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Sémiologie / sémiotique

M. Pradelou
- Origines de la sémiologie
- Théories sémiotiques fondamentales : Saussure, Peirce, Jakobson, Floch
- Théories sémiotiques en lien avec les SIC
- Analyse d’image
- Analyse de couleurs
- Analyse de slogan

CM01

Dé nition de la sémiologie :

• Discipline a part entière.


• Sémiologie = discipline (objet d’étude stabilisé / des méthodes uni ées)
• Son statut fait débat
• Plutôt une science (pas une science dure mais une science certaine)

Origines :

• Saussure = premier à parler de « sémiologie » => sens non verbal


• Charles Peirce = premier a parler de sémiotique
• On utilise aussi « sémiotique »
• Étudier l’interprétation des signes, de décrire les modes de fonctionnement
et le rapport qu’elle entretient avec la connaissance et l’action.

Objectifs :

• Dé nition de Saussure : « science de la vie des signes au sein de la vie sociale »


(CLG 1916)
• On vit dans un monde régi par un sens
• On crée du sens tout le temps
Objectif double :

- Prendre conscience des mécanismes de construction du sens d’un message ou


de tout objet culturel

- Intimement rattachée à la culture, des sens ≠ selon les cultures


- Apprendre à ré échir à l’adéquation entre les éléments présents dans l’objet à
étudier (entre les mots, les images, les formes, les couleurs….)

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3 notions à ne pas confondre :

- sémiotique et communication

Communication = transférer une info par un certain canal (centrer sur le message)
Sémiotique = analyse de ce transfert d’info

- sémiotique et sémantique

Sémantique = étude de la signi cation de mots de phrases, objets langagiers


(linguistique verbal)
Sémiotique = panneaux (sens large)

- sémiotique et linguistique
Linguistique = signe linguistique
Sémiotique = inclut à la linguistique, le signe linguistique est la base du sens, tout
part de lui (Roland BARTHES)

Langues = code linguistique


Langage = création de sens qui ne passe pas forcement par une langue

Sémiologie (verbaux et non verbaux)


Linguistique (verbaux) double articulation => spéci cité du langage humain

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Disciplines touchées par la sémiotique :
- Medecine
- Mathématiques
- Sciences naturelles
- Rhétorique
- Divination
- Arts visuels
- Philosophie
- Ethique
- Métaphysique

Exemple : Sémiologie médicale


- On s’appuie sur des singes qui renvoient à certain troubles, maladies…
- C’est le repérage de ces singes, qui créent du sens, qui permet aux médecins
d’établir un diagnostic
- Ce constat est central : la sémiologie est bien plus étendue qu’au seul domaine
des SDL et s’étend jusqu’aux « sciences exactes »
- On donne des signes volontairement et involontairement (rougeurs, cernes…)
- Médecin = une sorte de sémioticien

Sémiologie quantitative :
- Prend en compte la quanti cation d’un signe clinique dans l’établissement d’un
diagnostic a n de le rendre plus able et plus rapide, et de rendre les soins plus
e caces
- Statisti er des symptômes
- Sémiologie dans la médecine

En conclusion :

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- Déclare image noire et blanc et dessins cartoonesque
- Image de policiers et d’une femme
- Femme fait essayer des chaussures
- Ironie avec ce qu’on veut monter et l’image
- Décalage image noir et blanc et couleur vive
- Le texte est ironique
- C’est comme si la phrase s’adressait directement au policier
- S’oppose à la loi de sécurité globale, interdire de poster des images de policiers
sur lieux de travail (manifestations)
- Verbal, non verbal, mouvements, couleurs

==> analyser tout ce qui crée du sens pour arriver à un sens global

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CM02

• Origines de la sémiotique ou de la pensée sémiotique (la pensée du sens)


✤ Depuis l’Antiquité, des gens se posent la question du sens.

Théoriciens :
- Parménide
- Platon
- Aristote
- Stoïciens
- Ferdinand de Saussure

I/ Parménide (philosophe grec du IVe siècle av JC)

✤ propose une dé nition ontologique (rapport entre la langue et les


choses dans la réalité) du langage

- LANGAGE = instrument qui permet de véri er l’adéquation entre les


choses et la pensée

- fondée sur une dé nition référentielle ou extensionnelle : dire, c’est dire ce


qui est, donc ce qui existe

➡ théorie interessante mais pas très complète


Exemple :
Existe : université
Existe pas : superman

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II/ Platon (philosophe grec du Ve siècle av JC)
- répond à Parménide avec une disquali cation du langage dans Le Cratyle

✦ il s’agit de considérer que le LANGAGE est commun comme une « pâle


copie » de la réalité, non nécessaire pour pallier les concepts avec les
choses

✦ il faut dissocier l’énonce en lui-même de ce que a quoi il réfère

✦ le LANGAGE est toujours éligible de falsi cation

➡ Est ce que ce qui est dans le mot est conforme à la réalité ?

