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CHAPITRE I : PRESENTATION DU GROUPE OCP
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I I. 1.1. Pertes en inattaqué ......................................................................................... 18
I I . 1.2. Pertes en syncristallisé : .................................................................................. 19
III-Etude de l’influence du taux de sulfates sur les pertes en P2O5
inattaqué, syncristallisé et aussi sur le rendement chimique(Rc): ............. 20
III-1. Etude de l’influence du taux de sulfates sur les pertes en P2O5 inattaqué,
syncristallisé (procédé RHONE POULENC) : .......................................................................................... 20
III- 2.Etude de l’influence du taux de sulfates sur les pertes en P2O5 sur le rendement
chimique(Rc) (procédé RHONE POULENC)………………………………………………………………21
III -3.Etude de l’influence du taux de sulfates sur les pertes en P2O5 inattaqué, syncristallisé
(procédé Jorf)………………………………………………………………………………………………..22
III- 4.Etude de l’influence du taux de sulfates sur les pertes en P2O5 sur le rendement
chimique(Rc) (procédé Jorf)………………………………………………………………………………23
Chapitre III : Etude comparative entre les méthodes d’analyse de
SO42-
I-Dosage des sulfates libre par volumétrie ………………………26
II-Dosage des sulfates par turbidimétrie………………………28
III-Comparaison entre les deux méthodes du dosage……………30
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En tant que première entreprise du Maroc, l’OCP est l’un des moteurs clés de l’économie du
pays. Les phosphates et ses dérivés représentent près d’un quart des exportations du Maroc
et approximativement 3,5 % du produit intérieur brut. Afin de renforcer et de préserver sa
position de leader mondial dans l’industrie des phosphates, le groupe OCP se fixe comme
objectif permanent l’optimisation et l’amélioration continue de ses différents d’activités
La principale source du phosphore est les minerais phosphatés tels que les phosphates
d’aluminium et ceux de calcium d’où on extrait la majeure partie du phosphore et de ses
dérivés.
Dans le cas de MAROC PHOSPHORE Jorf Lasfar, le procédé de fabrication adopté exploite
la voie humide comme mode de fabrication, il consiste à attaquer le minerai broyé
(phosphate) par un acide fort (acide sulfurique), La quantité de l’acide sulfurique
consommée se répartie en deux : une partie consommée par les réactions de l’attaque, et le
reste est sous forme de sulfates libres (SO42-) dans l’acide phosphorique produit. La
filtration du produit d’attaque (bouillie) permet de récupérer un acide phosphorique de 29 %
P2O5 ensuite l’évaporation sous vide assure la concentration de l’acide produit en acide
phosphorique 54% P2O5.
Mon stage de fin d’étude que j’ai effectué à l’unité de concentration dont le but de sa
connaissance L’impact de sulfate libre sur les grains de P2O5 et les méthode d’analyse des
sulfate libre
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CHAPITRE I : PRESENTATION DU GROUPE OCP
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I- L’historique de développement du groupe OCP :
L’évolution du groupe OCP pendant les 84 années passées depuis sa création est
réalisée selon les étapes suivantes :
1965 : Démarrage de la société Maroc Chimie à Safi, pour la fabrication des dérivés
phosphatés (Acide phosphorique et Engrais).
1981 : Démarrage de Maroc Phosphore II. 1986 : Démarrage du Site de Jorf Lasfar avec
Maroc Phosphore III-IV.
1998 : Usine EMAPHOS pour l’acide purifié. 1999 : Usine IMACID pour l’acide
phosphorique. 2000 : Démarrage de l’unité de flottation de phosphate à Khouribga.
2002 : Prise de participation, dans le cadre d’une joint-venture Groupe OCP Groupe BIRLA,
dans la Société PPL (Inde).
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2004 : La mine de Bouchane, située à 40Km du site de Youssoufia, a réussi le prix
d’excellence de JIPM.
