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L´évaluation externe du
05 Septembre 2018
Politique d’évaluation & ses lignes directrices Annex I. Termes de Reference
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Politique d’évaluation & ses lignes directrices Annex I. Termes de Reference
Remarque :
Le Consultant sera responsable de son assurance personnelle et celle de son équipe pendant
l’évaluation.
Le consultant devra avoir ses propres équipements nécessaires à l’évaluation (ordinateur,
etc.).
Tous les frais induits par les activités de collecte des données et/ou de la diffusion des
résultats - ateliers, réunions, entretiens, etc. - seront à la charge exclusive de l’équipe
d´évaluation. Les frais de repas et logement, de visa d’entrée (si nécessaire) et de transport
international mais aussi à l’intérieur du pays seront à la charge du consultant. Au cas où le
consultant utiliserait les logements, véhicules ; et équipements d’Action Contre la Faim, un
payement adéquat pourra lui être demandé en remboursement. Tout personnel additionnel
recruté ou utilisé en dehors de l’équipe Action Contre la Faim sera à sa charge.
2. DETAILS DU PROGRAMME
Des activités de sensibilisation ont également été fournies afin de stimuler l’évolution des
comportements, notamment dans les bonnes pratiques nutritionnelles et hygiéniques.
La valeur ajoutée de ce projet repose sur : (i) l’approche communautaire pour le renforcement
de la résilience et l’autonomisation, (ii) le partenariat avec les collectivités locales et les
services techniques des ministères pour une amélioration durable de l’action et de la gestion
locale des crises, (iii) une approche holistique intégrant la sécurité alimentaire, la nutrition,
l’Eau, l’Assainissement et l’Hygiène et la Communication pour le Changement de de
comportement pour le renforcement de la résilience.
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ménages agro-pastoraux par le Cash For Work (CFW), le transfert monétaire inconditionnel
(UCT) et les Coupons Alimentaires (Vouchers).
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L'intervention proposée fait partie d'une stratégie globale pour la nutrition et la sécurité
alimentaire mise en œuvre par Action Contre la faim dans le Guidimakha.
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Pour assurer la durabilité de ces infrastructures, le projet a créé et formé des comités de
gestion d’eau au sein de la coopérative pour assurer la gestion adéquate des installations.
Pour tous les puits, les membres du comité sont composés de membres issus de la
coopérative maraichère des femmes :
La production de légumes par les coopératives de villages constitue le premier intérêt
des femmes dans la zone et reste une activité presque exclusivement féminine. Cette
production de légumes fait face aux difficultés suivantes : manque
d’approvisionnement en équipement, corvée du transport de l’eau, déficit de moyens
de transport, etc. L’action a eu pour but de fournir un soutien technique et des
équipements permettant aux femmes d’améliorer leur production, de diversifier leur
régime alimentaire et d’accroître leurs revenus. Des sessions de formation sur les
techniques de conservation des légumes comprenant l’assèchement des légumes ont
été également organisées en partenariat avec le représentant technique local et des
visites d’échanges inter coopératives ont été menées au profit des nouvelles
coopératives. La consommation de légumes dans les communautés locales où le
maraichage a été mis en œuvre a été valorisée par des sessions de sensibilisation sur
l’importance nutritionnelle des légumes et par des sessions de démonstration
culinaire.
Pour réduire la dépendance aux pluies, des infrastructures hydro-agricoles telles que
des digues, des barrages, etc. ont été restaurées pour renforcer les systèmes de
production agricole des ménages pauvres. Ce travail a été lié à l’activité du CFW. Ces
activités ont permis un accroissement important du rendement et de la superficie
emblavée : ce qui a contribué au renforcement de la résilience des populations
pauvres. Ce programme a permis aussi de répondre au besoin immédiat des
populations vulnérables : 850 bénéficiaires CFW ont été impliqués dans les activités
de sécurisation des cuvettes et de réhabilitation des infrastructures hydro-agricoles
dans 6 sites différents ; 75 autres n’ayant pas de force de travail ont bénéficié de
l’UCT.
Assistance alimentaire par le CFW (850 foyers) et l’UCT (75 foyers) pour 925 foyers/ 7400
personnes pendant la saison des cultures.
• L’assistance alimentaire a touché 925 ménages vulnérables qui ont bénéficié des
distributions de bon alimentaires et de cash pendant quatre mois. Au cours des
premiers mois les ménages ont reçu chacun une somme de vingt-deux mille
Ouguiya pendant deux mois. Les ménages ont bénéficié également d’une
distribution de vivres pendant deux mois composé de 50 kg de céréales, 5kg de
légumineuses et 5 L d’huile.
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- Le Cash : Au début des saisons creuses les marchés étaient bien approvisionné et les
co^t des denrées relativement abordable. Le montant a permet au ménages de
s’approvionner en produit de base et de couvrir leur besoin alimentaire.
