour être concentré dans les bureaux des méthodes.

Le travail à la chaîne : Ford, dix ans plus tard

Contrairement à ce qu'on affirme souvent, Taylor n'a pas théorisé le travail à la chaîne. Il a toujours appliqué ses méthodes dans des ateliers équipés de
machines-outils, et non sur des chaînes d'assemblage. Il souhaite seulement que chaque ouvrier soit formé à la meilleure méthode de travail possible, et non
qu'il soit réduit à effectuer inlassablement un seul geste sur une chaîne.

Le travail à la chaîne est un concept très ancien. Mais Henry Ford va contribuer à le remettre au goût du jour. Alors qu'il souhaite appliquer le taylorisme dans
son usine de Rouge River près de Détroit, il constate que le nombre très élevé de tâches impliquées dans l'assemblage d'une automobile requiert une
organisation collective sans faille. L'idée lui vient (à la suite d'une visite des abattoirs de Chicago), d'adjoindre à la division verticale du travail prônée par le
taylorisme une division horizontale (ou parcellisation des tâches) : chaque ouvrier ne doit effectuer qu'une seule tâche, préalablement optimisée par le bureau
des méthodes, et tous les ouvriers sont répartis le long d'une chaîne mobile sur laquelle se déplacent les automobiles en cours d'assemblage. L'impact sur les
salaires et les prix fut là encore considérable, mais les ouvriers ont à nouveau le sentiment de perdre une part de leur compétence...

Diffusion de ses idées

En 1890, il part travailler trois ans pour la Bethlehem Iron Steel qui deviendra plus tard Bethlehem Steel. Puis, il mène une brillante carrière d'ingénieur-
conseil indépendant, écrivant des articles et donnant de nombreuses conférences. En 1893, il publie un mémoire technique sur les courroies, en 1895 un autre
mémoire sur le salaire aux pièces (A Piece-Rate System) et en 1903, un autre sous le titre : « La Direction des ateliers ».

The Principles of Scientific Management

En dépit d'un échange de courrier soutenu, il ne parvient pas à convaincre ses collègues de l'American Society of Mechanical Engineers (ASME) de publier
le nouvel ouvrage qui résume ses thèses : The Principles of Scientific Management. En 1911, Taylor en distribue alors des copies privées à toutes ses
5
relations. L'ouvrage est traduit et publié en français dès 1912 sous le titre La direction des ateliers .
La phrase qu'il aurait adressée à l'ouvrier Michael Johnson Shartle : « On ne te demande pas de penser ; il y a des gens payés pour cela, alors mets-toi au
travail » lui est souvent reprochée. Dès 1907 il s'attire l'hostilité des syndicats américains. L'American Federation of Labour (syndicat ouvrier unifié) l'accuse
de vouloir transformer les ouvriers en machines et fait pression sur les milieux politiques pour obtenir l'interdiction de l'usage de ces méthodes dans les
établissements industriels dépendant des pouvoirs publics, comme les arsenaux.

En 1912, Taylor doit se défendre devant une commission d'enquête de la Chambre des représentants, alors que 50 000 ouvriers américains de l'industrie
travaillent déjà selon des règles établies dans le cadre de l'OST.

De nombreux disciples et auteurs se revendiquent et assurent la promotion du taylorisme (management scientifique) :

Morris L. Cooke, assistant de Taylor, tente d'appliquer le management scientifique dans le secteur public.
Carl G. L. Barth, mathématicien et statisticien, assiste Taylor dans ses analyses
Sanford E. Thompson développe le premier chronomètre décimal
Henry Laurence Gantt travaille pour Taylor : Il est surtout connu pour sa conception du diagramme de Gantt. Il prône par ailleurs la
nécessité d'humaniser les relations hiérarchiques et souligne les effets bénéfiques d'un environnement psychologique positif sur les
employés.

Postérité
6
Taylor meurt en 1915 d'une pneumonie avant d'avoir vu le triomphe de ses méthodes. L'entrée en guerre en 1917 des États-Unis crée la nécessité de tout
faire pour accroître rapidement la production et la productivité de l'industrie américaine alors que des centaines de milliers d'Américains s'embarquent pour
aller combattre en Europe. Les syndicats sont alors contraints de cesser leurs attaques.

Le travail à la chaîne

Cependant, dès avril 1913, l'industriel Henry Ford s'inspire des travaux de Taylor pour les combiner avec le principe de la chaîne de travail qu'il découvre,
lors d'une visite aux abattoirs de Chicago. Ford installe son premier réseau d'assemblage à Détroit : Il fractionne les tâches de montage selon les principes de
la nouvelle organisation scientifique du travail, pour les faire réaliser par des travailleurs différents répartis tout au long d'une ligne, le long de laquelle les
produits, en cours de montage, progressent régulièrement. Ces nouveaux principes ne seront cependant appliqués à fond qu'après-guerre, dans l'usine de
Rouge River, inaugurée en 1929, qui comporte 43 kilomètres de convoyeurs.

Charlie Chaplin, dans son film Les Temps modernes fait une critique humaniste de l'OST. Cette méthode moderne de travail qui laisse peu de place à l'être
humain est tournée en dérision. Son héros, au lieu d'être prolongé par la machine, devient lui-même une partie de la machine.

Il fait partie des personnalités dont John Dos Passos a écrit une courte biographie, au sein de sa trilogie U.S.A..

Sport
Taylor fut également un excellent joueur de tennis, il a ainsi remporté le premier double messieurs des Internationaux des États-Unis, actuel US Open, en
7
1881 avec Clarence Clark .

