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Sommaire

Introduction.......................................................................................................................................1
PRÉSENTATION DU BUREAU D’NGENIEUR CONSEIL...........................................................................2
1- L’ORGANIGRAMME................................................................................................................2
2- RÔLE DU BUREAU...................................................................................................................2
PARTIE 1 : ROUTE...............................................................................................................................3
II. DIFFÉRENTS TYPES DES OUVRAGES HYDRAULIQUES ROUTIERS.................................................5
III. DIFFÉRENTS COUCHES DE LA ROUTE..........................................................................................6
IV. ETAPES DE CONSTRUCTION DES DALOTS PRÉFABRIQUES......................................................8
1. IMPLANTATION.......................................................................................................................8
2. EXCAVATION...........................................................................................................................8
V. LES ENGINS :.............................................................................................................................10
PARTIE 2 : BÂTIMENT.......................................................................................................................11
1. DEFINITION...........................................................................................................................12
2. TYPE DE FONDATIONS..........................................................................................................12
II. LE COFFRAGE............................................................................................................................16
1. DEFINITION...........................................................................................................................16
III. ECHAFAUDAGE.........................................................................................................................18
1. DEFINTION............................................................................................................................18
2. TYPES ET ROLES D’ECHAFAUDAGE........................................................................................18
V. FERRAILLAGE............................................................................................................................19
1. DEFINITION...............................................................................................................................19
VI. PLANCHERS...........................................................................................................................21
1. DEFINITION...........................................................................................................................21
2. TYPES DE PLANCHERS...........................................................................................................21
CONCLUSION....................................................................................................................................23
Remerciements

Je tiens à exprimer ma gratitude envers l'entreprise et toute l'équipe pour


m'avoir offert cette opportunité enrichissante. Leur mentorat et leur
soutien m'ont permis de grandir professionnellement et personnellement.
Introduction

Ce rapport est le résultat d’un stage ouvrier, a pour but de mettre l’étudiant au champ du travail,
pour pratiquer les diverses étapes et lui donner l’occasion d’enrichir ses information à propos :

Le matériel, nature du travail et l’esprit de l’ouvrier aussi de l’entreprise.

Vue l’importance des grandes entreprises et leurs expériences dans les services de Planification

et organisation des travaux et des bâtiments j’ai visité quelques

Chantiers tous des ouvrages en cours de construction. Ce qui m’a permis de mieux connaître les
choses de prêt.

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PRÉSENTATION DU BUREAU D’NGENIEUR CONSEIL
1- L’ORGANIGRAMME

Figure 1 : Présentation de l’organisme de bureau

2- RÔLE DU BUREAU
Le bureau d’ingénieur conseil IMED REBEI a un rôle d’assistance et de conseil auprès des
collectives publiques ou des entreprises dans le domaine de génie civil.
Les activités de bureau sont représentées dans :
- Contrôle et pilotage des travaux.
-Etudes des projets routiers.
-Etudes et suivi des projets de bâtiments et charpente métallique.

Figure 2 : Le bureau d'ingénieur conseil

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PARTIE 1 : ROUTE

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I. TERMINOLOGIE DE LA ROUTE
1. ROUTE : est un élément essentiel à l’économie assurant le déplacement des personnes
et des biens.

2. CHAUSSES: c’est la surface revêtue de la route sur laquelle circulent les véhicules.
3. DEEVERS : c’est l’inclinaison transversale de la route en alignement droit. Il est destiné à
évacuer les eaux superficielles.

4. TRACE EN PLAN: est une projection horizontale sur un repère cartésien


topographique de l’ensemble des points définissant le tracé de la route .C’est la représentation
sur un plan horizontal de l’axe de la route.

5. PROFIL EN LONG: est une coupe verticale passant par l’axe de la route, développé et
représentée sur un plan à une échelle.

6. PROFIL EN TRAVERS: est représenté par une coupe perpendiculaire à l’axe de la route
de la surface définie par l’ensemble des points représentatifs de ce e surface.

