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Sujet :
i Merci.
Table des matières
ii
iii
Notation
A : surface d’échange de l’échangeur de chaleur
Cp : capacité calorifique
Nu : Nombre de Nusselt
Pr : Nombre de Prandtl
Re : Nombre de Reynolds
Rd : Résistance d’encrassement
ed : l’épaisseur du dépôt
Lettre grecques
: Densité de flux massique de dépôt
: Masse volumique
Viscosité dynamique
: Conductivité thermique
iv
Introduction générale
Dès le début du XXème siècle, des gisements importants de phosphate, de plomb,…etc ont
été découverts.
En matière de phosphate, le Maroc renferme ¾ des réserves connues sur la planète et dont
l’exploitation est réservée à l’Etat représenté par le Groupe OCP, cette exploitation se fait
dans des conditions avantageuses.
Une bonne rentabilité des différents pôles du groupe constitue ainsi un enjeu quotidien qui les
contraints à améliorer en continu leurs pratiques afin d’assurer la capacité objectif de
l’entreprise ainsi que la disponibilité du produit fini auprès du client.
Les unités de concentration de Maroc-Phosphore II-IV sont dimensionnées pour produire 330
tonnes de P2O5 par jour et par échelon. Ces unités permettent de ramener l’acide phosphorique
produit au niveau de l’atelier d’attaque filtration de sa teneur 29% à 54% en P 2O5, elle
constitue une étape importante dans la chaîne de fabrication de l’acide phosphorique et des
engrais. Ces unités se heurtent à des limitations de capacité de production dues principalement
aux problèmes liés à leur exploitation et à la maintenance des équipements faisant partie de
l’installation
Le présent projet s’articule autour des axes suivants :
Dans la première partie, nous avons jugé primordial de décrire, tout d’abord, le procédé de
fabrication de l’acide phosphorique, dès l’étape de broyage de phosphate, jusqu’à l’étape de
stockage de l’acide concentré 54% P2O5.
Ensuite, afin de positionner le problème, nous avons mené une étude bibliographique sur
l’encrassement et son effet sur la performance d’un échangeur à blocs,
Enfin, nous avons proposé des solutions pour réduire les effets de ce problème et assurer la
bonne marche de l’unité de concentration.
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Chapitre 1 : Aperçu sur l’activité du Groupe OCP
Plan du chapitre
1. Présentation du groupe OCP
2. Présentation du pôle chimique Jorl
Lasfar
3. Présentation de l’atelier phosphorique
Maroc phsphore IIIe t IV
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
L’office chérifien des phosphates (OCP) est créé en 1920 par un dahir Royal et est
devenu en 1975 Groupe OCP, Ce groupe joue un rôle important sur les plan économiques et
sociaux du pays. Il est spécialisé dans l’extraction, la valorisation et la commercialisation de
phosphate et de produits dérivés.
C’est environ la moitié du phosphate produit qui est exportée comme matière première à
destination d’une quarantaine de pays à travers le monde tandis que l’autre moitié est livrée
aux sites de transformation.
2.2.PHOSBOUKRAA :
3
Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
2.3. STAR :
2.4.SOTREG :
C’est une association à un but non lucratif, créé par l’OCP en 1974. Son but est de
promouvoir les activités d’enseignement et d’éducation en faveur des enfants du personnel
d’OCP.
3. Historique :
1998
7 Aout 1920 1965
Début de production de l’acide
Création de l’office Début des opérations phosphorique purifié (JorfLasfar)
chérifien des phosphates chimique (SAFI)
1921
1975 2008
Début d’exploitation minière
et première exportation du Création du groupe Le groupe OCP devient OCP
phosphate OCP S.A
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
L’acide sulfurique est considéré comme matière première pour la fabrication de l’acide
phosphorique ce dernier est plus important industriellement et rentre dans la fabrication des
engrais.
L’atelier sulfurique joue un rôle important au sein du complexe Maroc Phosphore Jorf Lasfar.
En effet, il assure la totalité des besoins en acide sulfurique et en énergie de l’atelier
phosphorique, ainsi que les autres entités : Station de traitement des eaux, engrais,
EMAPHOS.
