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Texte 1 :

Le couscous, Mila, Fête du couscous : Préserver et valoriser le patrimoine culinaire


algérien.
Qu’on l’appelle seksou, couscous, naâma, taâm ou berboucha, il s’agit du même
plat, fabriqué selon les mêmes procédés depuis des millénaires, même s’il est servi
ou accommodé de mille façons.
Les habitants de l’Afrique du Nord connaissent le couscous depuis la nuit des
temps, une période que les spécialistes situent entre 238 et 149 ans avant J.C.
Le couscous constitue l’alimentation de base des maghrébins et leur plat national,
intimement rattaché à leur mode de vie et leurs traditions nées autour de leur
activité principale, à savoir la culture des céréales en général et du blé dur en
particulier, le couscous constitue un repas complet car il allie la semoule cuite à la
vapeur, aux légumes secs tels que le pois chiche (hommos), les fèves et les
légumes frais, ainsi que les viandes.
« Nos ancêtres ont su ainsi accommoder les aliments dont ils disposent dans un
seul plat à haute qualité nutritive et présentant également les qualités du goût et la
bonne digestion »

Texte adapté.
Texte 2
La cuisine Milevienne (de la wilaya de Mila)
La cuisine milevienne possède un patrimoine culinaire riche. avec des plats, des
recettes et des friandises parfois communes à toute la région Est de l’Algérie, mais
aussi très spécifiques à notre terroir de notre wilaya , témoignant ainsi à la fois de
notre unité culturelle riche , mais aussi de de la diversité de notre culture ,
conditionnées par notre géographie,notre climat, et notre histoire commun de toutes
les communes de la wilaya
Le couscous , chakhchoukha et la chorba sont nos plats les plus emblématique, il
font partie des recettes de cuisine les plus connus et les partagés a travers toute la
wilaya .
On peut aussi citer plusieurs plats traditionnel comme Trida, R'fis , El Mesfouf ,
Chtitha, El Kefta , Lamhaouar, Tajine Lahlou ,Bouzelouf
Laghreiffs ,Sefnedj,Tamina , Bourek , Lemhadjeb ( accompagné d'un soupçon de
harissa c est un délice) et beaucoup d autres plats et Tadjines traditionnels et
contemporain riches et variés quand en on trouve surtout sur notre table de
ramadan accompagnés du bon pain traditionel (El Kessra matloae , Kessra
Rekhssis reguiga et Khobz Addar).
la cuisine Mileviennes (toute la wilaya de mila) est un art et une affaire de famille.
Comme dans toutes les autres régions de pays .
Texte adapté.
Texte 3
La robe Kabyle
L’ancienne robe Kabyle été faite de laine blanche tissée, une seule pièce ouverte
par une fente sur la poitrine. Les anciennes robes Kabyles n’avaient pas de
manches, mais étaient assez grandes pour recouvrir les bras. La robe Kabyle était
accompagnée de ce qu’on appelait axellal, une sorte de manteau d’hiver qui
protégeait la femme Kabyle du froid. La ceinture était aussi présente, faite de laine
et enroulé une dizaine de fois autour de la taille.
Cousue à la machine à partir de plusieurs pièces à présent, elle peut comporter des
manches courtes ou longues comme elle peut être sans manches, elle est fendu par
devant et décoré comme sur le dos et le bas de la jupe avec des rubans qu’on appel
Zigga.Une partie du corsage nommé iciwi sert de poches aux femmes kabyles qui
s’en servent pour cacher leurs économies.La jupe est recouverte d’une fouta
(lfoudha), un tissu multicolore (souvent noir, rouge et jaune) noué au niveau de la
taille.
Les femmes Kabyles portent leurs plus belles robes en soi pour celles qui en ont les
moyens les jours de mariages Kabyles, signes de richesses accompagnés de bijoux
Kabyles.
Texte adapté.

Texte 4
Le Binouar Staifi.(Robe Traditionnelle de Sétif).
C’est la robe traditionnelle des sétifiennes , caractérisant l’habit féminin de toute la
région de Sétif . L’étymologie de ce terme n’est pas bien connue . Pour certains il
dériverait du mot « peignoir » et pour d’autres c’est la transcription du mot arabe
dialectal « bi nouar » , c’est à dire « avec des fleurs » .Il s’agit d’une robe ample et
large, dépourvue de manches , avec une certaine échancrure au niveau de la
poitrine.Elle est en général perlée et avec des paillettes et comprenant la dentelle .
Le top du top de ce binouar s’appelle « Charb Ezdaf.
C’est l’habit incontournable du trousseau de la jeune mariée sétifienne .Elle est pour
Sétif ce qu’est la gandoura » Fergani » pour les constantinoises .C’est une robe à la
broderie trés fine , comprenant toute sorte de fleurs allant de la rose à la marguerite
brodées en soie . Les nombreux tailleurs et confectionneurs, notamment ceux de l’
avenue Ben Boulaid rivalisent d’ingéniosité pour mettre au point des modèles aussi
attirants les uns que les autres avec toujours des couleurs flamboyantes.
Texte adapté.
Texte 5
Le tapis