Cet ensemble, qui s’étend sur 1700 hectares, permet de produire chaque année 2
millions de tonnes de P2O5 sous forme d’acide phosphorique, nécessitant la
transformation de 7,7 millions de tonnes de phosphate extraits des gisements de
Khouribga, 2 millions de tonnes de soufre et 0,5 million de tonnes d’ammoniac. Les
besoins en énergie du complexe sont satisfaits par une centrale de 111 MW utilisant la
chaleur de récupération.
Le complexe de JORF LASFAR compte trois entités, dont l’unité Maroc Phosphore
III-IV créée en 1986. Avec la construction de l’usine EMAPHOS en 1997, en partenariat
avec PRAYON (Belgique) et CFB (Allemagne), le Groupe OCP a inauguré une nouvelle
ère dans la diversification de ses produits finis par la production d’un acide à haute
valeur ajoutée : l’acide phosphorique purifié. Deux ans plus tard, la mise en service
D’IMACID, en partenariat avec le Groupe indien BIRLA, lui a permis d’accroître sa
capacité de production d’acide phosphorique de 25% sur le site de JORF LASFAR.
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Proximité des zones minières permettent son alimentation en phosphate
(Khouribga).
Existence d’un port tirant d’eau important.
Atelier sulfurique :
Le but de cet atelier est l’obtention d’acide phosphorique à partir de l’attaque du phosphate
brut par d’acide sulfurique.
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L’atelier phosphorique comprend 5 unités :
REVAMPING qui est distingué par des modifications concernant les deux
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V- Généralités sur la production de l’acide phosphorique :
L’acide phosphorique est le principal dérivé actuel de la chimie du phosphore et
l’intermédiaire quasi-indispensable pour l’élaboration de la majorité des produits comme
les engrais, les détergents et l’alimentation animale.
Donc il existe deux procèdes de fabrication de l’acide phosphorique à partir du
phosphate minéral
Procédé par voie thermique :
Ce procédé consiste à oxyder le phosphore préparé dans des fours électriques pour
obtenir l’anhydride phosphorique P2O5 qui sera ensuite hydraté en acide phosphorique.
P2 + 5/2 O2 P2O5
P2O5 + 3H2O 2H3PO4
Vu le coût énergétique élevé, ce procédé a cédé la place au procédé par voie
humide qui a l’avantage de produire un acide de très bonne qualité avec le moindre
coût.
Procédé par voie humide (attaque sulfurique):
Le plus utilisé dans l’industrie du phosphate et c’est aussi le procédé choisi par OCP
pour la valorisation du phosphate, il consiste à obtenir de l’acide phosphorique en
attaquant le phosphate par un acide sulfurique (H2SO4).
L’attaque par acide sulfurique est le plus ancien procédé de fabrication d’acide
phosphorique par voie humide, il reste le plus utilisé dans le monde. [2]
La fabrication de l’acide phosphorique par voie humide résulte des réactions
chimiques suivantes :
- Réactions principales :
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-Les réactions secondaires :
En pratique, la fabrication de l’acide phosphorique par voie humide, fait intervenir les
opérations suivantes :
1. Broyage du phosphate.
2. Attaque-filtration.
3. Concentration de l’acide.
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IV-1-1- But :
Le broyage est une opération de fragmentation du phosphate brute dans le but de réduire
la granulométrie du phosphate inférieure à 400 μm pour augmenter la surface d’attaque du
minerai par l’acide sulfurique pour atteindre un bon rendement d’attaque chimique
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IV-2 -1-But :
Cette unité a pour rôle la production d’acide phosphorique à 29% en P2O5. Deux
procédés sont utilisés :
-Rhône-Poulenc,
- Revamping
L’eau de procédé (l’eau de lavage) est utilisée pour alimenter le circuit d’eau pour le lavage
du filtre à l’unité filtration, il est réchauffé par une vapeur base pression, afin de compenser
les pertes de chaleur en production son utilisation principale est le lavage des filtres pendant
les arrêts des lignes
Elle est constituée d’une cuve agitée où s’effectue l’attaque des phosphates broyés par
l’acide sulfurique à 98.5% en présence d’acide phosphorique recyclé. La cuve d’attaque est
équipée d’un agitateur central qui assure l’homogénéisation, quatre (4) disperseurs d’acide
sulfurique, six (6) agitateurs refroidisseurs de la bouillie et dix (10) carneaux d’aération
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Le refroidissement s’effectue par balayage d’air qui évacue les effluents gazeux de la
cuve vers le venturi et la tour de lavage, avant d’être évacué par la cheminée, pour subir
un lavage par l’eau brute. L’eau récupérée est utilisée pour le lavage dans toiles des
filtres.
