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REMERCIEMENTS

Nous voici au terme de cycle en Géométrie. Nous tenons avant tout à


remercier l’Eternel YHWH à qui nous devons toutes nos réalisations pour nous avoir
accordé la grâce de terminer notre formation.

Nos remerciements à la coordination et au corps professoral de l’ENAC-


TI en général pour leurs enseignements dispenser.

Nos sincères gratitudes particulièrement à Monsieur le Secrétaire


Général Académique de l’ENAC-TI : NGUNA MPINA Martin et prof SANGANI MUTEBA
Joel pour leur attention soutenu à notre égard au cours de notre parcours de
formation académique.

Nos remerciements vont particulièrement aussi aux nos encadreurs


dont nous citons Prof. KATENDE NGOIE Alphonse, Prof. SANGANI Joel, Prof.
LUKENGI KABATA Ernest et Ass. NTAMBWE Jessé pour l’encadrement au stage et le
suivi afin de réaliser ce travail.

Nous remercions également Mme YAKOLA Ruphine, M. KWETO Alain


pour leur soutenance à cette formation.

Nos remerciements aux collègues d’équipe de travail: MUPUNGU


MADINDA Hervé, MAFUTA MALIMWINI Trésor, KAYANDI MIANO Freddy pour la
participation et contribution scientifique enfin d’aboutir à ce résultat.

Nos remerciements aussi aux collègues, amis et connaissances tels


que : IYOLO LOLIKI Eric, KATUSI BISELENGE Didier, BAKEDI KADI Candy, NIANGI
TSOLUKA Martine, LANDU FUMBI Patrick, PULUMBA YVON, MBETE DI MBETE
Cyprien, NAKWETI ALESHU Alain, BAYA PANDA Hassan,… Pour leurs soutiens moral
et financier.

Nous remercions aussi la grande famille de l’église PAROLE DU SALUT


et LA PUISSANCE en général, Pasteur KITENGE Emmanuel, Pasteur EKWA David, Fr
BERYL LOFASA, Fr THEOPHILE LUBALA, … pour le soutien spirituel.
2

Merci infiniment à ma famille, filles et fils : BUTIESA LANDUMAU


Patience, DIAMBU LANDUMAU Tegraçia, WETE SUANA Ornela, KIBEBA LANDUMAU
Lebien, KWANZA LANDUMAU Milca, … pour leur patience et soutien financier.

Merci également aux tout collègues, amis et connaissances qui ont


contribué de loin ou de prêt pour la réussite de ce travail.

LANDU MAU SUANA BIENVENU LEBIEN


3

SOMMAIRE

REMMERCIEMENTS…………………………………………………………………………………………………………………. I

SOMMAIRE………………………………………………………………………………………………………………………………. II

SIGLES ET ABREVIATIONS…………………………………………………………………………………………………………. III

RESUME………………………………………………………………………………………………………………………………….. IV

INTRODUCTION GENERALE…………………………………………………………………………………………………..... 1

1. Problématique …………………………………………………………………………………………………………… 1
2. Hypothèse ………………………………………………………………………………………………………………….. 2
3. Méthodes …………………………………………………………………………………………………………………… 2
4. Délimitation Spatio-temporelle ………………………………………………………………………………….. 2
5. Difficultés rencontrées ……………………………………………………………………………………………….. 2
6. Subdivision du travail ………………………………………………………………………………………………….. 3
7. Clarification des concepts de base ………………………………………………………………………………. 3

PRESENTATION DU MILIEU DU TRAVAIL « CNPP/UNIKIN » ………………………………………………………. 5

1. Historique ……………………………………………………………………………………………………………………. 5
2. Mission …………………………………………………………………………………………………………………………. 5
3. Délimitation du site ………………………………………………………………………………………………………. 5
4. Relief …………………………………………………………………………………………………………………………….. 5

PREMIERE PARTIE : ETUDE SUR LE SUJET …………………………………………………………………………………… 6

Chapitre 1. SORTES DES MESURAGES LINEAIRES ET ANGULAIRE, CALCULS, ERREURS ……………….. 7

1. Mesurages des distances par comptage de pas ……………………………………………………………… 7


2. Mire parlante …………………………………………………………………………………………………………………. 8
3. Passomètre …………………………………………………………………………………………………………………… 9
4. Podomètre ……………………………………………………………………………………………………………………. 10
5. Ruban …………………………………………………………………………………………………………………………… 10
6. Mesurage des distances avec une chaine d’arpentage ……………………………………………….. 11
7. Théodolite ……………………………………………………………………………………………………………………… 12
8. Station totale …………………………………………………………………………………………………………………. 13

CONCLUSION DU CHAPITRE 1 ……………………………………………………………………………………………………… 15

Chapitre 2. METHODE DE MESURAGE …………………………………………………………………………………………. 16

A. MESURAGE DES DISTANCES HORIZONTALES ………………………………………………………………….. 16


B. FAUTES ET ERREURS ………………………………………………………………………………………………………… 17

DEUXIEME PARTIE : LES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUE …………………………………………………………………… 19

Chapitre 1. TRAVAUX REALISER SUR TERRAIN ……………………………………………………………………………… 20

1. Choix et visite sur le terrain ……………………………………………………………………………………………… 20


2. Croquis à main levé …………………………………………………………………………………………………………. 20
4

3. Croquis de situation ……………………………………………………………………………………………………….. 21


4. Croquis de repérage ……………………………………………………………………………………………………….. 21
5. Levés de détails (linéaires et angulaires) …………………………………………………………………………. 21

Tableau des levés des détails (angulaires et linéaires) ………………………………………………………………… 22