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III/ Aristote (philosophe grec du IVe siècle av JC)
« La parole est un ensemble d'éléments symbolisant les états de l'âme, et l'écriture un ensemble
d'éléments symbolisant la parole. Et, de même que les hommes n'ont pas tous le même système
d'écriture, ils ne parlent pas tous de la même façon. Toutefois, ce que la parole signi e
immédiatement, ce sont des états de l'âme qui, eux, sont identiques pour tous les hommes, et ce
que ces états de l'âme représentent, ce sont des choses, non moins identiques pour tout le
monde. » (de l’interprétation)

✦ di érence entre la parole (signi e des concepts) et la pensée

✦ Requali e le langage : le référent (chose dans la réalité) ≠ la signi cation (ce


qu’on a dans la tête) des mots

✦ la vérité au sein du langage n’est plus référentielle (Parménide) mais logique, par
les syllogismes

➡ Il devient possible de dire vrai en parlant de choses qui n’existent pas, ce que
ne concevait pas Parménide

★ référent = chose dans la réalité


★signi cation = ce qu’on a dans la tête

➡ On peut dire vrai si on est en adéquation avec notre parole et le concept en tête

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IV/ Les stoïciens ( IVe siècle av JC)

- ils proposent un nouveau modèle de construction du sens, l’inférence :


les signes ne sont plus donnés, ils sont le résultat d’un raisonnement

- ils distinguent le son vocal, la signi cation et le référent

➡ les idées dépendent de la manière dont on les formule

- la signi cation en langue (semainomenon) ≠ la signi cation nouvelle créée


par le discours (lekton)

Exemple :
Dictionnaire : def gâteau en langue
Quand on parle : def de gâteau qui a une signi cation nouvelle qui est créée par le discours

V/ Saint Augustin (penseur important)

- 1er a uni é les signes linguistiques et les signes non linguistique


- Propose cette uni cation des signes linguistiques et non linguistiques
- Parle du « genre signe »

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VI/ Ferdinand de Saussure (penseur principal de la
sémiologie)

1) courant de pensée du structuralisme (le vaisseau mère de pleins d’autres


théories)
2) Les dualités fondamentales chez Saussure
- langue/ parole
- Signi ant / signi é
- Arbitraire / motivation
- Synchronie / diachronie
- Paradigme / syntagme
3) la vie des signes : indice, signal, symbole, signe

1) courant de pensée du structuralisme

- S’appuie sur la notion de structure, qui n’est pas spéci que à la linguistique
mais au domaine scienti que en général

★ Le postulat principal est le suivant : les objets du monde ne sont


connaissables que par les relations que leurs éléments entretiennent entre eux
et avec l’ensemble qu’ils constituent

★ Qu’est ce qu’une structure ? « une entité autonome de relations internes


organisée de façon hiérarchique »

✦ On entend donc par structure : l’arrangement d’un tout en parties et la


solidarité démontrée entre les parties du tout qui se conditionnent mutuellement

- Cela consiste en la répartition des éléments telle qu’on la constate dans leur
capacité d’association et de substitution
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Exemples :

Chaque branche a des liens avec les autres

Morgan, Marx, Steward


Sorte de boîtes qui constituent une
structure

✤ en SDL, le principe fondamentale du structuralisme = la langue est un


système dont toutes les parties sont unies par un rapport de solidarité et
de dépendance

- Il existe donc une prédominance du système sur les éléments particuliers (SUJ
VERB COMP)

- Le structuralismes cherche à montrer les changements organiques (même


mathématiques) auxquels la langue est soumise

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➡ Le fonctionnement de la langue obéit a des règles que les individus
mettent en oeuvre individuellement, ils obéissent à un système de régîmes

- Ce système organise des unités qui sont les signes, qui se di érencient et se
délimitent mutuellement

➡ La langue est aussi construite par les locuteurs pas prévu par les structuralistes
qui pensent que la langue est un système

2) Les dualités fondamentales chez Saussure


- Père de la linguistique moderne

- Il a fait prendre le virage de l’étude comparée des langues

- Dans le Cours de linguistique générale puis les Ecrits de linguistique


générale, il pose plusieurs dualités fondamentales toujours
d’actualités, en lien avec sa théorie de la sémiologie

- Pour rappel, Saussure dé ni la sémiologie comme « la science de la


vie des signes au sein de la vie sociale » 1916

➡ La langue en elle-même par elle-même et pour elle-même

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CM03

I/ Dualité langue / parole

- LANGUE = le sytème organisé dans lequel les éléments particuliers sont relation
de dépendance et de solidarité