L’unité de production d’acide sulfurique c’est une unité spécifiée à la production de H2SO4
partir du soufre liquide et aussi la production de la vapeur, elle se devise en quatre circuits
principaux :
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
L’atelier des engrais est composé de quatre lignes de production ayant une capacité
unitaire de 60 tonnes par heure de D.A.P (phosphate daïmonique) et une autre nouvelle ligne
qui vient de démarrer en 2006. Deux de ces lignes sont destinées à produire le T.S.P (Super
phosphate triple) à une capacité de 48 tonnes par heure chacune.
Le lot utilité comme son nom l’indique a pour objectif d’assurer les utilités en
quantités et qualité suffisantes à tous les ateliers de production : Il se compose des unités
suivantes :
L’atelier phosphorique de Maroc Phosphore III & IV, a démarré dans l’objectif de
réaliser une production annuelle de 1 420 000 tonnes de P2O5 sous forme d’acide
phosphorique 29 %, en exploitant huit lignes identiques selon le procédé Rhône Poulenc,
chacune est d’une capacité unitaire journalière de 550 t P2O5.
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
L’atelier phosphorique du complexe Maroc Phosphore III/IV est divisé en deux zones
Nord et Sud. Chaque zone est composée de quatre lignes de production, le nord comprend
les lignes A, B, C & D, le sud comprend les lignes X, Y, Z & U, ces lignes diffèrent selon
le procédé utilisé.
Les lignes B, Y, Z fonctionnent selon le procédé Rhône Poulenc, alors que les lignes A,
C, D, X et U ont été améliorées en adoptant le nouveau procédé Revamping.
BROYAGE A B C D X Y Z U
ATTAQUE--FILTRATION A B C D X Y Z U
STOCKAGE 29% A B C D X Y Z U
CONCENTRATION E H G F AK B L CM D N X P Y Q Z R U S
Station
STOCKAGE 54% Ncl E F A B C D X Y Prétraiteme
nt
Z U
STOCKAGE 54% CL
Vers Vers
ENGRAIS EMAPHOS
Vers Stockage principal
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
L’atelier phosphorique du Maroc phosphore III et IV est divisée en deux zones identiques
Nord et Sud, chaque zone est composée de quatre lignes de production chacune des lignes
comprend les unités suivantes :
Unité de broyage
Unité d’attaque-filtration
Unité de stockage d’acide à 29% en P2O5
Unité de concentration
Unité de stockage d’acide à 54%
2.1.Unité de broyage :
Le phosphate brut est alimenté par une trémie comportant un extracteur vibrant qui
assure le débit nécessaire pour l’attaque. Cet extracteur alimente un transporteur à bande
qui achemine le phosphate vers l’élévateur à godets passant par un déférailleur pour
enlever les pièces métalliques qui présentent un danger pour les équipements. Le
phosphate passe par deux couloirs vibrants pour alimenter par la suite les cribles. Le refus
est introduit par gravité dans le broyeur et rejoindre le phosphate brut dans l’élévateur à
godets, alors que le passant est repris par une aéroglissière et ensuite un second élévateur
à godets avant d’être acheminé vers l’attaque par le biais d’un redler. Le surplus est
récupéré dans le silo de stockage et peut être extrait par fluidisation.
Constitué d’une seule cuve agitée dans laquelle s’effectue l’attaque du phosphate broyé
par l’acide sulfurique en présence d’acide de retour. La cuve est équipée d’un agitateur central
qui assure l’homogénéisation, quatre disperseurs d’acide sulfurique et six refroidisseurs pour
le refroidissement de la bouillie. Ce refroidissement s’effectue par balayage d’air qui évacue
les effluents gazeux de la cuve vers le circuit d’assainissement comportant un venturi et une
tour de lavage pour subir un lavage par l’eau avant d’être évacués par la cheminée. Cette eau
récupérée est utilisée pour le lavage des toiles des filtres. La cuve déborde dans une cuve de
passage avant que la bouillie soit acheminée vers le filtre, cette cuve de passage a pour but de
maintenir un niveau constant dans la cuve d’attaque.