Chapitre 2 : TRAVAUX DE BUREAU ……………………………………………………………………………………………….. 26

1. Calcul des distances horizontales par rapport à la station 1 …………………………................... 26


2. Tableau des calculs linéaires …………………………………………………………………………………………… 27
3. Report sur le plan ……………………………………………………………………………………………………………. 31

CONCLUSION ………………………………………………………………………………………………………………………………… 32

BIBLIOGRAPHIE ……………………………………………………………………………………………………………………………… 33
5

SIGLES ET ABREVIATIONS

UNIKIN : Université de Kinshasa

ENAC-TI : Ecole Nationale du Cadastre et des Titres Immobiliers

DH : distance horizontale

DP : distance pente

V : angle verticale

v ou gr : symbole de l’unité angulaire grade

H : angle horizontale

UTM : Universal Transversal Mercator

NP : nombre de pas

GPS : système de positionnement global

SIG : système d’information géographique

LS : lecture supérieure

LI : lecture inférieure

LN : lecture niveleur

m : mètre

GEA : gestion de l’environnement et assainissement

IFAD : institut facultaire de développement

POH : pavillon ouvert aux hommes

MAF : Ministère des affaires foncières

Sup : superficie

P : périmètre

^ : Angle

CNPP : Centre Neuro-Psycho-Pathologique


6

RESUME

La formation des techniciens du cadastre entre autres les


géomètres du cadastre a été très capitale et bénéfique pour nous, géomètres du
cadastre.

Elle nous a permis de palper le doigt aux réalités du monde


topographique cadastral, durant nos trente jours de stage au site CNPP, dans un
contexte professionnel, et d’amélioration de nos connaissances techniques dans ce
domaine.

Notre travail a porté sur les différentes sortes de mesurage


linéaire, les calculs et erreurs, et a été subdivisé en deux grandes parties : Etude sur
le sujet et les travaux topographiques.

Notre préoccupation était de savoir ; les méthodes à appliquer


pour les mesurages linéaires et calcul de ce type de terrain.

Nous nous sommes approuvé que par rapport aux matériels


qu’on possédait, nous avons appliqué les méthodes de chainage direct et indirect
pour les mesurages linéaire direct et la méthode de levé trigonométrique pour les
mesurages linéaire indirect.

Deux (2) stations de base, ont été créé So et S1 qui étaient les
points de référence de notre polygonal
7

INTRODUCTION

1. Problématique

En République Démocratique du Congo, « le patrimoine foncier de l’Etat


comprend un domaine public et un domaine privé »1

Ainsi toutes répartition, classification, division, lotissement, délimitation, … de terre


y-tirent référence.

Toute portion de terre doit être délimité par son périmètre et ou sa


superficie. Et cette délimitation doit être effectuée par les procédés de mesurage et
bornage ou de simple délimitation de terre. Ces délimitations, mesurages et
bornages officiels des terres sont exécutés par les techniciens du cadastre
(arpenteurs, géomètres) et géomètres agrées.

Le ministère des affaires foncières dans son service du cadastre par le


biais de son Ecole Nationale du Cadastre et des Titres Immobiliers ENAC-TI en sigle ,
forme les techniciens du cadastre (arpenteurs et géomètres), dont l’une de ses
attributions porte sur le mesurage et bornage ou simple délimitation des terres
cédées ou concédées par l’Etat, et celle que l’Etat utilise à son propre usage2.

Le levé topographique consiste à effectuer des mesurages linéaires,


angulaires et niveleurs, dont nous étions appelés à les effectuer. Le terrain de
l’UNIKIN est vaste, avec ses reliefs très accidentés et complexes, il reste à nous
(techniciens) d’approuver sa superficie par les mesurages linéaires.

Il reste à savoir :

 Quelles sont les méthodes à appliquer pour les mesurages linéaires et


calcul de ce type de terrain?

1
Art.54 Loi Foncière
2
MIANSI AKONDA, R. Le Cadastre au Congo, notes de cours, ENACTI 2018, p.28, Inédit
8

2. Hypothèse

A la lumière de cette question, nous approuvons que, compte tenu des


matériels qu’on possédait, nous avons appliqué les sortes des mesurages linéaires
suivantes :

 Mesurage linéaire indirect et


 Mesurage linéaire direct.
3. Méthodes

Méthodes à utiliser dépendant des instruments qu’on a à sa disposition


ou degré d’exactitude que l’on veut avoir. Suite aux instruments qu’on a à
disposition, nous avons opté aux méthodes ci-après :

 Mesurage linéaire direct


 Méthode de chainage direct
 Méthode de chainage indirect
 Mesurage linéaire direct
 Méthode de levé trigonométrique
4. Délimitation spatio-temporelle

Comme tout travail scientifique, notre travail est limité dans la


période du 25 juin au 25 juillet 2019 et le site de CNPP derrière le POH/CNPP était
notre espace choisie pour la matérialisation dudit travail.

5. Difficultés rencontrées

Nous tenons à signaler que la tâche sur le terrain n’a pas été facile car,
dans un premier temps y avait la mal interprétation de la population riveraine au
sujet de notre descente qui nécessite à les expliquer à chaque fois.