➡ C’est un système autonome, qui existe indépendamment du locuteur, et qui


s’ancre dans l’esprit de ce dernier par l’apprentissage ou l’acquisition langagière

- PAROLE = la mise en jeu de la langue par un individu donné, à un moment


donné

➡ C’est la remobilisation du système général de la langue dans un usage (ou une


performance) local et « personnalisé » CHOMSKY

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II/ Dualité signi ant / signi é du signe

- le SIGNE = indice intentionnel qui se déroule dans le temps et qui peut être
combiné avec d’autres pour former des séquences qui véhiculent un sens global

➡ signe = mot chez Saussure


➡ Double face : signi ant / signi é

- Le SIGNIFIANT = l’image acoustique du mot, un ensemble de sons articulés


pour prononcer le mot

- Le SIGNIFIÉ = le contenu abstrait, le sens véhicule par le signi ant que chacun
a dans sa tête, un concept

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III/ Dualité arbitraire / motivation

- l’association entre le SA (signi ant) et le SE (signi é) est ARBITRAIRE :


➡ il n’existe pas de rapport intrinsèque / analogique entre le son et l’objet du
monde désigné

- Les deux aspects du signes (SA et SE) sont associés de façon extrinsèque et
libre, la valeur du signe dépend des conventions établies à l’intérieur d’une
communauté de parlants
Arbre / Albero / Tree / Fa sont quatre signi ants qui permettent, en français italien anglais hongrois
re renvoyer au même signi é, au même contenu : un arbre

- le signe est MOTIVÉ dans le cas de certaines onomatopées, dont la phonie est
censée représenter un bruit : plouf, crac, cocorico, …
➡ Dans ce cas, c’est la phonie originelle du bruit qui va orienter la création du
mot, un plongeon « évoque » un plouf, le chant du coq « évoque » cocorico, etc.
Mais rien dans table, arbre « évoque » le fait qu’on les nomme comme tel.

Critiqué car on dit que pas réel, recherches récentes ==> tous signes = motivés
Phonétique impressive MAURICE GRAMONT
Tout est motivé, l’arbitraire existe pas

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IV/ Dualité synchronie / diachronie

- La SYNCHRONIE (de syn- : avec et Kronos : le temps) renvoie à l’étude d’une


langue ou de certains de ses aspects à un moment donnée, sans considérer
les évolutions passées

- La DIACHRONIE (-dia : a travers) est l’étude d’une langue ou de certains de ses


aspects à travers des évolutions dans le temps

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V/ Dualité paradigme / syntagme

- le PARADIGME est un ensemble dont les éléments sont en opposition et


peuvent se substituer les uns aux autres, sur l’axe vertical (catégories
grammaticales)

- Le SYNTAGME est une unité de la phrase créée par la combinaison


d’unités, sur l’axe horizontal
Syntagme nominal (groupes nominaux, adjectivaux, …)

➡ On peut donc analyser les syntagmes d’une phrase, ou bien les paradigmes
de chaque lexème.

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3) La vie des signes chez Saussure
« La science de la vie des signes au sein de la vie sociale »

- dans la théorie de Saussure, il existe 4 grands ensembles d’informations que


l’on peut transmettre, de manière intentionnelle ou non

➡ Les indices, les signaux, les symboles, et les signes

- Di erence indice VS signal


- Caractérisation des symboles et des signes

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A) Les indices
- Une marque révélant ce qui est normalement dissimulé

- N’est pas volontaire, la manifestation ou la production n’est pas maitrisable

- L’indice n’est pas « en lui-même » indice : il le devient parce qu’il est perdu et
reconnu comme tel.
Par exemple : la rougeur est l’indice dune émotion, la forme des nuages est l’indice pour les
prévisions météo, ….

B) Les signaux (≠ indices)


- le signal est produit arti ciellement

- Il ne pré-existe pas au sens où on remet : sa nature même est de véhiculer


une information, à l'inverse des indices

- Toute production de signal est intentionnelle, et ses formes peuvent être


variées (iconiques, phoniques, etc.)
Par exemple : les panneaux du code de la route, …

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C) Les symboles

- Le symbole est un signal, il est donc intentionnel et utilis pour cr er du sens


de mani re volontaire, au contraire d’un indice
- sert à matérialiser une idée abstraite, mais pas dans tous les cas
- Le mot, l’image va être décharger de sa signi cation première pour
symboliser autre chose
- Fixé culturellement

- On pourrait dire que la connotation l’emporte sur la d notation dans les


symboles

Exemples :
- La couleur verte peut renvoyer la religion musulmane sur certains drapeaux
- La balance est le symbole de la Justice
- La colombe est le symbole la Paix
- La Faucille et le Marteau sont les symboles des travailleurs ruraux et industriels, et par
extension du communisme
- La Faucheuse est le symbole de la mort
- La feuille d’ rable est le symbole renvoyant au Canada

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D) Les signes
- Base de la théorie de Saussure = base de la linguistique (sciences des signes)
- Type particulier de signal, autrement dit d’acte intentionnel de création de
sens
- Ce qui le di érencie c’est la DOUBLE ARTICULATION (phonèmes et monèmes)
- Le signe se déroule dans le temps, quand on l’écrit ou quand on le prononce,
il est toujours situé par quelqu’un
- Il va se combiner avec d’autres pour créer un sens global, contrairement aux
seuls indices, symboles, ou signaux.