- Les bons alimentaires : ils sont basés sur la volonté de contrer les risques d’inflation
des prix alimentaires, ainsi que tout risque d’isolation pendant la saison des pluies.
Ces bons ont été distribués aux foyers vulnérables et ont été échangés contre une
ration alimentaire par des hommes d’affaire locaux ayant préalablement consenti à
participer à cette opération. En effet, des accords de partenariat ont été signés entre
ACF-E et les hommes d’affaire afin de les amener à accepter les bons des
bénéficiaires en leur donnant l’équivalent en biens alimentaires (céréales, légumes,
huile). Une fois les bons collectés, les marchands les transmettent à l’ACF-E pour
remboursement.
- ACF-E a de l’expérience dans la distribution de bons alimentaires dans le Guidimakha.
Un contrôle de la qualité et de la quantité de ces produits a été réalisé sur la base du
suivi d’un panier de nourriture pendant la première distribution de nourriture. Par
ailleurs, un suivi post-distribution (PDM) a été mis en œuvre après la dernière
distribution pour collecter des informations sur le processus de distribution et évaluer
la pertinence de l’intervention, son appréciation et son impact immédiat sur la
situation alimentaire des foyers. Les facilitateurs d’ACF-E ont assuré le suivi de la
qualité et de la quantité de nourriture fournie par les magasins et ont évalué l’impact
indirect de l’activité sur la disponibilité des aliments de base tout au long du projet.
Réhabilitation de six puits traditionnels existant, équipement des pompes solaires et d’un
système d’irrigation.
• Trois puits appartenant à des coopératives de femmes ont été réhabilités et équipés
avec des systèmes de pompes solaires afin de faciliter l’irrigation. Ces six points d’eau
ont été équipés avec une pompe solaire et un système d’irrigation (petit réseau
d’adduction en eau). Pour assurer la durabilité de ces infrastructures, le projet a créé
et formé des comités d’utilisateurs d’eau pour assurer la gestion adéquate des
installations d’eau. Pour tous les puits, les membres du comité sont composés de
membres issus de la coopérative maraichère des femmes.
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en œuvre pour fixer et assurer la maintenance des installations : ce qui contribuera à
garantir la durabilité.
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3. BUT DE L’EVALUATION
Cette évaluation finale a pour objectif de mesurer le niveau d´atteinte des objectifs et
résultats du projet à la fin du programme du Projet d’appui au recouvrement des besoins
d’urgence et au renforcement de la résilience des populations vulnérables dans la région du
Guidimakha phase II.
Le Consultant évaluateur devra évaluer les changements obtenus dans les moyens d’existence
des communautés qui peuvent être attribués à l’intervention ainsi estimé la durabilité de ces
changements dans le moyen terme. A l’issue de cette évaluation, l’évaluateur devra donc
formuler des recommandations spécifiques visant à l’apprentissage organisationnel afin
d’améliorer la pertinence, l’efficacité, l’efficience, l’impact et la durabilité de futurs
programmes.
L’évaluateur utilisera les procédures et critères d’évaluation mentionnés au point 3.4 suivant.
Cependant, il devra fournir des réponses aux questions suivantes :
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Performance :
Ouvrages hydro-agricoles:
Quels sont les principaux résultats observés chez les agriculteurs par rapport aux
réhabilitations et réalisations des ouvrages de mobilisations des eaux de surface ?
Quels sont les résultats des sensibilisations sur les changements de
comportements des bénéficiaires par rapport à la prise en charge de l’entretien
et à la maintenance des ouvrages hydro-agricoles ?
Maraîchage :
Y-a-t-il eu des changements sur la diversité alimentaire et sur les revenus des
ménages qui peuvent être attribuables aux installations d’exhaure et d’irrigation
installées dans les périmètres maraîchers ?
Quel est le résultat de l’appui en maraîchage en terme d’amélioration du régime
alimentaire chez les enfants en bas âge (<5 ans) issus des ménages bénéficiaires ?
Viabilité/durabilité :
Quelles sont les facteurs de viabilité et de durabilité identifiés et les
recommandations à faire ?
i. Au niveau technique : Est-ce que les bénéficiaires ont la capacité technique de
maintenir en état les systèmes / infrastructures / techniques introduits par le
projet ? Les intrants / pièces de rechange et les artisans réparateurs…
nécessaires sont-ils disponibles localement ?
ii. Au niveau financier : Quelle est la volonté et la capacité des bénéficiaires à
payer ou à investir dans l’entretien et la maintenance des infrastructures (ex.
pour ouvrages de retenue, infrastructures d´irrigation, périmètres maraichers,
etc.)?
iii. Au niveau social : Quelles sont les améliorations en termes de structuration des
organisations de femmes, des comités de gestion des points d’eau et
l’implication des femmes dans les différentes interventions ?
iv. Au niveau environnemental : Quelles sont les impacts des activités sur les
ressources en eau, les pâturages et les conflits d’usage des ressources
naturelles ?