 Ce site est souvent fréquenté par des inciviques et des personnes à des
maladies mentales (psychologique).
 Lors des travaux, on se rencontre parfois avec des serpents.
9

6. Subdivision du travail

Hormis l’introduction et la conclusion, notre travail s’est subdivisé en


deux grandes parties :

Première partie : ETUDES DU SUJET

Deuxième partie : PRATIQUE SUR LES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES


REALISER SUR TERRAIN

7. Clarification des concepts de base en topographique


1. Topographie : c’est la description de lieu sur un plan horizontal et avec tous
les détails possibles3.
2. Planimétrie :
 C’est l’étude de la composition du terrain
 C’est la mesure faite sur un plan horizontal
 Elle est la représentation en projection plan de l’ensemble de détaille de
terrain en deux dimensions sur un plan topographique4.
3. Arpentage : c’est une partie de la planimétrie qui s’occupe des mesurages
des calculs et de la représenter sur un croquis5.
4. Levé topographique : c’est l’ensemble des opérations qui consiste à
recueillir les éléments ou les données du terrain en vue de réproduire le plan
topographique pour avoir un croquis topographique. Pour avoir un croquis
topographique, on doit descendre sur terrain c'est-à-dire : « Mesurer, calculer,
dessiner » 6.
5. Mesurage linéaire : c’est le mesurage usité en arpentage.
6. Chainage : le mesurage de distance au moyen de ruban ou chaine
d’arpenteur.
7. Chainage linéaire direct : qui se fait à l’aide d’un ruban sur un terrain plat.
8. Chainage indirect : c’est le chainage qui se fait à l’aide d’un ruban, sur un
terrain à ondulation variée.
9. Chainage par cutellation : chainage qui se fait sur un terrain en pente.

3
FONO, Y.L., Topographie, Notes de Cours, G1/ENACTI, 2018-2019, Inédit
4
BILA BILA MUSASA, B. Topographie, Notes de cours, L2 GEA/IFAD, 2012-2013, p.1, Inédit
5
FONO, YL, op.cit, p. 16
6
Idem
10

10. Distance partielle : c’est la distance mesurée partiellement sur un


alignement donné ; d’une borne à l’autre, il n’y a pas de longueur totale.
11. Distance cumulée : c’est la distance mesurée sans interruption, c'est-à-dire la
distance du départ à la fin, la distance totale est donnée7.
12. Mesurage linéaire indirect : c’est le mesurage qui se réalise à l’aide d’un
appareil optique. La distance cherchée étant ou calculée à partir des mesures
angulaires.
13. Calcul topométrique : traite numériquement les observations des
distances, des angles et des dénivelés pour trouver les coordonnées X, Y et Z.
14. Erreurs linéaires : c’est sont des petites inexactitudes et inévitable dues aux
imperfections des instruments et ou des sens de l’operateur8.
15. La portée du ruban : c’est la longueur exacte d’un ruban.
16. Point géodésique : c’est un point dont la position sur la terre a été
déterminé précisément grâce à la géodésie en utilisant la triangulation9.
17. Tachéomètre : c’est un appareil topographique qui combine un théodolite et
un dispositif de mesurage de distance10.
18. Nivellement ou altimétrie : il détermine les cotes ou altitudes des
différents points d’un terrain par rapport à une surface de comparaison11.
19. SIG : Système d’Information Géographique. C’est un système d’information
conçu pour recueillir, stocker, récolter, traiter, analyser, gérer et présenter
tous des données géographiques ou études sur l’information géo-spatiales12.

7
YANDEI OLAKOO, A., Arpentage, Notes de cours, ARPENTAGE/ENACTI, 2017-2018, p.3, Inédit.
8
FONO, op. cit, p. 5
9
Wikipédia le 07/09/2019
10
BILA BILA, B., op. cit, p. 1
11
DALLE, A., DE WAELLE, C., Géométrie plane et élément topographique, WESMAEL-CHARLIER, Bruxelles, 1961,
p. 404
12
SANGANI MUTEBA, J. Informatique Appliquée, Notes de cours, G2 GEOM. /ENNACTI, 2018-2019, p.25, Inédit.
11

PRESENTATION DU MILIEU DU TRAVAIL « CNPP/UNIKIN »

1. Historique

Le centre CNPP a été inauguré le 02 janvier 1973.

Sa construction sur le site de l’UNIKIN faisait suite au déplacement vers


Kinkole du centre Psychiatrique de Ngaliema. Les autorités de l’époque avaient jugé
qu’il était impossible de maintenir cette institution de santé à proximité de la
résidence présidentielle et du complexe qui allait devenir plus tard la cité de l’OUA.

Ce transfert par bonheur, avait conduit la présidence de la république à


accepter l’idée de construire un hôpital spécialisé rattaché au départ du département
de la médecine interne des cliniques universitaires de Kinshasa.

2. Mission

Le centre s’est assigné une triple mission :

 La recherche sur les maladies mentales


 L’enseignement et les services à la communauté (prise en charge des
malades présentant des problèmes neuropsychiatriques)
 Diverses investigations spécialisées13.

3. Délimitation du site

Notre site se situé tout au long de la route KIMWENZA au sein de


l’UNIKIN dans la commune de Lemba, faisant frontière avec les communes de Mont-
Ngafula et Kinseso.

4. Relief

Le relief de notre site est constitué des collines et des reliefs


accidentels.

13
Secrétariat, CNPP/UNIKIN
12

PREMIERE PARTIE :
ETUDE SUR LE SUJET

Dans cette partie, nous allons parler sur les différentes sortes des instruments
des mesurages en topographie sur des terrains plats et accidentels leurs erreurs et
calculs et nous allons effectuer des comparaisons nette et claire.
13

CHAPITRE I. SORTES DES MESURAGES LINEAIRES, CALCULS ET ERREURS

1. Mesure des distances par comptage des pas

Les distances peuvent être mesurées approximativement en comptant le


nombre des pas autrement dit, vous devez compter le nombre de pas normaux
effectués pour franchir la distance entre deux points en ligne droite (pas sur un
terrain accidentel).