Pour rappel :
➡ C’est un signal à double face (signi ant et signi é)
➡ Deux composantes = associées de manière libre et extrinsèque
(arbitraire)

Exemples :
- Ce qui donne au signe sa caract risation arbitraire : il n’y a pas de lien intrins que entre la
suite de son w-a-z-o, et ce quoi a r f re dans la r alit
- Ainsi, l’anglais dit « bird », le hongrois dit « mad r », le fran ais dit « oiseau » ce qui prouve qu’il
n’y rien d’inh rent dans le r f rent tre d sign ainsi
- Sauf pour certaines onomatop es qui reproduisent un son : plouf, bam, pan pan, etc.

Conclusion : Saussure fait la di érence entre 4 catégories


- Signe (combinaison pour sens global)
- Signal (intentionnel, iconique ou phonique + porte
volontairement une info)
- Symbole ( xé dans le temps)
- Indice (pas intentionnel, qui donne une info)

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I. La vie des signes chez Saussure

Ce qui caractérise les langues c’est une perpétuelle transformation dans le


temps, les langues sont vouées à changer tout le temps

« il n’y a jamais de caract res permanents, mais seulement transitoires (...) il n’y a que des tats
de langue qui sont perp tuellement en transition entre l’ tat de la veille et celui du lendemain »
(ELG p. 165).

Perpétuelle transformation = A ecte les sons de la langue mais aussi les


signi cations ==> perpétuel devenir d’une essence double de la langue

L’ordre de la langue, l’évolution de la langue n’est jamais harmonieuse ni stable,


elle est liée aux activités sociales des usagers de la langue

M me s’il insiste sur la vie des signes, Saussure rejette la m taphore « biologique »
du langage : (la langue n’est pas quelque chose qui est vivant), pas un organisme,
pas une végétation qui existe indépendamment de l’Homme….

« La langue n’est pas un organisme, elle n’est pas une v g tation qui existe ind pendamment de
l’homme, elle n’a pas une vie elle entra nant une naissance et une mort. ...) la langue ne meurt
pas d’elle-m me, elle ne d p rit pas, elle ne cro t pas, en ce sens qu’elle n’a pas plus une enfance
qu’un ge m r ou une vieillesse, et en n elle ne na t pas comme nous allons le voir » ELG, p. 154)

Il fonde son analyse sur les faits linguistiques concrets, leur histoire et leur
fonctionnement
- La notion de « vie » des signes s’entend donc au sens socio-historique,
d signant l’ volution perp tuelle des langues
- En revanche, une langue ne se modi e que sous l’e et des pratiques humaines,
et non de mani re autonome comme le laisse entendre la m taphore

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« biologique » de la langue, la langue se modi e parce que les gens qui la parle la
modi e.
- En retour, les pratiques linguistiques sont contraintes et r gul es par les r gles
de la langue (la grammaire), mais aussi par les normes de discours, de genre,
d’interactions sociales, etc.
- la parole n’est pas dans une liberté totale, elle est toujours orientée
- La parole et la langue n’est jamais la description transparente du monde tel qu’il
est.
- Il faut s'a ranchir de l’idée que l’on peut décrire avec une totale objectivité le
monde.

On peut se poser la question de la grammaire, de la motivation arti cielle de la


langue.

On peut se poser la question de l’académie française : créer des mots


arti ciellement. Ex : steamers = l’académie française veut les appeler « joueurs en
directs » qui ne va jamais être employé

La langue = l’œuvre d’une communauté de locuteurs.

La S miotique chez Peirce


1. Quelques th ories linguistiques et s miotiques d coulant du structuralisme 2.
Le processus s miotique triadique
3. La trichotomie du representamen et de l’objet

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CHARLES PEIRCE
Linguiste important. Developpe pratiquement en meme temps que saussure sa
théorie semùioptique vis à vis de ce que Saussure appelé sémiologie.