7. CONCEPTION LONGITUDINALE : est une étude résultant du suivi d’une population


ou d’un phénomène dans le temps en fonction d’un évènement de départ.

8. CONCEPTION TRANSVESALE: constitue une classe de méthode de recherche qui


concerne l’observation d’une population dans sa globalité à un instant donné dans le temps.

9. OUVRAGE HYDROLIQUE: est un ouvrage permettant la gestion d’un écoulement.


10. CUBATURE : volume de terres déplacé.
11. ACCOTEMENTS : ce sont deux bandes latérales qui encadrent la chaussée, ils peuvent
être dérasés ou surélevées.

12. PLATE-FORME: c’est l’ensemble ; chaussés, accotements y compris éventuellement le


terres pleines centrales et les pistes cyclables.

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II.DIFFÉRENTS TYPES DES OUVRAGES
HYDRAULIQUES ROUTIERS
1. BUSE :est un ouvrage constitué d’au moins un conduit transversal , généralement
fait de béton ou de métal , laissant circuler l’eau sous une route , une voie ferrée ou
une autre structure.

Figure 3 : Buse

2. DALOT : désigne un petit canal recouvert d’une dalle, un élément de caniveau ou un


ouvrage hydraulique semi-enterré, sorte de petit aqueduc en maçonnerie placé sous
les remblais des routes ou des voies ferrées.

Figure 4 : Dalot
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3. CASSIS : rigole pavée ou pente pratiquée en travers d’une route pour faciliter
l’écoulement des eaux.

Figure 5 : Cassis

III. DIFFÉRENTS COUCHES DE LA ROUTE


1. REMBLAI : ensemble des terres rapportées sur le terrain pour créer une plate-forme ou
combler une cavité.

2. COUCHE DE FORME : est une couche particulière de la chaussée située entre la partie
supérieure du terrassement et la couche d’assise.
3. COUCHE D’ASSISE : est généralement constituée de deux couches :
*COUCHE DE FONDATION : est première phase de la couche d’assise de la route, il est formée
de différents graves naturelles sélectionnées.
*COUCHE DE BASE : est situé sous la couche de surface et destinée à répartir les efforts dus
aux charges.

4 .COUCHE DE SURFACE : cette couche est en contact direct avec le pneumatique de


véhicule et de charge extérieure, elle est composée d’une couche de roulement et d’une couche
de liaison.
*COUCHE DE ROULEMENT : est la couche supérieure de la structure de chaussée sur laquelle
s’exercent directement les agressions conjuguées du trafic et du climat.
*COUCHE DE LAISON : a pour rôle essentiel d’assurer une transition avec les couches
inférieures plus rigides.

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Figure 6 : Différents Couches de la route

5. PANNEAUX DE SIGNALISATION : sont des éléments de la signalisation routière. Ils sont


donnés des informations relatives à l’usage de la route.

Figure 7 : Panneaux de signalisation

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Figure 8 : Panneaux de signalisation

IV. ETAPES DE CONSTRUCTION DES DALOTS


PRÉFABRIQUES
1. IMPLANTATION
Pour implanter un dalot on a besoin chercher la cote fil d’eau qui a déjà étudié. Cette tâche est
exécutée par le topographique c’est lui qui détermine la profondeur de la fouille en tenant
compte de tous les épaisseurs du dalot.

2. EXCAVATION
L’excavation de la fouille s’effectue par une pelle hydraulique.

3. PREPRATION DU LIT DE POSE

Figure 9 : lit de pose


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4 .POSE UN DALOT PAR PELLE HYDROLIQUE

Figure 10 : Pose un dalot

5. JOINTEMENT DES DALOTS PAR UN MORTIER

Figure 11 : Jointement des dalots par un mortier

6. REVETEMENT

Figure 12 : Revêtement

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V. LES ENGINS :

Figure13 : Pelle hydraulique Figure14 : Compacteur

Figure15 : Chargeur Figure 16 : camion de transport

Figure 17 : Niveleuse Figure 18 : Camion d’arrosage

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PARTIE 2 :
BÂTIMENT

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I. FONDATIONS
1. DEFINITION
C’est un terme employé le plus souvent au pluriel pour désigner l’ensemble des ouvrages
enterrés sur lesquels repose une construction. Les fondations assurent la stabilité du bâtiment.
Elles transmettent au sol le poids total de l’ouvrage en le répartissant de manière à garantir une
assise parfaite.