Pour faire une mesure précise aux pas, il faut connaitre la longueur
moyenne de votre pas (par estimation), lorsque vous marchez normalement cette
longueur est appelée pas normal. La mesure du pas se fait toujours depuis le bout de
l’orteil du pied arrière jusqu’au bout de l’orteil du pied avant.

Pour une meilleure précision sur un terrain à plat, nous devons


prolonger l’alignement ou en marchant en ligne droite jusqu’au dernier point, puis
comptons les pas et mesurer la distance AB en mètres et calculez le coefficient de
pas en mètres (CP).

La mesure au pas de distances horizontales, toujours marche à suivre


comme dit ci-haut, on multiplie le nombre de pas NP par le coefficient de pas CP (en
mètres) afin d’obtenir une approximation approchée de la distance entre mètres.

a) Calcul de distance horizontale

CP= ̅̅̅̅
𝐴𝐵 : 100

DH= NP x CP

CP : coefficient de pas

AB : distance mesuré au ruban après comptage de pas.

NP : nombre de pas

DH : distance horizontale du terrain

100 : coefficient de comptage de pas (c’est une convention)


14

b) Erreurs

L’erreur est par rapport à la distance (par 100m) tant que le nombre de
pas est grand, l’erreur s’accroit.

Pour le comptage de pas l’erreur est de 1 à 2 mètres au moins.

2. La mire parlante

Une mire parlante est une règle graduée en centimètre permettant de


mesurer les distances indirectes à l’aide d’un appareil topographique appelé
théodolite.

Les lectures sur la mire se font à partir du réticule, composé de trois fils
qui sont :

 Fil stadimétrique supérieur (FSS) ou fil supérieur (FS)


 Fil niveleur (FN)
 Fil stadimètrique inférieur (FSI) ou fil inférieur (FI)

Lors de la lecture sur la mire, le fil supérieur est appelé lecture


supérieur (LS) ; le fil niveleur est appelé lecture niveleur (LN), le fil inférieur est
appelé lecture inférieur (LI).

Comment effectuer la lecture sur la mire parlante :

Réticule

Fil stadimétrique supérieur (FSS)

Fil niveleur

Fil stadimétrique inférieur (FSI)

Fil axial

Le 1 représente le mètre (m) et le 3 le décimètre le


décimètre (dm)

Chaque graduation égale à 1cm (centimètre)


Apprécier la position exacte en mm (millimètre)
15

a) Calcul de distance

Le calcul de distance est fait à partir des lectures faites sur la mire et
par là, on calcul la distance pente (DP) c’est-à-dire la distance faite sur la lunette
topographique jusqu’à la mire.

DP= (LS-LI) x 100 ; DH= DP x SIN2 V

b) Erreur

L’erreur sur la mire est faite, si la distance depuis l’appareil


topographique s’éloigne à plus ou moins 150m et si on utilise une mire en
aluminium, il aura une erreur de précision des lectures.

Si la mise en station de l’appareil topographique est très mal faite nous


aurons aussi une erreur des lectures. Une autre erreur est la mauvaise mise station
de la mire, il faut que la mire doit être verticale et c’est conseillé de superposer la
mire sur son trépied.

3. Passomètre

Le passomètre est un appareil permettant d’enregistrer mécaniquement le


nombre de pas contenant; une aiguille indique le nombre de pas. Le passomètre
est sensiblement de la taille d'une montre comme montre la figure ci-dessous et
nous devons le porter sur nous. L’aiguille montre le nombre de pas.

a) Calcul de distance

Le calcul de distance sur le passomètre est idem avec le comptage à pas.

b) erreur

L’erreur aussi est idem.


16

4. Le podomètre

Le podomètre est un dispositif similaire, mais qui enregistre les distances.


Celles-ci sont exprimées généralement en kilomètres.

a) Calcul

Ici les distances horizontales sont enregistrées automatiquement à l’aide de cet


appareil.

b) Erreur

Pour bien vérifier le podomètre il faut avoir une idée sur le comptage à pas, afin
de vérifier si la distance que nous avons compté vérifie celle qui est enregistré sur
l’appareil et de comparer s’il y a une erreur de comptage, s’il y a une erreur nous
devons régler l’aiguille. L’erreur est de 1 à 2 m au moins.

5. Ruban

Un ruban d’arpentage est composé d’un ruban en toile et en acier mesurant 6


mm de large et 30 à 100 m de long. Le ruban est étalonné en mètres, décimètres et
centimètres.

a) Calcul

Pour mesurer une distance AB avec un ruban et avoir une meilleure précision
de lever, il faudra effectuer une distance allée et retour ou si nous sommes sur un
terrain horizontal est à courte distance, nous aurons DH= 𝐴𝐵
̅̅̅̅ ou effectué les
distances partielles si nous sommes à des longues distances DH = D1+D2+D3+…

̅̅̅̅
𝐴𝐵 + ̅̅̅̅
𝐵𝐴
𝐷𝐻 =
2
17

b) Erreur

L’erreur de lever avec un ruban est dû par rapport au terrain et par rapport au ruban
utilisé ou le tenir.

 Mesure d’un terrain accidentel : pour mesurer sur un terrain accidentel, il


faut avoir une précision de lever ou utiliser un fil à plomb. Ce mode de lever
est appelé lever par cultellation comme montre la figure ci-dessous.

A DH
B

 l’erreur de chainage sur un terrain accidentel est de 0,05m


 l’erreur de chainage sur un terrain horizontal est de 0,03 près.
 L’erreur de chainage lorsque le vent souffle est de 0,2m
 La précision du ruban en acier est de 0,01m
 La précision du ruban en toile est de 0,02m
6. Mesure de distance avec une chaine d’arpenteur

On utilise la chaîne d'arpenteur pour mesurer la longueur des lignes droites,


dont chaque extrémité doit être marquée par un piquet de repérage. Cette chaine
est composée des maillons de 20 cm sous forme d’un anneau et c’est en métallique.

a) Calcul

Le calcul est idem avec le ruban.