1. Quelques th ories d coulant du structuralisme


- Le structuralisme a donn naissance un certain nombre de courants et th ories
scienti ques, en Sciences Humaines particuli rement
- La gloss matique (Louis Hjemslev)
- Le fonctionnalisme (Andr Martinet)
- Le distributionnalisme (Z. Harris)
- Le g n rativisme (Noam Chosmky)

- A) glosmématique de HJEMSLEV 1935


- La Linguistique « doit tenter de d nir la langue non pas comme un
conglom rat de ph nom nes non linguistiques (physique, physiologique,
psychologique...) mais comme une totalit se su sant elle-m me, une
structure sui generis » (1935 : 2)
- Le système de la langue se dé nie par des relations d’interdépendance
entre les éléments linguistiques : Un terme linguistique va toujours en
présupposer un autre.
- Ces termes, en nombre limité, reviennent en combinaisons diverses.
- Les l ments impliqu s dans un syst me d nissent une structure
- But de la linguistique= interpréter toute formation de signes comme une
manifestation du fonctionnement de la langue

- Les glossèmes : unités minimales du langage, nombre limité ==>


combinaison ilimitées
- La gloss matique est donc tr s proche du Structuralisme de Saussure
- La gloss matique repose sur deux distinctions importantes : la forme et la
substance

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- Celles-ci se s parent en signi ant (ou expression) et signi (contenu)

Ainsi, le signe linguistique, pour Hjemslev, est constitu par l’union de la forme de
l’expression et de la forme du contenu, autrement dit Signi ant et Signi
(honteusement vol Saussure)
- C’est l’entr e des signes dans les syst mes et les codes (usages sociaux) qui
renvoient la substance de forme et de contenu, leurs statuts.
- Par exemple, la connotation attribue des statuts di rents aux m mes objets
- Hjemslev attribue ce genre de ph nom nes sociolinguistiques la
« paralinguistique », qui est une discipline part selon lui

- Forme = forme d’un énoncé


- Substance = ce que ça renvoie, ce que sa veut dire
- Les deux se sépare en signi é et en signi ant

- Substance de l’expression (son, phonème, graphème)


- Si on les combinent ==> syllabe = forme de l’expression

- Contenu = substance du contenu (choses dans la réalité) se a quoi on


va referer quand on parle
- Forme du contenu= entités formelles qui vont former le signi é ( quand
on parle on donne une certaine version de la réalité, une certaine forme de
la réalité) ==> donne le sens

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- Il dit que le signe linguistique est forme par l’union par la forme du
contenue et de la forme …..
- Les signes rentrent dans des codes sociaux (substance de forme et de
contenu)

- Attribut (connotation) a la para linguistique ==> ce pas dans la


linguistique, discipline a part

Le fonctionnalisse chez André Martinet


Développe une théorie philosophique et scienti que. Tout objet dans le monde
répond à une fonction.
Andr Martinet est un linguiste tr s important, qui a d velopp la th orie du
fonctionnalisme en linguistique

- Sa d nition de la langue est la suivante : c’est un « instrument de


communication doublement articul et de manifestation vocale » (1991 : 20)

Il con oit la langue comme fonctionnelle : « Le terme de fonctionnel implique que des nonc s
sont analys s en r f rence la fa on dont ils contribuent au processus de communication (...)
tous les traits langagiers seront donc en priorit d gag s et class s en r f rence au r le qu’ils
jouent dans la communication de l’information »

Comment on répond a une fonction en utilisant la langue.

Langue = doublement articulé


Pertinence distinctive (phonèmes) et pertinence signi cative (monèmes)

La double articulation est le trait distinctif entre le langage des animaux (y’en a
pas) et celui des humains

« Chaque des unités minimales signi catives est en e et articulée à son tour en unités d’un autre
type : la seconde articulation »

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Il existe ainsi une in nie possibilit de combinaison des unit s de la premi re
articulation, ce qui donne chaque locuteur la facult de produire des nonc s.
- Ces nonc s ont un sens et une forme vocale, en lien avec les deux tapes de
l’articulation.
- La premi re articulation n’est ainsi possible que parce que les mon mes sont
eux-m mes constitu s de la succession d’unit s plus petites, non porteuses de
sens, les phon mes.

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CM05

Sémiotique de Pierce / processus sémiotique triadique (en 3


temps)

1er element = le representamen


2eme = l’objet
3eme = l’interprétant (proche du signi é de Saussure)

Biographie
- penseur important
- Contemporain de saussure
- Connu pour ses travaux en sémiotique
- th oricien principal de la S miotique, avec Saussure

Sa th orie s’appuie sur l’id e que toute chose, tout ph nom ne, peut tre
consid r comme un signe d s qu’il entre dans un processus s miotique

Le processus s miotique est un rapport triadique entre un signe ou representamen


(premier), un objet (second), et un interpr tant (troisi me).