2. TYPE DE FONDATIONS
On distingue deux principaux types de fondations selon la profondeur à laquelle elles se situent :

A. FONDATIONS SUPERFICIELLES
Les fondations superficielles appelées aussi fondations ordinaires : elles sont utilisées quand le
bon sol est proche de la surface. Ce type de fondation comprend les semelles, les longrines et les
plots.

*SEMELLE ISOLEE :

Figure1 : Semelle isolée


Ou semelle ponctuelle: Elle est placée sous un Poteau.

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-Semelle isolée centrée

Figure2 : Semelle isolée centrée

- Semelle isolée excentrée

Figure3 : Semelle isolée excentrée


- SEMELLE FILANTE
La semelle filante ou semelle continue: elle est située sous tous les murs porteurs. Elle peut
être renforcée par des armatures si les charges qu’elle reçoit sont importantes.

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Figure 4 : Semelle Filante

* LONGRINE

Est une poutre préfabriquée en béton armé ou en béton précontraint placée sous un mur porteur
et prenant appui sur des plots.

Figure5 : Longrine

On distingue deux types de longrines :

-Longrine de liaison: ou longrine intermédiaire, elle relie les prés-poteaux et supporte les
murs de brique 12

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Longrine de redressement : ou longrine de rive, elle supporte les poteaux d’extrémités qui sont
à côté d’une autre construction (elles ont la nappe supérieure tendue).

*PRES-POTEAUX
Les armatures des prés poteaux doivent être posées sur les semelles avant coulage de ces
derniers. Le coffrage des prés poteaux doit être parfaitement verticale de quatre cotées.

Figure6 :

B. FONDATIONS PROFONDES

Les fondations profondes sont des structures permettant de fonder un bâtiment en profondeur
lorsque la couche superficielle de sol n'est pas suffisamment résistante pour employer des
fondations superficielles : la reprise des charges se fait alors par la résistance du sol sous la base
de la fondation (portance) à laquelle s’ajoutent les frottements latéraux exercés par le sol sur la
fondation (résistance à l’enfoncement). Un exemple simple de ce phénomène est un parasol
installé dans le sable : la résistance du sol augmente au fur et à mesure que le tube s’enfonce.

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Figure7 : Pieux
Fondations profondes (pieux)
On fait recours aux fondations profondes quand :
- La portance de sol est faible.
-Les charges à reprendre sont trop, il existe des risques importants de tassements différentiels
ou d’ensemble.
-Le sol est très hétérogène en surface (alternance de points durs et des couches meubles)
Parmi les types des fondations profondes on peut citer :
• Les pieux
• Les puits
• Le micro pieux

II. LE COFFRAGE
1. DEFINITION
C’est une structure provisoire, utile pour mouler le béton, en attendant sa prise puis son
durcissement.
Les coffrages traditionnels sont mis en œuvre en totalité in situ. Les coffrages
standardisés permettent de réaliser des ouvrages de dimensions différentes.

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Figure8 : Coffrage

1. CONSTITUANTS DE COFFRAGE
A. LA PEAU :
Détermine l’aspect final de la pièce moulée. Elle peut être en bois, en contreplaqué, en acier, en
matière plastique ou en carton

B.L’OSSATURE :
Elle limite les déformations de la peau de coffrage, essentiellement dues à la poussée du béton
frais pour les parois verticales, au poids propre de béton frais, du coffrage et aux charges
d’exploitation.

C.TIGES D’ENTRETOISES, BEQUILLES, ETAIEMENTS:


Permettent le réglage en position des surfaces coffrâtes.