18

b) Erreur

L’erreur est surtout lorsqu’on touche cette chaine, et c’est moins précis par
rapport au ruban et la précision d’écart est de 0,1m

7. Théodolite

C’est un appareil topographique permettant de mesurer les angles verticaux et


horizontaux. Il peut aussi mesurer une distance sur terrain à l’aide d’une mire
graduée.

a) Calcul
Pour calculer la distance horizontale de théodolite à la mire, il faudra tout
d’abord calculer la distance pente puis la distance horizontale.
DP= (LS-LI) x 100
DH= DP x sin²V
b) Erreur

Sur certains théodolites électroniques les valeurs de la plupart de ces erreurs sont
mesurées par l’appareil à chaque station.

 Erreur de centrage sur le point stationné : Il est de l’ordre de ± 4 mm pour le


mode de mise en station rédigé ci-haut.

 Erreur de lecture sur la mire parlante: Pour éviter ce type d’erreur, il faut
soigner la lecture et il faut toutefois vérifier la lecture sur la mire avant de
copier sur le carnet de terrain. Cette erreur est dûe, soit à la mauvaise lecture
sur la mire.
19

 Erreurs de dérive à zéro : Cette erreur est due à la torsion du trépied : les
trépieds en bois (ou en métal) étant peu massifs (pour faciliter leur transport)
et relativement peu rigides, il existe des phénomènes de torsion du trépied
dus aux passages et aux manipulations de l’opérateur, aux dilatations
différentielles des pieds sous l'effet du soleil, etc. Ces phénomènes entraînent
une dérive du zéro qui peut affecter des mesures de très grande précision.
Pour les minimiser, il est donc recommandé :
 de rester en station le moins longtemps possible sur un point ;
 d’effectuer les observations à l’ombre d’un parasol ;
 la mauvaise mise en station peut engendre une mauvaise lecture sur la mire.

8. Station totale

La station totale est un appareil électronique permettant de mesurer la distance


et les angles. C’est un appareil contenant la distance mètre et le théodolite.

Cet appareil à une grande précision de lecture, il suffit de très bien faire la mise
en station et fini nous avons le résultat directement en mètres et angle

a) Calcul

Concernant la détermination d’une distance horizontale sur une station à un


point visé, elle est affichée sur l’écran de l’appareil et la distance est une très grande
précision.

b) Erreur

L’erreur est due sur la mauvaise mise en station de l’appareil, la précision est
de 0,0001 mm.
20

9. Le récepteur GPS

C’est un appareil qui est multi utilisation, permettant aussi de déterminer, prélever
les coordonnées UTM (Universal Transversal Mercator). A partir de ces coordonnées,
nous allons calculés la distance horizontale. Il est surtout utilisable à des grandes
concessions de plus de 100 hectares ou plus.

a) Calcul

Il suffit de prélever les coordonnées UTM ou les coordonnées cartésiennes sur


terrain. A(X1 ; Y1) et B(X2 ; Y2)

̅̅̅̅
𝐴𝐵 = √ (𝑋2 − 𝑋1)2 + (𝑌2 − 𝑌1)²

b) Erreur

L’erreur est due à la mauvaise application ou utilisation, si vous avez un


récepteur GPS garmin étrex, il faut tout d’abord de le paramétrer. La précision de
lever doit être de 0,1 m, et il faut bien tenir le récepteur pour que les satellites soient
en communication avec le récepteur.

Conclusion de ce chapitre

Nous avons plusieurs instruments pour les mesurages linéaires comme


drone, les logiciels informatiques, etc. mais nous nous sommes limités que à ces 10
instruments plus usuels et compréhensifs.
21

Chapitre 2. METHODE DE MESURE

Les distances utilisées en topométrie sont principalement des distances


horizontales.

A) MESURE DE DISTANCES HORIZONTALES


1. Terrain régulier un peu en pente

Si la pente est faible, on considère que la distance mesurée est la


distance horizontale. Par exemple, une distance de 50m mesurée suivant une pente
de 1% fera 49,995m à l'horizontale.

2. Terrain régulier en pente

Dans ce cas, on mesure la distance suivant la pente qu'il faut ramener à


l'horizontale à l'aide de la dénivelée ou de la pente.

Dh=√𝐷𝑝² − 𝛥𝐻²

1 𝐷𝑝
Dh=Dp.cosi=Dp.√1+𝑡𝑔²𝑖 =
√1+𝑝²

3. Terrain irrégulier ou très en pente

Le terrain est tel que l'on ne peut pas réaliser la mesure avec le ruban
au sol entre les deux extrémités. Dans ce cas, on peut opérer par la méthode des
ressauts successifs (ou cultellation) ou par la méthode du mode suspendu.

La méthode par ressauts successifs est très peu utilisée car difficile à
mettre en œuvre et peu précise. Elle consiste à suspendre le ruban en le mettant à
l'horizontale (à l'aide d'un niveau à bulle par exemple) avec les extrémités à la
verticale des points à mesurer (avec un fil à plomb).
22

La mesure en mode suspendu est mise en œuvre avec deux trépieds


aux extrémités sur lesquels est tendu le ruban (ou fil Invar) à l'aide de poids. On
mesure donc la distance inclinée. La dénivelée entre les extrémités du ruban doit
ainsi être également mesurée pour obtenir la distance horizontale.