Il a posé des principes généraux au processus sémiotique


Sa theorie est plus générale que celle de Saussure.
Il veut décrire tout ce quoi se passe autour de nous

Sa theorie Envisage 3 types de structure


- vie pratique
- Vie Intellectuelle
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- Vie emotionelle

Apport : généralisé le concept de signe

Repose sur 3 grandes catégories philosophiques :


- la primeité (le premier) (vie emiotielle)
- La secondéité (le second) (vie pratique)
- La tierceité (le troisième) (vie intellectuelle)
= principe de sa théorie

Ce qu'il apporte en plus de Saussure :


- prend en considération contexte de production et de réception des signes (des
informations), ce qui le di érencie de Saussure

Dé nie le signe par l’e et que ça va avoir sur celui qui l’interprète

A) la priméité (le premier) (vie émotionelle)


Conception de l’être (l’évènement) indépendamment de tout le reste. Dans sa
globalité sans cause ni e et

- de l’orde du possible
- Vécue dans une sorte d’instant intemporel
- L’émotion pour elle-même
Vie des émotions

Exemple : on ressens de la tristesse


==> nous dit que c’est juste le fait de ressentir la tristesse sans se demander pourquoi

B) La secondéité (le second) (vie pratique)


L’être est relatif à quelque chose d’autre : l’expérience, le fait, l’existence, l’action-
réaction … de ce que ça peut poser comme conséquences
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Exemple : on ressens de la tristesse
==> mise dans un espace spatio-temporel (il y a une cause)

La second it s’inscrit dans un temps discontinu o s’impose la dimension du


pass : tel fait a lieu tel moment, avant tel autre, qui en est la cons quence.
Vie pratique

C) La tierceité (le troisième) (vie intellectuelle)

Régime de la loi, de la règle, de la convention


Catégorie de la pensée, du langage, de la représentation, du processus sémiotique
Tout ce qui est xé par une règle, doit être prit en compte dans une communauté.

Exemple : ticket de tram


==> regime de la règle, de la loi

Vie intellectuelle

Tous les élément du langage, font parti de la tierceité.


On respecte les lois de la grammaire.

Le processus s miotique est un rapport triadique entre un signe/representamen


(premier),un objet (second) et un interpr tant (troisi me).

1er element = le representamen

Toute chose qui va représenté autre chose (son objet).


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Avant son interprétation, ce n’est qu’une pure potentialité. (Un peu comme le
signal chez Saussure)

2eme = l’objet

Se reproche du réfèrent, ce a quoi le mot renvoie dans la réalité.


Le signe ou le representamen ne peu que représente l’objet, il représente l’objet
que si l’objet est déjà connu, il ne le fait pas connaitre.

3eme = l’interprétant (proche du signi é de Saussure)

Entre le signe et son objet, il va y avoir un concept déclenché par l’esprit de


l’interlocuteur. Ce qui permet d’interpréter.
L’interprétant se fonce sur sa propre expérience.
Di érent d’une personne à l’autre.

Tout de même, il existe un interprétant nal ou habitude, qui permet d’attribuer


une signi cation très précise à un signe dans un contexte donné.
Tout le monde va avoir une image commune, et de manière très proche pour
chacun.
C’est l’habitude et le consensus langagier qui permet un signe d’avoir un
interpr tant nal.
Il di érencie le representamen, l’objet et l’interprétant en primeité, secondeité et
tiercéité. (Processus triadique)
Au sein de ces trois cat gories, il ajoute que chacune peut tre divis e en trois
sous- cat gories : la prim it , la second it , et tierc it .

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A) La trichotomie du representamen/signe

Sa primeité = c’est la qualisigne (vie émotionnelle du signe)


Sa secondeité = Le sinsigne (vie pratique du signe)
Sa tierceité = Le légisigne (vie intellectuelle du signe)

Qualisigne = qualité qui va fonctionner comme un signe.


L’intonation, gestes avec les mains, se mettre à pleurer, quand on appuie sur certains mots, va
donner des informations = apport d’informations ==> qualisigne

Sinsigne = chose, évènement qui est xé au niveau du temps, et de l’espace


Le prof qui parle, ce qu’il dit sont des sinsignes. Prendre en compte ce qu’il y a avant et ce qu’il y
a après. ==> sinsigne

Légisigne = signe conventionnel, xé par une loi


Exemple : ticket de tram, convention sur le fait de valider ce ticket en montant dans
le tram, grâce a ça on peut voyager en légalité.

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CM06

B) L’objet

Priméité =
Icone = signe renvoie a son objet de manière iconique quand il lui ressemble
Exemple :
- le portrait une personne = icône de cette personne (ressemblance)
- Le sentiment. C’est aussi l’icone de cette chose quand on la regarde
- Icone ressemble a l’objet ou continuité visuelle ou émotionnelle.