Figure9 : Etais
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2. TYPOLOGIES DE COFFRAGE
 COFFRAGES VERTICAUX : Petits panneaux, banches
 COFFRAGE DES POTEAUX
 COFFRAGES HORIZONTAUX : Poutre, Dalles plein
 COFFRAGES PERDUS
 COFFRAGE SPECIAUX (Pont, barrage)

III. ECHAFAUDAGE
1. DEFINTION
Ils servent de poste de travail en hauteur, de plateforme de stockage, d’étaiement et de Moyens
d’accès.
Il s’agit d’une structure temporaire caractérisée par un montage et un démontage aisés et
Rapides, ainsi qu’un stockage et un transport facile

2. TYPES ET ROLES D’ECHAFAUDAGE


 Échafaudage de façade
 Échafaudages multidirectionnels
 Échafaudages roulants
 Échafauda volants
 Échafaudages pour maçon

Figure10 : Echafaudage

_L’échafaudage de sécurité assure la protection collective contre les chutes

_L’échafaudage d’étaiement supporte des coffrages, le personnel et le matériel

_L’échafaudage de service permet l’accès des ouvriers aux différents points de l’ouvrage ainsi
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que le stockage des matériaux nécessaire.

V. FERRAILLAGE
1. DEFINITION
Les armatures sont les aciers utilisés en béton armé, elles sont disposées dans le béton pour
absorber les effets de traction, de cisaillement et de flexion
* Epingle

Figure11 : Epingle

* Etrier

Figure12 : Etrier

Cadre

Figure13 : Cadre
Armature : Ø : 6-8-10-12-14-16 -20-25-32-40
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Figure14 : Types des armatures
Les armatures à haute adhérence absorbant les efforts de traction et parfois mes efforts de
compression dans les pièces de B.A soumise à la flexion (poutre; nervure).
Les diamètre commerciale de ces aciers sont: T8,T10,T12,T14,T16,T20,T25,T32,T40. Les
armatures rondes lisses sont pour le façonnage des cadres, étriers, et épingle.

Figure15 : Ferraillage

Figure16 : Ferraillage des semelles

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VI. PLANCHERS
1. DEFINITION
Ce sont les ouvrages horizontaux porteurs des charges permanents et des surcharges
d’exploitation à chaque étage :
Ils s’appuient sur :

 les structures poteaux- poutres.

Les constituent un écran isolant :

 thermique (contre les échanges de chaleurs).

 acoustique (contre les bruits aériens et d’impact).


Le genre de hourdis utilisé ainsi que la hauteur de la chape supérieure et des planches Dépendent
de la portée de la nervure .le rôle de l’ingénieur est la conception convenable.

2. TYPES DE PLANCHERS
Il existe deux types de réalisation de planchers :
Plancher en corps creux
Plancher en dalle pleine

A.PLANCHER EN CORPS CREUX


Pour les plancher en corps creux les planches supérieures sont équidistantes de 33cm.
La largeur normalisée entre les fils d’étais ainsi que la largeur entre les madriers, généralement
on ne doit pas dépasser les 150cm.
Il faut avoir le Nombre suffisant d’étais pendant le coffrage de plancher en corps creux

Figure17 : Plancher en corps creux


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*L’HOURDIS : Les briques pour hourdis sont des éléments d’argile cuite employées pour la
fabrication des planchers ou des hourdis creux. Aussi, il existe un grand choix de types de
hourdis dont il faut distinguer ces deux types principaux.

Figure18 :L’hourdi

B.PLANCHER EN DALLE PLEINE :


La dalle pleine: plancher en béton armé de 15 à 20-cm d’épaisseur coulé sur un coffrage plat.
Le diamètre des armatures incorporées et leur nombre varient suivant les dimensions de la dalle
et l’importance des charges qu’elle supporte.

Figure19 : Plancher en dalle pleine

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CONCLUSION

Ce stage a été une étape importante dans mon développement professionnel. J'ai acquis des
compétences précieuses et une appréciation plus profonde du travail acharné et de la
coordination nécessaire dans le secteur de la construction.

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