L'origine du tapis berbère remonte à l'ère paléolithique et a été fait par les Berbères
en Afrique du Nord. Le tissu filé à la main qu’ils ont créé a été nommé pour la tribu,
et ils ont utilisé les fibres naturelles pour créer des manteaux, des tapis et autres
tissus. Ils pourraient être faits avec de la laine des moutons qui vous garde au
chaud dans en hiver et la fraîcheur en été. Ils pourraient aussi être trouvés dans en
poils de chameau et en fibres synthétiques pour les personnes allergiques aux
produits d'origine animale.
Le terme Berbère été un nom donné aux originaux d'Afrique du Nord connus sous le
nomde Imazighen (Amazigh au singulier).
Les Tapis berbères faits à la main sont toujours une industrie active dans de
nombreuses zones rurales des pays d'Afrique du Nord. Beaucoup de familles
berbères gagnent leur pain quotidien dans des fabrications manuelles de tapis et
ensuite les vendre sur les marchés locaux ou même à des marchands d'art et des
touristes. Le Tapis berbère traditionnel est totalement différent de ceux produits en
masse a la machine comme ceux produits en Occident. Les vrais sont beaucoup
plus sophistiqués et sont faits de matériaux naturels.
Un tapis peut prendre des mois pour finir et généralement fait par les femmes
Amazighs. Les femmes écrivent des messages sur le tapis en forme de ceintures,
chaque ceinture contient un message écrit en Tamazight et des symboles amazigh.
Ce tapis sera ensuite offert à leurs futurs maris comme une promesse et leur
souhait d'un grand mariage et la vie ensemble. Ces ceintures sont appelées «La
ceinture de la mariée".
Tous ces tapis modernes produits en masse à l'ouest qu'ils appellent "Tapis
berbère" ont raté ce point historique extrêmement important, qui, par conséquent
déprécie leur qualité et leur rareté.
Si jamais vous achetez un tapis berbère, acheter le vrai ; fait par les Berbères
d'Afrique du Nord, et personne d'autre!
Texte adapté.

Texte 10
La musique kabyle
La musique et le chant kabyles sont d'une grande richesse. Ils jouent un rôle
important dans la vie des populations, ponctuant les moments forts de la vie
quotidienne: mariage, naissance, circoncision et les fêtes religieuses. Des
musiciens et des poètes parcourent des villages et des places publiques pour
déclamer et chanter leurs compositions. Les poèmes sont toujours soumis au
rythme musical, ce qui fait qu'ils peuvent être aussi bien lus que chantés.
Les instruments de la musique traditionnelle utilisés en Kabylie sont frustes (le plus
commun est le tambour appelé diversement t'bel), il faut citer aussi abendayer,
thizemmarine, ajouak, l'ghidha). Ces instruments de musique traditionnelle sont
utilisés généralement par des troupes musicales appelées idhebbalen. Il existe deux
sortes d'instrument; ceux à percussion et ceux à vent.
Texte adapté.

Texte 11
La musique folklorique traditionnelle de Saida
L'art musical revêt plusieurs significations sociales et anthropologiques qui portent
un message d'un groupe humain qui lutte contre les conditions sociales et
l'environnement géographique ou il évolue.
Aussi, les genres musicaux folkloriques répandus a travers la région de Saida ne
s'écartent pas du milieu naturel qui s'est transforme en patrimoine culturel
spécifique.
La musique folklorique des « Qawarir » est une musique traditionnelle qui utilise de
simples instruments fabriques avec des matières disponibles dans la région tels que
le tambour, le « Mezoued » qui est fabrique de la peau de chèvre, « el wadaa » et
d'autres instruments qui donnent un genre artistique différent de ceux qui existaient
par le passé.
Quant à cette musique, elle exprime la dureté de la vie dans la région comme les
dangers de la nature, la lutte pour l'eau, l'herbe et la nourriture pour les êtres
humains et les animaux domestiques qu'ils élèvent.
Cette musique exprime le vécu d'une catégorie sociale durant des périodes précises
telle que « la Sara » qui est une danse accompagnée d'une musique forte avec le
bruit du « baroud » et les carabines traditionnelles qui représentent les guerres et
les luttes entre les tribus et qui ont été incarnées par la suite dans des tableaux
artistiques expressifs qui en renferme des réalités. Celles – ci constituent
actuellement un message historique qui retrace les différentes périodes de la vie
représentées par des associations culturelles dont nous pouvons citer Moulay
Tayeb, Fenoughil Okbane, etc…
Texte adapté.
Texte 12
Musique algérienne
L’Algérie est réputée pour son patrimoine culturel riche et varié. La musique
algérienne ne déroge pas à la règle, elle est le résultat de siècles d’histoire, de
métissage et dévolution.
La musique algérienne : Chaâbi,Classique arabo-andalou,Kabylie,Gnawi
Rai,Malouf,Hawzi,Rap algérien s’illustre avant tout par sa diversité. Influencée d’une
part par la colonisation et l’immigration (Espagne, France …), et d’autre part par les
différents groupes ethniques issus d’une même origine Berbère (kabyles, chaouis,
touaregs, mozabites …)
La musique algérienne s’est forgée dans le mélange des genres et dans la
constante recherche d’innovation.
Texte adapté.

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