Secondéité =
Indice = renvoie a son objet lorsqu’il est réellement a ecté par cet objet
Exemple : girouette
Coups à la porte = indice d’une visite

Tierceité =
Symbole = un signe c’est un symbole quand il renvoie a un objet en vertu d’une
loi.
Le symbole ne porte pas de sens qui est inhérent.

Exemple :
ticket de tram (le valider en montant dans le tram, si il y a plus cette loi, le ticket vaut plus rien)

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4eme partie de Pierce : Pierce, l’abduction et la pensée scienti que
- a fait une grande théorie
- Quest ce qui va faire sens ?

- explicite plusieurs manière de trouver une information.


- Déduction (général au particulier ) s’impose aux faits répétés
(raisonnement exact)

- L’induction (particulier vers le général) induire des conclusion sur pbs


d’alimentation dans le monde (pb = forme de raisonnement inexact)

- Abduction (ou démarche hypotetico-deductive)(fait de découvrir ou


expliquer sous la forme d’une hypothèse, une règle qui va expliquer un
fait) poser des hypothèse pour comprendre un phénomène (méthode
scienti que)

- 1ere etape : on découvre un fait inhabituel, qu’on peut pas


expliquer
- 2eme : formuler des hypothèses sur l’origine du fait
surprenant
- 3eme : on applique les hypothèses pour voir si ça fonctionne
- 4eme : si hypothèse valide ou non on peut considérer ou non
que les résultats véri e l’hypothèse

Exemple :
1 - on rentre dans une pièce et il fait froid
2- la fenêtre ouverte peut être la cause du froid
3- on applique l’hypothese en fermant la fenêtre
4- si il fait plus froid après l’application de l’hypothèse, on a véri é l’hypothèse, on pourra le ré-
aplliquer

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Pb de l’abduction : doit être véri er plusieurs fois

Lien avec la science


En science = observer des phénomènes surprenants et les expliquer
Addiction = quotidien

On va devoir former des corpus pour a rmer ou in rmer des faits.


Phénoménologie = étudier un phénomène (fait véri able et connaissable)

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JACKOBSON

Plan :
I : presentation, sa theorie
II : fonctions du langage
III : partir de sa théorie pour donner des améliorations de sa théorie

I : présentation
- né en 1896 -1982
- Russe et américain
- Pionnier de la linguistique structurale

- 1963 : analyse entre poétique et linguistique (propose une théorie générale de la


communication verbale)

- La communication verbale = régit par 6 fonctions verbales (quand on


s’exprime on met notre discours dans une ou plusieurs fonctions)

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II : fonctions du langage

- Fonction référentielle = ce qui renvoie à la chose


- la référence / choses présentent dans le monde
- fonction cognitive / le langage dit le monde
- Exemple : le chat est entrain de boire (je désigne un objet du monde)

- Fonction expressive = centré sur celui qui émet le message


- (permet d’exprimer des émotions, attitudes, opinions,… par rapport
à ce qui est dit)
- Exemple : Interjections, haussement de voix, allongement d’une voyelle, …

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CM07

- Fonction conative = centré sur le destinataire, (convaincre ou d’orienter le


destinataire)
- Agir sur le destinataire
- Doit être très pondéré car on cherche toujours d’agir sur le
destinataire
Exemple : dans des discours argumentatifs

- Fonction phatique = centré sur le contact linguistique entre le locuteur et


l’interlocuteur
- Maintenir ou de créer le contact
- A pout but de rendre la communication e ective
- On parle de connection phatique
Exemple : ça va ? (Créer un contact), bon bah, vous voyez ce que je veux dire, ….

- Fonction métalinguistique = centrer sur la langue, code linguistique


- capacité » que va devenir la langue pour parler d’elle-même
- Vise à apporter des explications
Exemple : Commentaires, corrections, …

- Fonction poétique = centré sur le message en lui-même et va le prendre pour


objet propre
- Considéré le message pour lui-même, sur sa forme sans
regarder le sens
Exemple : Prosodie, assonances, …

Aucun message ne va se limiter a une seule fonction, les 6 fonctions peuvent cohabiter au sein
d’un même discours.

Exemple :
Discours scienti que = référentielle
Discours littéraire / poétique = poétique
Discours moraliste, religieux, politique = conative
Bechrelle = métalinguistique

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A) Limites :
- la langue c’est pas que quelqu'un qui écoute ou qui parle, c’est les 2.
- DISCOURS CO-CONSTRUIT
- Entre l’émetteur et le récepteur
- Compétence de production et de réception
- Il est impossible que 2 personnes parlent exactement la même langue car chacun a son
idiolecte.
- Pas d’harmonie ou d’équivalence entre la production de la langue et sa réception
- Il ne parle pas du fait que dans le processus de communication il peut y avoir des contre-sens,
malentendus, …. Ce que ne prévoit pas le schéma de Jackobson.

