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L'essence de l'homme.m, c'est l'ensemble des caractéristiques qui le définitit.

Cette essence a ceci de


particulier qu'elle est permanente car si elle venait a disparaître, la chose cesserait immédiatement
d'être ce qu'elle est. Or l'homme peut douter de tous, mais du fait que il pense. Aussi peut-on dire que
ce que définit l'homme est la conscience.

En langage cartesien, l'homme est (une substance dont toute l'essence et la nature n'est que de penser).
Étant ce qui est accompagnée de savoir et de science la conscience ne peut nullement s'ignorer. Elle
s'établit toujours dans la connaissance d'elle même. Il est donc absurde de parler d'un inconscient
psychique ou d'une science qui s'ignore, puisque cela équivaudrait a parler d'une science en science ou
d'un savoir sans savoir. Allain (dit Émile Gautier) affirme alors que : (pour Alain, Freud veut donner un
sens a ce qui par définition échappe au sens ce qui est absent. Cette critique Alain trouve un écho
favorable chez Jean Paul Sartqui voit dans l'inconscient la source de la mauvaise foi.

Conclusion

Nul autre que moi ne peut avoir l'intuition immédiate de ce qui se déroule dans Mon être le plus intime :
(je sens mon cœur,écrit Rousseau et je connais les autres ; si je ne vaux pas mieux qu'eux, au moins je
sais que je suis autre.) on pourrait penser pour cette raison qu'on ne connait soi-même mieux qu'on ne
connait les autres. La conscience de soi n'est pourtant pas la connaissance de soi (nous ne pouvons pas
nous contempler nous. Même a partir de nous. Mêmes) selon Aristote,nous nous aimons trop pour bien
nous juger et nous aimons trop qu'on nous aime. Comment pourrions-nous correctement nous juger?
Socrate, Aristote, Freud nous mette en garde) nous vivons dans une ignorance coupable qui 'ous
empêche de nous perfectionner. Être sou est donc la seule vrat tâche de l'homme ; elle est
internationale apprenons a mieux nous connaître pour mieux vivre.

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