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
Le phosphate broyé alimente une trémie tampon, puis est extrait avec un débit régulé par le doso-
mètre, ainsi il est acheminé vers le digesteur par deux redlers. Le phosphate alimente une jupe qui
affleure la surface de la bouillie pour éviter tout entrainement du phosphate par le courant d’air
balayant le digesteur.
La bouillie s’écoule vers la cuve d’attaque par trop plein, elle est refroidie au moyen des
agitateurs de la surface et le ventilateur d’assainissement afin de maintenir la température voisine
de 80°C. Le rôle de la cuve d’attaque est de parfaire la réaction en offrant plus de temps de séjour
et promouvoir la cristallisation du gypse.
L’eau de mer du condenseur des effluents du Flash cooler est acheminée vers la trémie à gypse
afin de répulper le gypse produit vers la mer. Tandis que l’acide produit à 29% de P2O5 est
envoyé vers le stockage et l’acide moyen est recyclé vers la cuve d’attaque.
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
Le principe de concentration se base sur l’evaporation sous vide de l’eau et des matières
volatiles contenues dans l’acide.
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
Le marché international demande une teneur en P2O5 supérieure ou égale à 54% avec
un taux de solide inférieure { 0.5%, d’où l’unité de stockage du non clarifié 54% en
P2O5. Les équipements principaux :
Un décanteur
Un désursaturatuer
Un bac de stockage
Après avoir présenté notre organisme d’accueil avec ses différents ateliers, nous passerons
maintenant au chapitre suivant où nous allons décrire d’une manière détaillée le procédé de
fabrication de l’acide phosphorique.
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Chapitre1 : aperçu sur l’activité du groupe OCP
Plan du chapitre
1. Généralités sur l’acide
phosphorique et ses procédés de
fabrication
2. Principe de fonctionnement de
chaque élément de la ligne N
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
Il consiste à attaquer les phosphates naturels par un acide fort . Les trois grands types
d’acides utilisés sont:
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
L’acide sulfurique
A l’OCP l’acide utilisé pour l’attaque des phosphates est l’acide sulfurique.
3.1.L’attaque sulfurique:
Suivant la température à laquelle elle se produit, le sulfate de calcium est plus ou moins
hydraté et prend naissance soit sous forme de dihydrate (ou gypse : CaSO4.2H2O), soit sous
forme de semi-hydrate (ou plâtre : CaSO4.½H2O), soit sous Forme d’anhydre (ou sulfate de
calcium anhydre CaSO4).
C’est le procédé adapté par l’atelier phosphorique de la plate-forme Maroc phosphore III&
IV, Il conduit à un acide avec une teneur de 28 à 32% en P2O5
Avec ce type de procédé, la température du milieu réactionnel devra être entre 120 et
130°C et l’acide brut produit peut atteindre une concentration de 50 % en P2O5 sans avoir
recours à une opération de concentration.
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
4. La concentration:
Cette unité de concentration est composée de 16 échelons, chaque échelon est constitué des
éléments suivants :
Dans cette unité de concentration on se base sur l’évaporation de l’acide phosphorique sous
vide à peu près 60 torr pour éliminer l’eau et d’autres corps volatils, cette opération se déroule
en continuité dans une boucle de circulation, les gaz dégagés qui composent essentiellement
de la vapeur d’eau est condensé dans un condenseur avec le contact d’eau froid.
La circulation d’acide est assuré par une pompe qui aspire l’acide entrant dans le
bouilleur et passe dans le filtre à panier pour éviter le bouchage de l’échangeur par des
morceaux de fluosilicates qui peut se détacher des tuyauteries et il refoule cet acide dans
l’échangeur et le bouilleur qui a un trop plein pour régler le niveau d’acide et pour alimenter
l’unité de stockage d’acide 54% en P2O5, l’échangeur est alimenté en vapeur de 5 bars abs est
150°C provenant des transformateurs de vapeurs, cette vapeur est condensé est récupéré dans
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
un ballon de récupération des condensats pour alimenter le vache alimentaire. Les gaz
dégagés du bouilleur sont aspirés dans le laveur condenseurs et les trois petits laveurs pour
être laver par l’eau de mer est acheminé vers une garde hydraulique.