Cette méthode est longue à mettre en œuvre mais elle est utilisée pour
des travaux de précision avec un fil Invar avec des précisions de l'ordre du
millimètre.

4. Mesure par rapport à la forme du terrain et l’entendue

Nous pouvons effectuer ce genre de lever en utilisant un théodolite de précision et


une mire parlante, soit par cheminement soit par rayonnement. On peut aussi utiliser
le récepteur GPS.

B) LES FAUTES ET LES ERREURS


1. Les fautes

Tableau de classification des fautes

N° Fautes Exemple
1 Oubli Oubli d’une portée dans
un chainage
2 Ecrire Ecrire 15,08m au lieu de
15,80m
3 Transposer des chiffres Lire 98m au lieu de 86m
4 Défaut de découvrir le Le nom découvert du
zéro (0) point zéro du ruban
Manque de vérification du
ruban (cas de faux ruban)
23

2. Les erreurs

Tableau des erreurs parasites et systématiques

Les Erreurs Parasites


 Les erreurs dues à un oubli d’un échange de fiche ; pour l’éliminer, on doit
mesurer deux fois c’est-à-dire aller et retour (A/R).
 Les erreurs dues à un oubli de ramassage d’une fiche, pour l’éliminer, il faut
compter les fiches à chaque échange ainsi qu’à la fin du mesurage.
 Les erreurs dues à la mauvaise lecture de l’appoint, pour l’éliminer, on fait
la double mesure.
Les Erreurs Systématiques
 Erreur d’étalonnage due à une différence entre la longueur théorique et la
longueur réelle due à une température de référence.
 Erreur de dilatation due à une variation de longueur d’un ruban en acier
influencé par la température.
 Erreur d’élasticité due au longuement du ruban trop tendue.
 Erreur de la chainette due au ruban soulever mal tendu ou non tendu.
24

DEUXIEME PARTIE :
LES TRAVAUX
TOPOGRAPHIQUES

Dans cette partie nous allons parler sur les travaux réalisés sur terrain et les travaux
de bureau.
25

Chapitre 1. TRAVAUX REALISES SUR TERRAIN

1. Choix et visite sur terrain

Le choix du site était proposé par le chef de bureau travaux pratiques


de l’ENAC-TI, le site comme dit ci-haut est le CNPP. Nous avons parcourir ce site par
rapport à sa délimitation, mais nous nous sommes limités sur une portion de terre de
ce site enfin de bien respecter les délais de l’ordre de mission. Ce site est fortement
en pente, les reliefs formant des montagnes et des érosions ravagées ce site.

2. Croquis à main levé


26

3. Croquis de situation

4. Croquis de repérage

5. Levés des détails (linéaires et angulaires)

Les stations S0 et S1 sont deux stations des bases créés sur terrain, que ses stations
nous ont permis comme point de référence de notre polygonale. Après piquetage des
stations et des sommets, nous avons prélevé les coordonnées de ces stations à partir
du récepteur GPS et l’altitude de départ sur S0.

S0(534165 ; 9513608 ; 327) et S1(534225 ; 9513601)


27

Tableau des levés des détails (angulaires et linéaires)

H(gra Gist(gra ST PV LECTURE(m) H(grade) Gist(grade)


ST PV LECTURE(m) de) de) LS 3,635
S1 S0 LN 3,335 0,00 307,39
LS 1,035 LI 3,035
S0 S1 LN 0,732 0,00 107,39 LS 3,431
LI 0,429 S2 LN 2,998 317,62 225,01
LS 2,963 LI 2,565
H5 LN 2,807 20,44 127,83 LS 2,702
LI 2,651 H5 LN 2,540 380,15 287,54
LS 2,071 LI 2,378
A3 LN 1,592 23,10 130,49 LS 2,778
LI 1,113 H4 LN 2,495 386,09 293,48
LS 0,949 LI 2,212
H4 LN 0,882 74,22 181,61
LI 0,815 LS 3,869
LS 1,600 S2 S1 LN 3,450 0,00 25,01
SC1 LN 1,279 190,92 298,31 LI 3,031
LI 0,958 LS 0,603
LS 2,428 A4 LN 0,460 106,33 131,34
H3 LN 2,137 221,17 328,56 LI 0,317
LI 1,846 LS 1,700
LS 1,785 H15 LN 1,640 114,78 139,79
H2 LN 1,442 221,23 328,62 LI 1,580
LI 1,099 LS 2,400
LS 1,435 H16 LN 2,174 189,28 214,29
H1 LN 0,967 231,81 339,20 LI 1,948
LI 0,499 LS 3,300
LS 1,686 S3 LN 3,010 232,14 257,15
H0 LN 1,145 252,72 360,11 LI 2,720
LI 0,604 LS 2,103
LS 3,156 H5' LN 1,924 301,31 326,32
A2 LN 2,463 254,72 362,11 LI 1,745
LI 1,770
LS 3,553
A1 LN 2,670 255,82 363,21
LI 1,787
28

ST PV LECTURE(m) H(grade) Gist(grade) ST PV LECTURE(m) H(grade) Gist(grade)