Date Nom et lieu du tournoi Cat. ($) Surf. Partenaire Finalistes Score
Alexander Van Renssalaer
1 1881 US Men's National Champ’s G. Chelem Herbe (ext.) Clarence Clark 6-5, 6-4, 6-5
Arthur Newbold

Bibliographie
(en) Frederick Winslow Taylor, The Principles of Scientific Management, Harper & Brothers, 1911.
Frederick Winslow Taylor, La direction scientifique des entreprises, Dunod, 1957.
Frederick Winslow Taylor, « Shop Management », 1903, dans : Harwood Merrill, Les classiques du management, 1970, p. 63-71.
Frederick Winslow Taylor, « Qu'est-ce que la direction scientifique », dans : Harwood Merrill, Les classiques du management, 1970, p.
72-75
Frederick Winslow Taylor, « Les principes de la direction scientifique » , dans : Harwood Merrill, Les classiques du management, 1970,
p. 76-102.
Daniel Boorstin, « Le travail est débité en unité », dans : Histoire des Américains. 3. L'expérience démocratique, Armand Colin, 1981,
p. 366-375.
André Cavagnol et al. Frederick Taylor et l'OST, dans : L'essentiel des Auteurs clés en Management,Gualino, p. 12-16.
Olivier Meier, « F. Taylor, Le management scientifique des entreprises », dans : Sandra Charreire Petit, Isabelle Huault, Les grands
auteurs en management, , 2e édition, EMS, 2009, p. 69-81.
Catherine Ballé, « La doctrine taylorisme », dans : Sociologie des Organisations, PUF Que sais-je ?, 2013, p. 8-14.
Stephen Robbins et al., « Que doit-on à Frederick Taylor ? » dans : Management. L’essentiel des concepts et pratiques, 9e édition,
Pearson, 2014, p. 2-5.
François Vatin, Organisation du travail et économie des entreprises, textes de Frederick Taylor, J. Amar, Émile Belot, J.-M. Lahy et H. Le
Chatelier, Paris, Éditions d'Organisation, 1990.

Notes et références
1. Rolande Pinard, La révolution du travail, Éd. Presses Universitaires de Rennes, Rennes 2000
2. Clarence Bertrand Thompson,Le système Taylor, Éd. Payot, Paris 1928
3. Philippe Bernoux, « La sociologie des Organisations », Edit du Seuil, Paris Oct 1985, p. 54.
4. BEAUD Michel, Histoire du capitalisme, Seuil économie, 1985, p. 188.
5. voir aussi version en ligne en anglais : [1] (http://socserv2.socsci.mcmaster.ca/~econ/ugcm/3ll3/taylor/sciman).
6. « F. W. Taylor, Expert in Efficiency, Dies » (https://archive.nytimes.com/www.nytimes.com/learning/general/onthisday/bday/0320.html), sur
archive.nytimes.com (consulté le 10 août 2021)
7. https://www.nytimes.com/learning/general/onthisday/bday/0320.html.

Articles connexes
Efficience Sociologie des organisations
Harrington Emerson Toyotisme
Fayolisme Émile Belot
Fordisme

Voir aussi
Notices d'autorité : Fichier d’autorité international virtuel (http://viaf.org/viaf/66505279) ·
International Standard Name Identifier (http://isni.org/isni/000000011323148X) · CiNii (http://ci.nii.ac.jp/author/DA01252723?l=en) ·
Bibliothèque nationale de France (http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb121549572) (données (http://data.bnf.fr/ark:/12148/cb121549572)) ·
Système universitaire de documentation (http://www.idref.fr/030055806) ·
Bibliothèque du Congrès (http://id.loc.gov/authorities/n50008202) · Gemeinsame Normdatei (http://d-nb.info/gnd/11880149X) ·
Bibliothèque nationale de la Diète (http://id.ndl.go.jp/auth/ndlna/00458389) ·
Bibliothèque nationale d’Espagne (http://catalogo.bne.es/uhtbin/authoritybrowse.cgi?action=display&authority_id=XX915067) ·
Bibliothèque royale des Pays-Bas (http://data.bibliotheken.nl/id/thes/p068811314) ·
Bibliothèque nationale de Pologne (http://mak.bn.org.pl/cgi-bin/KHW/makwww.exe?BM=01&IM=05&TX=&NU=01&WI=A27390925) ·
Bibliothèque universitaire de Pologne (http://nukat.edu.pl/aut/n%20%2099041156) ·
Bibliothèque nationale de Catalogne (https://cantic.bnc.cat/registre/981058515128606706) ·
Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale (http://data.rero.ch/02-A000160999) ·
Bibliothèque apostolique vaticane (http://viaf.org/processed/BAV%7CADV11305937) ·
Bibliothèque nationale d’Australie (http://nla.gov.au/anbd.aut-an35541093) ·
Base de bibliothèque norvégienne (https://authority.bibsys.no/authority/rest/authorities/html/90256920) ·
Bibliothèque universitaire de Zagreb (http://katalog.nsk.hr/F/?func=direct&doc_number=000222618&local_base=nsk10) ·
WorldCat (http://www.worldcat.org/identities/lccn-n50-008202)

Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
Frederick Winslow Taylor, sur Wikiquote

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Frederick_Winslow_Taylor&oldid=185388209 ».

La dernière modification de cette page a été faite le 10 août 2021 à 14:34.

Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez
les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et
mentionner la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)

Vous aimerez peut-être aussi