La création de vide dans le circuit de concentration est assuré par trois éjecteurs qui sont
alimenté par un courant de vapeur moyenne pression (8.5 bars ; 195°C) qui provient de la
centrale, et on a un condenseur final qui condense toute la vapeur refoulée par le dernier
éjecteur.
4.3.Circuit de vapeur :
L’élimination de l’oxygène dans les condensats est assurée par l’ajout de l’hydrazine et pour
la stabilité de pH des condensats on ajoute le phosphate trisodique.
4.4.Principe de fonctionnement :
L’acide phosphorique produit dans l’unité précédente est refoulé par une pompe vers la
boucle fermée.
L’action de chute libre de l’eau de mer avec une grande quantité dans le grand laveur et
l’action des éjecteurs créent une dépression dans le bouilleur de 60 torr sous une température
de 78°C, d’où l’évaporation de l’eau sous vide l’échange thermique se fait dans l’échangeur
par la vapeur secondaire introduite dans les vicarbes. L’acide 54% en P2O5 déborde dans un
trop plein, puis refoulé par une pompe vers le stockage non clarifié
Les gaz et lots vaporisés sont aspirés par le phénomène vers le grand laveur, les condensats
vont vers 3 petits laveurs. Enfin les condensats sont acheminés vers les égouts et les
incondensats vers l’atmosphère.
La vapeur secondaire fait un circuit fermé entre l’échangeur, bâche alimentaire, refroidisseur
et transformateur.
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
2. Bouilleur :
2.1.Description :
Il s’agit d’un récipient dont la partie basse est occupée par l’acide en ébullition, les
vapeurs étant évacuées vers le haut. Il a la forme d’un cylindre terminé par un cône à la partie
inférieure.
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
Le niveau d’acide est maintenu par un trop plein, l’acide de circulation est introduit par une
tubulaire tangentielle permettant un mise en mouvement de la masse liquide. Ce mode
d’introduction assure une plus grande homogénéité thermique dans le liquide et évite les
incrustations.
2.2.Fiche descriptive :
3. Filtre à panier :
3.1. Description :
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
4. Pompes:
Dans l’installation de concentration, les pompes sont des éléments d’une grande
importance. Chaque échelon est équipé de cinq pompes (centrifuges)
Parmi ces pompes, 3 sont névralgiques, leurs arrêts affecte directement la disponibilité de
l’installation
5. L’échangeur :
5.1.Caractéristiques mécanique :
Constructeur : VICARB
Type : Graphite HP20
Position : Verticale
Hauteur totale : 7.3 m
Pression de service : 350 kPa
Matériaux : Graphite (pour les blocs), acier ou carbone (pour les viroles)
5.2.Description :
Un échangeur à bloc est constitué d’un ensemble de 13 blocs en graphite imperméable usinés
dans la masse, dont les caractéristiques sont comme suit :
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
L’ensemble des viroles est muni de piquages pour la vapeur et le condensat en plus
des chicanes transversales et longitudinales qui déterminent respectivement la circulation
de la vapeur dans le côté service et le guidage des blocs en rotation.
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
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Chapitre II : Procédé de fabrication de l’acide phosphorique
Plan du chapitre
1. Analyse du fonctionnement de
1.l’échangeur
Présentation du groupe OCP
2. Etude bibliographique
3. Suivi du fonctionnement de
l’unité
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Démarche :
Afin de limiter le problème d’encrassement dans cette unité, nous avons choisi de déterminer
en premier lieu ses causes principales.
En deuxième lieu des analyses visant la détermination de la nature des impuretés déposées sur
l’échangeur auront lieu.
Enfin nous allons étudier l’influence de l’encrassement sur la variation du coefficient global
d’échange d’une part et sur la résistance thermique et son efficacité d’autre part.
L’échangeur est alimenté en vapeur basse pression (4.5 bars abs) provenant de l’unité
20 de transformation de vapeur.
Les condensats sortant sont véhicules d’abord vers un ballon de condensats puis repris par une
pompe à condensât vers la partie inférieure de l’échangeur où ils subissent un refroidissement
avant leur expédition vars la bâche alimentaire.