LS 1,801
LS 3,835 S5 S4 LN 1,329 0,00 177,62
S3 S2 LN 3,555 0,00 57,15 LI 0,857
LI 3,275 LS 3,630
LS 2,074 S6 LN 2,850 166,19 343,81
A5 LN 1,371 130,10 187,25 LI 2,070
LI 0,668 LS 1,810
LS 1,713 H14 LN 1,620 171,10 348,72
H7 LN 1,375 172,61 229,76 LI 1,430
LI 1,037 LS 3,621
LS 2,937 SC1 LN 3,020 258,45 36,07
S4 LN 2,400 193,02 250,17 LI 2,419
LI 1,863 LS 3,800
LS 2,191 S3 LN 3,260 329,63 107,25
H8 LN 1,865 209,47 266,62 LI 2,720
LI 1,539
LS 2,168 LS 2,010
H10 LN 1,716 220,38 277,53 S6 S5 LN 1,250 0,00 143,81
LI 1,264 LI 0,490
LS 2,738 LS 1,560
H9 LN 2,406 258,38 315,53 A8 LN 1,200 87,75 231,56
LI 2,074 LI 0,840
LS 1,668 LS 3,400
H5' LN 1,409 354,65 -11,80 A9 LN 2,740 310,18 53,99
LI 1,150 LI 2,080

S4 LS 1,400 LS 1,200
S3 LN 0,872 0,00 50,17 SC1 S0 LN 0,873 0,00 98,31
LI 0,344 LI 0,546
LS 2,104 LS 1,500
H7 LN 1,862 23,04 73,21 S1 LN 0,902 4,45 102,76
LI 1,620 LI 0,304
LS 1,100 LS 2,500
H6 LN 0,870 78,72 128,89 H9 LN 2,102 109,61 207,92
LI 0,640 LI 1,704
LS 1,104 LS 1,200
A7 LN 0,900 200,53 250,70 H3' LN 1,070 212,24 310,55
LI 0,696 LI 0,940
LS 2,205 LS 1,000
H12 LN 1,840 272,26 322,43 H2' LN 0,745 235,92 334,23
LI 1,475 LI 0,490
LS 1,912 LS 1,300
S5 LN 1,439 327,45 377,62 H1' LN 0,970 241,14 339,45
LI 0,966 LI 0,640
LS 1,208
H10 LN 0,982 335,84 386,01
LI 0,756
LS 1,306
H8 LN 1,070 377,62 27,79
LI 0,834
29

Chapitre 2. TRAVAUX DE BUREAU

2.1. Calcul des distances horizontales par rapport à la station S1

La distance S1S2 est faite à partir de la station S1, nous avons effectué
les lectures des fils sur la mire (voir tableau de levé des détails par rapport à la
station S1).

 DPS1SO= (LS-LI).100

DPS1S0= (3,635-3,035).100

DPS1S0=60,00m

DHS1S0=DPS1S2.sin²V

DHS1S0= 60.sin²96,35

DHS1S0=59,80 m

 DPS1S2= (LS-LI).100

DPS1S2= (3,431-2,565).100

DPS1S2=86,60m

DHS1S2=DPS1S2.sin²V

DHS1S2= 86,60.sin²77,33

DHS1S2=74,23 m
30

2.2. Tableau des calculs linéaires

ST PV LECTURE(m) V(grade) H(grade) DP (m) DH (m)

LS 1,035
S0 S1 LN 0,732 102,79 0,00 60,60 60,48
hi: 1,36 LI 0,429
Alt 327 LS 2,963
H5 LN 2,807 99,18 20,44 31,20 31,19
LI 2,651
LS 2,071
A3 LN 1,592 99,18 23,10 95,80 95,78
LI 1,113
LS 0,949
H4 LN 0,882 101,00 74,22 13,40 13,40
LI 0,815
LS 1,600
SC1 LN 1,279 80,49 190,92 64,20 58,36
LI 0,958
LS 2,428
H3 LN 2,137 99,17 221,17 58,20 58,19
LI 1,846
LS 1,785
H2 LN 1,442 96,81 221,23 68,60 68,43
LI 1,099
LS 1,435
H1 LN 0,967 98,59 231,81 93,60 93,55
LI 0,499
LS 1,686
H0 LN 1,145 100,40 252,72 108,20 108,20
LI 0,604
LS 3,156
A2 LN 2,463 100,40 254,72 138,60 138,59
LI 1,770
LS 3,553
A1 LN 2,670 100,65 255,82 176,60 176,58
LI 1,787

LS 3,635
S1 S0 LN 3,335 96,35 0,00 60,00 59,80
hi: 1,44 LI 3,035
Alt 325 LS 3,431
S2 LN 2,998 75,33 317,62 86,60 74,23
LI 2,565
LS 2,702
H5 LN 2,540 96,27 380,15 32,40 32,29
LI 2,378
LS 2,778
H4 LN 2,495 96,27 386,09 56,60 56,41
LI 2,212

LS 3,869
S2 S1 LN 3,450 121,67 0,00 83,80 74,46
hi: 1,47 LI 3,031
Alt 354 LS 0,603
A4 LN 0,460 98,29 106,33 28,60 28,58
LI 0,317
31

LS 1,700
H15 LN 1,640 144,05 114,78 12,00 7,12
LI 1,580
LS 2,400
H16 LN 2,174 84,70 189,28 45,20 42,64
LI 1,948
LS 3,300
S3 LN 3,010 85,34 232,14 58,00 54,98
LI 2,720
LS 2,103
H5' LN 1,924 96,43 301,31 35,80 35,69
LI 1,745

LS 3,835
S3 S2 LN 3,555 110,15 0,00 56,00 54,59
hi: 1,41 LI 3,275
Alt 365 LS 2,074
A5 LN 1,371 92,48 130,10 140,60 138,65
LI 0,668
LS 1,713
H7 LN 1,375 92,38 172,61 67,60 66,64
LI 1,037
LS 2,937
S4 LN 2,400 93,82 193,02 107,40 106,39
LI 1,863
LS 2,191
H8 LN 1,865 95,00 209,47 65,20 64,80
LI 1,539
LS 2,168
H10 LN 1,716 96,95 220,38 90,40 90,19
LI 1,264
LS 2,738
H9 LN 2,406 100,72 258,38 66,40 66,39
LI 2,074
LS 1,668
H5' LN 1,409 111,94 354,65 51,80 50,00
LI 1,150