Quels sont les principaux points forts et faibles des activités du programme en
matière de structuration des comités de gestion des ouvrages hydro-agricoles et
infrastructures mis à la disposition des coopératives par le projet ?
Quels mécanismes d’appropriation des activités du programme par les autorités
locales (Service techniques de l’Etat et Communes) ont été mis en œuvre par le
projet ?
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Complémentarités et synergies :
Comment se complémentent les différentes interventions d’ACF dans la zone
d’intervention avec le projet cible de l’évaluation ?
Quels sont les synergies créées par la mission entre les différentes interventions
d’ACF ?
Efficience :
Est-ce que toutes les activités mises en œuvre ont été nécessaires pour l’achèvement
des résultats/objectifs du projet ?
Y a-t-il des activités auxquelles le programme n’a pas accordé une importance
suffisante, voire pas du tout prises en compte, et qui auraient été essentielles pour
atteindre les objectifs du projet ?
Participation :
La participation des bénéficiaires, des partenaires et des institutions locales a-t-elle été
suffisante ?
Quels sont :
o les points forts et les points faibles du programme ?
o les leçons apprises ?
o les activités à capitaliser ?
Apprentissage :
Quelles sont les recommandations / pistes d’amélioration pour une mise en œuvre plus
efficace d’une éventuelle suite de programme en termes de stratégie, d’approche
globale et de partenariat ?
Quelles améliorations sont à privilégier par rapport aux activités mises en œuvre
(aménagement hydraulique des périmètres maraîchers, sécurisation des sites de
production agricole, réhabilitation et réalisation des ouvrages hydro-agricoles,
communications pour le changement de comportement en Sante, Nutrition et Eau -
Assainissement) ?
Action Contre la Faim souscrit aux critères du Comité d’Assistance au Développement (DAC)
pour les évaluations : impact, durabilité, cohérence, couverture, pertinence, efficience et
efficacité.
Action Contre la Faim promeut également l’analyse systématique du système de suivi et des
questions transversales (genre, VIH/SIDA, etc.).
Toutes les évaluations externes d’ACF doivent utiliser les critères du DAC dans l’analyse des
données et le rapportage. Plus particulièrement, l’Equipe d’évaluation doit compléter le
tableau ci-dessous pour apprécier l’intervention et sa mise en œuvre en utilisant les critères
du DAC. Le tableau devra présenter dans une annexe du rapport final.
Notation
Critères (1=Faible, 5=Elévée) Justification
1 2 3 4 5
Conception
Pertinence
Cohérence
Couverture
Efficience
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Efficacité
Durabilité
Potentialité d’impact
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Note Définition
1. Insatisfaisant La performance a été constamment inférieure aux attentes dans la
plupart des domaines d'étude liés aux critères d'évaluation. La
performance globale pour les critères d'évaluation n’est pas
satisfaisante en raison de graves lacunes dans certains des
domaines. Des améliorations considérables sont nécessaires. Le
rapport d’évaluation contient des recommandations visant à
améliorer la performance et Action contre la Faim surveillera les
progrès enregistrés dans ces domaines.
2. Amélioration La performance n’a pas toujours été à la hauteur des attentes dans
nécessaire certains domaines de l’évaluation - la performance n’a pas répondu
aux attentes dans un ou plusieurs domaines d'étude essentiels. Il
faut faire des améliorations dans un ou plusieurs de ces domaines.
Le rapport d'évaluation contient des recommandations visant à
améliorer la performance et Action contre la Faim surveillera les
progrès enregistrés dans ces domaines clés.
3. Dans l'ensemble, Dans l’ensemble, la performance a répondu aux attentes dans tous
répond aux attentes les domaines essentiels de l’évaluation et la qualité globale du travail
était acceptable. Les éventuelles recommandations sur les domaines
pouvant être améliorés se trouvent dans le rapport d'évaluation.
4. Répond aux La performance a constamment répondu aux attentes dans tous les
attentes domaines essentiels de l’évaluation et la qualité globale du travail
était assez bonne. Les attentes les plus importantes ont été
satisfaites.
5. Exceptionnel La performance a constamment répondu aux attentes grâce à la
haute qualité du travail fourni dans tous les domaines essentiels de
l’évaluation, et la qualité globale du travail a par conséquent été
remarquable.
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3.6. Méthodologie
Avant que l’évaluation commence sa phase de terrain, l’évaluateur devra faire une revue des
documents les plus significatifs du projet, stratégiques et de contexte qui seront transmis par
Action Contre la Faim en majorité. Cette étape permettra à l’évaluateur de préciser le cadre
de l’évaluation (afin de permettre de mieux cerner l’attribution des changements observés à
l’intervention), d’élaborer les outils à utiliser et de planifier/organiser l’agenda des activités
sur le terrain au préalable.