2. Causes d’arrêts :
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Il s’agit d’un phénomène d’érosion qui résulte d’un taux de solide élevé dans l’acide, le
bouchage total de certains canaux a pour conséquence :
Il s’agit d’une communication entre le circuit vapeur et acide par des parois internes
des blocs suite à une désimprégnation de la résine.
C’est une fissuration des blocs en deux parties et qui prend naissance dans un ou plusieurs
canaux du coté procédé et qui rejoint les canaux du circuit service sur toute la hauteur du bloc à
cause de :
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
1.5.L’encrassement :
Cette partie est consacrée à une étude bibliographique et théorique sur les phénomènes
d’encrassement des échangeurs de chaleur.
En particulier, l’analyse des causes du phénomène, les différents mécanismes élémentaires mis en
jeu et les facteurs influençant le phénomène d’encrassement, ainsi que les résultats des analyses
laboratoires des échantillons des matières encrassants.
Ce dépôt qui évolue dans le temps peut être constitué de cristaux, de sédiments, de résidus
biologique, des produits d’une réaction chimique ou bien la combinaison de plusieurs de ces
éléments.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Ce phénomène est lié aux conditions opératoires, aux propriétés physico-chimiques des fluides mis
en jeu, à la géométrie du système ainsi qu’à la nature des surfaces
La corrosion
L’encrassement biologique
L’encrassement par réaction chimique
L’entartrage
L’encrassement particulaire
2.1.La corrosion :
L’encrassement par corrosion est le résultat d’une réaction chimique ou électrochimique entre
la surface de transfert de chaleur et le fluide en écoulement .Les produits qui se forment et
s’accumulent sur la surface créent l’encrassement. Il existe différents types de corrosion :
la corrosion uniforme caractérisée par une perte d’épaisseur régulière mais dont la vitesse
n’est pas forcément proportionnelle au temps ;
la corrosion par piqûres où l’attaque est limitée à des zones de très petites surfaces ;
la corrosion fissurant à l’échelle microscopique inter granulaire ou transgranulaire
la corrosion sélective où seul un élément d’un alliage subit une attaque sélective.
2.2.L’encrassement biologique :
L’encrassement biologique est dû au développement de micro-organismes qui créent un film
encrassant au contact de la surface d’échange. Il peut être causé par trois grands types de micro-
organismes :
les bactéries dont le développement est dû à un apport nutritif de type hydrocarbures ;
les algues dont le développement est dû à la présence d’énergie solaire avec
photosynthèse;
les champignons dont le développement est dû aux changements des conditions ambiantes
telles que l’humidité, la température ou le PH.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
2.4. L’entartrage :
L’entartrage d’une surface d’échange est généralement associé à la production d’un solide
cristallin à partir d’une solution liquide .Il dépend donc fortement de la composition des eaux
industrielles. L’entartrage se matérialise par une formation
d’incrustations adhérentes et dures sur les surfaces d’échanges généralement métalliques.
Il est produit principalement par la dissipation des sels inorganiques dans le processus
d’écoulement présente une super saturation durant l’échauffement ou le refroidissement
Pour qu’il y ait entartrage, deux conditions doivent être remplies :
la limite de solubilité du sel contenu dans l’eau doit être dépassée ;
la vitesse de dépôt doit être suffisamment rapide.
Ce type d’encrassement est conditionné par une grande vitesse de déposition et un excès de
concentration par rapport à la limite de solubilité
2.5.l’encrassement particulaire :
Il s’agit du dépôt puis de l’accumulation, sur les surfaces d’échange, de particules
transportées par l’écoulement de fluides industriels tels que :
l’eau des chaudières contenant des produits de corrosion ;
l’eau des tours de refroidissement ;
les écoulements gazeux chargés de particules tels les résidus solides de combustion, ou
les poussières résultant de l’incinération de déchets ménagers.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Il s’agit d’une structure dense et renforcée qui ne s’atténue pas lors d’un simple jet d’eau
ou de vapeur mais qui nécessite un traitement mécanique ou un nettoyage chimique approprié.
C’est le cas de dépôt corrosif ou cristallin.
La résistance thermique d’un dépôt dur est directement proportionnelle à son épaisseur.