Cuve de passage :
Cuve secondaire, de volume utile 100 m3, utilisé pour augmenter le temps de séjour de la
réaction. La cuve favorise une bonne diffusion de matière et règle le niveau de manière à
pomper la bouillie avec un débit convenable
Digesteur :
Une cuve de forme cylindrique en acier noir protégé de l’intérieur par caoutchouc naturel
et de brique anti-acide, de volume utile 230 m³ muni d’un agitateur pour l’homogénéité de la
bouillie provenant du flash-cooler et de phosphate introduit, d’une gaine d’assainissement
évacuant les gaz chauds
Flash-Cooler :
La bouillie, l’acide de retour et d’acide sulfurique sont introduits dans un flash-cooler de
forme cylindrique par un injecteur ; Cette dernière reçoit l’acide moyen provenant d’une
pompe. La bouillie est introduite par le bas du flash-cooler et déborde dans une jambe
barométrique plongeant dans le digesteur
Pompe à bouillie :
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IV -2-3- Section de filtration
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CHAPITRE II : L’impact de sulfate libre sur les grains de P2O5
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Sulfate libre
Le sulfate est le sel de l'acide sulfurique H2SO4. La formule de l'ion sulfate est SO42-.
Le taux des sulfates libres dans la bouillie a un effet considérable sur la taille des cristaux.
L’excès ou le défaut en sulfates libres affectent la cristallisation en favorisant la formation de
petits cristaux et en augmentant le taux des pertes chimiques.
Pour évaluer l’excès ou le manque d’acide sulfurique, on mesure les sulfates libres dans
les cuves d’attaque et de digestion.
La teneur de référence en sulfates libres dans la bouillie est maintenue à une valeur
comprise entre 24 et 29 g/l
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Les sulfates libres dans la bouillie phosphorique ont un rôle très important dans la
formation des cristaux de sulfate de calcium et à un effet considérable sur la taille des
cristaux
Les sulfates libres dans la bouillie phosphorique ont un rôle très important dans la formation
des cristaux de sulfate de calcium et à un effet considérable sur la taille des cristaux.
On va tester l’influence du taux de sulfate sur les pertes en (P2O5) inattaqué et syncristallisé
ensuite on va déterminer l’influence de ces pertes sur le rendement chimique (Rc) pour les
deux procédés (RHONE POULENC et REVAMPING).
L’excès ou le défaut en sulfates libres affectent la cristallisation en favorisant la formation de
petits cristaux et en augmentant le taux des pertes chimiques
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On s’intéresse dans ce travail seulement sur l’influence des sulfate libres, et la (figure 4)
illustre la variation des pertes en inattaqué en fonction de la teneur en sulfates au point
d’introduction du phosphate.
Lorsque les grains de phosphate sont attaqués par l’acide sulfurique, les ions Ca2+
diffusent vers le milieu réactionnel tandis que les ions SO42- diffusent vers les cristaux.
Plus la solubilité du milieu est grande, plus l’attaque est rapide et plus les cristaux de
gypse formés sont ‘’éloignés’’ des grains de phosphates ce qui permet de poursuivre
l’attaque sans risquer un blocage. Or la solubilité du sulfate de calcium diminue quand la
teneur en SO42- libre du milieu augmente. Il faudrait donc la tenir aussi basse que
possible, mais il faut alors tenir compte de la filtration qui se dégrade et des pertes en
P2O5 syncristallisé qui augmentent quand le taux de sulfate est trop bas.