- Il existe des contraintes de communication :


- Filtrer les possibilités de choix dans le contexte de la communication
- A l’oral, sms,… ?
- Une personne , plusieurs personnes , …. ?
- Caracteristiques théoriques, énonciatives, ….
- Il y a un thème, ….
- Contraintes de genre : discours dans le journal (genre du discours)

B) Comment analyser un discours ?


- Nature particulière de celui qui émet le message (qui parle ?)
- Nature particulière du récepteur (à qui ?)
- Où se passe la communication ?, organisation matérielle de l’espace de communication
- Contraintes de genre , quel type de discours ? (théologique, journaliste, politique, …)
- S’apyuer sur les sujets traités, de quoi ils parlent ?
- Oral ou écrit ?
- Tout seul ou à plusieurs ?
- Propriétés textuelles : description, argumentation, narration, …?

III . Pour améliorer sa théorie


Il faut intégrer dans la sphère des 2 personnes, il faut intégrer mes compétences linguistiques et
paralingusitques de l’émetteur et du récepteur

Exemple (paralinguistique) = connaissances, compétences culturelles, encyclopédiques,


psychanalytiques, …

Schema : sur E-campus

Di erentes compétences chez le récepteur et emeteur

- Compétence encyclopédique = ce qu’ils savent sur le monde, va orienter, dé nit leur système
d’interprétation

- Compétences culturelles, idéologiques = dans quel contexte idéologique on se trouve ou on


a grandi ?, oriente notre façon de voir le monde

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- Modèle de Jakobson est axé sur l’émetteur / récepteur. Les deux rôles vont s’inverser après
lors de la réponse.

- Compétence de réception et de bonne compréhension = aussi important que l’émetteur

Les instances de production et d’émission sont complexes.


Exemple :
- discours littéraire (les instances peuvent être dédoublé, brouillage des instances)
- Pub, slogans, a che, une marque commande une pub à une agence de pub (méga-
énonciateur = le message vient d’un ensemble de personnes assez ou) ==> production
d’un lm

Le destinataire / récepteur peut être =


- singulier ou pluriel
- connu ou anonyme
- réel ou ctif
Celui qui parle peut se soucier de la présence de destinataires indirects dans le circuit de
communication, vont être témoin de l'échange et peuvent in uencer cet échange
Exemple : politicien sur un plateau télé, il parle au journaliste mais veut convaincre les gens qui
regardent et écoutent.

Dans tout message il fait prévoir l’existence de récepteur qui sont additionnels ou aléatoires ni la
façon dont ils vont réagir.

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CM08

Présentiel
- note normal
- Plusieurs questions de td
- Grosse partie de cours
- 2 questions d’analyse

Distanciel
- 1 heure
- Grande précision
- Même sujet
- Grosse partie de cours (4-5-6)
- 1-2 questions d’analyse

Analyse image/slogan

- Qui parle ? Marque/ partie politique


- à qui ? Une personne, une communauté, tout le monde
- dans quel but ? Faire vendre, en donnant la meilleure image possible (parti,
personnalité, faire voter, recueillir des adhérents)
- comment ? Linguistique ou non, Jeu phonique, visuel, pertinent

TD07
EX1: centré sur le contact linguistique entre le locuteur et l’interlocuteur
- Maintenir ou de créer le contact (salut ça va ?)
EX2: centré sur le message en lui-même et va le prendre pour objet propre (prosodie)

EX3: ce qu’ils savent sur le monde, va orienter, dé nit leur système d’interprétation

EX4: le message vient d’un ensemble de personnes assez ou) ==> production d’un lm

EX5:
- poétique, expressif, conative
- phatique
- Métalinguistique
- Référentiel
- Expressif
- conative, expressif
- phatique
- Phatique
- Expressif
EX6:
Dicton 1:
- qui ? Sagesse populaire (ensemble de personne) doxa
- à qui ? Tout le monde
- but ? Convaincre d’une vérité générale
- comment ? Croisement concret/abstrait, le son c, antithese, référentielle (étaler la
con ture), présent de vérité générale

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DICTON 2:
- qui ? Sagesse populaire
- à qui ? Ceux qui font les malins
- but ? prévenir
- comment ? Binaire, présent de vérité générale

DICTON 3:
- qui ? Sagesse populaire
- à qui ? Tous
- but ?
- comment ? Négation, nature qu’on peut pas combattre (comme un comportement
animal), vérité générale, « on »

DICTON 4:
- qui ? Sosh, orange
- à qui ? Consommateur
- but ?vendre un forfait
- comment ? Alitération « s » et « ch », compliqué à dire, répéter, rentre dans la tête,
registre un peu familier, « je » la pub pousse ) parler à la première personne, passer chez (amical),
devient un dé .

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