3.2.Dépôt poreux :
C’est le matériau d’un dépôt dur qui se présente en une structure moins dense, sous l’effet
des conditions opératoires. Ce cas est plus sérieux que le précédent quand le fluide
emprisonné dans les pores a une conductivité thermique plus faible que le matériau solide.
3.3.Dépôt mou :
C’est le cas de boues, poudres de coke ou de fibres végétales. La résistance dans ce cas est
plutôt liée au fluide emprisonné qu’au matériau constituant la matrice.
Un simple soufflage peut donner des résultats satisfaisants lors du nettoyage.
L’initiation peut être définie comme étant le temps nécessaire avant la formation du dépôt
sur une surface propre.
Cette phase est associée au temps nécessaire avant de pouvoir observer la formation d’un
dépôt encrassant sur la surface d’échange.
4.2.Le transport :
Pendant cette phase, les substances d'encrassements du volume de fluide sont transportées
à la surface de transfert. Le transport est gouverné par un nombre de phénomènes y compris la
Diffusion, la sédimentation et la thermophorèse (thermophoresis). Une grande quantité
d'information disponible pour chacun de ces phénomènes est appliquée pour étudier les
mécanismes de transports pour les différentes catégories d'encrassement.
La thermophorèse est le mouvement de petites particules dans l'écoulement de fluide quand le
gradient de température est présent. Les murs froids attirent les particules colloïdales pendant
que les murs chauds repoussent ces particules. La thermophorèse est importante pour des
particules autour de 5 μm de diamètre et devient dominante autour de 0.1 μm.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
4.3. Déposition :
Une partie de la matière encrassante transportée est attachée à la surface. Les forces
agissantes des particules proches de la surface sont importantes à déterminer l'attachement.
En plus, les propriétés du matériel tel que la densité, la viscosité et les conditions de surface
sont importantes. L’adhésion des particules sous l’effet des forces de Van der Waals, des
forces électrostatiques ou capillaires.
Les forces de London-Van der Waals sont dues aux interactions entre les moments dipolaires
générés par le mouvement des électrons autour des noyaux d’atomes neutres voisins. Dans
des fluides de phase unique, les forces résultant entre particules et entre les particules et la
paroi sont toujours attractives. Pour dp≤100μm, les forces de Van Der Waals l’emportent sur
les forces de gravité.
4.4. Le réentrainement :
Le réentraînement des particules déposées dû aux forces de cisaillement s’exerçant sur le
dépôt, à l’érosion ou à l’écaillage. Une certaine proportion de la matière est enlevée de la
surface immédiatement après leur dépôt et une autre est enlevée plus tard. En général, les
forces de cisaillement à l'interface entre le fluide et la couche de dépôt encrassante sont
responsables de cet enlèvement. Les forces de cisaillement dépendent du gradient de la vitesse
à la surface, de la viscosité du fluide et de la rugosité de la surface.
4.5.Vieillissement :
Le vieillissement du dépôt caractérisé par un changement de texture et une usure dudit
dépôt. Une fois le dépôt est posé sur la surface, le vieillissement commence. Les propriétés
mécaniques de ce dépôt seront modifiées durant cette phase, à cause du changement de
cristal ou de la structure chimique, par exemple, l'empoisonnement lent du micro-organisme
causé par la corrosion à la surface affaiblira et appauvrira la couche du bio-encrassement. La
réaction chimique attire la surface du dépôt pour modifier la composition chimique du dépôt,
et de cette façon changer les propriétés mécaniques.
III. Encrassement des échangeurs de chaleur dans la ligne N:
1. Analyse du problème d’encrassement :
L’encrassement des échangeurs de chaleur se produit au moment du passage de l’acide
de circulation. Il est dû aux impuretés initialement dissoutes dans l’acide.
Le chauffage de l’acide provoque un état de sursaturation et par suite les impuretés contenues
dans l’acide 29% en P2O5 se déposent sur les parois de l’échangeur. Cet état est accentué
après le refroidissement de l’acide à la sortie du bouilleur.