A l’issue de cette étape, l’évaluateur fournira le Livrable n0 1 constitué des documents relatifs
à la méthodologie de l’évaluation, à l’échantillonnage, aux outils de collecte et à l’agenda
définitif.
L’évaluateur devra être briefé par siège au départ et à l’arrivée à la mission d’Action Contre la
Faim. La possibilité de briefings téléphoniques/skype doit être discutée et accordée au
préalable.
Afin de recueillir les besoins en information du bailleur, une réunion avec le point focal du
bureau technique FFP/ USAID est souhaitable.
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L´équipe évaluatrice devra collecter une série de données. Cela inclut (mais n’est pas limité
à) :
• des informations directes : entretiens avec les bénéficiaires, visites du projet et revue
des commodités offertes aux bénéficiaires.
• des informations indirectes : entretiens avec les représentants locaux ; entretiens
avec l’équipe du projet et du bailleur ; réunions avec les autorités locales, groupes de
bénéficiaires, agences humanitaires, représentants des bailleurs de fonds et autres
parties prenantes. Pour la collecte de données indirectes, des méthodes d’évaluation
standards et participatives doivent être utilisées (entretiens avec les unités familiales
et focus group discussion avec les bénéficiaires, non-bénéficiaires, informateurs clés,
relais communautaires, enseignants et leaders).
• l’analyse des informations secondaires : cela comprend l’analyse des données du suivi
du projet ou de toute autre donnée statistique pertinente.
L´équipe évaluatrice réalisera une présentation des résultats préliminaires (Livrable n02) aux
principaux acteurs de l´intervention (représentants des communautés ayant bénéficié du
projet, des communes, d’Action Contre la Faim, de USAID/FFP de Nouakchott ; des
Délégations Régionales des Ministères de l’Agriculture et aussi de l’Hydraulique et
Assainissement. A cette occasion, seront recueillies les contributions des participants qui
seront intégrées à l’analyse et au rapport final. Cette présentation se fera selon les modalités
suivantes :
• Deux sur le terrain lors d’un Atelier Régional réunissant les principaux acteurs et une
réunion avec USAID/ FFP et Action Contre la Faim à Nouakchott.
• Une au siège (en personne ou par téléconférence).
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Le rapport doit être soumis dans la langue spécifiée dans les TDRs. Le rapport ne doit pas
excéder 30 pages (Annexes non comprises). Le rapport préliminaire ne devra pas être soumis
plus de 10 jours calendaires après le départ du terrain. Le rapport final ne devra pas être
soumis plus tard que la date de fin du contrat de consultance. Les Annexes du rapport seront
acceptées dans la langue requise pour effectuer l’évaluation conformément au point 1.2.
L’évaluateur devrait effectuer un débriefing avec le siège d’Action Contre la Faim concerné
sur son rapport préliminaire, les principaux résultats, constats, conclusions et
recommandations de l’évaluation. Les retours et commentaires pertinents devraient être
inclus dans le rapport final.
Période/Semaine
Activités
S1 S2 S3 S4 S5 S6 S7 S8
Etude documentaire, préparation du travail de terrain et
X X
préparation du Rapport préliminaire
Entretiens avec le personnel de la coordination de
X X
Nouakchott
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4. PROFIL DE L’EVALUATEUR
1
Un document Power Point (ou autre support) doit être envoyé au moins un jour avant le débriefing avec la coordination.
2
Un document Power Point (ou autre support) doit être envoyé au moins un jour avant le débriefing avec le siège ce document devra être
dans la mesure du possible révisé des commentaires émis par la coordination pays
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5. DROITS
ACF est le destinataire principal de l’évaluation et ses résultats pourraient avoir un impact sur
les stratégies tant opérationnelles que techniques. Ceci étant dit, il est probable qu’Action
Contre la Faim partage les résultats de l’évaluation avec les groupes suivants :
• Donateur(s) ;
• Partenaires gouvernementaux ;
• Entités de coordination variées.
Tous les documents liés à l’évaluation (dans le cadre ou non des taches de l’évaluateur),
doivent demeurer la propriété seule et entière d’Action Contre la Faim.
6. ETHIQUE
Action Contre la Faim accordera une attention particulière au respect des valeurs éthiques
dans le déroulement de l'évaluation et en particulier :
• à l'indépendance de l'équipe d'évaluation ;
• au respect de l'anonymat et de la confidentialité des personnes interrogées ou des
sources de vérification ;
• à l´attention particulière portée à l'intégrité des membres de l'équipe d'évaluation, la
rigueur et le respect de l'exactitude des données utilisées pour l'analyse et les
résultats du rapport.
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