S4 LS 1,400
hi: 1,48 S3 LN 0,872 105,85 0,00 105,60 104,71
Alt 374 LI 0,344
LS 2,104
H7 LN 1,862 101,59 23,04 48,40 48,37
LI 1,620
LS 1,100
H6 LN 0,870 96,81 78,72 46,00 45,88
LI 0,640
LS 1,104
A7 LN 0,900 96,87 200,53 40,80 40,70
LI 0,696
LS 2,205
H12 LN 1,840 104,80 272,26 73,00 72,59
LI 1,475
LS 1,912
S5 LN 1,439 108,65 327,45 94,60 92,86
LI 0,966
LS 1,208
H10
LN 0,982 108,65 335,84 45,20 44,37
32

LI 0,756
LS 1,306
H8 LN 1,070 107,12 377,62 47,20 46,61
LI 0,834

LS 1,801
S5 S4 LN 1,329 91,65 0,00 94,40 92,79
hi: 1,48 LI 0,857
Alt 362 LS 3,630
S6 LN 2,850 108,03 166,19 156,00 153,53
LI 2,070
LS 1,810
H14 LN 1,620 108,28 171,10 38,00 37,36
LI 1,430
LS 3,621
SC1 LN 3,020 92,03 258,45 120,20 118,33
LI 2,419
LS 3,800
S3 LN 3,260 97,17 329,63 108,00 107,79
LI 2,720

LS 2,010
S6 S5 LN 1,250 91,13 0,00 152,00 149,07
hi: 1,48 LI 0,490
Alt 341 LS 1,560
A8 LN 1,200 95,11 87,75 72,00 71,58
LI 0,840
LS 3,400
A9 LN 2,740 101,81 310,18 132,00 131,89
LI 2,080

LS 1,200
SC1 S0 LN 0,873 120,12 0,00 65,40 59,08
hi: 1,45 LI 0,546
Alt 346 LS 1,500
S1 LN 0,902 111,50 4,45 119,60 115,74
LI 0,304
LS 2,500
H9 LN 2,102 90,50 109,61 79,60 77,84
LI 1,704
LS 1,200
H3' LN 1,070 103,34 212,24 26,00 25,93
LI 0,940
LS 1,000
H2' LN 0,745 106,14 235,92 51,00 50,53
LI 0,490
LS 1,300
H1' LN 0,970 106,30 241,14 66,00 65,36
LI 0,640
33

2.3. Report sur le Plan

Le report sur le plan est fait à l’échelle de 1 à 1000 ème. La méthode


effectuée pour le report sur le plan est la méthode des coordonnées polaires.
34

CONCLUSION

Notre travail a porté sur les différentes sortes de mesurage


linéaire, calculs et erreurs.

Notre préoccupation était de savoir, les sortes des méthodes à


appliquer pour les mesurages linéaire et calculs de ce type de terrain.

Apres la vérification de nos matériels, observation et analyse de


terrain, ils ressortent que les méthodes à appliquer sont les méthodes de chainage
direct et indirect pour les mesurages linéaire direct et la méthode de levé
trigonométrique pour les mesurages linéaire indirect.

Le principal facteur serait le relief varié et accidentel. Ce qui


justifie ces différentes sortes de mesurage linéaire.

De ce qui précède nous suggérons :

Au Ministère des Affaires Foncières

- D’assurer une bonne subvention et continuelle à ses écoles pour leur


survie ;
- De reconstruire ses écoles existantes ;
- De construire des ENAC-TI dans chaque province ;
- D’assurer l’engagement et affectation équilibrer après les études;
- De doter l’ENAC-TI les matériels et instruments de nouvelle
génération.

A la direction des Ecoles Nationales du Cadastre et Titres Immobiliers

- De doter l’ENAC-TI les matériels didactiques adéquats ;


- D’instaurer les systèmes des bourses nationale et ou internationale ;
- D’homologuer l’ENAC-TI à l’enseignement supérieur et universitaire.

A la coordination de l’ENAC-TI

- De se procurer d’un bus académique ;


- D’instaurer le système de port de gilet, macaron, botte et casque pendant
le stage ;
- De combiner la théorie et la pratique pendant les cours.
35

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES

1. ASSOCIATION FRANCAISE DE TOPOGRAPHE, Lexique topographique


1991/2000, éd. Association française de topographe, Paris 2000.
2. BRABANT M., Maitriser la topographique, éd. Eyrolles (2ème édition),
Paris 2003.
3. HOLLANDER R., Topographie générale Tome 1 mesures des distances,
éd. Eyrolles, Paris 1970.
4. DALLE, A., DE WAELLE, C., Géométrie plane et élément
topographique, WESMAEL-CHARLIER, Bruxelles, 1961.

II. NOTES DES COURS

1. BILA BILA MUSASA, B. Topographie, Notes de cours, L2 GEA/IFAD,


2012-2013, Inédit
2. FONO, Y.L., Topographie, Notes de Cours, G1/ENACTI, 2018-2019,
Inédit
3. MIANSI AKONDA, R. Le Cadastre au Congo, notes de cours, ENACTI
2018, Inédit
4. SANGANI MUTEBA, J. Informatique Appliquée, Notes de cours, G2
GEOM. /ENNACTI,

5. DOCUMENTS OFFICIELS ET AUTRES PUBLICATIONS

6. Art.54 Loi Foncière


7. Secrétariat, CNPP/UNIKIN

8. WEBOGRAPHIE

9. 1. Wikipédia.org le 07/09/2019

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