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Figure 5 : Influence du taux de sulfate sur les pertes en P2O5 syncristallisé
La teneur en sulfate de la cuve d’attaque doit être suivie avec soin. Elle influence
considérablement sur les pertes en syncristallise et inattaqué. L’excès en SO42- libre
permettre à un maximum d’ions Ca2+ de se combiner avec les SO42-, il empêche l’ion
HPO42- de prend sa place dans le cristal du gypse et qui par conséquent constitue une
perte en P2O5 (syncristallisé).
III. Etude de l’influence du taux de sulfate sur les pertes en P2O5 inattaqué,
syncristallisé et aussi sur le rendement chimique (Rc):
Tout le P2O5 contenu dans le phosphate d’alimentation ne ressort pas dans l’acide
produit. Outre les pertes physiques qui sont dues à des fuites de matière dans les circuits
de manutention (poussières, pertes dans les élévateurs, les bandes…etc.), il existe des
pertes, de nature chimique, comme indiqué préalablement et dans ce partie nous avons
commencé par suivre la production d’acide phosphorique de l’unité 03, afin de voir
l’influence des taux de sulfates libres (SO42-) sur les pertes de la section attaque-filtration
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On trace les pertes en (P2O5) inattaqué et syncristallisé en fonction du taux de sulfate libre et
ensuite j’ai vu l’influence de ces pertes sur le rendement chimique (Rc) (figure 6).
Figure 6: Influence du taux de sulfate sur les pertes en P2O5 inattaqué et syncristallisé.
On constate que les pertes en (P2O5) inattaqué augmentent lorsque le taux de sulfates
libre augmente.
Elle démontre que le taux de sulfates influe sur les pertes en inattaqué en enrobant les
grains du phosphates par le gypse et que ce type de pertes est important lorsque le
sulfates est en excès.
Les pertes en (P2O5) syncristallisé diminuent lorsque le taux de sulfate libre augmente.
Ceci est bien expliqué par le principe de la cristallisation de sulfate de calcium.
Lorsque la concentration en (SO42-) diminue les ions (HPO42-) entre dans la structure
cristalline du sulfate de calcium
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Figure 7 : Influence du taux de sulfate sur le rendement chimique.
On constate que les pertes en P2O5 syncristallisé diminuent lorsque le taux de
sulfate libre augmente. Ceci est bien expliqué par le principe de la cristallisation
de sulfate de calcium ; les ions (HPO42-) entre dans la structure cristalline du
sulfate de calcium lorsque la concentration en (SO42-) diminue. Ceci engendre
l’augmentation des pertes en P2O5 syncristallisé. On a donc intérêt à élever
davantage la concentration en sulfate dans le mélange réactionnel. Mais il faut
mettre en considération les pertes en P2O5 inattaqué
les pertes en P2O5 inattaqué suivent l’augmentation du taux de sulfate. Ceci est
dit à l’entourage des grains de phosphate par les cristaux de sulfate de calcium
stable qui limite leurs attaques par l’acide sulfurique. Donc il faut garder le taux
sulfate alentour de sa valeur optimal qui présente le rendement maximal (figure
17). Cette valeur est voisine du 24g/l.
Procédé Jorf (REVAMPING) :
On répète les mêmes analyses de la ligne RHONE POULENC sur une ligne JORF
(REVAMPING).
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Figure 8 : Influence du taux de sulfate sur les pertes en P2O5 inattaqué et syncristallisé
Les mêmes conclusions que je tiré du procédé RHONE POULENC, sont valables pour le
procédé JORF (REVAMPING), les pertes en (P2O5) inattaqué augmentent lorsque le taux
de sulfates libre augmente et aussi les pertes en (P2O5) syncristallisé diminuent lorsque le
taux de sulfate libre augmente. Ceci est bien expliqué par le principe de la cristallisation
de sulfate de calcium (figure 8).