30
Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Afin de réduire cet impact sur la qualité de l’acide 29% produit, il est nécessaire de
déterminer la nature de ces impuretés ainsi que leurs effets durant les différentes étapes de la
production.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Après que l'épaisseur totale a été déterminée et en supposant que la conductivité thermique
est constante. La résistance d'encrassement peut être alors calculée comme suit:
Le bilan de l’encrassement peut s’exprimer par la différence entre les densités de flux
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
vitesse de réentrainement. Ce type d’évolution est généralement observé pour les dépôts mous
et fragiles qui s’écaillent sous l’action des forces de cisaillement induites par le fluide.
L’évolution de la courbe C et après intégration de l’équation (1) entre la condition initiale
(t=0, Rd =0) et n’importe quelle condition (t, Rd), conduit à l’équation
Où Rd* est la résistance d’encrassement asymptotique et une constante de temps qui
D’après les résultats d’analyse des dépôts recueillis dans l’échelon de concentration nous
pouvons les répartir en deux types :
Type1 : Ce sont des dépôts inévitables, quelque soit la nature du phosphate traité et le
mode de fabrication de l’acide CaSO4, NaSiF6
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Type2 : Ce sont des dépôts qui dépendent de la nature du phosphate traité et le procédé
de fabrication de l’acide phosphorique « CaSO4.1/2H2O », « MgAlF5.15H2O »,
« CaSO4AlF6OH.12H2O »
3.2. Observation MEB et analyses EDX des dépôts des échangeurs de la
concentration :
Les analyses effectuées nous a permis de conclure que la couche d’encrassement est composé
de :
- CaSO4 (80%)
- CaSO4.2H2O
- Al2SiF6
- MgAlF5.3/2H2O
- CaSO4AlF6OH.12H2O
4. Cristallisation du sulfate de calcium :
Quand l’équilibre d’une solution solide-liquide est altéré par un moyen quelconque
conduisant à une augmentation de la concentration en sel dissous, la solution est alors
sursaturée, le système évolue d’une manière à atteindre un nouvel équilibre en éliminant
l’excès de solide sous forme de cristaux. C’est l’opération de cristallisation.
Dans ce qui suit nous passerons en revue la solubilité et les paramètres influençant la
cristallisation du sulfate de calcium.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
La solubilité du sulfate de calcium dans les solutions aqueuses d’acide phosphorique est
déterminée par trois facteurs principaux :
La température
La concentration de l’acide phosphorique
La concentration des ions sulfates
4.2. Influence des impuretés sur la cristallisation du Gypse :
Etant donnée la multitude des impuretés et la complexité des phénomènes mis en jeu, nous
présentons ci-après l’effet des principales impuretés sur la cristallisation du gypse.
les ions Al3+ ont une influence positive sur le processus de cristallisation du gypse
puisqu’ils favorisent la croissance des cristaux de gypse. D’autre part la présence de
l’aluminium dans l’acide phosphorique favorise la cristallisation régulière, il permet aussi
d’atténuer l’effet corrosif du fluor.
Lorsque la teneur en fer est élevée, la viscosité de l’acide 29% en P2O5 augmente ce
qui présente une difficulté au niveau de la concentration
Pour des faibles teneurs en silice, le fluor sous forme de HF s’adsorbe sur la surface
des cristaux et bloque ainsi leur croissance. Par contre lorsque la teneur en silice réactive dans
le phosphate est satisfaisante, le fluor se trouve sous forme d’acide fluosilicique H2SiF6, ce
qui modifie la forme des cristaux d’une forme d’aiguilles à une forme rhomboédrique.
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
La présence des ions Mg2+ est indésirable dans l’acide produit. En effet il augmente sa
viscosité et favorise la formation des composés insolubles dans l’acide phosphorique.
Dans cette partie, , nous allons exploiter en premier lieu les données industrielles pour
montrer l’influence du phénomène d’encrassement sur la performance des échangeurs de
chaleur à savoir : le coefficient d’échange globale, la résistance thermique et l’efficacité de
l’échangeur.
Dans un premier temps nous avons calculé la puissance échangée via la formule suivante
D’autre part:
Avec :
A : la surface d’échange
36
Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Dans le but d’analyser la variation du coefficient d’échange globale avec le temps nous nous
somme analyser les donnés de la variations des températures pendant un cycle de marche.
Pour mieux visualiser les résultats, nous les avons représentés sur le graphe suivant :
1600
1400
1200
U(Kcal/hm°C)
1000
800
600
400
200
0
0 20 40 60 80 100 120
temps (heures)
D’après le graphe ci-dessus, nous pouvons remarquer que le coefficient d’échange diminue
avec le temps, ce qui résulte l’impact direct de l’encrassement sur la performance de
l’échangeur.
37
Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
Avec
Ainsi Nu=162.40
D’où
Re = 29120.5
Pr = 1.35
avec :
38
Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
0,0005
0,00045
0,0004
Rd(m2.h.°C/Kcal)
0,00035
0,0003
0,00025
0,0002
0,00015
0,0001
0,00005
0
0 20 40 60 80 100 120
temps(heures)
comme : ( )
39
Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
1
0,9
0,8
0,7
0,6
efficacité
0,5
0,4
0,3
0,2
0,1
0
0 20 40 60 80 100 120
temps (heures)
le soutirage de l’acide 29% qui alimente les concentrateurs se fait du fond des bacs
intermédiaire ce qui permet non seulement le soutirage de l’acide mais aussi du solide en
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Chapitre III : Positionnement du problème et traitement de sujet
particulier le gypse et la silice non réactive qui se déposent au fond du bac. Ces éléments entre
dans la boucle du concentrateur provoque l’encrassement de l’échangeur
4. inhibiteurs d’encrassement
Comme il a été déjà mentionné les impuretés dans l’acide phosphorique proviennent
essentiellement du phosphate. Elles favorisent la formation de dépôts dans les équipements
des concentrateurs rendant leur élimination très délicate par un simple lavage à l’eau chaude.
Les inhibiteurs d’encrassement ont pour objectif la diminution de la vitesse de précipitation au
niveau de la boucle de la concentration. Ce sont des substances chimiques ayant pour rôle
d’empêcher la précipitation des impuretés contenues dans l’acide.
Les inhibiteurs d’encrassement sont certes, une solution au problème d’encrassement des
équipements de la concentration. Cependant, les expériences dans ce domaine restent rares et
nécessitent le choix de l’inhibiteur adéquat qui peut inhiber la formation de fluosilicate
responsable de l’encrassement, le choix de la dose à utiliser, sans changer les caractéristiques
de l’acide.
5. Refroidissement de l’acide :
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Conclusion
Notre étude était basée sur l’amélioration de la marche de l’unité de concentration en
identifiant tous les facteurs qui favorise l’encrassement de l’échangeur, le bouilleur, et le
condenseur, ce problème qui influence sur la production et la marche normale de l’unité.
Pour ce faire, nous avons analysé tous les paramètres de marche de l’unité de concentration
afin de trouver les causes principales de l’encrassement et d’essayer à trouver des solutions
bénéfiques pour réduire les effets de ce problème,
nous avons effectué des recherche sur la nature des dépôt et on a réussi à savoir les éléments
constituant ce dépôt, afin de trouver des élément pour les inhiber, mais l’ajout des autre
élément chimique à le risque d’affecter la qualité de l’acide produit, donc cette solution est
très limités tant qu’il n y a pas des résultats exactes et satisfaisantes ,reste des solutions telle
que l’amélioration de la qualité de l’acide 29% qui alimente l’échelon, et l’amélioration de la
qualité de phosphate venant de minerai, la diminution de taux de solide par le changement de
soutirage de bac qui alimente le circuit de concentration, et la bonne refroidissement de
l’acide dans le desursaturateur,la diminution de longueur du conduite reliant le bouilleur et le
condenseur…, solutions très simple et qui vont sûrement contribuer à la réduction des effets
de l’encrassement sur les performances de l'atelier de concentration .
Malgré tous les efforts déployés durant les deux mois de stage au sein de MAROC
PHOSPHORE L’encrassement demeure encore un phénomène mal compris et demande des
études approfondie afin de pouvoir trouver des solutions efficaces.
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Références Bibliographiques
Support de cours :
Ouvrage :
«Technique de l’ingénieur»
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