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Figure 9 : Influence du taux de sulfate sur le rendement chimique.
Les remarques que je tiré du procédé RHONE POULENC sont valables aussi bien pour le
procédé JORF (REVAMPING), le rendement chimique maximal est réalisé à un taux de
sulfate proche de la valeur 24g/l.
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Chapitre III : Etude comparative entre les méthodes d’analyse de
SO42-
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Dosage de sulfate libre par volumétrie
Principe :
Mesure de la teneur d’acide sulfurique libre dans l’acide phosphorique par
volumétrie.
Domaine d’application :
Acide phosphorique coloré à teneurs variable
Réactifs
- Baryum chlorure (Bacl2, H2O)
- Sulfonazo3
- Acétone pour analyse
Appareillage
Matériel courant au laboratoire
Mode opératoire :
A 2ml d’acide phosphorique (29% ou 54%)on ajoute 10 ml d’acétone,100 ml
d’eau distillée et quelques gouttes de l’indicateur coloré :sulfonazo-3 et on titre
avec une solution de chlorure de baryum .Le point d’équivalence est détecté par
le virage de la solution du violet vers le bleu
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Echantillon : 1
Essais Tb So42-
1er essai 18.5 90.65
2ème essai 18 88.2
3ème essai 19 93.1
4ème essai 18.5 90.65
Echantillon : 2
Essais Tb So42-
1er essai 17 83.3
2ème essai 18 88.2
3ème essai 16.5 80.85
4ème essai 16.58 81.24
Echantillon : 3
Essais Tb So42-
1er essai 17.5 85.75
2ème essai 17.5 85.75
3ème essai 20 89
4ème essai 19.5 94.55
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Dosage des sulfates par turbidimétrie
Principe :
Précipitation des ions sulfates par ajout de Bacl2 et déterminer turbidimétrique de
Baso4
Domaine d’application
La méthode est applicable aux acides verts de basse, moyenne et hautes teneurs en
ions sulfates.
APPAREILLAGES
-photomètre a fibre optique (METROHM 662)
Mode opératoire :
-Introduire directement la quantité pesée (PE) dans un bécher de 250 ml, ajouter 200
ml de HCLO4 a 35 ml /L
-noter l’absorbance
%S042- =
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PENTE=1.5
Echantillon : 1
Essais PE Abs %So42- So42- g/l
Echantillon : 2
Essais PE Abs %So42- So42- g/l
Echantillon : 3
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Comparaison entre les deux méthodes du dosage
D’après les analyses des échantillons 12 et 3 les résultats reçus du labo central des sites
ELJORF LASFAR
(Labo accrédité sous référence 17025)
Sont comme suit :
CONCLUSION :
Les résultats du labo central s’approche aux résultats de la méthode de dosage par
turbidimétrie
Donc la méthode le plus faible pour la conduite de la marche de production de l’acide
phosphorique et la maitriser des titres des sulfate libre c’est la méthode de dosage par
turbidimétrie
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Conclusion générale
Les travaux réalisés dans le cadre du présent projet avaient pour étude compérative entre
les méthodes d'analyse des sulfates libres j’ai appris les deux méthode d’analyse des sulfate
libre, et aussi connaitre L’impact de sulfate libre sur les grains de P2O5 ,
Dans cette période de stage qui a été très bénéfique pour moi, j’ai essayé de maitriser les
processus de fabrication d’acide phosphorique et ses différentes étapes de production dans les
unités de broyage, d’attaque-filtration, de stockage 29 % de P2O5, de concentration jusqu’à le
stockage d’acide 54 % de P2O5.
Finalement, grâce à ce stage j’ai pu mettre en pratique les compétences que j’ai
appréhendées notamment en ce qui concerne mes cours fondamentaux à l’université. Cette
opportunité m’a aussi permis d’apprendre à m’intégrer parmi les équipes de travail
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